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TRE FONTANE ROMA
1947
NOTRE DAME DE LA REVELATION
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D’après une tradition du Ve siècle, c’est aux Aquae salviae, sur la via Laurentina, qu'a été décapité l’apôtre saint Paul. Selon la légende, la tête de saint Paul aurait rebondi trois fois sur le sol, et à chacun de ces trois emplacements une source aurait miraculeusement jailli : d’où le nom de « Trois-Fontaines ». On a trouvé trace d’un édifice sacré datant du Ve siècle et construit à la mémoire de Paul.
Une église est construite dans laquelle on peut voir ces trois sources aménagées. Dans une chapelle latérale, une grande peinture murale moderne raconte le prodige. Dans la crypte de l'église se trouve un réduit où Paul aurait été emprisonné.
Cette église ne fait pas partie du monastère cistercien. Au même endroit, de nombreux soldats chrétiens, autour du tribun Zénon, subissent le martyre durant la persécution de Dioclétien vers 298. (Source wikipedia.org)
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TRE FONTANE ROMA
1947
NOTRE DAME DE LA REVELATION
Site italien http://trefontane.altervista.org/Bruno Cornacchiola, protestant extrémiste, voulait tuer le Pape.
La Vierge lui apparaît à Tre Fontane le 12 avril 1947 d’une manière assez autoritaire :
« Tu me persécutes, arrête maintenant ! Retourne au saint Bercail. Que l'on prie et que l'on récite quotidiennement le Rosaire pour la conversion des pécheurs, des incrédules et pour l'unité des chrétiens. »
La Mère de Dieu lui indique un prêtre qu’il devra suivre et qu’il reconnaîtra aux première paroles qu’il lui dira. « Quand tu auras trouvé le prêtre, obéis-lui ».
Marie bénit le lieu : « Avec cette terre de péché, je ferai de puissants miracles pour leur conversion. »
Le jour même il grave de sa main sur la roche : «Dans cette grotte m’est apparue la Mère divine.
Elle m'invite amoureusement à rentrer dans l’Eglise catholique, apostolique et romaine…».
Un deuxième prêtre indiqué par la Vierge le conduit auprès du Pape Pie XII le 9 novembre 1949, lors d’une audience accordée aux traminots de Rome.
Après la récitation du chapelet dans sa chapelle privée, le Pape voit s’avancer Bruno qui lui dit: «Très Saint-Père, voici la Bible protestante avec laquelle j’ai "tué" beaucoup d’âmes» ; puis, les larmes dans les yeux : «voilà le poignard, avec l’inscription "mort au Pape", par lequel je projetais de vous tuer ! Je viens vous demander pardon.» Et le Pape de répondre : «En me tuant, tu n’aurais fait que donner un nouveau martyr à l’Eglise, et au Christ une victoire de l’amour; mon fils, le meilleur pardon est le repentir… »
Beaucoup plus tard, en 1978, Bruno rencontrera Jean Paul II, et celui-ci lui dira: «Tu as vu la Mère de Dieu, tu dois donc devenir un saint ! »
La Vierge Marie recommanda la prudence à Bruno Cornacchiola, l'avertit des épreuves à venir et évoqua son Assomption : "Mon corps ne s'est pas corrompu, car il ne pouvait se corrompre. Mon divin Fils et les anges sont venus à ma rencontre à l'heure de ma mort."
Le 9 décembre 1949, Bruno rencontra Pie XII et lui remit le poignard avec lequel il avait envisagé de le tuer avant les apparitions et sur lequel il avait gravé : "Mort au pape".
Le 23 février 1982, la Vierge apparut à nouveau Bruno et lui demanda la construction d’une "maison-sanctuaire" en l’honneur de la Vierge de la Révélation. Elle ajouta : "Viendront y prier les assoiffés, les égarés. Ils y trouveront l’amour, la compréhension, la consolation : le vrai sens de la vie.
