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    Savez-vous que l'adoration peut sauver le monde ?

    Claire
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    Savez-vous que l'adoration peut sauver le monde ? Empty Savez-vous que l'adoration peut sauver le monde ?

    Message par Claire Ven 17 Avr 2015 - 6:58




    Savez-vous que l'adoration peut sauver le monde ?
    Irapuato     jeudi, 18:42


    KTO Edition Spéciale du 15/04/2015. Quel est le sens de l'adoration eucharistique ? 
    Pourquoi observe-t-on un renouveau de l'adoration au sein de nombreuses communautés chrétiennes ? 


    Echange avec Emmanuel Bourceret, directeur de la rédaction des hors-séries de Famille Chrétienne.


    Dernière édition par Claire le Mar 14 Mai 2019 - 23:30, édité 1 fois
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    Savez-vous que l'adoration peut sauver le monde ? Empty Re: Savez-vous que l'adoration peut sauver le monde ?

    Message par Invité Lun 6 Juil 2015 - 23:08

    Savez-vous que l'adoration peut sauver le monde ? Savez-vous-que-l-adoration-peut-sauver-le-monde_large

    Savez-vous que l'adoration peut sauver le monde?
    Hors série n°11
    Découvrez les bienfaits incroyables de ce face-à-face avec Dieu

    1. Adorer pour être transformé

    2. C'est quoi l'adoration?

    3. Comment adorer?

    http://www.famillechretienne.fr/boutique/hors-series/savez-vous-que-l-adoration-peut-sauver-le-monde
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    Savez-vous que l'adoration peut sauver le monde ? Empty Re: Savez-vous que l'adoration peut sauver le monde ?

    Message par M-Odile Mar 7 Juil 2015 - 9:40

    mercifleur  Claire ! Merci à ces intervenants. Oui, « ça donne faim » de retrouver le Seigneur dans ce moment privilégié qu’est ce à avec Lui.
    Depuis peu, nous réservons un temps privilégié à l’Adoration au cours de nos rencontres du Renouveau un jeudi soir sur deux au sein de notre groupe de prière. « La Pâque du Seigneur » : c’est le nom qu’a donné l’Esprit Saint à notre fondatrice, il y a  peu plus de trente ans. Marguerite continue de veiller sur son œuvre de là-haut depuis 3 ans qu’elle s’est éteinte dans la maison de retraite de notre village. ,
    Lors de chaque rencontre, dans la prière, la louange, les chants    , la lecture de la Parole, l’adoration, les intentions de prière, je vous confie, vous,  priepourtoi   les amis du blog de Claire, au Seigneur…  

    Aujourd'hui, je suis très en   :prions1:   avec ma Maman dont nous allons fêter    🤡 les 90 ans au mois d'août. Toute cette journée, elle la passe en pèlerinage à Banneux en Belgique... Nous sommes en admiration devant les grâces qu'elle obtient dans une grande confiance avec son Seigneur et en union d'Amour avec son cher Jaques qui intercède depuis son départ pour là-haut, il y a 14 ans et demi. Souvent elle nous dit : "Ça, c'est encore un p'tit clin d'oeil de votre papa!"  

    A propos de Banneux, je pense à toi, Vietavie Reter : il y a quelques mois, tu nous disais ton intention de te rendre là-bas en pèlerinage. J'espère vraiment que tu as pu le faire... Peut-être que tu aimerais partager ce temps fort avec tes amis du blog ?
    Allez, je souhaite à chacun de passer une  Savez-vous que l'adoration peut sauver le monde ? 1638928747 et  soisloué
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    Message par marie-rose Mar 7 Juil 2015 - 14:22

    mercifleur Claire mais aussi à M odile,quel beau témoignage!!!!!
    Moi j'avais demandé l'adoration sur notre paroisse,tous les premiers vendredis du mois,mais le curé a préféré cesser,pas assez de monde, pourtant je restais des heures afin de ne pas laisser Jésus seul,et prier pour ceux qui souffrent loin de lui Sad
    Aujourd'"hui nous avons un prêtre en plus, on pourrait recommencer!!!! Mais rien!!!!!!
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    Savez-vous que l'adoration peut sauver le monde ? Empty Re: Savez-vous que l'adoration peut sauver le monde ?

    Message par Claire Mar 7 Juil 2015 - 14:53

    Pas assez de monde ? Rolling Eyes mais peu importe le nombre de personnes ! ne pas laisser Jésus seul dans le Tabernacle. 
    Nous, nous ne sommes que 3 mais très heureuses d'être fidèles à ce rendez-vous où Jésus nous attend.


    Il faut insister Marie-Rose ! soeur Emmanuel a bien dit que la Vierge a affirmé que dans les paroisses où il y a adoration du Saint Sacrement il y a moins de divorces, moins d'avortements, moins de suicides....

