L'ARC-EN-CIEL DES RACHETES

Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
L'ARC-EN-CIEL DES RACHETES

Forum Catholique Romain pour l'unité des chrétiens

Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal
-20%
Le deal à ne pas rater :
Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, 144 Hz, FreeSync ...
399 € 499 €
Voir le deal

    Le maréchal FOCH était un homme pieux

    Anonymous
    Invité
    Invité


    Le maréchal FOCH était un homme pieux Empty Le maréchal FOCH était un homme pieux

    Message par Invité Ven 29 Mai 2015 - 23:33


    Le maréchal FOCH était un homme pieux 6a00d83451619c69e201a511890a61970c-320wi&sa=X&ei=z9poVb_QLMGsUfTmgsgI&ved=0CAkQ8wc4Fg&usg=AFQjCNHBmaYcfs3cd6C6xf_OViqcEHs04Q

    Foch est très pieux, il prie souvent, s'en remet à la vierge « Maintes fois je me suis vu pris. Alors je m'accrochais à Elle, comme un enfant de deux ans s'accroche à sa mère. Je lui demandais l'inspiration. Elle nous a toujours sauvés. »

    « J'ai prié le Sacré-Cœur, je l'ai prié chaque jour surtout pendant le mois de juin, comme j'ai prié la Sainte Vierge, comme j'ai prié le Saint Esprit, que j'invoque tous les jours, comme j'ai prié sainte Anne, et tous les saints du Paradis, y compris leur maître à tous. »
    Anonymous
    Invité
    Invité


    Le maréchal FOCH était un homme pieux Empty Re: Le maréchal FOCH était un homme pieux

    Message par Invité Ven 29 Mai 2015 - 23:36

    <iframe width="420" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/F5eVCmG1lkQ" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>

    En 1913 à Nancy,le Maréchal FOCH reçoit le baton de Maréchal de France par le Président Poincaré, à Londres, aux USA, avec Lindberg...Film Pathe Baby 9.5

    A la fin de sa vie il dira : " j'ai prié mon chapelet tous les jours de ma vie, je me suis accroché à elle ( Marie) comme un enfant de deux ans s'accroche aux jupes de sa mère, faites prier les petits enfants, nous autres militaires ne faisons que de la ferraille..." La France lui doit sa libération, il fut distingué maréchal de France, de Pologne et de Grande Bretagne, distinction à nul autre pareil... Lors de la signature de l'armistice en 1918, il a pu dire : la couleuvre n'est pas morte... Il avait compris que la seconde guerre se profilait. En 1919, il reviendra dans son pays natal et il prononcera un discours à Lourdes.
    Anonymous
    Invité
    Invité


    Le maréchal FOCH était un homme pieux Empty Re: Le maréchal FOCH était un homme pieux

    Message par Invité Ven 29 Mai 2015 - 23:50

    Le Maréchal Foch (1851-1929) – 1/2


    On connaît l’officier, le Maréchal, l’avenue…Mais connaît-on le grand chrétien que fut Foch ?
    Mercredi 7 avril 1858 à Lourdes : de nombreuses personnes sont présentes à la 17ème apparition de la Vierge Marie à Bernadette ; parmi elles, Madame Foch qui prie de tout son cœur. Elle saura, avec son mari, inculquer à ses enfants l’amour de la Sainte Vierge. En cette année, Ferdinand a sept ans, et Germain en a quatre. Ferdinand est un garçon sportif, passionné de course, d’escalade ; il aime aussi les études, est intelligent et révèle un esprit très scientifique. Il entre à l’école polytechnique, tandis que son frère Germain, entre quelques années après chez les Jésuites, où il va devenir un bon religieux, et sera ordonné prêtre.

    1870 : la guerre éclate, et Ferdinand s’engage comme volontaire en juillet. Il a 19 ans. Il apprend le maniement des armes, mais il est envoyé au dépôt. Lorsque sonne l’heure de la défaite, en janvier 1871, il n’a pas combattu. L’Alsace et la Lorraine ont été prises, et passent sous domination Allemande.

