Conversion d’Étienne Albin, peintre français
Posted: 05 Sep 2014 05:25 AM PDT
Depuis le Ciel, Maria Valtorta continue de faire descendre la Grâce sur nous.
Voici l’histoire de la conversion d’une famille d’artistes français : quatre personnes qui vont se retrouver unies par la Foi, d’une façon peu commune. Au départ, seule la mère est croyante. Marie-Josèphe est sculptrice, tandis que son époux, Philippe, est un peintre autodidacte, né en 1954. Ils ont deux enfants, Guillaume, leur fils aîné, qui est un habile dessinateur d’illustrations et de bandes dessinées, et enfin, Étienne, qui devient peintre à 23 ans, après des études de restauration d’œuvres d’art, et se spécialise dans la nature morte et le paysage.
Les trois hommes sont donc athées. La maman « porte seule la foi dans la famille durant de très nombreuses années » : ses deux enfants « ont vite fait de se rebeller contre le catéchisme. »
Tout commence le jour où Guillaume est frappé par la « foudre de la Foi » devant le Christ mort couché sur son linceul, tableau de Philippe de Champaigne exposé au Louvre. Il se convertit et propose à son frère de lire L’Évangile tel qu’il m’a été révélé de Maria Valtorta.
Étienne a 28 ans quand il entame la lecture des 10 tomes. Dès le début, il est étonné de l’abondance des détails anecdotiques rassemblés par M.Valtorta. Il se sent interpellé par ces passages et se dit qu’il doit être impossible de les retrouver dans les Évangiles. Il ouvre alors le Nouveau Testament et constate la cohérence des deux écrits : les correspondances sont frappantes !
Étienne : « Je retombais sur le même passage et je me disais : c’est incroyable ! On est toujours en quête de vérité, et il y a un moment où l’on se détache de tout pour écouter. L’écoute, chez moi, s’est passée par cette lecture-là.
Dans Maria Valtorta, j’ai eu cette sensation de vérité, que les paroles qui étaient écrites n’étaient pas de paroles d’homme, mais qu’elles étaient vraies.
En 28 ans de vie, j’avais eu le temps d’entendre beaucoup de choses, des philosophies, des idéaux... »
Le jeune homme, qui n’avait pas du tout été élevé dans la religion catholique, découvre dans cette œuvre « quelque chose » qu’il n’a trouvé nulle part ailleurs et qui devient une évidence, jusqu'à s’imposer à lui avec force :
« Ça devient une Présence et cette Présence nous aide à changer. J’ai eu ce désir de changer complètement de vie. Soudain, je me rends compte que, dans ma vie, il y a quelque chose qui n’est pas complètement vrai en moi, il y a des zones d’ombre, des situations où j’ai mal agi. »
Étienne vit une prise de conscience profonde. Il ressent le besoin impératif de se réorienter et décide de vivre autrement. Il ne s’agit pas d’une démarche personnelle, mais bien d’un Appel, de la Manifestation de Dieu sous la forme de cette « Présence de Vérité », qui non seulement lui ouvre les yeux sur son état, mais lui donne à la fois l’impulsion nécessaire à ce changement et la force de persévérer ! Car la route sera longue. La restauration de l’être intérieur ne se fait pas en un instant. Mais Étienne n’est plus seul avec lui-même et brûle du désir de connaître Celui qui l’a touché. Durant ces longs mois de renaissance spirituelle, il vit une véritable rencontre avec le Christ, une rencontre intime et si puissante, qu’elle l’incite à tout quitter ! Cela se produit pendant une retraite, la toute première à laquelle il participe : « Quitte tout et suis-Moi » lui inspire le Christ, « un Appel extrêmement fort ».
Il a 29 ans et laisse tout tomber, sa carrière de peintre, ses habitudes, son entourage :
« Ç’a été vraiment ça. C’était très dur, mais je me suis dit : ça en vaut le coup, j’y vais !
Ça faisait cinq ans que je travaillais la peinture et j’avais fait d’énormes sacrifices pour cela... Mon père l’a très mal pris, il n’a pas compris ce qui se passait. C’était trop difficile pour lui qui n’avait pas la foi, et la peinture était trop importante à ses yeux. Alors, tout arrêter pour une « chimère », c’était inconcevable. Ça n’a pas été sans mal...
