L'ARC-EN-CIEL DES RACHETES

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    ÊTES-VOUS ANXIEUX (EUSE) ??? VOICI LA SOLUTION...

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    Message par Invité Ven 27 Aoû 2010 - 15:28

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    Etes-vous anxieux ?


    Existe-t-il aujourd'hui un problème plus commun que celui de l'anxiété ? Il suffit de lire les statistiques concernant la consommation de tranquillisants, de somnifères, de calmants en tous genres dans notre pays pour être convaincu que c'est là l'un des principaux maux de notre génération. Le Dr Marc Gatfossé, qui exerce dans la région parisienne, est journellement confronté à cette question. Il tente ici de l'envisager en tant que chrétien.

    L'anxiété est, en soi, une réaction physiologique normale, salvatrice. Elle est « anormale » si elle est trop intense ou trop prolongée. Elle se manifeste dans la vie quotidienne sous diverses formes et sous divers noms : anxiété, angoisse, peur, trac, déprime, mal-être, etc.

    Il existe des réponses toutes faites, de plusieurs natures, qui, toutes, ont leurs limites. Il y a la réponse médicale (« il n'y a qu'à » prendre des médicaments), la réponse psychologique (« il n'y a qu'à » chercher l'explication dans son enfance, son histoire), la réponse chrétienne (« il n'y a qu'à » prier et exercer sa foi). En fait, les situations sont diverses :







    L'anxiété « salubre »

    C'est une réponse normale à un événement. Elle a valeur de signal d'alarme, entraîne une réaction face à cet événement (par exemple : « la peur donne des ailes » etc.). Celle-ci, qui nous permet de réagir, a un intérêt physique, vital. C'est l'absence de toute anxiété qui serait pathologique, entraînant une perte de capacité relationnelle, une indifférence, une passivité. On peut dire que l'anxiété est un sentiment positif quand elle entraîne une réaction.






    L'angoisse « existentielle »

    C'est un sentiment plus profond, en rapport avec la peur de la mort (« Ni le soleil ni la mort ne peuvent se regarder en face » - La Rochefoucauld), et la peur du jugement.
    Ce sentiment peut parfaitement répondre à un travail sur la conscience, en rapport avec la prise de conscience de péché entraînant un sentiment d'angoisse, de culpabilité. C'est là un élément de la démarche qui trouve sa solution définitive dans l'acceptation du salut par l'ouvre de Jésus-Christ.







    L'anxiété « quotidienne »

    Diffuse, ponctuelle ou réactionnelle, tout le monde l'a expérimentée d'une façon ou d'une autre. Elle se manifeste par plusieurs signes :

    - Des signes psycho-sociaux : passivité, apraxie, ou au contraire agressivité ; une activité répétitive, non productive; une incapacité de concentration.

    - Des signes physiques : tachycardie (battements de cour), sueurs, troubles digestifs, ongles rongés, insomnie...

    Cette notion de psychosomatique - c'est-à-dire de lien entre le psychique et le corporel - est bien soulignée dans la Bible : voir par exemple Proverbes 14.30 et 17.12. Les manifestations sont variables selon le terrain - la personnalité de chacun. On peut être de nature plus ou moins anxieuse. Il y a un lien avec l'affectivité. Globalement, les personnalités sensibles sont plus volontiers anxieuses.

    Plusieurs formes existent, selon la personnalité : il y a l'anxieux « extériorisé » (il crie, il pleure), il y a l'anxieux « rentré » (il ne dit rien, mais il souffre de l'estomac, il a des migraines...).






    Le chrétien et l'anxiété

    Devant ce sentiment qu'il n'aime pas, qui souvent lui paraît suspect, le chrétien peut se poser plusieurs questions :

    1. N'est-ce pas une réaction physiologique, normale, protectrice dans une situation donnée ?

    2. L'anxiété doit-elle m'amener à la conviction de péché ? C'est souvent un des mécanismes qui mènent à la conversion, mais après, la culpabilité est-elle toujours légitime ? De manière générale, un sentiment d'anxiété qui conduit à la sidération, à l'immobilisme, n'entre pas a priori, dans une démarche positive.

    3. Ai-je le droit d'être anxieux ?
    Quelques tentatives de réponse à partir de textes bibliques


    Nombreux sont les textes qui nous parlent de paix et d'apaisement dans les Psaumes.