    Ferdinand continue sa carrière militaire, et devient professeur de tactique générale à l’École de guerre, où il est remarqué par son brillant enseignement. Il se marie en 1883, et aura un garçon et deux filles.

    Au long des années, il progresse dans la hiérarchie ; mais… il est chrétien. Il a un frère Jésuite, et, en ce début de XXème siècle, cela suffit pour être bloqué dans une carrière. Son frère d’ailleurs, vu l’impossibilité pour un religieux de demeurer en France à cette époque, se rendra en Espagne, où il passera 18 ans. Aussi Ferdinand restera-t-il longtemps colonel, sans espoir d’avancement.

    Pourtant, ses qualités et son génie militaire le font remarquer même du Président du Conseil, Clemenceau, anticlérical notoire. Mais ce dernier est droit. Il convoque Foch en 1907, et lui annonce sa nomination comme directeur de l’école de guerre. Pas question pour Foch de mettre ses convictions dans sa poche. Il répond directement au Président : « J’ai un frère Jésuite. » « Je m’en fous ! » lui répond Clemenceau avec plus de franchise que d’élégance !

    En 1914, Foch, alors général, commande un corps à Nancy. Le 26 juillet, alors qu’il est tranquillement en permission, tombe la nouvelle de la remise de l’ultimatum autrichien à la Serbie. Foch est rappelé d’urgence. Le 4 août, l’Allemagne envahit la Belgique et le Luxembourg. Le 10 août, Mulhouse est reprise.

    Le 22 août, son fils et son gendre sont tués le même jour ; on le lui annonce devant son État Major. Douloureusement frappé, il baisse la tête et murmure : « Tout de même, le Bon Dieu… » Puis il fait un grand signe de croix et demande qu’on le laisse seul un moment. Une demi-heure plus tard, il rappelle ses officiers : « Maintenant, reprenons les affaires. »

    « Certainement la France est une grande nation, mais il faut qu’elle s’en souvienne pour le demeurer. »

    La Bataille de la Marne, début septembre fut, à un moment très critique pour les armées françaises, une grande victoire stratégique, due à l’audace du Général Foch, dont la phrase de ces jours reste célèbre : « Mon centre cède, ma droite recule. Situation excellente. J’attaque. » D’autres victoires viendront… Pourtant, des jalousies, et la lassitude de la guerre feront mettre en retrait le général Foch après la bataille de la Somme, en 1916.

    Après plusieurs échecs des armées alliées, on le rappelle le 15 mai 1917 et il est alors nommé chef d’État Major général. Mais la situation empire…
    Anonymous
    Invité
    Invité


    Le maréchal FOCH était un homme pieux Empty Re: Le maréchal FOCH était un homme pieux

    Message par Invité Ven 29 Mai 2015 - 23:52

    Le Maréchal Foch (2/2)


    On connaît l’officier, le Maréchal, l’avenue…Mais connaît-on le grand chrétien que fut Foch ?

    Le 26 mars 1918, les principaux chefs se réunissent à Doullens. Le général Foch et le Maréchal Haig (Anglais), ne sont pas d’accord sur la marche à suivre ; l’atmosphère est très tendue. Clémenceau, Pétain, sont là aussi. Alors le Maréchal Haig finit par prononcer ces mots : « Si le général Foch consentait à me donner ses avis, je les suivrais volontiers. » Le 8 mai, Foch reçoit alors le titre de général en chef des armées alliées.

