12 août 2015
La Science moderne confirme la Bible : les serpents à pattes ont existé
Une découverte toute récente relance le débat sur l’Évolution des espèces. Après le serpent à deux pattes découvert voici près de 10 ans en Argentine, c’est au Brésil que vient d’avoir lieu la découverte suivante d’un serpent à quatre pattes cette fois. Celle-ci confirme la véracité de la Bible dans laquelle on peut lire que le serpent, maudit par Dieu, perd ses pattes et se retrouve à devoir ramper sur le sol (livre de la Genèse, chapitre 3).
Aucun doute n’est possible concernant cette découverte, publiée dans la très sérieuse revue Science le 24 juillet. On peut y lire que les ancêtres de ces reptiles avaient une origine terrestre et non marine.
Etudiée depuis 2012 par un paléobiologiste de Plymouth, cette nouvelle espèce a été nommée Tetrapodophis amplectus. Datant du début du Crétacé (entre 146 et 100 millions d’années), elle présente des similarités avec les serpents modernes, comme sa structure vertébrale lui permettant d’étouffer ses proies en les serrant.
La Science moderne confirme la Bible : les serpents à pattes ont existé
Une découverte toute récente relance le débat sur l’Évolution des espèces. Après le serpent à deux pattes découvert voici près de 10 ans en Argentine, c’est au Brésil que vient d’avoir lieu la découverte suivante d’un serpent à quatre pattes cette fois. Celle-ci confirme la véracité de la Bible dans laquelle on peut lire que le serpent, maudit par Dieu, perd ses pattes et se retrouve à devoir ramper sur le sol (livre de la Genèse, chapitre 3).
Aucun doute n’est possible concernant cette découverte, publiée dans la très sérieuse revue Science le 24 juillet. On peut y lire que les ancêtres de ces reptiles avaient une origine terrestre et non marine.
Etudiée depuis 2012 par un paléobiologiste de Plymouth, cette nouvelle espèce a été nommée Tetrapodophis amplectus. Datant du début du Crétacé (entre 146 et 100 millions d’années), elle présente des similarités avec les serpents modernes, comme sa structure vertébrale lui permettant d’étouffer ses proies en les serrant.