    Allez Savez-vous que l'adoration peut sauver le monde ? Courag10
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    Message par marie-rose Mar 7 Juil 2015 - 15:34

    C'est parce que le curé dit que lorsque l'on expose le Saint sacrement, il faut au moins une personne
    Du coup il mettait une feuille au fond de l'Eglise avec les inscriptions,un tableau avec le nom de chaque personne qui s'engageait à veiller une heure
    Quand je voyais les cases vides,je m'engageais à rester,j'arrivais à faire 6 h d'adoration,au contraire j'adorais,je priais pour tous!!!
    Un paroissienne qui m'avait plusieurs fois blessée s'est moqué en disant"tu fais le bouche trou?3
    Je lui ai répondu en souriant"Pour Jésus venir pour ceux qui ne veulent pas c'est une joie un honneur!bouche trou avec fierté en plus!"
    Et puis on a su que cette femme n'était pas vraiment catho(comme d'autres par la suite)
    Je vais demander au prêtre qui vient d'arriver :prions1:

    Claire aime ce message

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    Message par Claire Dim 8 Oct 2017 - 19:12

    Bonsoir !

    Je suis très heureuse de pouvoir vous dire que cela fera 3 ans début Janvier que nous adorons tous les Lundis après-midi dans notre église. Parfois nous sommes 3, 4 ou 5 mais jusqu'à présent nous n'avons jamais interrompu l'adoration même pendant l'été.

    A 15 h nous faisons le chapelet de la Divine Miséricorde, puis nous adorons et à 15h30 nous prenons la Parole. A la fin nous disons la prière de l'ange aux enfants de Fatima pour la conversion des pécheurs et la prière du père Montfort OKAA "Jésus Marie je vous aime".

    Je vous encourage donc à aller à ce rendez-vous d'Amour devant la Présence Réelle.

    queDieuvsbenisse
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    Message par Claire Mar 14 Mai 2019 - 21:13

    L’adoration est une puissance par Joël Osteen


    "Maintenant, amenez-moi un joueur de harpe. Et comme le joueur de harpe jouait, la main de l'Éternel fut sur Élisée" 
    2 Rois 3.15 


    La Bible dit que Dieu siège au milieu des louanges de son peuple. Lorsque vous adorez le Seigneur, sa présence se manifeste, où que vous soyez, que ce soit à la maison, dans votre voiture ou au travail, Dieu est présent dans vos louanges. Et là où est Dieu, une puissance extraordinaire se déploie ! L'ennemi ne peut pas tenir en présence de notre Dieu puissant !


    De quelle type de puissance avez-vous besoin aujourd'hui ? 

    De la puissance divine de guérison pour votre corps ? Adorez-le. 
    De la puissance de Dieu pour rétablir des relations ? Adorez-le. 
    De sa puissance pour vous libérer d'une situation particulière ? Adorez-le.
    Pendant que vous l'adorez, vous verrez un bouleversement s'effectuer en vous. Les choses qui vous préoccupaient ne vous préoccuperont plus. Automatiquement, vos habitudes et dépendances anciennes ne vous troubleront plus. Les choses se mettront à changer lorsque vous vivrez une vie d'adoration.


    Commencez dès à présent à louer le Seigneur de tout votre cœur. Tout au long de la journée, chantez-lui des cantiques et proclamez sa bonté. Ainsi, vous expérimenterez la vie de victoire qu'il vous a réservée !


    Une prière pour aujourd'hui

    Père céleste, je t'adore en ce jour. Tu es le Dieu bon et fidèle. Merci de m'aimer, de m'accepter et d'œuvrer dans ma vie aujourd'hui. 
    Je te bénis au nom de Jésus. Amen.


    Savez-vous que l'adoration peut sauver le monde ? Adoron10
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    Savez-vous que l'adoration peut sauver le monde ? Empty « L’adoration eucharistique transforme la vie de la paroisse »

    Message par Claire Jeu 31 Oct 2019 - 10:43

    « L’adoration eucharistique transforme la vie de la paroisse »

    Savez-vous que l'adoration peut sauver le monde ? FROK-300x210


    En 15 ans, près de cent lieux en France (dont beaucoup de paroisses) ont sollicité les missionnaires de la Très Sainte Eucharistie pour organiser l’adoration perpétuelle au cœur de leur vie de communauté. Une vraie conversion! Rencontre avec le père Florian Racine, curé de la basilique sainte Marie-Madeleine à Saint-Maximin (diocèse de Fréjus-Toulon) et responsable des missionnaires de la Très Sainte Eucharistie.

    IEV Quelle est la source de l’adoration eucharistique dans l’Évangile ?

