par Invité Mer 22 Oct 2014 - 16:16<iframe width="560" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/Z5fzxsKxKco" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
Un enfant, est touché injustement par une longue maladie. Il fait de longs séjours à l’hôpital et se voit dans l’obligation de subir quotidiennement des soins qui le privent de sa « liberté » d’enfant.
Le long séjour à l’hôpital est toujours difficile à supporter physiquement et moralement. Il astreint régulièrement le jeune malade à rester de longues périodes, coupé du monde extérieur qui ajoutées aux effets secondaires du traitement et à l’évolution naturelle de la maladie sont responsables au final d’une grande « pénibilité ».
La visite récurrente des clowns à l’hôpital lui permet d’oublier pour un temps les souffrances induites par la maladie et l’agressivité du traitement. C’est pour lui un moment de « décompression », ce moment de « détente bienfaisante » complément indispensable de ses soins pour la bonne évolution de sa maladie, de la même façon que le dimanche, jour chômé, est indispensable dans la vie d’un travailleur afin de protéger sa santé des contraintes physiques et morales liées à son travail.
Ces moments magiques des clowns passés auprès de l’enfant malade sont pour lui son « dimanche », son dimanche en semaine, plusieurs fois par semaine, son dimanche tous les jours.
Un enfant, est touché injustement par une longue maladie. Il fait de longs séjours à l’hôpital et se voit dans l’obligation de subir quotidiennement des soins qui le privent de sa « liberté » d’enfant.
Le long séjour à l’hôpital est toujours difficile à supporter physiquement et moralement. Il astreint régulièrement le jeune malade à rester de longues périodes, coupé du monde extérieur qui ajoutées aux effets secondaires du traitement et à l’évolution naturelle de la maladie sont responsables au final d’une grande « pénibilité ».
La visite récurrente des clowns à l’hôpital lui permet d’oublier pour un temps les souffrances induites par la maladie et l’agressivité du traitement. C’est pour lui un moment de « décompression », ce moment de « détente bienfaisante » complément indispensable de ses soins pour la bonne évolution de sa maladie, de la même façon que le dimanche, jour chômé, est indispensable dans la vie d’un travailleur afin de protéger sa santé des contraintes physiques et morales liées à son travail.
Ces moments magiques des clowns passés auprès de l’enfant malade sont pour lui son « dimanche », son dimanche en semaine, plusieurs fois par semaine, son dimanche tous les jours.
