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    Michael Row Your Boat Ashore HawleyluYah

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    Message par Invité Dim 24 Avr 2016 - 15:16


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    Message par Invité Dim 24 Avr 2016 - 15:47

    Allelluia ! Michel. Bon et Saint Dimanche.




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    Message par Invité Dim 24 Avr 2016 - 19:58

    Merci beaucoup LUMEN blue !

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    Michael Row Your Boat Ashore   HawleyluYah Empty Re: Michael Row Your Boat Ashore HawleyluYah

    Message par Invité Lun 25 Avr 2016 - 11:04

    amen



    J'ai édité pour préciser que mon "Michael" s'appelle "Joune" (surnom) et que cela fait trentre un ans que je prie, pas forcément pour son retour, mais du moins pour sa Conversion et rédemption. Je prie le Seigneur Miséricordieux, le Dieu plein de tendresse et lent à la colère de nous prendre en pitié.
    J'ai eu la chance de rencontrer un merveilleux prêtre qui a eu le courage de me tendre la Sainte Bible ouverte sur l'évangile de Saint Marc (dont c'est la fête aujourd'hui, comme cette autrefois à laquelle je fais référence)  à propos du "divorce" :



    Genèse 2, 18-24 ;

    2.18
    L'Éternel Dieu dit: Il n'est pas bon que l'homme soit seul; je lui ferai une aide semblable à lui.
    2.19
    L'Éternel Dieu forma de la terre tous les animaux des champs et tous les oiseaux du ciel, et il les fit venir vers l'homme, pour voir comment il les appellerait, et afin que tout être vivant portât le nom que lui donnerait l'homme.
    2.20
    Et l'homme donna des noms à tout le bétail, aux oiseaux du ciel et à tous les animaux des champs; mais, pour l'homme, il ne trouva point d'aide semblable à lui.
    2.21
    Alors l'Éternel Dieu fit tomber un profond sommeil sur l'homme, qui s'endormit; il prit une de ses côtes, et referma la chair à sa place.
    2.22
    L'Éternel Dieu forma une femme de la côte qu'il avait prise de l'homme, et il l'amena vers l'homme.
    2.23
    Et l'homme dit: Voici cette fois celle qui est os de mes os et chair de ma chair! on l'appellera femme, parce qu'elle a été prise de l'homme.
    2.24
    C'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair.

    Hébreux 2, 9-11 :

    2.9
    Mais celui qui a été abaissé pour un peu de temps au-dessous des anges, Jésus, nous le voyons couronné de gloire et d'honneur à cause de la mort qu'il a soufferte, afin que, par la grâce de Dieu, il souffrît la mort pour tous.
    2.10
    Il convenait, en effet, que celui pour qui et par qui sont toutes choses, et qui voulait conduire à la gloire beaucoup de fils, élevât à la perfection par les souffrances le Prince de leur salut.
    2.11
    Car celui qui sanctifie et ceux qui sont sanctifiés sont tous issus d'un seul. C'est pourquoi il n'a pas honte de les appeler frères,



    Marc 10, 2-16

    10.2
    Les pharisiens l'abordèrent; et, pour l'éprouver, ils lui demandèrent s'il est permis à un homme de répudiée sa femme.
    10.3
    Il leur répondit: Que vous a prescrit Moïse?
    10.4
    Moïse, dirent-ils, a permis d'écrire une lettre de divorce et de répudier.
    10.5
    Et Jésus leur dit: C'est à cause de la dureté de votre coeur que Moïse vous a donné ce précepte.
    10.6
    Mais au commencement de la création, Dieu fit l'homme et la femme;
    10.7
    c'est pourquoi l'homme quittera son père et sa mère, et s'attachera à sa femme,
    10.8
    et les deux deviendront une seule chair. Ainsi ils ne sont plus deux, mais ils sont une seule chair.
    10.9
    Que l'homme donc ne sépare pas ce que Dieu a joint.
    10.10
    Lorsqu'ils furent dans la maison, les disciples l'interrogèrent encore là-dessus.
    10.11
    Il leur dit: Celui qui répudie sa femme et qui en épouse une autre, commet un adultère à son égard;
    10.12
    et si une femme quitte son mari et en épouse un autre, elle commet un adultère.
    10.13
    On lui amena des petits enfants, afin qu'il les touchât. Mais les disciples reprirent ceux qui les amenaient.
    10.14
    Jésus, voyant cela, fut indigné, et leur dit: Laissez venir à moi les petits enfants, et ne les en empêchez pas; car le royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent.
    10.15
    Je vous le dis en vérité, quiconque ne recevra pas le royaume de Dieu comme un petit enfant n'y entrera point.
    10.16
    Puis il les prit dans ses bras, et les bénit, en leur imposant les mains.


