http://www.invitation-a-la-vie.org/
Fondée en 1983, l’association Invitation à la Vie (IVI) a pour mission d’accueillir, d’écouter et d’harmoniser les personnes qui le souhaitent dans ses centres, en France et à travers le monde.
Ces centres sont ouverts à tous ceux qui le désirent : personnes de tous âges, de toutes cultures et de toutes confessions religieuses.
Si elles en font la demande, les personnes qui ont été accueillies peuvent ensuite approfondir la démarche de transformation individuelle proposée par Invitation à la Vie. Pour trouver un meilleur équilibre de vie, IVI offre la possibilité à chacun de recentrer son existence sur une valeur universelle christique : l’amour.
Voici un témoignage concernant un passage dans un de ces centres :
Témoignage > Dépression
Accepter d’aimer la vie avant de la comprendre
Très sensible, plein d’idéal et avide de trouver des explications à la marche du monde, Victor a traversé de graves dépressions avant de trouver en lui-même le secret de son équilibre et savourer une paix intérieure : pas besoin d’actions héroïques ni spectaculaires pour vivre heureux, il suffit de nourrir d’amour chaque instant.
Fils unique d’une famille berrichonne, mon enfance s’est déroulée apparemment de façon paisible, auprès d’une mère qui ne m’a pas privé d’affection mais plutôt oppressé et couvé sous un débordement d’amour. Trop sensible et avide d’absolu, je souffrais d’un excès d’idéalisme à chaque instant démenti par la réalité, de plus en plus décalée par rapport à mon monde intérieur.
A la fin de mes études supérieures, j’ai été terrassé par une dépression nerveuse, guérie temporairement par thérapie et médicaments. Je me suis mis à travailler dans un bon job mais sous cette apparente réussite sociale la faille était toujours là, ce décalage intolérable entre idéal et réalité, qui a provoqué une deuxième dépression à l’âge de trente ans. Après cet autre choc, je ne pouvais plus me passer de calmants. J’en ai pris sans arrêt, les plaçant dans les poches de ma veste, ma voiture, mes pardessus, mes tiroirs de bureau… trop effrayé à l’idée d’en manquer. J’étais dans une situation de dépendance totale.
Mon besoin d’absolu s’est transformé
J’ai été suivi par un médecin qui a pris le temps de m’écouter et m’a aidé à diminuer les doses de calmants. Mais il restait en moi un malheur profond qui s’est dissous au fil des années, depuis mon entrée à IVI, en février 1984. J’avais toujours cherché ardemment et sans succès une explication à la vie, au monde…
Je l’ai trouvée à travers les paroles d’Yvonne Trubert, fondatrice d’Invitation à la Vie. Son message a éclairé les zones d’ombre enfouies au plus profond de mon être. J’ai ressenti l’évidence de la présence de Dieu, la continuité de l’amour humain à l’amour divin qui peut s’exprimer à chaque instant à travers les petits moments du quotidien. Mon besoin d’absolu étant comblé, cette reconstruction a contribué à me rendre la santé.
J’ai été conduit à casser mon idéalisme tout en conservant des repères d’idéal.
Le mauvais idéal est l’idéalisme qui méprise le quotidien, la société. A force de mépris, on s’éloigne de tout contentement.
Dieu est discret, présent dans le silence, dans les grandes comme les petites choses. J’ai trouvé l’unité, la cohérence avec mon monde intérieur et la stabilité, par instants, d’une indicible paix.
La modification de ma façon de penser a beaucoup amélioré ma santé
Je me suis marié en 1989. Ma mère n’avait pas favorisé mes relations avec les femmes mais mon hostilité à leur égard est tombée.
Mon groupe de prière m’a beaucoup aidé : c’est essentiellement un groupe de femmes, je suis le seul homme ! Progressivement j’y ai découvert des amitiés pas du tout évidentes au départ. Dieu nous propose son amour au fond de nos plus grandes incompréhensions et de nos plus grands manquements.
J’ai fini par accepter cette sensibilité trop grande qui me rend vulnérable. C’est un trait de caractère, un peu comme les yeux marron ou verts…
Grâce à la dynamique de prières qui m’entoure je vis une situation privilégiée mais non acquise sur le plan de l’équilibre et de l’harmonie intérieure.
IVI n’est pas une assurance tous risques ni tout confort, c’est une aventure très exigeante. La modification de ma façon de penser a beaucoup amélioré ma santé. Cette transformation intérieure a connu des phases très fortes et très rapides et des étapes plus lourdes, plus longues, surtout les trois premières années, ponctuées de retours en arrière.
La transformation est permanente puis arrive le stade où l’on y voit plus clair, on a déblayé l’essentiel de ses problèmes ; il faut prendre son bâton de pèlerin, aller droit devant soi et quitter les terres d’introspection qui n’ont plus beaucoup d’importance… Alors s’éclaire le sens des paroles du Christ : « Prends ta vie et suis-moi. »
Fondée en 1983, l’association Invitation à la Vie (IVI) a pour mission d’accueillir, d’écouter et d’harmoniser les personnes qui le souhaitent dans ses centres, en France et à travers le monde.
