"Il les regardait attentivement, s'attendant à recevoir d'eux quelque chose." Actes 3.5
On voit fréquemment des mendiants mendier aux portes des églises ou des temples.
A l'époque des apôtres, leur situation était plus dramatique que de nos jours.
Si les mendiants se postent aux portes des édifices religieux, c'est qu'ils estiment que c'est un endroit favorable.
Qu'est-ce que cet homme s'attendait à recevoir : une pièce de monnaie, assez pour l'aider à survivre ?
Le lendemain, ses amis devraient à nouveau le ramener à la même place. Il en était ainsi chaque jour.
Pierre et Jean, selon la recommandation de Jésus, n'avaient aucune bourse sur eux. Pour autant, n'avaient-ils pas à offrir, à cet homme, quelque chose qu'il ignorait et ne pouvait donc pas réclamer ? Ils avaient avec eux la puissance que Jésus leur avait communiquée : Au nom de Jésus-Christ de Nazareth, lève-toi et marche.
A l'instant même, d'un saut, il fut debout. Aucune hésitation, la guérison fut instantanée : marchant, louant Dieu, il entra avec eux dans le temple.
Il est regrettable que les mendiants qui se postent aux portes de nos églises n'y reçoivent que des pièces.
Nous n'avons pas la possibilité de leur dire de se lever et de marcher, nous nous contentons donc de leur donner notre monnaie.
N'avons-nous rien d'autre à leur offrir ? Mais avons-nous le désir de leur proposer plus ?
N'avons-nous rien à offrir.
Jack Mouyon
Méditations quotidiennes 2013 (22 Juin)
On voit fréquemment des mendiants mendier aux portes des églises ou des temples.
A l'époque des apôtres, leur situation était plus dramatique que de nos jours.
Si les mendiants se postent aux portes des édifices religieux, c'est qu'ils estiment que c'est un endroit favorable.
Qu'est-ce que cet homme s'attendait à recevoir : une pièce de monnaie, assez pour l'aider à survivre ?
Le lendemain, ses amis devraient à nouveau le ramener à la même place. Il en était ainsi chaque jour.
Pierre et Jean, selon la recommandation de Jésus, n'avaient aucune bourse sur eux. Pour autant, n'avaient-ils pas à offrir, à cet homme, quelque chose qu'il ignorait et ne pouvait donc pas réclamer ? Ils avaient avec eux la puissance que Jésus leur avait communiquée : Au nom de Jésus-Christ de Nazareth, lève-toi et marche.
A l'instant même, d'un saut, il fut debout. Aucune hésitation, la guérison fut instantanée : marchant, louant Dieu, il entra avec eux dans le temple.
Il est regrettable que les mendiants qui se postent aux portes de nos églises n'y reçoivent que des pièces.
Nous n'avons pas la possibilité de leur dire de se lever et de marcher, nous nous contentons donc de leur donner notre monnaie.
N'avons-nous rien d'autre à leur offrir ? Mais avons-nous le désir de leur proposer plus ?
N'avons-nous rien à offrir.
Jack Mouyon
Méditations quotidiennes 2013 (22 Juin)