     Voici l' homélie qui m'a convaincue de tenir bon malgré ma famille, mes amis qui m'encourageaient à passer outre, car après tout "j'étais une victime";
    Cependant je me sens toujours responsable du lien contracté devant Dieu et le devoir de respecter la parole donnée même si aux yeux de tout le monde cela semble absurde et dérisoire, voire même ridicule. Le ridicule ne tue pas et cela m'a rendue plus forte au fil du temps qui passe inexorablement. Je crois en cette grâce de la prière :



    Vous savez, frères et soeurs aujourd'hui c'est la fête de l'Evangéliste Saint MARC....

    Je voudrais donc aujourd'hui aborder de plein front le problème grave dont il est question dans ce passage de l'évangile (que j'ai rendu différent ici) , celui de l'indissolubilité du mariage, c'est-à-dire le fait qu'un homme et une femme qui se sont mariés devant Dieu, ne peuvent pas en cas d'échec de leur amour, se quitter pour recommencer avec un autre un nouveau mariage. Cette loi de l'indissolubilité du mariage chrétien est une terrible difficulté pour beaucoup d'hommes et de femmes et pour beaucoup d'entre nous qui ont vécu, dans leur vie conjugale, un drame, une rupture, l'échec de leur amour. Et l'on est quelquefois tenté de considérer que l'Église est bien inhumaine, bien sévère, qu'elle manque finalement de bon sens en édictant des règles aussi impératives et qui tiennent si peu compte de ce qu'est l'existence humaine avec ses fragilités, ses faiblesses et ses erreurs.

    Je voudrais d'abord, dans un premier temps, vous dire qu'il ne s'agit pas là d'une règle morale qui s'imposerait simplement comme une sorte d'arbitraire. La page d'évangile que nous venons d'entendre nous le montre à l'évidence : l'Église n'a pas inventé l’indissolubilité du mariage, elle se contente d'être fidèle à la parole claire et évidente du Seigneur Jésus, qui vient de nous dire : "que l'homme ne sépare pas ce que Dieu a uni" et encore "celui qui répudie sa femme ou la femme qui répudie son mari pour en épouser une autre ou un autre commet l'adultère envers son pre­mier conjoint". C'est donc très clairement la parole même du Christ.

    Mais le Christ lui-même ne nous propose pas cette parole comme une idée nouvelle qui lui serait passée par la tête, comme une décision arbitraire qu'Il nous imposerait. Le Christ se réfère explicitement à la création. La raison pour laquelle le mariage est indissoluble, ce n'est pas parce qu'on veut rendre les choses plus difficiles ou parce qu'il faut tenir ses troupes en mains ou parce que si on commence à ouvrir la porte on ne sait pas ce qui se passera. La raison pour laquelle le mariage est indissoluble n'est pas une raison simplement disciplinaire et morale, c'est une raison de foi, une raison dogmatique, c'est parce que c'est le mystère même de la création et, nous allons le voir, le mystère de Dieu qui est en jeu.

