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    L'Église Catholique ne détient pas le monopole des abus sexuels ! Les protestants ne sont pas à l'abri !

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    Message par Invité Lun 27 Mai 2019 - 17:25

    27 mai 2019
    L'Église Catholique ne détient pas le monopole des abus sexuels ! Les protestants ne sont pas à l'abri ! Sans-titre-1-76-1200x600

    Près d’un jeune protestant sur 10 a quitté l’église parce qu’il ne s’y sentait pas « protégé du harcèlement sexuel »

    « Les résultats de cette étude sont similaires aux recherches précédentes menées au fil des ans. Les fidèles et le cadre de l’église ont statistiquement moins de cas de comportement immoral, mais ces problèmes ont toujours une présence réelle. »

    Life Way Research vient de publier les résultats d’un sondage effectué en ligne auprès de 1815 fidèles protestants. D’après Brad Waggoner, PDG par intérim de LifeWay Christian Resources, cette enquête a été réalisée afin que les églises deviennent des « lieux sûrs ».
    « Protéger les personnes des abus de toutes sortes devrait revêtir une importance capitale pour les églises. LifeWay a décidé de parrainer cette recherche car il est impératif que les églises soient des lieux sûrs où les gens peuvent entendre l’évangile et grandir dans leur marche avec Jésus-Christ. »
    Et si la grande majorité (94%) des protestants interrogés affirme que l’église est un lieu sûr où les enfants et les adolescents sont protégés de tout abus sexuel, le panel est partagé en ce qui concerne les pasteurs qui auraient abusé sexuellement d’enfants ou adolescents. En effet, à l’affirmation, « je crois qu’il y a bien plus de pasteurs protestants ont abusé sexuellement d’enfants ou d’adolescents que ce nous pensons », un tiers (32%) répond oui, l’autre tiers (37%) répond non, et le dernier tiers (31%) ne sait pas.

    Info Chrétienne - Courte reproduction partielle autorisée suivie d'un lien "Lire la suite" vers cette page

    Lire la suite : Près d’un jeune protestant sur 10 a quitté l’église parce qu’il ne s’y sentait pas « protégé du harcèlement sexuel »

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    Claire
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    L'Église Catholique ne détient pas le monopole des abus sexuels ! Les protestants ne sont pas à l'abri ! Empty Re: L'Église Catholique ne détient pas le monopole des abus sexuels ! Les protestants ne sont pas à l'abri !

    Message par Claire Lun 27 Mai 2019 - 23:24

    Aux Etats-Unis, la principale Eglise protestante rattrapée par le scandale des abus sexuels

    Révélé par deux quotidiens texans, celui-ci implique près de 400 pasteurs, bénévoles et éducateurs de la Southern Baptist Convention, durant deux décennies.

    Le Monde avec AFP Publié le 13 février 2019 à 01h39 - Mis à jour le 13 février 2019 à 08h19

    Temps de Lecture 3 min.

    L'Église Catholique ne détient pas le monopole des abus sexuels ! Les protestants ne sont pas à l'abri ! D65a86a_9a2f8282db4e4bf194e6f740d25a3780-9a2f8282db4e4bf194e6f740d25a3780-0

    Rassemblement pour dénoncer le traitement des femmes au sein de la Southern Baptist Convention à Dallas (Texas), le 12 juin 2018. JEFFREY MCWHORTER / AP


    Après les catholiques, la principale Eglise protestante des Etats-Unis, la Southern Baptist Convention (SBC), est à son tour secouée par un scandale sexuel de grande ampleur. Révélé par des journalistes, celui-ci implique près de 400 pasteurs, bénévoles et éducateurs sur deux décennies.

    Deux quotidiens texans, le Houston Chronicle et le San Antonio Express-News, ont enquêté pendant six mois sur ce réseau de 47 000 églises évangéliques, qui compte plus de 15 millions de membres, essentiellement dans le sud du pays. Leurs révélations dans une série d’articles publiés depuis dimanche sont accablantes. Depuis 1998, 380 membres du clergé de la SBC – ils ne font pas vœu de célibat – ont été accusés d’abus sexuels ayant fait plus de 700 victimes, la plupart mineures, ont établi les journalistes.