    FR Il y a 2000 ans, les foules allaient à Jésus et voulaient le toucher, car de son corps se répandait une force qui les guérissait tous. Aujourd’hui encore, Jésus attire ses amis à lui, à sa présence, à son corps eucharistique. De son corps jaillit un fleuve d’eau vive, c’est son Esprit : « En lui habite corporellement la plénitude de la divinité » (Col 2, 9)…
    Saint Marc dit aussi : « Jésus appela ceux qu’il voulait. Ils vinrent auprès de lui. (…) Ils vinrent à lui pour les envoyer proclamer la Bonne Nouvelle » (cf. Mc 3, 13-14). Avant de devenir apôtres en partant évangéliser, Jésus appelle les douze à lui pour qu’ils deviennent disciples. Aller à Jésus précède toujours la mission. Avant de partir en mission, il faut d’abord s’agenouiller au pied de Jésus. Par exemple, Marie Madeleine passe tout son temps au pied de Jésus avant d’aller annoncer qu’il est ressuscité.

    Combien de fois Jésus dit dans l’Évangile : « Venez à moi, vous tous… » Adorer, c’est aller à Jésus, à ses pieds. Là nous sommes comme l’argile dans la main du potier, comme le disciple bien-aimé qui repose sur le cœur de Jésus. Quel bonheur et quel délice!

    IEV Quel est l’apport spécifique de l’adoration eucharistique dans la vie d’un chrétien ?


    FR Le premier fruit observé, c’est à mon sens la ferveur dans la prière. Les chrétiens disent souvent qu’ils prient mais en réalité, cette prière se limite souvent à une pensée pour le Seigneur le matin et le soir. S’ils sont pieux, ils lisent la Parole de Dieu. Mais trop peu vivent le fameux « Arrêtez et sachez que je suis Dieu » (Psaume 46) dans un vrai temps de cœur à cœur avec le Seigneur. Or, s’arrêter pour Dieu, lui donner du temps, goûter qui il est, on le vit pleinement dans l’adoration. Grâce à l’engagement que nous proposons, les fidèles prennent l’habitude de prier au moins une heure par semaine. Il est beau de voir ces personnes prier et y prendre goût, même si souvent notre prière reste si pauvre. Au bout d’un moment, les adorateurs ont besoin de ce rendez-vous où ils peuvent tout déposer devant le Seigneur.
    Certains objectent : « Mais il y a la messe ! » C’est effectivement la première prière hebdomadaire du chrétien et la plus importante. C’est la prière communautaire. Néanmoins, de même que dans une famille, on aime être tous autour de la table pour prendre du temps ensemble, on a également besoin de passer du temps avec telle ou telle personne, afin d’approfondir la relation. C’est la même chose avec l’adoration où l’on se trouve seul avec Jésus, dans un vrai cœur à cœur.
    Le deuxième fruit de la prière d’adoration devant le Saint Sacrement est de permettre cette relation personnelle et vivante avec Jésus ressuscité. Dans l’adoration, Jésus me regarde, il me guérit, il me transforme, afin que je puisse le porter à mon tour aux autres.


    IEV Et quels sont les fruits de l’adoration eucharistique dans la vie de la paroisse ?


    FR Les personnes qui s’engagent dans l’adoration approfondissent leur relation à Jésus et rayonnent de l’amour de Dieu. Leur façon de parler, d’agir et d’être, se transforme peu à peu au contact de Jésus, mort et ressuscité. Il y a certes mille autres manières de prier seul avec Jésus. Mais l’eucharistie rend présent le mémorial de la Passion. L’eucharistie nous communique non seulement les fruits de la mort et de la résurrection de Jésus, mais aussi c’est lui-même qui vient avec son corps glorieux et qui dit : « La paix soit avec vous. »
    L’adoration du Saint Sacrement aide à vivre plus intensément les grâces prodiguées à la messe. Cela est vrai aussi pour les autres sacrements. Par exemple, lorsque je suis au pied du Seigneur, je reçois sa lumière divine et je discerne mieux ce qui fait lui fait obstacle : mes péchés. Ainsi, les adorateurs vont se confesser plus régulièrement. Toute leur vie chrétienne est vivifiée par l’adoration.


    Enfin, l’adoration eucharistique crée des liens forts entre les adorateurs. Très souvent, à la messe, on se met toujours au même endroit dans l’église et on voit toujours les mêmes personnes. L’adoration suscite un autre type de rencontres : des réseaux spirituels forts se constituent qui permettent à des personnes très diverses de se connaître et d’irriguer toute la vie de la paroisse peu à peu. L’adoration édifie la communauté. C’est le sacrement de l’unité.


    https://www.ilestvivant.com/ladoration-eucharistique-transforme-la-vie-de-la-paroisse/



    Nous en sommes témoins dans notre Paroisse, même si nous ne sommes pas nombreux mais ça porte du fruit, entre nous et dans l’Église.
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    Savez-vous que l'adoration peut sauver le monde ? Empty Re: Savez-vous que l'adoration peut sauver le monde ?

