"Je n'ai pas honte de l'Evangile. C'est la puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit." Romains 1.16
L'Evangile, une puissance, une arme redoutable. Oui, sans doute, mais à condition qu'elle soit utilisée.
Nous savons aussi que le mot même d'Evangile signifie Bonne Nouvelle.
Mais en quoi une nouvelle est-elle bonne tant qu'elle n'est pas proclamée, puis entendue et reçue ?
Le mensuel Invitation (N°39) rapporte cette remarque terrible d'un Indien du Nord des Indes à qui l'on présentait le message du salut :
"Pour moi, l'Evangile est une mauvaise nouvelle, parce que mon père est mort il y a trois mois et qu'il n'avait jamais entendu le message. Pourquoi n'êtes-vous pas venus plus tôt ?"
Impossible d'entendre ce douloureux reproche sans s'interroger. N'y aura-t-il pas trop de personnes qui auront raison de m'adresser de semblables paroles ?
Si j'ai, entre les mains, la puissance qui peut changer les vies, mais je n'en fais rien, en quoi ai-je encore le droit de l'appeler puissance ou bonne nouvelle ?
L'Evangile est alors comparable au talent remis au serviteur, mais caché dans la terre par ce dernier à qui le Maître, à son retour, devra dire : Serviteur méchant et paresseux...
Qu'est-ce qui nous empêche d'utiliser la puissance de l'Evangile ? La honte ? La peur ? La paresse ? Le manque de conviction ? ou bien avons-nous oublié que ceux qui l'ignorent s'avancent vers la perdition ?
Richard DOULIERE
Méditations quotidiennes 2013 (2 Juillet)
L'Evangile, une puissance, une arme redoutable. Oui, sans doute, mais à condition qu'elle soit utilisée.
Nous savons aussi que le mot même d'Evangile signifie Bonne Nouvelle.
Mais en quoi une nouvelle est-elle bonne tant qu'elle n'est pas proclamée, puis entendue et reçue ?
Le mensuel Invitation (N°39) rapporte cette remarque terrible d'un Indien du Nord des Indes à qui l'on présentait le message du salut :
"Pour moi, l'Evangile est une mauvaise nouvelle, parce que mon père est mort il y a trois mois et qu'il n'avait jamais entendu le message. Pourquoi n'êtes-vous pas venus plus tôt ?"
Impossible d'entendre ce douloureux reproche sans s'interroger. N'y aura-t-il pas trop de personnes qui auront raison de m'adresser de semblables paroles ?
Si j'ai, entre les mains, la puissance qui peut changer les vies, mais je n'en fais rien, en quoi ai-je encore le droit de l'appeler puissance ou bonne nouvelle ?
L'Evangile est alors comparable au talent remis au serviteur, mais caché dans la terre par ce dernier à qui le Maître, à son retour, devra dire : Serviteur méchant et paresseux...
Qu'est-ce qui nous empêche d'utiliser la puissance de l'Evangile ? La honte ? La peur ? La paresse ? Le manque de conviction ? ou bien avons-nous oublié que ceux qui l'ignorent s'avancent vers la perdition ?
Richard DOULIERE
Méditations quotidiennes 2013 (2 Juillet)