Bonjour, je tenais par ce message à exprimer ma reconnaissance à Dieu pour le chemin qu'il m'a déjà donné à parcourir de ma naissance à aujourd'hui ! La première fois que je me suis intéressé au Père a été au catéchisme à partir de douze ans, au début ce fut plus par obligation qu'autre chose mais par la suite j'y prenais goût.
Au bout de deux ans de ce "traitement intensif", je me suis posé des questions quant à mon avenir : rester simple humain si je puis dire à vivre une simple existence ou servir mes semblables ? La deuxième solution est celle qui m'attirait le plus. Je ressentais un appel, une vocation... j'avais l'intention d'entrer dans les ordres mais pour mes parents il leur était hors de question de me payer des cours dans un séminaire. Je voulais avoir une chance de rester "pur", ne pas connaître certaines addictions comme la drogue ou l'alcool. A trop chercher à les éviter, j'ai plongé dedans à partir de seize ans. C'est à cet âge que j'ai commencé à boire en cachette bien sûr, la drogue à fait son apparition plus tard vers 19 ans (en fait quand j'ai eu mon premier appartement) !
La déception de voir s'éloigner cette possibilité de devenir moine fut cruelle, donc à quatorze ans je suis entré "en guerre" avec Dieu. Bien décidé à ne plus jamais entendre parler de lui, dès que j'entendais la moindre allusion au Seigneur je me murais dans le silence, je détournais le regard des gens qui croyaient. J'ai connu l'univers de la psychiatrie dès mon adolescence où je rencontrais régulièrement un psychologue, à 19 ans j'ai vécu mon premier internement suivi d'une formule plus légère qu'on appelle hôpital de jour. C'est au plus fort de la dépression que Dieu s'est de nouveau présenté à moi et que j'ai fait la paix avec lui, grâce à cette foi retrouvée je sorti de cet engrenage médical.
La dépression rôde toujours surtout en ce moment je suis dans une très mauvaise passe, l'alcoolisme j'ai un pied dedans, la drogue je ne peux pas encore dire que je suis sevré totalement mais tout cela guérit doucement. J'ai retouvé un ami en la personne du Seigneur et je confirme qu'il supporte vraiment beaucoup de choses, Dieu est patient et lent à la colère. Alléluïa !
Au bout de deux ans de ce "traitement intensif", je me suis posé des questions quant à mon avenir : rester simple humain si je puis dire à vivre une simple existence ou servir mes semblables ? La deuxième solution est celle qui m'attirait le plus. Je ressentais un appel, une vocation... j'avais l'intention d'entrer dans les ordres mais pour mes parents il leur était hors de question de me payer des cours dans un séminaire. Je voulais avoir une chance de rester "pur", ne pas connaître certaines addictions comme la drogue ou l'alcool. A trop chercher à les éviter, j'ai plongé dedans à partir de seize ans. C'est à cet âge que j'ai commencé à boire en cachette bien sûr, la drogue à fait son apparition plus tard vers 19 ans (en fait quand j'ai eu mon premier appartement) !
La déception de voir s'éloigner cette possibilité de devenir moine fut cruelle, donc à quatorze ans je suis entré "en guerre" avec Dieu. Bien décidé à ne plus jamais entendre parler de lui, dès que j'entendais la moindre allusion au Seigneur je me murais dans le silence, je détournais le regard des gens qui croyaient. J'ai connu l'univers de la psychiatrie dès mon adolescence où je rencontrais régulièrement un psychologue, à 19 ans j'ai vécu mon premier internement suivi d'une formule plus légère qu'on appelle hôpital de jour. C'est au plus fort de la dépression que Dieu s'est de nouveau présenté à moi et que j'ai fait la paix avec lui, grâce à cette foi retrouvée je sorti de cet engrenage médical.
La dépression rôde toujours surtout en ce moment je suis dans une très mauvaise passe, l'alcoolisme j'ai un pied dedans, la drogue je ne peux pas encore dire que je suis sevré totalement mais tout cela guérit doucement. J'ai retouvé un ami en la personne du Seigneur et je confirme qu'il supporte vraiment beaucoup de choses, Dieu est patient et lent à la colère. Alléluïa !