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06/05/2014
Si vous entrez dans le blog de l'Espagnole Olalla Oliveros, vous ne pouvez qu’être frappé par la beauté du modèle, et le curriculum impressionnant de l'actrice: cinéma, théâtre, feuilletons télévisés, où elle n’a pas toujours le premier rôle, ni non plus celui de figurante. L’anomalie, comme l’écrit Aciprensa le 1er mai (article repris par il Timone le 5 mai) réside toute entière dans la date du dernier post: 2 mars 2010. Depuis ce jour-là, c'est comme si Olalla Oliveros était « morte » pour le monde du spectacle pour renaître à celui de l’Esprit. «Dieu a fait un casting et m’a choisie. Je n’ai pas pu dire non » a raconté la religieuse.
Un vrai saut de carrière Aujourd’hui, elle porte une robe de bure et un voile bleu et jaune, est consacrée dans une toute jeune et dynamique communauté religieuse, l’Ordre de Saint-Michel Archange, né dans le diocèse espagnol de Tui-Vigo et érigé canoniquement, en 2009, en association publique de fidèles. Son ‘non’ n’a pas été l’abandon d’une carrière qui ne décollait pas ; bien au contraire, selon son ancien agent Mirella Melero, qui raconte que Olalla Oliveros venait tout juste d’obtenir un rôle important dans un film.
Le voyage à Fatima
Cela a été une confrontation de jour en jour avec sa propre misère, qui persistait en dépit des reconnaissances du monde. Jusqu'à ce voyage à Fatima qui a déclenché chez elle un tremblement de terre intérieur. Au retour, elle n’a pas cessé de s’interroger sur cette paix et cette force qu’elle ressentait, tandis qu’elle n’arrivait pas à enlever de sa tête l’image qui lui paraissait absurde, l’image d’elle-même vêtue en religieuse. Ont suivi la confession à un prêtre de Madrid et un chemin de direction spirituelle. Et comme toujours Dieu qui l’avait engagée pour sa production a fait le reste, exauçant ainsi sa demande intérieure.
Article traduit de l'édition italienne d' Aleteia par Elisabeth de Lavigne
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