Mais j’ai pris ma décision, je suis parti »
Étienne, attiré par la vie contemplative, entre dans une école de prière et d’évangélisation, Jeunesse-Lumière fondée par Daniel-Ange en 1984, avec l’intention d’éprouver ses dispositions à la vie monastique. Il s’avère qu’il n’a pas cette vocation, mais celle du mariage. Il rencontre en effet sa future épouse dans cette communauté. À la fin de la première année, il revient dans sa famille et trouve son père si changé qu’il en tombe des nues : Philippe n’est plus opposé au choix de son fils, mais lui conseille même de passer là-bas une seconde année, se rendant compte qu’il a dû y vivre « quelque chose de très fort ».
Lorsqu'un an après Étienne rentre définitivement, un nouveau miracle a lieu pendant une messe de mariage à laquelle ils assistent en famille.
« Je pense que, pendant ces 2 ans, le cœur de mon père a dû s’ouvrir. Il s’est produit à ce mariage un événement qui relève de la mystique – il ne faut pas avoir peur des mots, surtout quand on parle de Dieu : au moment du Notre Père, mon père a été envahi par la Présence de Dieu. Oui, il s’est retrouvé bouleversé par la Présence de Dieu. Ça ne s’explique pas, c’est une chose à accueillir avec simplicité. Voilà, il a commencé à se convertir comme ça, à revenir vers Dieu et vers l’Église. »
Depuis ces « conversions en cascade », Étienne est devenu un catholique fervent, il s’est marié et a repris sa carrière de peintre.
Lorsqu'on lui demande où irait sa préférence, s’il devait choisir entre l’émulation de la vie artistique et la conversion, il répond les yeux brillants d’émotion : « La FOI ! »
« Quand nous avons été réunis tous les quatre autour du Christ, nous avons vécu quelque chose d’inoubliable, plus que tout. C’est incomparable. »
Et Maria Valtorta ?
« J’ai lu les 10 volumes, très vite, en un peu plus d’un an, parce que c’est passionnant, mais pas plus qu’un chapitre par jour, car c’est tellement dense ! »
Une fois encore – qui sait combien à ce jour ! –, une conversion authentique et durable atteste que les écrits de Maria Valtorta sont bien davantage qu’un simple récit historique : L’Évangile tel qu’il m’a été révélé est d’abord un fantastique raccourci vers le Christ. Ces mots dépassent largement le plan humain ; tous inspirés par l’Esprit, ils sont une épiphanie vivificatrice, car Jésus Lui-même S’y révèle de manière saisissante : Étienne a été saisi pour toujours, l’Amour de Dieu est devenu le cœur de son existence !
Posted: 05 Sep 2014 05:25 AM PDT
Depuis le Ciel, Maria Valtorta continue de faire descendre la Grâce sur nous.
Voici l’histoire de la conversion d’une famille d’artistes français : quatre personnes qui vont se retrouver unies par la Foi, d’une façon peu commune. Au départ, seule la mère est croyante. Marie-Josèphe est sculptrice, tandis que son époux, Philippe, est un peintre autodidacte, né en 1954. Ils ont deux enfants, Guillaume, leur fils aîné, qui est un habile dessinateur d’illustrations et de bandes dessinées, et enfin, Étienne, qui devient peintre à 23 ans, après des études de restauration d’œuvres d’art, et se spécialise dans la nature morte et le paysage.
Les trois hommes sont donc athées. La maman « porte seule la foi dans la famille durant de très nombreuses années » : ses deux enfants « ont vite fait de se rebeller contre le catéchisme. »
Tout commence le jour où Guillaume est frappé par la « foudre de la Foi » devant le Christ mort couché sur son linceul, tableau de Philippe de Champaigne exposé au Louvre. Il se convertit et propose à son frère de lire L’Évangile tel qu’il m’a été révélé de Maria Valtorta.
Étienne a 28 ans quand il entame la lecture des 10 tomes. Dès le début, il est étonné de l’abondance des détails anecdotiques rassemblés par M.Valtorta. Il se sent interpellé par ces passages et se dit qu’il doit être impossible de les retrouver dans les Évangiles. Il ouvre alors le Nouveau Testament et constate la cohérence des deux écrits : les correspondances sont frappantes !
Étienne : « Je retombais sur le même passage et je me disais : c’est incroyable ! On est toujours en quête de vérité, et il y a un moment où l’on se détache de tout pour écouter. L’écoute, chez moi, s’est passée par cette lecture-là.
Dans Maria Valtorta, j’ai eu cette sensation de vérité, que les paroles qui étaient écrites n’étaient pas de paroles d’homme, mais qu’elles étaient vraies.