    Citons par exemple :
    - Ps 91.5 : « Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit, ni la flèche qui vole le jour
    ».
    - Ps 116.2 : « II a tendu vers moi une oreille attentive
    ».
    - Ps 116.3 : «
    La mort me tenait déjà enchaîné, et le monde des ombres resserrait sur moi son étreinte - j'étais pris de détresse et d'angoisse ».
    - Ps 116.10 : «
    J'avais confiance lorsque je disais 'je suis bien malheureux' »
    - Es 41.10 : « N'aie pas peur maintenant, car je suis avec toi, ne lance pas ces regards inquiets, car ton Dieu, c'est moi
    ... »
    - Es 30.15 : « Vous ne serez sauvés qu'en revenant à moi, et en restant tranquilles. Votre seule force c'est de garder votre calme, et de me faire confiance... »







    La paix au centre de multiples versets, par exemple :

    - Ps 55.17-29 : « J'appelle Dieu au secours... matin, midi et soir je me plains, je soupire... Il entend mon appel. Il prie pour me délivrer : II s'approche de moi... »
    - Ps 35.27 : « Le Seigneur est grand. Il est heureux de donner satisfaction à son serviteur..
    . »
    - Jn 14.17 : « Je demanderai au Père de vous donner quelqu'un d'autre pour vous aider... afin qu'il soit toujours avec vous... vous le connaissez parce qu'il demeure avec vous, et qu'il est en vous. Je ne vous laisserai jamais seuls
    ».
    - Rm 8.34 : «
    Jésus-Christ est mort, il est ressuscité. Il est à la droite de Dieu et il prie pour nous ».
    - Rm 8.38 : «J'ai la certitude que rien ne peut nous séparer de son amour - ni la mort, ni la vie, ni les anges, ni d'autres autorités, ou puissances célestes, ni le présent, ni l'avenir... »


    Dans le Psaume 107,
    nous pouvons voir quelques détails sur la délivrance de notre Dieu. Voir verset 6 : « Dans leur détresse, ils crièrent à l'Eternel, et il les délivra de leurs angoisses ».


    1. Dans ce psaume, nous trouvons plusieurs situations de vie auxquelles Dieu donne ses réponses. Versets 4 et 5, la solitude, la traversée du désert. En réponse aux cris de ses enfants, Dieu les délivre de leurs angoisses, mais il va plus loin qu'une psychothérapie. Il les conduit dans le chemin jusqu'à la situation de sécurité (v. 7).

    2. Voir versets 10 à 12. Il est question de l'esclavage, de l'ombre de la mort (conséquence de l'isolement). Ces personnes se sont révoltées contre Dieu, elles avaient méprisé ses conseils... Cependant, dans leur détresse, leur isolement, elles osent encore s'adresser à Dieu. Elles envoient un S.O.S., un cri de détresse : Dieu répond. Encore une fois, il les délivre de leurs angoisses (v. 13). Il va plus loin : il les fait sortir de leurs ténèbres, il rompt leurs liens et // les invite à louer l'Eternel !

    3. Encore une situation de désespoir, de dépréciation. Ces enfants de Dieu sont de nouveau rendus malheureux. Ils ont « perdu l'appétit ». Voilà une troisième fois qu'ils crient vers l'Eternel et une troisième fois nous lisons la petite phrase-clé : « II les délivra de leurs angoisses ». Il le fait en envoyant la guérison et sa parole, et il demande à ses enfants, revenus à lui, la louange, des sacrifices et un témoignage.

    4. Même après ces trois expériences, la bonté de Dieu n'est pas épuisée. Après l'isolement, le découragement, la révolte, après la misère et les chaînes, nous trouvons la fuite, nous trouvons l'activisme. Même la fuite n'empêche pas de rencontrer Dieu. Au cour même de la tempête, voilà qu'on le trouve ! Encore une fois son peuple crie, et encore une fois Dieu répond : « Il les délivra de leurs angoisses
    »
    Encore et toujours, Dieu va plus loin. Il dépasse nos besoins urgents ! Dans ce cas, il « arrête la tempête et ramène le calme » et plus encore : il les « conduit au port désiré »! Comme conclusion à cette expérience. La bénédiction de Dieu est plus forte que les angoisses de l'homme ! Et il est toujours prêt à entendre un simple cri, même au milieu de la tempête.

