Traduit par Mapack Martin Luther King
Note de l’Editeur: Cet essai est apparu pour la première fois lors du printemps 1998 à l’occasion de la livraison du de Kindred Spirit, le célèbre magazine Chrétien du Séminaire de Dallas. Nous nous en servons avec la permission de l’auteur.
Daniel B. Wallace
Le 10 Septembre 2003
:@: :@: :@:
C’étais un mois avant Noël, et les perspectives n’étaient guère réluisantes pour George Ponsford. Les médecins avaient détecté en lui un cancer de la lymphe, et ils ne lui donnaient que quelques mois à vivre. Tout le long de sa vie d’adulte, les questions de spiritualité n’avaient jamais été sa tasse de thé. L’approche de l’éternité et la question de sa position vis-àvis de Dieu l’effrayaient autant qu’il en était triste.
J’en étais venu à le connaître, ainsi que sa famille au travers d’un de mes fils. Georges et moi sommes grands pères communs de l’aimable fille de mon fils. Aussitôt donc que j’appris le diagnostic qui avait été fait de son cas, je lui exprimai mes regrets et l’assurai de mes prières. A mon insu, George se servait de son grand savoir-faire en informatique pour procéder à des recherches sur Internet qui étaient susceptibles de lui apporter les réponses aux questions spirituelles qu’il se posait. Un jour, mon fils me fit part du désir de George de me parler, et de son incapacité à pouvoir me rencontrer immédiatement du fait de sa maladie qui s’était aggravé.
Il fut admis à l’hôpital dans les jours qui suivaient et je me rendis donc à son chevet. En dépit de ses douleurs et de ses malaises, il avait pu me parler. Il avait procédé à des recherches sur Internet pour trouver des réponses m’avait-il dit. Lorsque je m’étais enquis de l’objet de ses recherches, il m’avait dit: “Le Ciel, le pardon et l’assurance.” “As-tu trouvé quoique ce soit?” demandai-je. “Oui,”dit-il, et il cita quelques passages de la Bible ainsi que la prière du Seigneur. Je lui demandai s’il croyait aux promesses contenues dans les passages qu’il avait lus. “Oui,” répondit-il. Tandis que les infirmières s’occupaient de lui, je le conduisis dans une prière simple d’actions de grâces pour ce dont j’étais convaincu être le salut de Dieu pour George.
Deux jours plus tard- et à la faveurs de son état qui s’améliorait- nous pûmes bavarder seuls et à bâtons rompus. Ce fut un moment formidable de communion que de parler du Seigneur et de nos familles. Du moment que George savait sa santé précaire, le Seigneur me conduisit à passer en revue tout ce que George m’avait dit deux jours plus tôt et à lui poser une question à laquelle sont familiers tous ceux qui ont étudié et qui se sont servis de l’ Explosion de l’ Evangélisation . “George,” demandai-je: “S’il arrivait que tu te retrouves en face de Dieu et qu’Il te demande si tu crois qu’Il devrait te laisser entrer dans Ses Cieux, quelle serait ta réponse?”
“Impossible!” répondit-il, “je suis un pécheur.”
“C’est donc cela.” Dis-je: “Tu n’as pas à entrer au ciel.”
“Oh! Oui!” dit-il: “Jésus est mort pour mes péchés.”
“George,” lui dis-je: “En vertu de la parole de Dieu et de ta croyance, je crois que tu as été sauvé. Ta réponse est exactement celle que j’espérais entendre.”
Il s’en était suivi une bonne communion et je m’étais permis de lui demander comment il s’était exactement servi d’Internet pour trouver les réponses qu’il cherchait. Grâce au moteur de recherches Yahoo, il avait d’abord introduit la clé de recherche qui est religion, puis Bible pour se consacrer exactement aux passages qui étaient relatifs au salut. Il avait trouvé le site du Séminaire de Théologie de Dallas ( Dallas Theological Seminary) (www.dts.edu) ainsi que celui de la Traduction Anglaise de la Bible (NET Bible) (www.bible.org) sites. Il avait téléchargé les parties qui se rapportaient au ciel, au péché, au pardon, et à l’assurance qu’il avait mémorisées-à l’instar de celles qu’il avait citées devant moi.