    Selon leur décompte, réalisé en épluchant des milliers de documents judiciaires, 220 pasteurs ou bénévoles ont été reconnus coupables de faits allant de la possession d’images pédophiles au viol, et des dizaines d’affaires restent en cours devant les tribunaux.

    « L’autonomie des Eglises comme excuse »


    Il y a probablement d’autres cas, ont reconnu des responsables de la SBC en appelant les victimes à se manifester. 
    « C’est l’heure du deuil et de la repentance, mais des changements arrivent », a écrit sur Twitter le président de la SBC, J. D. Greear. Le comité exécutif de la SBC profitera d’une réunion prévue la semaine prochaine pour « faire le point sur une étude commandée à l’été dernier [2018] à ce sujet », a précisé, mardi 12 février, à l’Agence France-Presse (AFP), un de ses porte-parole, Roger Oldham.

    A l’instar du Boston Globe, qui avait mis au jour en 2002 un vaste scandale dans le clergé catholique – retracé dans le film Spotlight –, les deux quotidiens texans accusent les responsables de la SBC de ne pas avoir pris la mesure du problème. Selon eux, des victimes avaient proposé, en 2007, une liste de dispositions destinées à empêcher de nouveaux abus, notamment la création d’un registre des pasteurs mis en cause. Elles s’étaient vu opposer une fin de non-recevoir.

    Les responsables de la SBC avaient mis en avant l’indépendance de leurs églises, seulement liées par un accord de « coopération » et très sourcilleuses sur leur autonomie. « Chaque congrégation gouverne ses propres affaires, il n’y a pas d’évêque, pas de supervision, a confirmé, mardi, à l’AFP Russell Moore, une des responsables de la SBC. Mais personne ne peut utiliser l’autonomie des églises comme excuse. »

    Une vision « horrible du pardon »


    En l’absence de fichiers centralisés, au moins trente-cinq religieux, bénévoles ou éducateurs ont pu passer d’une Eglise à l’autre malgré des antécédents troubles, ont établi les journalistes. 
    Ainsi, un pasteur de l’Illinois, Leslie Mason, condamné en 2003 pour deux agressions sexuelles, a recommencé à prêcher un peu plus loin après avoir purgé sa peine de prison. Un autre, Doug Myers, est parti travailler en Floride après avoir été soupçonné de comportements inappropriés envers des enfants en Alabama au début des années 2000 ; il y a agressé un garçon de 11 ans et a été finalement condamné en 2007.

    Parfois, les Eglises connaissaient leur passé. Elles avaient une vision « horrible du pardon » qui suppose de « donner une seconde chance à ces prédateurs », a estimé M. Moore. D’autres fois, elles ignoraient tout de leurs antécédents. La SBC aide bien ses congrégations à vérifier le casier judiciaire de ceux voulant entrer à leur service. 
    Depuis 2009, 320 000 vérifications ont eu lieu, mais elles ne portaient que sur les condamnations et pas sur les soupçons, relèvent les deux quotidiens. Leur investigation a été saluée par l’association de victimes des prêtres pédophiles SNAP, qui a appelé le système judiciaire à se saisir du dossier pour s’assurer que les personnes accusées d’agression ne puissent plus « faire de mal ».

    Lire aussi : Le Vatican bloque la prise de mesures de lutte contre les abus sexuels aux Etats-Unis

    A la suite d’un rapport sur des abus commis dans l’Eglise catholique de Pennsylvanie, une vingtaine d’enquêtes judiciaires ont été ouvertes aux Etats-Unis, où les diocèses ont dû ouvrir leurs archives. Aucun procureur ne s’était encore manifesté mardi sur de possibles investigations. Un nouvel article du Houston Chronicle et de San Antonio Express-News est attendu mercredi.


    https://www.lemonde.fr/international/article/2019/02/13/au-etats-unis-la-principale-eglise-protestante-rattrapee-par-le-scandale-des-abus-sexuels_5422680_3210.html
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    L'Église Catholique ne détient pas le monopole des abus sexuels ! Les protestants ne sont pas à l'abri ! Empty Re: L'Église Catholique ne détient pas le monopole des abus sexuels ! Les protestants ne sont pas à l'abri !

