Notre Dame de l'Avent, Mère de toutes nos attentes, vous qui avez senti prendre chair en votre sein l'Espérance de votre Peuple, le Salut de Dieu, soutenez nos maternités et nos paternités, charnelles et spirituelles.
Mère de toutes nos espérances, Vous qui avez accueilli la Puissance de l'Esprit pour donner chair aux promesses de Dieu, accordez-nous d'incarner l'Amour, signe du Royaume de Dieu, dans tous les gentes de notre vie.
Notre Dame de l'Avent, Mère de toutes nos vigilances, Vous qui avez donné un visage à notre avenir, fortifiez ceux qui enfantent dans la douleur un monde nouveau de Justice et de Paix.
Vous qui avez contemplé l'Enfant de Bethléem, rendez-nous attentifs aux signes imprévisibles de la tendresse de Dieu.
Notre Dame de l'Avent, Mère du Crucifié, tendez la main à tous ceux qui meurent et accompagnez leur nouvelle naissance dans les bras du Père.
Notre Dame de l'Avent, accordez-nous cette joyeuse vigilance qui discerne, dans la trame du quotidien, les passages et la venue du Christ Seigneur.
Amen.
(D'après une prière de Michel Hubaut, O.F.M., extrait
Vierge Marie, En ce soir qui s’achève, Je baisse la tête pour me blottir contre Toi, Afin que Tu me protèges Et que Tu puisses bénir mes rêves, Et la nuit qui s’annonce.
De Ta main douce et maternelle, Consoles moi de mes malheurs. Je suis un être sans défense face à ses démons. Prends pitié de moi, Marie.
Au nom du Père et du Fils Délivres-moi à jamais de mes tourments Qui brûlent mon âme, Et mettent en péril la sérénité de mes tout-proches. En ce soir qui s’achève, Marie, Je m’abandonne entre Tes mains qui guérissent.
Je vous salue, Marie pleine de grâce Le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, Priez pour nous pauvres pécheurs, Maintenant et à l’heure de notre mort.
« Ô Vierge Marie, nous te recommandons notre jeunesse, spécialement les jeunes appelés à suivre de plus près ton Fils.
Tu connais toutes les difficultés qu’ils doivent affronter, toutes les luttes, tous les obstacles. Aide-les à prononcer eux aussi leur « oui » à l’appel divin, comme tu l’as fait à l’invitation de l’ange.
Attire-les près de ton cœur, pour qu’ils puissent comprendre avec toi la beauté et la joie qui les attend, quand le Tout-puissant les appellera dans son intimité pour les constituer témoins de son amour et les rendre capables de réjouir l’Eglise par leur consécration.
Ô Vierge Marie, obtiens-nous de pouvoir nous réjouir avec toi en voyant que l’amour de ton Fils suscite accueil, acceptation profonde et réponse.
Obtiens-nous de voir aussi se réaliser chez nos jeunes les merveilles de la mystérieuse action de l’Esprit Saint. »
Cette prière-là, je te le dis est un rayon de l'Evangile on ne me le changera pas.
Ce que j'aime dans le chapelet, dit Dieu, c'est qu'il est simple et qu'il est humble. Comme fut mon Fils. Comme fut ma Mère.
Va, mon Fils dis ton chapelet de ton mieux. Il ne t'empêchera jamais de suivre la sainte liturgie que j'ai donné à mon Eglise, qui est le plus belle des prière, la plus grande , quand elle est faite d'un coeur simple, et qu'elle ne veut que ma louange, c'est à dire l'eucharistie.
Récite ton chapelet tu trouvera à tes côtés toute la compagnie rassemblée en l'Evangile la pauvre veuve qui n'a pas fait d'études, le publicain repentant qui ne sait plus son catéchisme, la pécheresse effrayée qu'on voudrait accabler, tous les éclopés que leur foi a sauvés, et les bons vieux bergers, comme ceux de Bethléem, qui découvrent mon Fils et sa Mère...
Récite ton chapelet, dit Dieu, et ne craint surtout pas les ritournelles, car je vous connais bien, vous avez souvent la tête creuse, et la pensée qui tourne à vide.
Mais si vous voulez que je vous accorde de moudre le bon grain de l'Esprit, vous devez vous prendre en patience vous même, comme je le fait,
il faut que votre prière du chapelet, tourne, tourne et retourne, comme font entre vos doigts les grains du chapelet.
Et quand je le voudrai, je vous l'assure, vous recevrez la bonne nourriture, qui affermit le coeur et rassure l'âme.
Allons, allons dit Dieu, récitez votre chapelet et gardez l'esprit en paix.