    Le mystère de la création d'abord : "Au commencement, à la création, dit Jésus, Dieu les fit homme et femme, et l'homme quittera et son père et sa mère pour ne faire qu'une seule chair avec celle qu'il épouse. Au commencement, à la création", cela veut dire : dans la nature profonde des choses, dans la nature profonde du cœur humain, tel qu'il a été créé, tel qu'il est fait. Proposer un ménage pour toujours, proposer l'union d'un homme et d'une femme qui ne connaît pas de retour en arrière, c'est apparemment une folie, mais c'est en réalité le désir profond du cœur de l'homme. Et je peux vous dire par mon expérience de personne ayant fait partie d'une équipe paroissiale que les jeunes qui viennent demander le mariage le veulent toujours indissoluble. Bien sûr ils ne sont pas plus malins que les autres, bien sûr dans dix ans peut-être ils ne seront plus capables de faire vivre encore leur mariage, peut-être divorceront-ils, mais leur désir au moment où leur amour est né et a grandi et a voulu se proclamer, c'était que cet amour soit pour toujours. Bien entendu, certains autres ne choisissent pas la voie du mariage, c'est un autre problème. Mais ceux qui veulent se marier le veulent pour toujours. Et c'est le fait non seulement de jeunes chrétiens, mais comme il nous arrive d'en rencontrer aussi, de jeunes qui ne sont pas nécessairement chrétiens, mais qui, dans le jaillissement intérieur de leur vie personnelle, de leur conviction, désirent que leur amour soit un amour pour toujours, non pas un amour à l'essai, non pas un amour pour un temps, non pas. On va voir si ça marche et sinon, on reprendra ses billes, mais un amour vrai, total, un vrai don. C'est cela que Jésus veut dire en se référant à la création, Il veut dire qu'il s'agit là non pas d'une idée abstraite, d'un commandement que Dieu avait imposé à l'homme contre la nature de celui-ci et le désir de son cœur. Il s'agit de ce qui est inscrit dans le plus profond du cœur de l'homme tel qu'il est.

    Mais il y a plus dans cette référence de Jésus à la création, il y a non seulement une référence à la nature humaine telle qu'elle a été créée, au désir fondamental et profond du cœur de l'homme, mais aussi une référence à la pensée de Dieu, au dessein de Dieu "ce que Dieu a uni, que l'homme ne le sépare pas". Et qu'est-ce que Dieu a voulu ? Lisons donc le texte de la Genèse qui nous raconte la création de l'homme et de la femme. Vous le savez peut-être, il y a dans la Bible deux récits de la création celui dont vous avez entendu un passage tout à l'heure : "L'homme quittera son père et sa mère et il s'attachera à sa femme, et tous deux ne seront qu'une seule chair," c'est-à-dire qu'un seul être vivant, une seule personne, tellement profondément unis que leurs cœurs n'en feront plus qu'un, et leurs corps aussi, et leurs vies n'en feront plus qu'une. Et il y a un autre récit, qui précède celui-ci et qui nous dit : "Dieu créa l'homme à son image, à l'image de Dieu Il le créa, homme et femme Il les créa". C'est dire qu'en créant l'homme et la femme l'un pour l'autre, l'homme et la femme dans la communion de leurs cœurs, de leurs corps, de leurs vies, Dieu fait de l'homme et de la femme l'image même de son propre mystère. Vous voyez qu'il y va beaucoup plus que d'une question de morale. L'amour de l'homme et de la femme est la révélation, c'est ça que veut dire le mot "image", ne le prenons pas en un sens superficiel, une image plus ou moins approchée et inadéquate. Quand la Bible parle d'image, elle prend le mot au sens fort, elle le prend au sérieux. On dit que Jésus, le Fils, est l'image du Père, c'est dire que cette image est une image parfaite, parfaitement révélatrice de ce dont elle est l'image. Eh bien de même que Jésus, le Fils, est l'image du Père, de la même manière, l'homme et la femme dans leur communion sont l'image du mystère de Dieu, sont l'image de cet amour infini qui unit précisément le Père, le Fils et le Saint-Esprit. L'amour humain n'est pas simplement un sentiment, l'amour humain n'est pas simplement un besoin, quelque chose qui nous prend et puis qui nous laisse, l'amour humain est une participation et une révélation du mystère le plus secret de Dieu, celui de son amour éternel. C'est l'amour éternel qui unit le Père, le Fils et le Saint-Esprit qui rejaillit dans notre cœur et qui nous rend capables de nous aimer les uns les autres. Et parmi toutes les formes d'amour qui traversent l'humanité, qui nous rend capables de cet amour suréminent qui est l'amour conjugal, celui de l'homme et de la femme qui unissent non seulement leurs cœurs et leurs sentiments, mais même leur chair et toute leur vie.