    Des textes de l'Evangile méritent d'être mentionnés
    (les écrits des premières églises font partie du « fond culturel »du chrétien.
    Luc 8.22 raconte l'histoire de la tempête. A noter la différence entre l'anxiété des disciples et le sommeil calme de Jésus ! Pourtant, Jésus lui-même a connu l'angoisse. Comment son incarnation aurait-elle pu être complète s'il n'avait pas accepté cette situation si profondément humaine ?


    1. Rappelons-nous Gethsémané. Marc 14.33 : « Il commença à éprouver de la frayeur, et des angoisses
    » - jusqu'à la mort (Es 53.4).

    2. L'agonie. L'angoisse contenue dans le cri de Jésus : « Mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? » Cela dépasse sans aucun doute notre compréhension, mais sachons qu'en cet instant même, ce sont nos angoisses qu'il a portées.

    En pratique
    1. Il y a l'angoisse « de base » - devant la reconnaissance de notre incapacité à bien agir (« correction de péché »). N'est-ce pas logique ? Cette situation ne trouve de solution que dans la rencontre avec le Christ (c'est la « communion »).


    2. Le chrétien a bien le «droit» d'être anxieux ! C'est encore un homme. Jésus lui-même a connu l'anxiété et il laisse l'exemple de la bonne démarche à adopter : crier vers Dieu !
    - Dans la peine... un cri spontané a plus de valeur qu'une « belle prière » artificielle.
    - Même si un cri reste inarticulé, il faut se rappeler que Dieu « tend l'oreille ».
    - Chercher la cause s'il y en a une : c'est parfois le manque de foi, mais pas toujours ! Il ne faut pas systématiser, et il faut se garder d'une fausse culpabilité. L'angoisse qui conduit à l'immobilisme est suspecte ! Il ne faut pas repousser, négliger ou dédaigner d'autres éléments de réponse qui sont utiles, voire indispensables. Il y a entre autres : le repos, le partage avec les frères (la « communion »), la prière, les médicaments et parfois la psychothérapie, les « petits trucs » tels qu'une activité sportive avec mise en condition, etc.
    La finalité c'est d'être délivré de l'anxiété immédiate... Mais aussi avec l'aide de Dieu, de régler le problème de l'origine de l'anxiété.

    Pouvoir louer Dieu après avoir vécu l'épreuve est souvent plus riche, plus formateur que de vivre sans épreuves, ou sans problèmes. Une vie sans épreuves existe-t-elle ? (Marc Gatfossé)




    Source: www.rosee.org

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    Message par Invité Mar 21 Sep 2010 - 13:26

    Louer même quand rien ne marche...

    ÊTES-VOUS ANXIEUX (EUSE) ??? VOICI LA SOLUTION... Fille+d%C3%A9courag%C3%A9Pourquoi t'abats-tu, mon âme, et gémis-tu au dedans de moi? Espère en Dieu, car je le louerai encore; Il est mon salut et mon Dieu. (Psaumes 43:5 )



    J’étais entrain d’envoyer un texto à une bien-aimée pour qui le Saint-Esprit m’avait demandé d’apporter le soutien de Dieu par sa Parole, lorsqu’en écrivant le verset de la Bible qui devrait lui apporter la paix et l’espérance, ma propre expérience avec Dieu m’a été renvoyée au visage. J’ai vu toutes les épreuves par lesquelles aujourd’hui le Maître exige que je passe. J’ai encore senti les souffrances de mon cœur qui disait : Seigneur combien de temps encore ? Mais l’Esprit consolateur m’a ramené à ce verset ci-dessus pour détourner mes pensées de toute réflexion en l’encontre de Dieu afin que mon âme ne se détourne pas de mon créateur pendant tout le temps que sa Majesté a décidé que je vive ces conditions.





    Pour traverser nos moments d’épreuves dans la victoire, nous devons en effet réaliser que Dieu utilise notre faiblesse pour glorifier son nom. Là où nous n’avons plus de dignité ou de considération devant les hommes, là où nous ne sommes plus capables de nous faire valoir par nos propres efforts, Dieu se lève toujours à notre louange pour glorifier son nom.

    Voilà pourquoi l’Esprit qui sonde les profondeurs de Dieu, qui connaît les pensées de Dieu pour nous, nous conseille de louer le Seigneur en tout temps, même quand rien ne marche. Le louer, même quand rien ne marche.