Cette prière la, je te le dis, est un rayon de l'évangile, à travers les mystères joyeux, les mystères douloureux, les mystères glorieux, les mystères lumineux,
Cette prière la, est un rayon de l'évangile, on ne me la changera jamais, dit Dieu.
Prière à la Sainte Famille de Jésus, Marie et Joseph
Jésus, Marie et Joseph, vers vous, Sainte Famille de Nazareth, aujourd’hui nous tournons le regard avec admiration et confiance; en vous nous contemplons la beauté de la communion dans l’amour véritable; à vous nous confions toutes nos familles, afin que se renouvellent en elles les merveilles de la grâce.
Sainte Famille de Nazareth, école séduisante du saint Évangile: apprends-nous à imiter tes vertus avec une sage discipline spirituelle, donne-nous un regard limpide qui sache reconnaître l’œuvre de la Providence dans les réalités quotidiennes de la vie.
Sainte Famille de Nazareth, gardienne fidèle du mystère du salut: fais renaître en nous l’estime du silence, rends nos familles cénacles de prière, et transforme-les en de petites églises domestiques, renouvelle le désir de la sainteté, soutiens la noble peine du travail, de l’éducation, de l’écoute, de la compréhension réciproque et du pardon.
Sainte Famille de Nazareth, réveille dans notre société la conscience du caractère sacré et inviolable de la famille, bien inestimable et irremplaçable. Que chaque famille soit une demeure accueillante de bonté et de paix pour les enfants et pour les personnes âgées, pour qui est malade et seul, pour qui est pauvre et dans le besoin.
Jésus, Marie et Joseph, nous vous prions avec confiance, nous nous remettons à vous avec joie.
Tu m'as donné Marie pour Mère, Merci ! Tu m'as donné Jésus pour frère, Merci ! Tu m'as donné des parents à aimer, Merci ! Par le baptême, ils m'ont ouvert un chemin de Liberté, Merci ! Aujourd'hui, je suis libre de te choisir, Marie, Libre de choisir le meilleur pour ma vie, avec Toi Marie ! libre de suivre Jésus , avec Toi Marie ! Libre de prier avec Toi , Marie ! libre de parler de Jésus avec Toi ,Marie ! Libre de Lui dire je t'aime dans ton coeur Marie ! Libre de prononcer le oui de mon bâptème, avec Toi Marie ! Aujourd'hui, je te dis Oui : '' Prends-moi par la main Marie ! ''
Je te salue, Marie ! Marie, c'est un nom ordinaire. Un nom tout simple, un nom qu'on chuchote. Marie, fais ceci; Marie, fais cela. Marie toujours servante. Marie, tellement discrète. Marie ! Myriam de Galilée !
Je te salue, Marie, pleine de grâce. Marie fleur et Marie fruit. Je te salue, Matie, pleine de vie, pleine de joie, pleine de santé. Pleine de printemps, pleine d'été, pleine d'automne. Pleine d'hivers aussi, au pied de la croix de l'agonie. Marie qui rit à Cana, Marie de la fête. Marie effondrée au Golgotha, Marie à la douleur immense. Je te salue, Marie, pleine d'amour. Marie des simples et des petits et Marie priant avec les apôtres. Je te salue, Marie, pleine de Dieu.
Le Seigneur est avec toi. Elle est choisie par Dieu, elle est l'élue de Dieu, l'Eve parfaite. Mais croyez-vous que c'était facile de porter l'enfant-Dieu quand les portes étaient closes et qu'il fallaiit se contenter d'une mangeoire d'animaux ? Puis partir avec le nouveau-né, à la hâte, en Egypte ? Marie inquiète devant son enfant qui ne rentre pas du pèlerinage. Avec toi, Marie, le Seigneur nourrit la foi de son peuple.
Tu es bénie entre toutes les femmes. Oui, bénie entre les femmes des villes et des campagnes, entre toutes les femmes au puits éloigné, au four qui ne sera pas chaud, à la pâte qui ne veut pas monter. Entre les femmes qui dansent, qui chantent, sages ou folles. Marie, tu es bénie entre les jeunes filles, les mamans, les dames ridées mais ouvertes à la confiance et à l'espérance. Simplement entre toutes les femmes. Une parmi les autres, perdue dans la foule, tellement unique, tellement à sa place.
Et Jésus, le fruit de ton sein est béni. Marie tendresse pour le Fils de Dieu. Les mains qui ont porté le Prince de la Paix sont bénies, les mains usées par les corvées, le ménage, la lessive. Les mains jointes pour la prière: ''Mon coeur chante la grandeur du Seigneur. Dieu est mon Sauveur ! Oui,il a levé les yeux vers sa petite servante. Il a fait pour moi des choses étonnantes. Il ne reprend pas sa tendresse, il a pitié de l'homme pécheur. Les petites gens, les simples d'esprit et de coeur sont ses préférés''. Cette prière n'a pu jaillir que du profond du coeur de Marie.