    Message par Claire Sam 18 Jan 2020 - 13:58

    Prédication De Carême Du P. Cantalamessa, 2019 :copyright: Vatican Media
     
    « Comme un éclair de lumière dans la nuit », 
     
    par le p. Cantalamessa (texte complet)
     
    L’adoration d’une « présence qui coupe le souffle »
     
    AVRIL 05, 2019 13:10 RANIERO CANTALAMESSAARCHIVES
     
     
    Qu’est-ce que « l’adoration » de Dieu, le premier commandement? 
     
    Le p. Raniero Cantalamessa, capucin, prédicateur de la Maison pontificale a consacré à ce thème sa méditation de carême, ce vendredi 5 avril 2019, en la chapelle « Redemptoris Mater » du Vatican en présence du pape François et de ses collaborateurs de la curie romaine.
    Et puis il répond que l’adoration c’est un don de Dieu à celui qui le prie: « C’est comme un éclair de lumière dans la nuit. Mais d’une lumière spéciale : pas tant la lumière de la vérité que la lumière de la réalité. C’est la perception de la grandeur, de la majesté, de la beauté et en même temps de la bonté de Dieu et de sa présence qui coupe le souffle. »
     
    Voici la traduction officielle en français de la méditation de carême du p. Cantalamessa.
    AB
    P. Raniero Cantalamessa, ofm cap
     
    « C’EST LE SEIGNEUR TON DIEU QUE TU ADORERAS »
     
    Quatrième prédication, Carême 2019
     
    Cette année marque le huitième centenaire de la rencontre de François d’Assise avec le sultan d’Égypte Malik al-Kâmil en 1219. Je le rappelle ici pour un détail qui touche au thème de nos méditations sur le Dieu vivant. De retour de son voyage en Orient, saint François écrit une lettre « Aux custodes des peuples ». Il y disait notamment :
    « À l’intention du peuple qui vous est confié, rendez au Seigneur ce témoignage de vénération : chaque soir faites proclamer par un crieur public, ou avertissez par quelque autre signal que tout le peuple ait à rendre louange et grâces au Seigneur Dieu tout puissant. Si vous ne faites pas tout cela, sachez que vous devrez rendre compte au jour du Jugement devant le Seigneur votre Dieu Jésus-Christ. »
    Il est largement admis que le saint a été inspiré pour cette exhortation par ce qu’il avait observé lors de son voyage en Orient, où il avait entendu l’appel à la prière du soir que lancent les muezzins du haut des minarets. Un bel exemple non seulement de dialogue entre les différentes religions, mais aussi d’enrichissement mutuel. Une missionnaire qui a travaillé pendant de nombreuses années dans un pays africain écrivait ces mots : « Nous sommes appelés à répondre à un besoin fondamental des hommes, au besoin profond de Dieu, à la soif d’Absolu, d’enseigner le chemin qui conduit vers Dieu, d’apprendre à prier. Voilà pourquoi, dans ce pays, les musulmans font tant de prosélytes : ils enseignent immédiatement et simplement, à adorer Dieu ».
    Nous, chrétiens, avons une image différente de Dieu – un Dieu qui est amour infini, avant même d’être puissance infinie – mais cela ne doit pas nous faire oublier le devoir primordial de l’adoration. A la provocation de la Samaritaine : « Nos pères ont adoré sur la montagne qui est là, et vous, les Juifs, vous dites que le lieu où il faut adorer est à Jérusalem », Jésus répond avec des mots qui sont la magna cartade l’adoration chrétienne :
    « Femme, crois-moi : l’heure vient où vous n’irez plus ni sur cette montagne ni à Jérusalem pour adorer le Père. Vous, vous adorez ce que vous ne connaissez pas ; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient des Juifs. Mais l’heure vient – et c’est maintenant – où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et vérité : tels sont les adorateurs que recherche le Père. Dieu est esprit, et ceux qui l’adorent, c’est en esprit et vérité qu’ils doivent l’adorer[1]. »
     