    Message par AZUR Mar 28 Mai 2019 - 15:27

    Donner une seconde chance à des prédateurs , pour des enfants?
    Nan mais n’importe quoi!
    Les enfants, on doit les protéger de tout cela.
    Le pardon, c’est ok, si la personne ne recommence plus: ces types sont des pervers, des malades.
    Ils n’arrêtent jamais.
    L’Eglise catholique a fait son méa culpa: c’est pareil pour ces congrégations protestantes, évangéliques.
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    Message par Invité Mar 28 Mai 2019 - 19:22

    L'Église Catholique ne détient pas le monopole des abus sexuels ! Les protestants ne sont pas à l'abri ! Cover

    Agressions sexuelles : le silence des Témoins de Jéhovah

    Exclusif - Déclaré non coupable d'agressions sexuelles, il est de nouveau dans la mire des enquêteurs de la Sûreté du Québec. Michel Courtemanche a-t-il été protégé par ses frères témoins de Jéhovah? Des haut placés connaissaient l'existence d'une autre victime potentielle… et ils auraient gardé le silence.

    Pénélope Herbert avait environ 10 ans lorsqu'elle se serait fait toucher sexuellement pour la première fois par Michel Courtemanche, qui, lui, frôlait les 30 ans.

    À l'époque, les deux familles fréquentent la Salle du Royaume des Témoins de Jéhovah de Mont-Laurier, dans les Laurentides, et se côtoient à l'extérieur.

    Ce que Pénélope décrit comme des compliments et des attouchements aurait graduellement évolué vers des contacts sexuels plus graves. À 11 ans, elle s'occupe des trois enfants du couple tous les lundis, pendant que Courtemanche et son épouse enseignent la Bible à de futurs témoins.

    « Quand il revenait, il envoyait sa femme soit aller chercher du restaurant ou louer un film. Puis il venait m'agresser dans la chambre. Je refusais toujours de mettre ma main sur son pénis et de prendre son pénis dans ma bouche, toujours », explique Pénélope, aujourd'hui âgée de 42 ans.

    Pour la faire taire, Courtemanche insinue que son père ne serait pas fier d'elle s'il savait ce qu'elle faisait, se souvient Pénélope. Elle n'a alors aucune notion d'éducation sexuelle et ne reconnaît pas l'horreur de sa situation.


    « Quand j'étais plus jeune, je pensais que tout le monde faisait ça dans la congrégation. Je cherchais à savoir qui faisait quoi avec qui », explique-t-elle, ajoutant qu'elle croyait alors que chaque homme avait une « maîtresse enfant ».

    « Je pensais que c'était la normalité », dit-elle.

    Les agressions auraient continué pendant plusieurs années, et ce même si la famille de Pénélope a quitté Mont-Laurier. Lors de ses visites, Michel Courtemanche aurait continué d'exiger des relations sexuelles complètes avec Pénélope, qui avait alors 15 ans.

    L'Église Catholique ne détient pas le monopole des abus sexuels ! Les protestants ne sont pas à l'abri ! 406

    La justice des hommes

    À 17 ans, Pénélope trouve le courage de repousser Courtemanche après avoir découvert un article sur la pédophilie dans le magazine des Témoins de Jéhovah. Il ne la touchera plus. Elle finira par tout avouer à ses parents, qui avertiront immédiatement la congrégation de Mont-Laurier.

    Bizarrement, toutefois, le processus de justice interne des Témoins de Jéhovah ne semble pas se mettre en branle (voir encadré).

    Georges Leclerc est alors dirigeant de la congrégation, un « ancien », selon le jargon de l'organisation. Il n'aurait pas cherché à recueillir la version de Pénélope, une étape pourtant obligatoire chez les Témoins. À l'époque, Michel Courtemanche et lui sont bons amis.

    Courtemanche sera réprimandé, mais il ne sera pas expulsé de la congrégation. Pénélope, elle, sera forcée de la quitter, car elle fréquente un nouveau petit ami sans être mariée.

    Désillusionnée, Pénélope se tourne alors vers ce que les Témoins surnomment « la justice des hommes » et dénoncera Michel Courtemanche à la Sûreté municipale de Mont-Laurier en 1994.

