Prier sur la montagne
JACQUES GAUTHIER (142)
11.08.2015
À cause de son élévation vers le ciel, la montagne est considérée dans plusieurs traditions religieuses comme un lieu de paix qui rapproche de Dieu. Jésus lui-même se retirait sur les montagnes pour prier son Père.
On retrouve quelques montagnes dans la Bible où se vit l'expérience de la rencontre de Dieu: Sinaï, appelé aussi Horeb; Sion qui désigne Jérusalem; les montagnes anonymes de la multiplication des pains chez Jean, des béatitudes chez Matthieu, et de la transfiguration, que la tradition identifie comme le Thabor.
Cette montagne est une véritable oasis de paix qui surplombe la Galilée. J'ai eu la grâce de m'y rendre un jour lors d'un cours biblique en Israël et je n'oublierai jamais le calme qui y régnait. Vous avez peut-être déjà ressenti cette expérience de plénitude intérieure quand on prie, seul ou avec d’autres, sur la montagne. L'air devient plus frais à mesure que l'on monte, le corps se fatigue et l'âme lui vient en aide comme un vieux couple qui avance en silence. Tout s'intériorise. Arrivé au somment, l'immensité se découvre et l'on devine parfois le mystère d'une présence plus grande que soi, intime et lumineuse. Nous vivons alors une sorte de transfiguration.
Lire la suite dans Le blogue de Jacques Gauthier
sources: LE BLOGUE DE JACQUES GAUTHIER
Au calme et plus près du ciel : la montagne est un lieu propice à l’élévation de l’âme vers Dieu où Jésus lui-même aimait se retirer pour prier son Père.
JACQUES GAUTHIER (142)
11.08.2015
Jacques Gauthier
À cause de son élévation vers le ciel, la montagne est considérée dans plusieurs traditions religieuses comme un lieu de paix qui rapproche de Dieu. Jésus lui-même se retirait sur les montagnes pour prier son Père.
On retrouve quelques montagnes dans la Bible où se vit l'expérience de la rencontre de Dieu: Sinaï, appelé aussi Horeb; Sion qui désigne Jérusalem; les montagnes anonymes de la multiplication des pains chez Jean, des béatitudes chez Matthieu, et de la transfiguration, que la tradition identifie comme le Thabor.
Cette montagne est une véritable oasis de paix qui surplombe la Galilée. J'ai eu la grâce de m'y rendre un jour lors d'un cours biblique en Israël et je n'oublierai jamais le calme qui y régnait. Vous avez peut-être déjà ressenti cette expérience de plénitude intérieure quand on prie, seul ou avec d’autres, sur la montagne. L'air devient plus frais à mesure que l'on monte, le corps se fatigue et l'âme lui vient en aide comme un vieux couple qui avance en silence. Tout s'intériorise. Arrivé au somment, l'immensité se découvre et l'on devine parfois le mystère d'une présence plus grande que soi, intime et lumineuse. Nous vivons alors une sorte de transfiguration.
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sources: LE BLOGUE DE JACQUES GAUTHIER