    C’est le Nouveau Testament qui a élevé le mot adoration à cette dignité qu’il n’avait pas auparavant. Dans l’Ancien Testament, outre Dieu, l’adoration s’adresse parfois à un ange[2] ou au roi[3] ; au contraire, dans le Nouveau Testament, chaque fois que l’on tente d’adorer quelqu’un d’autre que Dieu et la personne du Christ, fût-ce un ange, la réaction immédiate est : « Ne le faites pas ! On ne doit adorer que Dieu seul[4] ». Presque comme si nous courions, dans le cas contraire, un danger mortel. C’est ce que Jésus, dans le désert, rappelle d’un ton péremptoire au tentateur qui lui a demandé de l’adorer : « Il est écrit : C’est le Seigneur ton Dieu que tu adoreras, à lui seul tu rendras un culte[5] ».
    L’Église a accueilli cet enseignement, faisant de l’adoration l’acte par excellence du culte de latrie, distinct de celui dit de dulie réservé aux saints, et de celui dit d’hyperdulie réservé à la Vierge. L’adoration est donc le seul acte religieux qui ne puisse être offert à personne d’autre, dans tout l’univers – pas même à la Sainte Vierge – qu’à Dieu. C’est là sa dignité et sa force unique.
    Au début, l’adoration (proskunesis) indiquait le geste concret de se prosterner face contre terre devant quelqu’un, en signe de respect et de soumission. C’est dans ce sens propre que le mot est employé dans les évangiles et dans l’Apocalypse ; la seule personne devant qui on peut se prosterner sur la terre est Jésus-Christ, et dans la liturgie céleste l’Agneau immolé ou le Tout-Puissant. Ce n’est que dans le dialogue avec la Samaritaine et dans 1 Corinthiens 14, 25[6] qu’il semble désormais sorti de son sens extérieur et indique une disposition intérieure de l’âme envers Dieu. Cela deviendra de plus en plus le sens ordinaire du terme et, dans ce sens, dans le Credo, nous disons de l’Esprit Saint qu’avec le Père et le Fils, il reçoit « même adoration et même gloire ».
    Pour marquer l’attitude externe correspondant à l’adoration, nous préférons le geste de plier le genou, la génuflexion. Ce dernier geste aussi est réservé exclusivement à la divinité. Nous pouvons être à genoux devant l’image de la Vierge, mais nous ne faisons pas la génuflexion devant elle, comme nous le faisons devant le Saint-Sacrement ou le Crucifix.
     
