François : catholiques et protestants unis dans l’aide au prochain
News.va
Aujourd'hui à 20:43
(RV) « Que la foi commune dans notre Sauveur Jésus Christ devienne toujours plus le fondement solide de l’amitié et de la collaboration entre nous », entre catholiques et protestants.
En recevant une délégation de l’Armée du Salut ce vendredi matin au Vatican, le Pape François a souhaité que les « catholiques et les salutistes, comme les autres chrétiens, reconnaissent que les nécessiteux ont une place spéciale dans le cœur de Dieu, au point que le Seigneur Jésus Christ s’est fait pauvre pour nous ».
Le Pape a salué les bonnes relations existant entre l’Eglise catholique via le Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens et l’Armée du Salut grâce à « une série de conversations théologiques destinées à promouvoir une meilleure connaissance réciproque, un respect mutuel et une collaboration régulière. »
Il a exprimé aussi le souhait que « tous les disciples du Christ offrent leur contribution avec la même conviction et le même dynamisme que démontre l’Armée du Salut dans son service dévoué et apprécié. Les différences entre catholiques et salutistes sur les questions théologiques et ecclésiologiques ne doivent pas faire obstacle au témoignage de notre amour partagé pour Dieu et pour son prochain, un amour qui est en mesure d’inspirer des efforts énergiques dans l’engagement de rétablir la dignité de ceux qui vivent aux marges de la société ».
Le Pape a ensuite confié une anecdote concernant son enfance et ayant pour thème l’œcuménisme qu’il n’a pas manqué de louer lors de cette rencontre avec la délégation de l’Armée du Salut.
Dans l’Argentine de son époque, l’idée était répandue parmi les catholiques que les protestants iraient brûler en enfer. Se promenant avec sa grand-mère, il rencontra dans la rue deux bénévoles de l’Armée du Salut. Il demanda alors : « Celles-là, qui sont-elles ? des sœurs ? ».
Et sa grand-mère répondit : « Non. Ce sont des protestantes. Mais ce sont de bonnes personnes. » Ce fut, selon le Pape lui-même, sa première leçon d’œcuménisme.
(Tratto dall'archivio della Radio Vaticana)
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(RV) « Que la foi commune dans notre Sauveur Jésus Christ devienne toujours plus le fondement solide de l’amitié et de la collaboration entre nous », entre catholiques et protestants.
En recevant une délégation de l’Armée du Salut ce vendredi matin au Vatican, le Pape François a souhaité que les « catholiques et les salutistes, comme les autres chrétiens, reconnaissent que les nécessiteux ont une place spéciale dans le cœur de Dieu, au point que le Seigneur Jésus Christ s’est fait pauvre pour nous ».
Le Pape a salué les bonnes relations existant entre l’Eglise catholique via le Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens et l’Armée du Salut grâce à « une série de conversations théologiques destinées à promouvoir une meilleure connaissance réciproque, un respect mutuel et une collaboration régulière. »
Il a exprimé aussi le souhait que « tous les disciples du Christ offrent leur contribution avec la même conviction et le même dynamisme que démontre l’Armée du Salut dans son service dévoué et apprécié. Les différences entre catholiques et salutistes sur les questions théologiques et ecclésiologiques ne doivent pas faire obstacle au témoignage de notre amour partagé pour Dieu et pour son prochain, un amour qui est en mesure d’inspirer des efforts énergiques dans l’engagement de rétablir la dignité de ceux qui vivent aux marges de la société ».
Le Pape a ensuite confié une anecdote concernant son enfance et ayant pour thème l’œcuménisme qu’il n’a pas manqué de louer lors de cette rencontre avec la délégation de l’Armée du Salut.
Dans l’Argentine de son époque, l’idée était répandue parmi les catholiques que les protestants iraient brûler en enfer. Se promenant avec sa grand-mère, il rencontra dans la rue deux bénévoles de l’Armée du Salut. Il demanda alors : « Celles-là, qui sont-elles ? des sœurs ? ».
Et sa grand-mère répondit : « Non. Ce sont des protestantes. Mais ce sont de bonnes personnes. » Ce fut, selon le Pape lui-même, sa première leçon d’œcuménisme.
(Tratto dall'archivio della Radio Vaticana)