Sainte Marie, Mère de Dieu, prie pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Ton coeur, Marie, est plein de pitié. Tu es préoccupé avec ceux qui ont des soucis, heureuse avec ceux qui sont dans la joie. Tu es toujours là pour intervenir auprès de ton Fils quand les hommes en ont besoin. Bénie, sois-tu, Marie, pour tes ''oui'' sans frontières qui montrent les chemins de l'amour, de la joie, de la liberté. Apprends-nous à redire ton ''oui'' dans nos coeurs
Chorale Catholique de Côté d'ivoire - Marie yé bhâ oh
Ah ! de sa tige d'or quand cette Fleur du ciel Tomba pour embaumer les vallons d'Israël, Que les vents étaient doux qui passaient dans les nues ! Tu vis naître, ô Saron, des roses inconnues ! Tes palmiers, ô Gadès, émus d'un souffle pur, Bercèrent, rajeunis, leurs palmes dans l'azur ! Ton cèdre, ô vieux Liban, noir d'une ombre profonde, Croyant qu'il revoyait les premiers jours du monde, Salua le soleil qui brilla sur Eden ! Le parfum oublié de l'antique jardin, Comme un cher souvenir et comme une promesse, Des enfants de l'exil adoucit la tristesse, Et de célestes voix, en chants harmonieux, Dirent ton nom, Marie, à l'univers joyeux.
Terre ! oublie en un jour ton antique détresse ! O Cieux ! comme les mers, palpitez d'allégresse ! La Vierge bienheureuse est née au sein de Dieu ! Elle vole, aux clartés de l'arc-en-ciel en feu, La Colombe qui porte à l'arche du refuge Le rameau d'olivier qui survit au déluge ! Le mystique rosier va parfumer les airs ! L'Etoile matinale illumine les mers ! Saluez, bénissez, créatures sans nombre, Celle que le Très-Haut doit couvrir de son ombre, Et qui devra porter, vierge, en ses flancs bénis, Le Dieu qui précéda les siècles infinis !
Je t'ai suivie à la fontaine où chaque jour tu puises l'eau. Tu as fait remonter le seau. Ton image m'est apparue, aussi limpide que l'ondée.
Je t'ai suivie aux oliveraies où tes mains ont recueilli les fruits, collier de perles vert-tendre sur ta simple rose de paysanne
Je t'ai suivie à la maison où tu as pétri un beau pain tressé. A la lumière du feu de bois tes yeux brillaient, tes yeux priaient.
Et quand Il est entré, son jeune visage rayonnait. Sur toi, le soleil s'est levé. Quand il s'est jeté dans tes bras en riant, Marie, tu as souri et la terre a chanté...
Mon coeur soudain s'est senti meilleur, j'ai eu envie de lui dire oui à mon tour. J'ai vu que j'étais ton enfant, et l'espérance a fait craquer les ombres de la nuit.
Marie, dans le trésor de l'humble vie cachée tu es grâce, douceur, sourire de notre Dieu.
Il est midi, Mère ! Je viens te rencontrer. Je ne sais pas toujours prier mais, je suis là, à te regarder.
Tu es la Mère des va-nu-pieds, de ces enfants abandonnés. Notre-Dame de nos errances, Notre-Dame de l'Espérance, tu es là, dans notre quotidien, dans ces tâches monotones qu'il nous faut accomplir chaque jour, ces mille choses qui nous attendent sans parfois en trouver le sens.
Tu es là, dans nos heures de souffrances, quand la nuit se fait longue et l'absence pesante; quand le coeur se fait lourd d'attente, de soucis,d'avenir incertain; quand la peur nous terrasse, toi, Marie, au pied de nos croix,, tu es là près de nous. Et ton (oui) devient nôtre, notre quotidien trouve sens et prend sa source en Lui, Christ, Réssucité !
