Serait-ce un ange que j’ai croisé au centre commercial ?
J’étais en état de choc et profondément déprimé… Et puis je l’ai rencontrée.
ALETEIA
RUSSELL E. SALTZMAN
13 JANVIER 2017
Serait-ce un ange que j’ai croisé au centre commercial ?
C’était, je crois, aux alentours de Noël, un peu avant, ou quelques jours après. Je me rappelle être allé faire les boutiques au centre commercial, emmitouflé dans mon manteau. Je me souviens aussi que c’était un mois ou deux seulement après que mon médecin eut insisté pour que je m’équipe d’une pompe à insuline afin de contrôler mon diabète. Je devais la porter depuis environ trois semaines.
Fabuleux gadget, il n’y a pas à dire, mais qui devient fastidieux avec le temps. Ajoutez à cela une maladie chronique et l’attention particulière qu’il faut y prêter en permanence… De plus, il y a 13 ou 14 ans, je voyais cette pompe comme un oiseau de mauvais augure. Je me rappelle encore l’impression de menace que j’ai ressentie quand on me l’a posée.
J’avais 47 ans quand mon diabète a été diagnostiqué. Mon médecin m’a dit que c’était un diabète de type II, qui pouvait être favorisé par l’obésité. Mais j’étais plutôt mince, disons 5 ou 6 kilos de plus que le poids que je faisais quand j’étais étudiant. D’ailleurs, mon médecin avait admis que j’étais un cas assez atypique de diabète type II.
Des diagnostics ultérieurs établirent qu’il s’agissait d’un diabète juvénile manifesté à l’âge adulte. « Appelons ça une version 1,5 améliorée », m’avait alors dit l’infirmière. Hum, très drôle.
Un an et demi après le diagnostic, j’étais devenu insulino-dépendant, il me fallait trois injections par jour. Cela ne m’embêtait pas de les faire. Mon approche était très mécanique, purement masculine, je dirais : « Contrôle des niveaux du véhicule, il manque de l’huile, je remplis le réservoir, on est bon pour repartir. » Six ans plus tard, je faisais cinq à sept injections quotidiennes avec la même approche. Cela m’allait toujours. Mais mes chiffres de taux de sucre dans le sang n’allaient pas bien, eux. Pas bien du tout, même.
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LIRE LA SUITE ICI : http://fr.aleteia.org/2017/01/13/serait-ce-un-ange-que-jai-croise-au-centre-commercial/
J’étais en état de choc et profondément déprimé… Et puis je l’ai rencontrée.
ALETEIA
RUSSELL E. SALTZMAN
13 JANVIER 2017
Serait-ce un ange que j’ai croisé au centre commercial ?
C’était, je crois, aux alentours de Noël, un peu avant, ou quelques jours après. Je me rappelle être allé faire les boutiques au centre commercial, emmitouflé dans mon manteau. Je me souviens aussi que c’était un mois ou deux seulement après que mon médecin eut insisté pour que je m’équipe d’une pompe à insuline afin de contrôler mon diabète. Je devais la porter depuis environ trois semaines.
Fabuleux gadget, il n’y a pas à dire, mais qui devient fastidieux avec le temps. Ajoutez à cela une maladie chronique et l’attention particulière qu’il faut y prêter en permanence… De plus, il y a 13 ou 14 ans, je voyais cette pompe comme un oiseau de mauvais augure. Je me rappelle encore l’impression de menace que j’ai ressentie quand on me l’a posée.
J’avais 47 ans quand mon diabète a été diagnostiqué. Mon médecin m’a dit que c’était un diabète de type II, qui pouvait être favorisé par l’obésité. Mais j’étais plutôt mince, disons 5 ou 6 kilos de plus que le poids que je faisais quand j’étais étudiant. D’ailleurs, mon médecin avait admis que j’étais un cas assez atypique de diabète type II.
Des diagnostics ultérieurs établirent qu’il s’agissait d’un diabète juvénile manifesté à l’âge adulte. « Appelons ça une version 1,5 améliorée », m’avait alors dit l’infirmière. Hum, très drôle.
Un an et demi après le diagnostic, j’étais devenu insulino-dépendant, il me fallait trois injections par jour. Cela ne m’embêtait pas de les faire. Mon approche était très mécanique, purement masculine, je dirais : « Contrôle des niveaux du véhicule, il manque de l’huile, je remplis le réservoir, on est bon pour repartir. » Six ans plus tard, je faisais cinq à sept injections quotidiennes avec la même approche. Cela m’allait toujours. Mais mes chiffres de taux de sucre dans le sang n’allaient pas bien, eux. Pas bien du tout, même.
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