    Que signifie adorer
     
    Mais, plus que le sens et le développement du terme, nous voulons savoir en quoi consiste l’adoration et comment nous pouvons la pratiquer. L’adoration peut être préparée par une longue réflexion, mais se termine par une intuition et, comme toute intuition, elle ne dure pas longtemps. C’est comme un éclair de lumière dans la nuit. Mais d’une lumière spéciale : pas tant la lumière de la vérité que la lumière de la réalité. C’est la perception de la grandeur, de la majesté, de la beauté et en même temps de la bonté de Dieu et de sa présence qui coupe le souffle. C’est une sorte de naufrage dans l’océan sans rivages et sans fond de la majesté de Dieu. Adorer, selon l’expression de sainte Angèle de Foligno que nous avons rappelée une fois, signifie « se recueillir en unité et s’immerger dans l’abîme infini de Dieu ».
    Le silence est une expression d’adoration, plus efficace que n’importe quelle parole. Il dit en soi que la réalité dépasse de beaucoup les mots. Dans la Bible, l’ordre résonne bien haut : « Silence devant lui, terre entière[7] ! » et : « Silence devant le Seigneur Dieu[8] ! » Quand « les sens sont enveloppés dans un silence immense et avec l’aide du silence, les souvenirs vieillissent », disait un Père du désert, alors, il ne reste plus qu’à adorer.
    Le geste de Job fut un geste d’adoration quand, s’étant retrouvé face à face avec le Tout-Puissant à la fin de son histoire, il s’écria : « Moi qui suis si peu de chose, que pourrais-je te répliquer ? Je mets la main sur ma bouche[9] ». En ce sens, le verset d’un psaume, repris plus tard dans la liturgie, disait dans le texte hébreu : « Pour toi, le silence est louange », Tibi silentium laus[10] ! Adorer – selon l’expression merveilleuse de saint Grégoire de Nazianze – signifie élever un « hymne de silence[11] » à Dieu. De la même manière qu’au fur et à mesure que l’on grimpe en haute montagne, l’air se fait plus rare, au fur et à mesure que l’on se rapproche de Dieu, la parole doit se faire plus courte, jusqu’à devenir à la fin complètement muette et s’unir en silence à celui qui est l’ineffable[12].
    Si l’on veut vraiment dire quelque chose pour « arrêter » l’esprit et l’empêcher de vagabonder sur d’autres objets, il convient de le faire avec le mot plus court qui existe : Amen, Oui. En fait, adorer, c’est consentir. C’est laisser Dieu être Dieu. C’est dire oui à Dieu comme Dieu et à soi-même comme créature de Dieu. En ce sens, Jésus est défini dans l’Apocalypse comme celui qui est l’Amen, le Oui fait personne[13]. Ou bien, on peut répéter sans cesse avec les séraphins : « Qadosh, Qadosh, Qadosh : Saint ! Saint ! Saint ! »
    Par conséquent, l’adoration exige que nous nous pliions et que nous nous taisions. Mais un tel acte est-il digne de l’homme ? Cela ne l’humilie-t-il pas, dérogeant à sa dignité ? Ou plutôt, est-ce vraiment digne de Dieu ? Quel est ce Dieu qui a besoin que ses créatures se prosternent à terre devant lui et se taisent ? Peut-être Dieu est-il comme l’un de ces souverains orientaux qui ont inventé l’adoration envers eux ? Inutile de le nier, l’adoration entraîne aussi pour les créatures une forme d’humiliation radicale, le fait de se faire petit, de se rendre et de se soumettre. L’adoration comporte toujours une dimension de sacrifice, le fait d’immoler quelque chose. C’est justement cela qui atteste que Dieu est Dieu et que rien ni personne n’a le droit d’exister devant lui, si ce n’est par sa grâce. Dans l’adoration on s’immole et on se sacrifie, on sacrifie sa gloire, son autosuffisance. Mais cette gloire est une gloire fausse et inconsistante, et c’est une libération pour l’homme que de s’en débarrasser.
    En adorant, on « libère la vérité qui était prisonnière de l’injustice »[14]. On devient « authentique » au sens le plus profond du terme. Dans l’adoration, on anticipe déjà le retour de toutes choses à Dieu, on s’abandonne au sens et au flux de l’être. Comme l’eau trouve sa paix en coulant vers la mer et l’oiseau sa joie en suivant le cours du vent, ainsi l’adorateur quand il adore. Adorer Dieu n’est donc pas tant un devoir, une obligation qu’un privilège, voire un besoin. L’homme a besoin de quelque chose de majestueux à aimer et à adorer ! Il est fait pour ça.
    Ce n’est donc pas Dieu qui a besoin d’être adoré, mais l’homme qui a besoin d’adorer. Une préface de la messe dit : « Tu n’as pas besoin de notre louange, et pourtant c’est toi qui nous inspires de te rendre grâce. Nos chants n’ajoutent rien à ce que tu es, mais ils nous rapprochent de toi, par le Christ, notre Seigneur[15]. » F. Nietzsche s’est complètement égaré lorsqu’il a défini le Dieu de la Bible comme « cet oriental avide d’honneurs, là-haut dans le ciel[16] ».
    Cependant, l’adoration doit être libre. Ce qui fait que l’adoration est digne de Dieu et en même temps digne de l’homme, c’est la liberté, au sens où on l’entend, non seulement négativement comme absence de contrainte, mais aussi positivement comme un élan joyeux, un don spontané de la créature qui exprime ainsi sa joie de ne pas être Dieu lui-même, pour avoir un Dieu au-dessus d’elle à adorer, admirer, célébrer.
     
    L’adoration eucharistique
     
    L’Église catholique connaît une forme particulière d’adoration qui est l’adoration eucharistique. Tout grand courant spirituel au sein du christianisme a eu son charisme particulier qui constitue sa contribution particulière à la richesse de toute l’Église. Pour les protestants, c’est le culte de la Parole de Dieu ; pour les orthodoxes, le culte des icônes ; pour l’Église catholique, c’est le culte eucharistique. À travers chacune de ces trois voies, on réalise le même objectif fondamental, à savoir la contemplation du Christ et de son mystère.
    Le culte et l’adoration de l’Eucharistie en dehors de la messe sont un fruit relativement récent dans la piété chrétienne. Il a commencé à se développer, en Occident, à partir du XIe siècle, en réaction à l’hérésie de Bérenger de Tours, qui niait la présence « réelle » et n’admettait qu’une présence symbolique de Jésus dans l’Eucharistie. A partir de cette date, cependant, il n’y a plus eu, si l’on peut dire, de saint dans la vie duquel on ne remarque l’influence décisive de la piété eucharistique. Elle a été la source d’immenses énergies spirituelles, une sorte de foyer toujours allumé au milieu de la maison de Dieu, auquel tous les grands fils de l’Église se sont réchauffés. Des générations et des générations de fidèles catholiques ont ressenti le frisson de la présence de Dieu en chantant l’hymne Adoro te devote devant le Saint-Sacrement exposé.
    Ce que je vais dire à propos de l’adoration et de la contemplation eucharistique s’applique presque autant à la contemplation de l’icône du Christ. La différence est que dans le premier cas il y a une présence réelle du Christ, dans le second une présence intentionnelle. Les deux sont basés sur la certitude que le Christ ressuscité est vivant et se rend présent dans les signes sacramentels et dans la foi.
    En étant calme et silencieux devant Jésus dans le Saint-Sacrement, ou devant son icône, on perçoit ses désirs à notre égard, on dépose ses plans pour faire place à ceux du Christ, la lumière de Dieu pénètre peu à peu dans le cœur et le guérit. Il se passe quelque chose qui rappelle ce que l’on voit sur les arbres au printemps, le processus de la photosynthèse. Les feuilles vertes émergent des branches ; elles absorbent certains éléments de l’atmosphère qui, sous l’action du soleil, se « fixent » et se transforment en aliment pour la plante. Sans ces feuilles vertes, la plante ne pourrait pas porter ses fruits, elle ne contribuerait pas non plus à régénérer l’oxygène que nous respirons.
    Nous devons être comme ces feuilles vertes ! Elles sont comme un symbole des âmes eucharistiques et des âmes contemplatives. En contemplant le « soleil de justice » qui est le Christ, elles « fixent » cette nourriture qu’est le Saint-Esprit, au profit de tout le grand arbre qu’est l’Église. En d’autres termes, c’est ce que dit également l’apôtre Paul quand il écrit : « Et nous tous qui n’avons pas de voile sur le visage, nous reflétons la gloire du Seigneur, et nous sommes transformés en son image avec une gloire de plus en plus grande, par l’action du Seigneur qui est Esprit[17] ».
     