Ces centres sont ouverts à tous ceux qui le désirent : personnes de tous âges, de toutes cultures et de toutes confessions religieuses.
Si elles en font la demande, les personnes qui ont été accueillies peuvent ensuite approfondir la démarche de transformation individuelle proposée par Invitation à la Vie. Pour trouver un meilleur équilibre de vie, IVI offre la possibilité à chacun de recentrer son existence sur une valeur universelle christique : l’amour.
Voici un témoignage concernant un passage dans un de ces centres :
Témoignage > Dépression
Accepter d’aimer la vie avant de la comprendre
Très sensible, plein d’idéal et avide de trouver des explications à la marche du monde, Victor a traversé de graves dépressions avant de trouver en lui-même le secret de son équilibre et savourer une paix intérieure : pas besoin d’actions héroïques ni spectaculaires pour vivre heureux, il suffit de nourrir d’amour chaque instant.
Fils unique d’une famille berrichonne, mon enfance s’est déroulée apparemment de façon paisible, auprès d’une mère qui ne m’a pas privé d’affection mais plutôt oppressé et couvé sous un débordement d’amour. Trop sensible et avide d’absolu, je souffrais d’un excès d’idéalisme à chaque instant démenti par la réalité, de plus en plus décalée par rapport à mon monde intérieur.
A la fin de mes études supérieures, j’ai été terrassé par une dépression nerveuse, guérie temporairement par thérapie et médicaments. Je me suis mis à travailler dans un bon job mais sous cette apparente réussite sociale la faille était toujours là, ce décalage intolérable entre idéal et réalité, qui a provoqué une deuxième dépression à l’âge de trente ans. Après cet autre choc, je ne pouvais plus me passer de calmants. J’en ai pris sans arrêt, les plaçant dans les poches de ma veste, ma voiture, mes pardessus, mes tiroirs de bureau… trop effrayé à l’idée d’en manquer. J’étais dans une situation de dépendance totale.
Mon besoin d’absolu s’est transformé
J’ai été suivi par un médecin qui a pris le temps de m’écouter et m’a aidé à diminuer les doses de calmants. Mais il restait en moi un malheur profond qui s’est dissous au fil des années, depuis mon entrée à IVI, en février 1984. J’avais toujours cherché ardemment et sans succès une explication à la vie, au monde…
Je l’ai trouvée à travers les paroles d’Yvonne Trubert, fondatrice d’Invitation à la Vie. Son message a éclairé les zones d’ombre enfouies au plus profond de mon être. J’ai ressenti l’évidence de la présence de Dieu, la continuité de l’amour humain à l’amour divin qui peut s’exprimer à chaque instant à travers les petits moments du quotidien. Mon besoin d’absolu étant comblé, cette reconstruction a contribué à me rendre la santé.
J’ai été conduit à casser mon idéalisme tout en conservant des repères d’idéal.
Le mauvais idéal est l’idéalisme qui méprise le quotidien, la société. A force de mépris, on s’éloigne de tout contentement.
Dieu est discret, présent dans le silence, dans les grandes comme les petites choses. J’ai trouvé l’unité, la cohérence avec mon monde intérieur et la stabilité, par instants, d’une indicible paix.
La modification de ma façon de penser a beaucoup amélioré ma santé
Je me suis marié en 1989. Ma mère n’avait pas favorisé mes relations avec les femmes mais mon hostilité à leur égard est tombée.
Mon groupe de prière m’a beaucoup aidé : c’est essentiellement un groupe de femmes, je suis le seul homme ! Progressivement j’y ai découvert des amitiés pas du tout évidentes au départ. Dieu nous propose son amour au fond de nos plus grandes incompréhensions et de nos plus grands manquements.
J’ai fini par accepter cette sensibilité trop grande qui me rend vulnérable. C’est un trait de caractère, un peu comme les yeux marron ou verts…
Grâce à la dynamique de prières qui m’entoure je vis une situation privilégiée mais non acquise sur le plan de l’équilibre et de l’harmonie intérieure.
IVI n’est pas une assurance tous risques ni tout confort, c’est une aventure très exigeante. La modification de ma façon de penser a beaucoup amélioré ma santé. Cette transformation intérieure a connu des phases très fortes et très rapides et des étapes plus lourdes, plus longues, surtout les trois premières années, ponctuées de retours en arrière.
La transformation est permanente puis arrive le stade où l’on y voit plus clair, on a déblayé l’essentiel de ses problèmes ; il faut prendre son bâton de pèlerin, aller droit devant soi et quitter les terres d’introspection qui n’ont plus beaucoup d’importance… Alors s’éclaire le sens des paroles du Christ : « Prends ta vie et suis-moi. »