"J'abattrai mes greniers, j'en bâtirai de plus grands..." Luc 12.17
Sur une tombe de Nouvelle-Angleterre, on peut lire cette épitaphe : "Le travail fut sa vie".
Ce pourrait être celle de l'homme dont Jésus nous raconte l'histoire.
Il a travaillé d'arrache-pied et a gagné énormément d'argent suite à des récoltes exceptionnelles. Alors il s'accorde un satisfecit : "Mon p'tit vieux, te voilà avec des biens au soleil pour un bon bout de temps. A toi la belle vie !".
C'est ainsi qu'il se lance dans un vaste projet immobilier afin d'agrandir sa propriété.
Quel visionnaire, quel chef d'entreprise que cet homme-là !
Il a seulement oublié une chose, la plus importante, c'est de servir Dieu EN PREMIER.
Pourtant chaque Israélite était tenu d'apporter à l'Eternel les prémices de ses récoltes en signe de reconnaissance et d'adoration. En fait, il ne sert pas Dieu du tout.
Il se sert lui-même. Le Seigneur est le cadet de ses soucis, absent de son existence.
Il est obnubilé par sa réussite sociale, par la cupidité !
Le Seigneur va lui dire alors : "Pauvre fou, cette nuit même je vais reprendre ta vie ; où seront tous ces biens sur lesquels tu t'appuies comme sur une béquille ?" (Luc 12.20).
Combien ont pour dieu et maître l'argent, les plaisirs !
Que ce ne soit pas notre cas, mais que nous sachions mettre Dieu en priorité dans nos vies et lui redonner ce qu'il est en droit d'attendre de nous : le meilleur.
Robert Foux
Sur une tombe de Nouvelle-Angleterre, on peut lire cette épitaphe : "Le travail fut sa vie".
Ce pourrait être celle de l'homme dont Jésus nous raconte l'histoire.
Il a travaillé d'arrache-pied et a gagné énormément d'argent suite à des récoltes exceptionnelles. Alors il s'accorde un satisfecit : "Mon p'tit vieux, te voilà avec des biens au soleil pour un bon bout de temps. A toi la belle vie !".
C'est ainsi qu'il se lance dans un vaste projet immobilier afin d'agrandir sa propriété.
Quel visionnaire, quel chef d'entreprise que cet homme-là !
Il a seulement oublié une chose, la plus importante, c'est de servir Dieu EN PREMIER.
Pourtant chaque Israélite était tenu d'apporter à l'Eternel les prémices de ses récoltes en signe de reconnaissance et d'adoration. En fait, il ne sert pas Dieu du tout.
Il se sert lui-même. Le Seigneur est le cadet de ses soucis, absent de son existence.
Il est obnubilé par sa réussite sociale, par la cupidité !
Le Seigneur va lui dire alors : "Pauvre fou, cette nuit même je vais reprendre ta vie ; où seront tous ces biens sur lesquels tu t'appuies comme sur une béquille ?" (Luc 12.20).
Combien ont pour dieu et maître l'argent, les plaisirs !
Que ce ne soit pas notre cas, mais que nous sachions mettre Dieu en priorité dans nos vies et lui redonner ce qu'il est en droit d'attendre de nous : le meilleur.
Robert Foux