14 janvier 2018
Cette prière demande au Seigneur d'accorder à une âme défunte le repos dans « un lieu lumineux […] loin de la souffrance, de la douleur et des gémissements ».
Tout au long de l’année, il nous est souvent rappelé de prier pour les âmes de nos proches défunts, membres de notre famille et amis. L’Église propose de nombreuses prières issues de son riche patrimoine, parmi lesquelles : la « Prière pour les défunts », empruntée à la tradition byzantine.
Aujourd’hui, la prière est intégrée au Compendium du Catéchisme de l’Église catholique. À l’origine, elle faisait partie du service mémoriel pour les défunts de l’Église d’Orient, appelé Panachida. Cette prière est généralement récitée auprès de la tombe du défunt, en conclusion de l’office commémoratif.
Elle donne une image resplendissante du Paradis, et demande à Dieu de faire descendre sa miséricorde sur l’âme du défunt, afin qu’elle trouve le repos éternel.
Lire la prière : Découvrez cette ancienne et magnifique prière pour les défunts - Aleteia
par Philip Kosloski
Cette prière demande au Seigneur d'accorder à une âme défunte le repos dans « un lieu lumineux […] loin de la souffrance, de la douleur et des gémissements ».
Tout au long de l’année, il nous est souvent rappelé de prier pour les âmes de nos proches défunts, membres de notre famille et amis. L’Église propose de nombreuses prières issues de son riche patrimoine, parmi lesquelles : la « Prière pour les défunts », empruntée à la tradition byzantine.
Aujourd’hui, la prière est intégrée au Compendium du Catéchisme de l’Église catholique. À l’origine, elle faisait partie du service mémoriel pour les défunts de l’Église d’Orient, appelé Panachida. Cette prière est généralement récitée auprès de la tombe du défunt, en conclusion de l’office commémoratif.
Elle donne une image resplendissante du Paradis, et demande à Dieu de faire descendre sa miséricorde sur l’âme du défunt, afin qu’elle trouve le repos éternel.
Lire la prière : Découvrez cette ancienne et magnifique prière pour les défunts - Aleteia
par Philip Kosloski