Je vous salue, Marie, En ces temps où tout parait à l’arrêt Où tout semble s’écrouler, Où la peur du lendemain est devenue quotidienne Où plus que jamais, nous nous perdons : Face à la haine, aux cracks boursiers, Aux difficultés, aux guerres, Aux injustices, aux enfants asservis, opprimés, ou sacrifiés Aux femmes maltraitées, à la faim grandissante dans notre société,
Je vous salue Marie, Aux désespoirs de nombreuses familles, aux maladies, A la mort et ses injustices, A l’oppression de toutes sortes, à nos humaines aliénations, A nos mensonges, nos déraisons, au nom de quoi ? On ne le sait même plus parfois,
Je vous salue Marie À nos échines cassées, à nos mains hostiles, à nos Pater abandonnés A nos regards courbés, à nos yeux fermés, à nos écoutes absentes A ton peuple enchainé, A tous ces cris étouffés, à ces prières suppliantes
Je vous salue Marie, A ces mots qui ont perdus leurs sens, à ceux que l’on aurait dû dire, A ces amours trompés, inachevés, tronqués, ou mutilés A ces plaisirs cupides, A ces confessions oubliées, à ces secrets perfides
Je vous salue Marie A Marie, pilier de tous les hommes, A celle pleine de grâce, à l’aurore retrouvée A celle agenouillée
Je vous salue Marie A celle dont les mains sont toujours jointes, pour ne devenir que prière A celle dont les oraisons semblables à des complaintes, dont les ravissements emportent tant de souffrances
Je vous salue Marie A celle qui intercède, encore et encore A celle qui s’abandonne, pour nous montrer l’exemple A celle qui nous accompagne vers le salut, A celle Transcendée par le saint esprit, A Marie qui attend
Je vous salue Marie A Marie, à Jésus, A celle qui est mère, Pas de cet unique enfant, Mais de nous tous ici bas,
Je vous salue Marie A l’Esprit Saint qui inspire tout ces vers Nous rappelant aussi Que dans nos obscurités, il y a cette lumière Marie, étoile du firmament, chemin du commencement, Débuté par son fils, Christ notre sauveur
Je vous salue Marie Vous rendant grâce Nous qui sommes vos enfants de misère Je vous salue ma Mère Remettant entre vos douces mains Nos si lourds fardeaux, Vous, notre Mère du bon repos Priez pour ce monde, Marie Priez pour notre humanité, ma Mère Inspirez nous, vous notre idéal, Sainte Marie Car Dieu est avec vous, avocates des démunis Je vous salue Marie
Je te salue, Marie de chez nous Auteur Charles Singer
Je te salue, Marie de chez nous, femme, ma soeur humaine, par toi Dieu vient s'établir dans la demeure terrestre. Avec toi, la terre des vivants devient le berceau de Dieu.
Je te salue, Marie de chez nous, femme humble, ma soeur humaine, par toi Dieu s'éloigne du ciel de sa grande puissance. Avec toi, la terre des vivants devient le trône de Dieu.
Je te salue, Marie de chez nous, femme de chaque jour, ma soeur humaine, par toi Dieu vient chercher les oubliés de tous les jours pour les asseoir à ses côtés tout contre sa joue. Avec toi la terre quotidienne devient l'espace et le temps de Dieu Serviteur des vivants.
Sainte Vierge Marie, je crois qu'avec les ans on retrouve peu à peu, si ce n'est brusquement, et sa foi premiére, et son âme d'enfant. Et c'est sans doute pourquoi chaque matin, à présent, mon coeur se tourne comme d'instinct vers toi et te dit simplement : ''bonjour maman.....oui, bonjour maman''.
Mais voilà, pour qu'il soit bon, ce jour,vraiment bon, je sens tout de suite ici combien l'enfant trés faible que je suis a besoin de ta grâce, de ta présence, de ton appui, besoin de te tenir la main, à la fois pour ne pas tomber et à la fois pour avoir la force d'aimer à ton exemple et de faire, par là même, la volonté du Pére.
Alors, mére, je t'en prie, comme hier chez Jean, demeure chez ton enfant aujourd'hui, demeure même bien proche tout le jour, nuit et jour, chaque jour de sa vie. Et encore, je t'en prie, fais que, son heure venue, il s'en aille vers le Père en ta sainte compagnie et en te disant tendrement, dans son dernier ''AVE'' sur terre :
''Merci Maman''.
Réjouis toi Marie -4/6-Opéra d'images de Jean-Michel Mahenc
Je crois que le fils de Marie est né pour le bonheur du monde je crois que le fils de Marie est mort pour le bonheur du monde je crois que le fils de Marie est seul le Seigneurdecemonde.
Je crois que le fils de Marie est né et qu'il est mort pour moi je crois que le fils de Marie connaît mon nom et veut de moi je crois que le fils de Marie pardonne mon péché trois fois.
Je crois que le fils de Marie est fort plus que toute puissance je crois que le fils de Marie est grand plus que toute espérance je crois que le fils de Marie est beau comme la délivrance.
Ô Marie, redis-moi que ton fils patient, rassemble un peuple immense !
Réjouis toi Marie -5/6-Opéra d'images de Jean-Michel Mahenc