    « J’ai toujours prié pendant la guerre…. »

    De son quartier général, il continue à se rendre chaque dimanche, à pied à la messe au petit village voisin. Presque chaque jour, il se sera rendu un moment dans l’église la plus proche, même en ruine, pour s’y recueillir, si bien qu’il pourra dire : « J’ai toujours prié pendant la guerre. » Un jour, plusieurs soldats attendent devant le confessionnal. L’un d’eux reconnaît, au moment d’y entrer, le général, qui attend lui aussi son tour, et lui offre sa place : « Non, non, mon ami. Allez-y. Ici, c’est l’égalité ! »

    Il met alors en œuvre son plan. À partir de juillet, les Allemands reculent ; le 6 août, Foch est nommé Maréchal de France. Les événements se précipitent. Foch lance la dernière offensive.

    Un de ces matins, Clémenceau, Président du Conseil, se rend au Quartier Général pour voir le Maréchal. Ce dernier est… à la messe. « Doit-on aller le chercher ? Non, non, laissez-le, ça lui a trop bien réussi jusqu’à présent ! »

    Le 5 novembre, l’armée allemande entame un mouvement de retraite générale. Le 8, les plénipotentiaires allemands demandent l’armistice. Foch s’apprête à les recevoir dans le célèbre wagon de train de Rethondes (gravure) : « Je serai ferme et froid, mais sans rancune ni brutalité. »

    On conseille à Foch de continuer un peu les opérations : qu’il combatte encore quelques jours, et il peut annexer une partie même de l’Allemagne, et augmenter du même coup son propre prestige… Foch refuse net : une fois reprises l’Alsace et la Lorraine, il ne se sent pas le droit de continuer ni de mettre en péril des vies pour une cause qui ne serait plus juste : « Nous n’avions pas le droit de continuer à répandre le sang. » L’armistice est donc signé le 11 novembre.

    Après la guerre, il reste très humble face aux nombreux compliments et distinctions qu’il reçoit. Il répond un jour : « Nous sommes les instruments aveugles de la Providence. »

    En mai 1919, il se rend à Aix la Chapelle en tournée d’inspection. Sa première visite est pour la cathédrale. En y entrant, il demande où se trouve le Saint Sacrement, et se rend dans la chapelle où il reste agenouillé cinq bonnes minutes.

    En 1921 a lieu son voyage aux États-Unis : on lui soumet le programme ; il le rature au crayon : « Ici, une heure et demie pour la messe. »

    Il est un époux, un père et un grand-père très présent.

    Il meurt le 20 mars 1929, après avoir reçu les derniers sacrements. Le matin, il avait dit au prêtre : « Ma consolation ? Le ciel ! »

    Terminons par cette consigne militaire, qui peut avoir des résonances pour la vie spirituelle : « Maintenir ses positions n’est pas synonyme d’être victorieux ; on se prépare implicitement à la défaite si l’on en reste là, si l’on ne passe pas à l’action offensive ! »

    Publié par In Altum dans la rubrique Vie de saints, témoins
    Anonymous
    Invité
    Invité


    Le maréchal FOCH était un homme pieux Empty Re: Le maréchal FOCH était un homme pieux

    Message par Invité Ven 12 Juin 2015 - 16:05

    Le maréchal FOCH était un homme pieux 150px-Ferdinand_Foch_pre_1915

    Le général Foch, commandant le 20° corps d'armée de Nancy, consacre malgré tout les armées françaises et alliées au Sacré-Coeur le 16 juillet 1918... Il sera vainqueur et l’armistice est signé le 11 novembre 1918 à 11 heures, en la fête de Saint-Martin, Apôtre des Gaules ! Il n’est pas inutile de savoir que "Martin" est un nom qui vient de "mars", Dieu Romain de la guerre.
    (Source : Alain Denizot, Le Sacré-Coeur et la Grande Guerre, Nouvelles Editions Latines, Paris 1994, p. 135).

    Précision de taille, découverte dans l'article suivant :

    http://christroi.over-blog.com/article-32818561.html

    Contenu sponsorisé


    Le maréchal FOCH était un homme pieux Empty Re: Le maréchal FOCH était un homme pieux

    Message par Contenu sponsorisé


      La date/heure actuelle est Dim 28 Avr 2024 - 9:42