    Un de nos poètes, Giuseppe Ungaretti, contemplant un matin le lever du soleil au bord de la mer, a écrit un poème composé de deux très courts vers, trois mots au total : « Je m’illumine d’immensité[18] ». Ce sont des mots que pourraient reprendre ceux qui adorent le Saint-Sacrement. Dieu seul sait combien de grâces cachées ont été déversées sur l’Église grâce à ces âmes adoratrices.
     
    L’adoration eucharistique est aussi une forme d’évangélisation, et des plus efficaces. De nombreuses paroisses et communautés qui l’ont établie dans leur programme quotidien ou hebdomadaire en font l’expérience directe. Voir des personnes qui, le soir ou la nuit, sont en adoration silencieuse devant le Saint-Sacrement dans une église éclairée a poussé de nombreux passants à entrer et, après s’être arrêtés un instant, à s’exclamer : « Dieu est ici ! » Tout comme il est écrit que cela se passait dans les premières assemblées de chrétiens[19].
    La contemplation chrétienne n’est jamais à sens unique. Elle ne consiste pas – comme on dit – à se regarder le nombril, à la recherche de son moi profond. Elle consiste toujours en deux regards qui se croisent. Ce paysan de la paroisse d’Ars pratiquait donc une excellente contemplation eucharistique, lui qui, interrogé par le Saint Curé sur ce qu’il faisait ainsi tout le temps à l’église, répondit : « Monsieur le curé, je ne lui dis rien, je l’avise et il m’avise. » Je le regarde et il me regarde.
    Si parfois notre regard baisse et s’évanouit, celui de Dieu, lui, ne s’évanouit jamais. La contemplation eucharistique se réduit parfois à tenir simplement compagnie à Jésus, à se placer sous son regard, en lui donnant aussi la joie de nous contempler, nous qui, bien que créatures de rien du tout et pécheurs, sommes cependant le fruit de sa Passion, ceux pour qui il a donné sa vie. Nous accueillons l’invitation que Jésus a adressée à ses disciples à Gethsémani : « Restez ici et veillez avec moi[20] ». 
    La contemplation eucharistique n’est donc pas entravée, en elle-même, par la sécheresse que l’on peut parfois vivre, que ce soit en raison de notre dissipation ou au contraire qu’elle soit permise par Dieu pour notre purification. Il suffit d’y donner un sens, allant même jusqu’à renoncer à notre satisfaction intérieure, pour le rendre heureux et dire, à la suite de Charles de Foucauld : « Votre bonheur, Jésus, me suffit ! » ; c’est-à-dire qu’il me suffit que tu sois heureux. Jésus a toute l’éternité pour nous rendre heureux ; nous n’avons, nous, que ce court espace de temps pour le rendre heureux : comment se résigner à perdre cette opportunité qui ne reviendra jamais dans l’éternité ?
    En contemplant Jésus dans le sacrement de l’autel, nous réalisons la prophétie faite au moment de la mort de Jésus sur la croix : « Ils lèveront les yeux vers celui qu’ils ont transpercé[21] ». De plus, cette contemplation est elle-même une prophétie, car elle anticipe ce que nous ferons pour toujours dans la Jérusalem céleste. C’est l’activité la plus eschatologique et prophétique que l’on puisse accomplir dans l’Église. À la fin, on n’immolera plus l’Agneau et on ne mangera plus sa chair. C’est-à-dire que la consécration et la communion cesseront ; mais la contemplation de l’Agneau immolé pour nous ne cessera pas. C’est ce que les saints font au ciel[22]. Lorsque nous sommes devant le tabernacle, nous formons déjà un seul chœur avec l’Église d’en-haut : ils se tiennent devant, et nous, pour ainsi dire, derrière l’autel ; ils sont dans la vision, nous dans la foi.
     