En 28 ans de vie, j’avais eu le temps d’entendre beaucoup de choses, des philosophies, des idéaux... »
Le jeune homme, qui n’avait pas du tout été élevé dans la religion catholique, découvre dans cette œuvre « quelque chose » qu’il n’a trouvé nulle part ailleurs et qui devient une évidence, jusqu'à s’imposer à lui avec force :
« Ça devient une Présence et cette Présence nous aide à changer. J’ai eu ce désir de changer complètement de vie. Soudain, je me rends compte que, dans ma vie, il y a quelque chose qui n’est pas complètement vrai en moi, il y a des zones d’ombre, des situations où j’ai mal agi. »
Étienne vit une prise de conscience profonde. Il ressent le besoin impératif de se réorienter et décide de vivre autrement. Il ne s’agit pas d’une démarche personnelle, mais bien d’un Appel, de la Manifestation de Dieu sous la forme de cette « Présence de Vérité », qui non seulement lui ouvre les yeux sur son état, mais lui donne à la fois l’impulsion nécessaire à ce changement et la force de persévérer ! Car la route sera longue. La restauration de l’être intérieur ne se fait pas en un instant. Mais Étienne n’est plus seul avec lui-même et brûle du désir de connaître Celui qui l’a touché. Durant ces longs mois de renaissance spirituelle, il vit une véritable rencontre avec le Christ, une rencontre intime et si puissante, qu’elle l’incite à tout quitter ! Cela se produit pendant une retraite, la toute première à laquelle il participe : « Quitte tout et suis-Moi » lui inspire le Christ, « un Appel extrêmement fort ».
Il a 29 ans et laisse tout tomber, sa carrière de peintre, ses habitudes, son entourage :
« Ç’a été vraiment ça. C’était très dur, mais je me suis dit : ça en vaut le coup, j’y vais !
Ça faisait cinq ans que je travaillais la peinture et j’avais fait d’énormes sacrifices pour cela... Mon père l’a très mal pris, il n’a pas compris ce qui se passait. C’était trop difficile pour lui qui n’avait pas la foi, et la peinture était trop importante à ses yeux. Alors, tout arrêter pour une « chimère », c’était inconcevable. Ça n’a pas été sans mal...
Mais j’ai pris ma décision, je suis parti »
Étienne, attiré par la vie contemplative, entre dans une école de prière et d’évangélisation, Jeunesse-Lumière fondée par Daniel-Ange en 1984, avec l’intention d’éprouver ses dispositions à la vie monastique. Il s’avère qu’il n’a pas cette vocation, mais celle du mariage. Il rencontre en effet sa future épouse dans cette communauté. À la fin de la première année, il revient dans sa famille et trouve son père si changé qu’il en tombe des nues : Philippe n’est plus opposé au choix de son fils, mais lui conseille même de passer là-bas une seconde année, se rendant compte qu’il a dû y vivre « quelque chose de très fort ».
Lorsqu'un an après Étienne rentre définitivement, un nouveau miracle a lieu pendant une messe de mariage à laquelle ils assistent en famille.
« Je pense que, pendant ces 2 ans, le cœur de mon père a dû s’ouvrir. Il s’est produit à ce mariage un événement qui relève de la mystique – il ne faut pas avoir peur des mots, surtout quand on parle de Dieu : au moment du Notre Père, mon père a été envahi par la Présence de Dieu. Oui, il s’est retrouvé bouleversé par la Présence de Dieu. Ça ne s’explique pas, c’est une chose à accueillir avec simplicité. Voilà, il a commencé à se convertir comme ça, à revenir vers Dieu et vers l’Église. »
Depuis ces « conversions en cascade », Étienne est devenu un catholique fervent, il s’est marié et a repris sa carrière de peintre.
Lorsqu'on lui demande où irait sa préférence, s’il devait choisir entre l’émulation de la vie artistique et la conversion, il répond les yeux brillants d’émotion : « La FOI ! »
« Quand nous avons été réunis tous les quatre autour du Christ, nous avons vécu quelque chose d’inoubliable, plus que tout. C’est incomparable. »
Et Maria Valtorta ?
« J’ai lu les 10 volumes, très vite, en un peu plus d’un an, parce que c’est passionnant, mais pas plus qu’un chapitre par jour, car c’est tellement dense ! »
Une fois encore – qui sait combien à ce jour ! –, une conversion authentique et durable atteste que les écrits de Maria Valtorta sont bien davantage qu’un simple récit historique : L’Évangile tel qu’il m’a été révélé est d’abord un fantastique raccourci vers le Christ. Ces mots dépassent largement le plan humain ; tous inspirés par l’Esprit, ils sont une épiphanie vivificatrice, car Jésus Lui-même S’y révèle de manière saisissante : Étienne a été saisi pour toujours, l’Amour de Dieu est devenu le cœur de son existence !