    Le dossier de police de l'époque frappe par sa minceur. Outre Pénélope, aucun autre témoin ne semble avoir été interrogé.

    Les parents de Pénélope Herbert soutiennent avoir subi des pressions des membres de leur congrégation à l'époque. Trois témoins de Jéhovah leur auraient demandé de convaincre leur fille de retirer sa plainte pour protéger la réputation de l'organisation.

    Pénélope refuse et Michel Courtemanche est accusé d'agression sexuelle et d'attentat à la pudeur.

    Le 19 décembre 1996, il est acquitté. Il ne reste aujourd'hui aucune trace des témoignages ni des motifs de ce jugement.

    Enquête a découvert que le juge, le procureur et les policiers de l'époque ne disposaient peut-être pas de toute l'information pertinente. Au moment du procès, des Témoins de Jéhovah savaient qu'une autre jeune fille avait déjà accusé Michel Courtemanche de l'avoir touchée de façon inappropriée.

    Lire la suite : Agressions sexuelles : le silence des Témoins de Jéhovah | ICI Radio ... https://ici.radio-canada.ca/.../09/agressions-sexuelles...temoins-jehovah.../index.html


    L'Église Catholique ne détient pas le monopole des abus sexuels ! Les protestants ne sont pas à l'abri ! Iciradiocanadaca

    Vidéo de 8 minutes de présentation d'une femme extraordinaire qui a été le déclencheur de la libération de nombreux ex témoins de Jéhovah de nos jours. Elle a dévoilé les abus sexuels sur enfants couvert par la Watchtower...



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    Message par Invité Mer 29 Mai 2019 - 18:44

    L'Église Catholique ne détient pas le monopole des abus sexuels ! Les protestants ne sont pas à l'abri ! 1a9e2eae9ce4c22c1c880bce4488041e_XL

    Convention baptiste du Sud : la radiation des Églises indifférentes aux abus sexuels et une liste des prédateurs à l’ordre du jour

    Aux Etats-Unis, la Convention baptiste du Sud (Southern Baptist Convention) veut changer de culture autour des crimes et des prédateurs sexuels. Elle devrait proposer à ses membres de radier les Eglises « indifférentes » à ce problème et de constituer une liste des prédateurs, pasteurs et bénévoles.

    Lors d’une rencontre les 18 et 19 février à Nashville, le Comité exécutif de la Convention baptiste du Sud a décidé de proposer un amendement à sa constitution, qui vise à exclure toute Eglise membre qui se montrera « indifférente aux problèmes des abus sexuels ». J. D. Greear, l’actuel président de la Convention baptiste, a souligné auprès de la chaîne de télévision CNN que les Eglises qui protégeaient les abuseurs « n’avaient pas leur place dans le cadre de la Convention baptiste du Sud ». Une dizaine d’Eglises « indifférentes » ont été nommées.

    Les critères de radiation

    Pour le président, cette attitude indifférente est évidente lorsqu’une Eglise emploie une personne condamnée pour crime sexuel, lorsqu’elle permet à un abuseur de travailler comme volontaire avec des mineurs, lorsqu’elle continue à employer une personne qui a caché illégalement des informations concernant un abus sexuel commis par un employé ou un bénévole…

    Cet amendement devra être approuvé par deux tiers des délégués aux rencontres annuelles 2019 et 2020 de la Convention baptiste du Sud.

    Un registre des abuseurs aussi sur la table

    J. D. Greear a aussi souligné, selon le Houston Chronicle, qu’un registre des responsables d’Eglises et des bénévoles condamnés ou accusés de manière crédible de crimes sexuels « était aussi sur la table ». Ce registre réclamé depuis de nombreuses années par les victimes et par les groupes de personnes concernées au sein de la Convention baptiste, a obtenu le soutien de nombreuses autres personnalités de la plus grande Eglise protestante américaine.