Ici, dans cet endroit de la grotte où je suis apparue plusieurs fois, ce sera le sanctuaire de l’expiation, comme si c’était le purgatoire sur la Terre. Il y aura une porte au nom significatif de porte de la Paix. Tous devront entrer par cette porte."
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Les Trois fontainesUn émule de saint Paul ?
L’homme qui s’est mis en colère, mais qui appelle aussi Dieu à son secours, s’appelle Bruno Cornacchiola.
Né en banlieue romaine d’une famille difficile, baptisé, l’enfant se trouve vite à la rue, et quand il rentre chez lui, il va jusqu’à battre violemment sa mère.
Malgré sa première communion, faite presque par hasard, il ne connaît plus Dieu et se livre aux misères et à la brutalité de la zone.
En 1936, à 23 ans, il épouse, en catimini, à la sacristie, Yolande, pourtant catholique pratiquante. Ils ont vite une fille, Isola. Mais, appâté par le gain et par sympathie pour les «rouges », il s’enrôle la même année comme volontaire dans la guerre civile espagnole. Il y rencontre un Allemand, estafette comme lui, luthérien fanatique, qui, la bible sans cesse en mains, lui enseigne la haine du catholicisme, en particulier de la messe, de la Vierge et du Pape, n’ayant pas de peine à influencer Bruno, peu instruit de sa foi d’enfance.
Avant de rentrer en Italie, il achète à Tolède un couteau et grave sur le manche: «mort au Pape». A son retour, l’apostat n’a qu’une idée: détruire l’Eglise, en retournant l’Ecriture contre elle-même, et voulant jusqu’à poignarder le Saint-Père. Il met aussitôt son programme en action. Devenu conducteur de bus, un jour, il fait trébucher un prêtre, qui doit être hospitalisé. Il se fait propagandiste passionné, ouvrant un centre pour les jeunes, et veut convertir de force sa femme au protestantisme.
Bien qu’il ait d’elle deux autres enfants, il la menace à cause de sa fidélité à sa foi, et se met à la frapper de plus en plus violemment, sous les yeux éplorés des petits.
Après avoir détruit les images pieuses de la maison, il en arrive à la Madone de Pompéi, qu’il blasphème: «Non, supplie la pauvre femme, ne fais pas ça, je l’ai tant priée pour que tu reviennes sain et sauf d’Espagne!»
«Je fais ce que je veux!», rétorque le mari. Et dans sa haine diabolique, il brûle non seulement l’icône, mais arrache le crucifix de leur chambre, le brise et le jette aux ordures. Elle fait une dernière tentative: une neuvaine des premiers vendredis du mois, qui échoue — apparemment — et elle suit son époux, par amour, pour ne pas briser le ménage et sauver les enfants, interdits de catéchisme.
On est alors en 1947; le persécuteur du Christ a 34 ans.
Comme saint Paul, il va être terrassé par une lumière, celle de la foi…
(Source Bernard BALAYN/ Editions du Parvis 1 / Editions du Parvis 2 )
D’après une tradition du Ve siècle, c’est aux Aquae salviae, sur la via Laurentina, qu'a été décapité l’apôtre saint Paul. Selon la légende, la tête de saint Paul aurait rebondi trois fois sur le sol, et à chacun de ces trois emplacements une source aurait miraculeusement jailli : d’où le nom de « Trois-Fontaines ». On a trouvé trace d’un édifice sacré datant du Ve siècle et construit à la mémoire de Paul.
Une église est construite dans laquelle on peut voir ces trois sources aménagées. Dans une chapelle latérale, une grande peinture murale moderne raconte le prodige. Dans la crypte de l'église se trouve un réduit où Paul aurait été emprisonné.
Cette église ne fait pas partie du monastère cistercien. Au même endroit, de nombreux soldats chrétiens, autour du tribun Zénon, subissent le martyre durant la persécution de Dioclétien vers 298. (Source wikipedia.org)
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