    En 1967, a commencé le Renouveau charismatique catholique qui en cinquante ans a touché et renouvelé des millions de croyants et suscité d’innombrables nouvelles réalités, personnelles et communautaires dans l’Eglise.
    On n’insistera jamais assez sur le fait que ce n’est pas un mouvement ecclésial, dans le sens courant du terme ; c’est un courant de grâce destiné à toute l’Église, une « injection de Saint-Esprit » dont elle a désespérément besoin. C’est comme un choc électrique destiné à se décharger sur la masse que constitue l’Église et, une fois que cela s’est produit, à disparaître.
    J’en fais mention ici parce que cette réalité a commencé précisément avec une forte expérience d’adoration du Dieu vivant qui a été le sujet de notre méditation. Le groupe d’étudiants de l’Université Duquesne de Pittsburgh qui participait à la première retraite charismatique s’est retrouvé un soir dans la chapelle devant le Saint-Sacrement, lorsqu’un événement singulier s’est produit, qu’une des personnes présentes décrit ainsi plus tard :
    « La crainte du Seigneur a commencé à couler parmi nous ; une sorte de terreur sacrée nous a empêché de lever les yeux. Il était personnellement présent et nous craignions de ne pas pouvoir résister à son amour immense. Nous l’avons adoré, découvrant pour la première fois ce que voulait dire adorer. Nous avons fait l’expérience brûlante de la terrible réalité et de la présence du Seigneur. Depuis lors, nous avons compris avec une clarté nouvelle et directe les images du Seigneur qui, sur le mont Sinaï, gronde et explose avec le feu de son être même ; nous avons compris l’expérience d’Isaïe et l’affirmation selon laquelle notre Dieu est un feu dévorant. Cette crainte sacrée était en quelque sorte la même chose que l’amour, ou du moins le ressentions-nous ainsi. C’était quelque chose d’extrêmement aimable et beau, même si aucun d’entre nous n’a vu d’image sensible. C’était comme si la réalité personnelle de Dieu, splendide et éblouissante, était entrée dans la pièce en remplissait le lieu ainsi que nous tous[23]. »
    Présence simultanée de majesté et de bonté en Dieu, de peur et d’amour dans la créature ; le « mystère terrible et fascinant », comme le définissent les spécialistes des religions. La personne qui a décrit en ces termes l’expérience de ce moment-là ne savait pas qu’elle était en train de faire une synthèse parfaite des traits qui caractérisent le Dieu vivant de la Bible.
    Terminons ave un verset du Psaume 95, avec lequel la Liturgie des Heures nous fait commencer, dans l’invitatoire, chaque nouvelle journée :
     
    « Venez, prosternons-nous et adorons,
    Fléchissons le genou devant le Seigneur notre Créateur,
    Car il est notre Dieu, et nous sommes le peuple de son pâturage,
    Le troupeau que sa main conduit ».
     
     
     
     
     
     
     
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    Traduit de l’Italien par Cathy Brenti de la Communauté des Béatitudes
    [1] Jn 4, 21-24.
    [2] Cf. Nb 22, 31.
    [3] 1 Sm 24, 9.
    [4] Cf. Ap 19, 10 ; 22, 9 ; At 10, 25-26 ; 14, 13s.
    [5] Mt 4, 10.
    [6] « Il tombera face contre terre pour se prosterner devant Dieu ».
    [7] Ha 2, 20.
    [8] So 1, 7.
    [9] Jb 40, 4.
    [10] Cf. Ps 65, 2, texte Massorétique.
    [11] Saint Grégoire de Nazianze, Carmi, 29.
    [12] Ps-Denys l’Aéropagite, Théologie mystique, 3.
    [13] Cf. Ap 3, 14.
    [14] Cf. Rom 1, 18.
    [15] Missel Romain, Préface commune IV.
    [16] Friederich Nietzsche, Le gai savoir, n°135.
    [17] 2 Co 3, 18.
    [18] Giuseppe Ungaretti, Vie d’un homme, poésies 1914, 1970, Gallimard, 1981.
    [19] Cf. 1 Co 14, 25.
    [20] Mt 26, 38.
    [21] Jn 19, 37.
    [22] Cf. Ap 5, 1s.
    [23] Dans Patti Gallagher Mansfield, As by a New Pentecost. Beginning of the Catholic Charismatic Renewal, Amor Deus Publishing, Phoenix, AZ, 2016, p. 131.
     
    AVRIL 05, 2019 13:10ARCHIVES

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