    Donc si Dieu a créé l'être humain homme et femme, homme et femme pour être unis, homme et femme pour être en communion, homme et femme pour s'aimer, c'est afin que cet amour soit participation, révélation, image, émerveillement devant l'amour de Dieu. Vous le comprenez, frères et sœurs, si l'Église vous parle d'indissolubilité, ce n'est pas pour vous rendre les choses plus difficiles, c'est pour vous conduire jusqu'à cette profondeur de ce qu'est le cœur humain nous sommes capables de nous aimer comme Dieu aime. C'est l'amour même de Dieu qui est répandu dans nos cœurs.

    Alors je sais bien, c'est tout à fait difficile, c'est tout à fait au-dessus de nos forces, bien sûr Dieu nous demande trop, nous n'en sommes pas capables. Comment un époux et sa femme peuvent-ils être l'image de l'amour du Père et du Fils ? Et vous me dites : "eh bien ! vous déraisonnez, l'Église déraisonne, Jésus déraisonne, Il nous demande des choses bien trop difficiles, trop compliquées".

    Alors faut-il, croyez-vous, rabaisser notre idéal sous prétexte que nous sommes de pauvres gens ? Est-ce qu'il faut que nous acceptions de marcher à quatre pattes sous prétexte que nous ne savons pas nous tenir debout ? Est-ce qu'il faut que nous nous contentions de petits riens, de petites joies à la petite semaine sous prétexte que nous ne nous sentons pas toujours capables d'accéder à la grandeur de notre destinée ou à la grandeur de l'appel qui nous est adressé ? Non, frères et sœurs, vous le comprenez bien, nous ne pouvons pas réduire l'homme à la mesure de notre pauvreté, à la mesure de notre fragilité et de notre faiblesse. Nous devons garder les yeux ouverts sur cette grandeur de l'homme, sur cette grandeur du dessein de Dieu, de l'appel de Dieu. Oui, Dieu nous appelle à des choses extraordinaires qui dépassent nos forces, c'est vrai. Mais c'est cela notre grandeur. Il faut nous mettre debout et essayer d'aller le plus loin possible dans le sens de ce que Dieu nous demande. Seulement Dieu nous connaît et Dieu sait que nous sommes pauvres et fragiles et faibles.

    Et là, je pense qu'il y a quelque chose qu'on ne dit pas assez. Et ce sera le deuxième point de mon propos. Ce qu'on ne dit pas assez, c'est que si les lois sont faites pour attirer notre regard vers en haut, pour structurer en grandeur notre humanité, notre société, car il faut que notre société chrétienne, notre Église soit fondée sur cette grandeur de l'amour, il faut qu'elle soit fondée sur cette inviolabilité de l'amour, sur cette indissolubilité de l'amour, c'est indispensable. Nous ne pouvons pas fonder une société en disant : "Si ça marche, ça va et si ça marche pas, on laisse tomber". Nous voyons bien ce que ça peut donner comme résultat : la déliquescence, il n'y a plus de famille, il n'y a plus de règle, chacun fait ce qu'il veut, et finalement tout le monde est malheureux. On ne peut pas fonder une société sur le constat de notre faiblesse. On ne peut la fonder, et encore si cette so­ciété est celle de la famille de Dieu, des enfants de Dieu, l'Église, on ne peut fonder cette société que sur l'idéal fort, puissant, capable de donner dynamisme à cette société pour la faire marcher en avant.