    Dans son discours d’ouverture lundi soir 18 février, le président de la Convention baptiste du Sud a invité les membres de sa fédération à « entrer dans une saison de pleurs, de deuil et de repentance », suite aux affaires de crimes sexuels mis au grand jour par les médias. Il a aussi indiqué que cette prise de conscience initiée par le Houston Chronicle et le San Antonio Express-News « n’était pas fabriquée par des gens hostiles à la foi chrétienne. Nous n’avons pas pris suffisamment au sérieux, a-t-il confessé, les comptes rendus d’abus dans nos Eglises, comme nous le demande l’Evangile. Parfois, nous avons même fait pire : nous avons ignoré délibérément les victimes et nous leur avons demandé de se taire. »

    Serge Carrel avec différents médias aux Etats-Unis (Houston Chronicle, Baptist Press et Christianity Today).

    Crimes sexuels : les 5 choses que les catholiques peuvent apporter aux baptistes du Sud


    Dans un article, le site Religion News Service propose aux membres de la Convention baptiste du Sud de retenir 5 choses que les catholiques ont apprises du scandale pédophile par lequel ils sont passés :

    • Ne pensez pas que cela va s’éteindre. Lorsque les victimes se mettent à témoigner et que les scandales éclatent, ce n’est que le début, pas la fin.
    • Dénoncez toutes les accusations d’abus à la police. Un abus sexuel n’est pas qu’un péché, c’est un crime !
    • Adoptez et développez la politique de la tolérance zéro pour les pasteurs et les employés des Eglises. La protection des mineurs est prépondérante.
    • Lorsque des responsables d’Eglises sont soupçonnés, mettez en place une instance qui puisse mener des recherches transparentes et crédibles.
    • Donnez la priorité aux victimes. Dans toute discussion autour des abus sexuels dans l’Eglise, le sujet central, c’est : aider les victimes à survivre et à se remettre des abus qu’elles ont subis. La réputation de l’Eglise, la réhabilitation d’un ministère, les finances de l’Eglise et la possibilité d’un scandale ne sont rien par rapport à l’aide à apporter aux victimes.



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    Message par Invité Jeu 30 Mai 2019 - 17:25

    L'Église Catholique ne détient pas le monopole des abus sexuels ! Les protestants ne sont pas à l'abri ! 151209_mb925_claude-guillot_sn1250

    L'Église baptiste évangélique s'excuse pour l'affaire Claude Guillot

    L'Association d'Églises baptistes évangéliques au Québec (AEBEQ) a exprimé ses regrets, mardi, à des présumées victimes de l'affaire Claude Guillot.

    Les faits qui lui sont reprochés se seraient produits de 1983 à 2014 à Victoriaville et Québec. L'homme a été arrêté en décembre 2015 par la police de Québec. Il fait face à 12chefs d'accusation de gestes de violence envers cinq jeunes.

    De jeunes garçons auraient été confinés dans un sous-sol où le pasteur leur aurait régulièrement asséné des coups de poing au visage et à l'abdomen. Ils auraient également été privés de nourriture et d'eau, puis forcés de se livrer à des exercices physiques excessifs.

    « Nous vous demandons pardon »

    L'AEBEQ indique avoir lancé une enquête interne et reconnaît avoir tardé à réagir.

    « Cela a donné l'impression que nous voulions cacher des choses, principalement aux victimes présumées, et que nous manquions de compassions à leur égard », a affirmé Louis Bourque, directeur général de l'Association.


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    Louis Bourque, directeur général de l'Association d'églises baptistes au Québec

    La plupart des enfants auraient été confiés au pasteur par leurs parents qui fréquentaient l'Église évangélique baptiste de Québec-Est, qui comprend un nombre restreint de fidèles.

    Des présumées victimes s'expriment

    C'est à la demande de présumées victimes que l'Association a présenté ses excuses. Un geste qui a été bien reçu, malgré la douleur toujours vive.

    « Nous ne pouvons nous empêcher de ressentir de la colère lorsque nous pensons à ceux parmi nous qui sont grandement hypothéqués académiquement, émotionnellement et mentalement », a indiqué l'une d'elles, sous le couvert de l'anonymat.

    Nous ne pouvons pas effacer de notre mémoire l'humiliation, ignorer la douleur physique et faire disparaître de nos cerveaux les abus psychologiques, émotionnels vécus lors de ces années les plus importantes de nos enfances.
    Une présumée victime sous le couvert de l'anonymat


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