    En réalité, c’est ici que, souvent les choses se compliquent. Nombreux parmi ceux qui avaient les mains levées, les baisent lorsque la couleur des événements change, et que les choses ne vont plus dans le sens de leur espérance. Leur tragédie naît à partir du moment où ils veulent ramener Dieu dans leur logique. Chercher à ce que Dieu voie les choses comme toi est un grand risque qui a causé beaucoup d’amertumes dans les cœurs. Une espérance vaine est celle qui n’est pas établie sur la volonté de Dieu, sur la pensée de Dieu, même concernant notre vie.



    Il y a des feux qui ne s’allument que par la louange d’un cœur éprouvé, pour embraser et consumer tous les liens de l’adversité.

    Si nous adhérons au plan de Dieu, nous comprendrons que tout ce qu’il fat, il le fait pour sa gloire, et tout ce qu’il accomplit, il l’accomplit en notre faveur. Dieu n’a jamais conçu et planifié contre nous le malheur et la détresse. Il n’a jamais cherché à nous détruire. Souvent, le malheur et la souffrance sont des instruments à son service lorsque son plan l’exige. Si la gloire qu’il veut faire éclater exige un parcours donné, Dieu l’utilisera. Sa souveraineté ne se marchande pas et personne ne comprendra pourquoi l’humilité précède la gloire. Dans l’un ou l’autre cas, il en assume le contrôle.



    C’est lui qui a établi les ténèbres avant d’emmener la lumière à l’existence. Si le soleil a emmené le jour, les ténèbres ont fait exister la nuit, déjà longtemps avant. En d’autres termes, Dieu sait parfaitement faire usage aussi bien des ténèbres que de la lumière, du jour que de la nuit.

    Nous voulons par ceci exercer notre entendement à accepter ce qui peut se révéler être la volonté de Dieu, et par conséquent, le louer à cet effet. Les situations difficiles, ainsi que les circonstances désagréables qui nous accompagnent souvent, sont entre les mains de Dieu, des instruments de notre propre perfection. Avant que Dieu ne trouva bonne la création, la Bible nous révèle que « la terre était informe et vide… » Avant que l’homme ne devint le chef d’œuvre de Dieu, fait à sa propre image, il n’était que poussière. Et pendant tout le temps qui a marqué son histoire avec l’homme, Dieu a souvent procédé de la sorte. Des ténèbres à la lumière, des pleurs aux cris de joie, de la poussière de la pauvreté à la gloire.



    Les deux étapes sont divinement comptabilisées dans le plan de Dieu pour le bonheur de ceux sur qui elles sont sensées s’appliquer. « Si tu traverses les eaux, je serai avec toi; Et les fleuves, ils ne te submergeront point; Si tu marches dans le feu, tu ne te brûleras pas, Et la flamme ne t'embrasera pas, car je suis l’Eternel ton Dieu » (Esaïe 43:2, 3)



    Dieu veut qu’on le loue en toutes circonstances, et cela nous aidera à traverser avec bonheur, l’étape d
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    souffrances et ce n’est que de cette manière que nous vaincrons avec joie, les épreuves. Le louer dans les moments de douleur est une grande épreuve de notre foi en Dieu et de la confiance en celui qui peut changer les cours de notre histoire. C’est ainsi qu’on peut traverser des eaux sans que les fleuves ne nous submergent, comme Dieu nous le dit par le prophète Esaïe. C’est ainsi aussi qu’on peut marcher dans le feu sans que cela ne nous brûle ou que la flamme ne nous embrase.

    Alors aujourd’hui, si tu te retrouves dans des situations difficiles, si ton âme est dans la tristesse et ton cœur en peine, si tes lèves ont du mal à s’ouvrir pur le louer malgré tout, sache que Dieu est toujours présent au rendez-vous de la louange et de l’adoration d’un cœur meurtri. En effet, ne peuvent louer Dieu dans les épreuves que ceux qui ont pleinement confiance en lui et qui peuvent proclamer à l’unisson avec le frère Job : « je sais que mon Rédempteur est vivant et se lèvera le dernier »

    Alors, comme le Frère David dis : je le louerai encore, et puis… loue l’Eternel ton Dieu et les ténèbres disparaitront, dans la splendeur de son nom et la clarté de lumière de son amour pour toi.

    Source: www.vieinfluente.com

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