    Seulement entre ces lois qui sont indispensa­bles pour structurer et pour faire vivre en grandeur notre société, entre ces lois et puis la vie concrète de chacun de nous, il y a toute cette faiblesse, cette fra­gilité et le regard infiniment miséricordieux de Dieu sur notre faiblesse et notre fragilité. C'est cela qu'on ne dit pas assez : Dieu nous connaît, Dieu sait notre pauvreté, Dieu aime les pauvres que nous sommes, Dieu aime les pécheurs que nous sommes, Dieu nous aime avec une infinie miséricorde, avec une infinie tendresse, avec une très grande proximité. Dieu n'est pas là comme un juge qui brandirait des lois et qui nous punirait parce que nous ne sommes pas capables de les pratiquer. Il sait bien que ce qu'Il nous a pro­posé est très grand et très loin au-dessus de nos forces, Il le sait, Dieu, et Il comprend que nous sommes pauvres et que nous ne savons pas toujours arriver au bout de son appel. Alors Dieu regarde chacun de nous dans l'unicité de cette relation de tendresse qu'Il a avec chacun de nous. Avec chacun de nous, Dieu a une relation d'amour, une relation de miséricorde. Et cette relation est différente avec chacun. Et cette relation, elle est fondée certes sur l'idéal que Dieu veut pour nous, sur la loi qu'il nous propose, sur ce vers quoi Il veut nous entraîner. Mais également, cette relation est fondée sur l'échange permanent, quotidien entre Dieu et nous. Et quels que soient nos malheurs, quels que soient nos échecs, quelles que soient nos faiblesses, quelles que soient les difficultés dans lesquelles nous sommes engagés, peut-être sans que ce soit notre faute ou peut-être parce que c'est notre faute, et c'est toujours un peu notre faute, il est trop facile de dire que c'est l'autre qui a tort et que, moi, je suis complètement innocent. Nous avons toujours tort, les uns et les autres, quels que soient ces échecs, Dieu est avec nous, Dieu est près de nous, Dieu n'abandonne aucun de ses enfants.

    Et nous ne pouvons parler du divorce, nous ne pouvons parler de ceux qui ont connu cet échec, nous ne pouvons parler des divorcés remariés qu'à partir de ce regard de la miséricorde de Dieu. Là, il n'y a pas de loi à édicter, il n'y a pas de généralités à dire. Et ceux d'entre nous qui se permettent au nom de la loi de juger leurs frères sont des pharisiens parce qu'ils ne savent pas ce qu'est le regard de Dieu. Le regard de Dieu ne se limite pas à la loi qu'Il nous donne, Il va jusqu'au tréfonds de notre cœur et jusqu'au moindre détail de notre vie. Et tout cela Dieu l'habite de sa bonté et de sa tendresse, de sa miséricorde. C'est indispensable à comprendre, frères et sœurs, sans quoi nous ne sommes pas chrétiens.

    Etre chrétien, c'est garder devant les yeux cet idéal, grand, immense, sans en rien retirer et sans vouloir le rabaisser à notre niveau. Mais c'est en même temps se savoir pauvre et se savoir aimé de Dieu dans notre pauvreté, nous et nos frères qui sont autour de nous. Et par conséquent savoir humblement nous réjouir avec eux, dans leur misère, dans leur pauvreté, dans leurs déboires et dans les nôtres, nous réjouir de ce que Dieu est assez bon pour être proche de chacun, pour nous comprendre et nous accompagner quels que soient nos malheurs et nos pauvretés et, à travers tout cela, nous conduire vers lui par ce chemin qu'Il trace et parcourt avec nous et qui est différent pour chacun, mais qui est toujours le chemin de son amour.



    Restons unis à notre Saint Père et dans l'Eglise, car selon les Paroles de Notre Seigneur et le songe de Don Bosco c'est par notre Foi en Elle et aux trois Blancheurs que notre Humanité aussi faible soit-elle sera sauvée.


    :alleluia:

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