Fin des lacrymations de Civitavecchia (1995)
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“C’est vrai, la Madone a pleuré entre mes mains”
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Le 5 avril 1995, Monseigneur Grillo, évêque de Civitavecchia, ville italienne de la province de Rome, reconnaît personnellement les faits : “ C’est vrai, la Madone a pleuré entre mes mains, et il y avait quatre ou cinq témoins … Je venais juste de célébrer ma Messe, il était 8h15 du matin, le 15 mars. J’ai pris la statuette et, tandis que je récitais le Salve Regina, elle a recommencé à pleurer sous mes yeux…”
Les conclusions de la commission sont les suivantes : les lacrymations successives de la première statuette de la Sainte Vierge appartenant à la famille Gregori sont des faits objectifs et toute hypothèse de supercherie est définitivement écartée. La commission a également conclu que le phénomène ne pouvait avoir d’explication scientifique et qu’il ne pouvait s’agir d’une intervention diabolique dans la mesure où la statue avait été exorcisée par l’Evêque.
Les théologiens ont également constaté les fruits attribués aux lacrymations : grâces reçues, conversions, ferveur et dévotion. La commission a rendu un avis très favorable et l’Evêque a d’ores et déjà reconnu les faits comme étant des signes du Ciel.
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