La cybervie? Le Cybersalut? Sont des concepts qui sonnent un peu bizarre, mais ils sont incontournables. Dieu s’était servi de Sa parole, du site web du DTS, de la NET Bible ( En partie traduite et devéloppée par les universitaires du séminaire de Dallas), et d’Internet pour subvenir aux besoins en salut de George Ponsford.En tant que témoin du miracle, je fus suffisamment béni autant que réjoui!
L’hospitalisation de George et l’histoire racontée plus haut se sont déroulées pendant la dernière semaine du mois de Janvier 1997. J’avais continué de lui rendre visite après même qu’il fut sorti de l’hôpital; en même temps je l’appelais et je l’encourageais. Avec l’aide de son beau-fils Jason, il avait continué d’étudier la Parole et il avait téléchargé tout le programme de suivi des nouveaux convertis que les Anciens Etudiants du Dallas Theoligical Seminary avaient élaboré sur un site web. George avait été d’autant plus encouragé qu’il avait lu le livre de Chuck Swindoll intitulé Hope Again. Le 31 Mars 1998 Le Seigneur l’avait rappelé à Lui. Quoique ces derniers jours ne furent pas aisés, il exhalait néanmoins de George un parfum de paix réelle et de réconciliation avec le Seigneur.
extrait du site bible.org
Note de l’Editeur: Cet essai est apparu pour la première fois lors du printemps 1998 à l’occasion de la livraison du de Kindred Spirit, le célèbre magazine Chrétien du Séminaire de Dallas. Nous nous en servons avec la permission de l’auteur.
Daniel B. Wallace
Le 10 Septembre 2003
:@: :@: :@:
C’étais un mois avant Noël, et les perspectives n’étaient guère réluisantes pour George Ponsford. Les médecins avaient détecté en lui un cancer de la lymphe, et ils ne lui donnaient que quelques mois à vivre. Tout le long de sa vie d’adulte, les questions de spiritualité n’avaient jamais été sa tasse de thé. L’approche de l’éternité et la question de sa position vis-àvis de Dieu l’effrayaient autant qu’il en était triste.
J’en étais venu à le connaître, ainsi que sa famille au travers d’un de mes fils. Georges et moi sommes grands pères communs de l’aimable fille de mon fils. Aussitôt donc que j’appris le diagnostic qui avait été fait de son cas, je lui exprimai mes regrets et l’assurai de mes prières. A mon insu, George se servait de son grand savoir-faire en informatique pour procéder à des recherches sur Internet qui étaient susceptibles de lui apporter les réponses aux questions spirituelles qu’il se posait. Un jour, mon fils me fit part du désir de George de me parler, et de son incapacité à pouvoir me rencontrer immédiatement du fait de sa maladie qui s’était aggravé.
Il fut admis à l’hôpital dans les jours qui suivaient et je me rendis donc à son chevet. En dépit de ses douleurs et de ses malaises, il avait pu me parler. Il avait procédé à des recherches sur Internet pour trouver des réponses m’avait-il dit. Lorsque je m’étais enquis de l’objet de ses recherches, il m’avait dit: “Le Ciel, le pardon et l’assurance.” “As-tu trouvé quoique ce soit?” demandai-je. “Oui,”dit-il, et il cita quelques passages de la Bible ainsi que la prière du Seigneur. Je lui demandai s’il croyait aux promesses contenues dans les passages qu’il avait lus. “Oui,” répondit-il. Tandis que les infirmières s’occupaient de lui, je le conduisis dans une prière simple d’actions de grâces pour ce dont j’étais convaincu être le salut de Dieu pour George.
Deux jours plus tard- et à la faveurs de son état qui s’améliorait- nous pûmes bavarder seuls et à bâtons rompus. Ce fut un moment formidable de communion que de parler du Seigneur et de nos familles. Du moment que George savait sa santé précaire, le Seigneur me conduisit à passer en revue tout ce que George m’avait dit deux jours plus tôt et à lui poser une question à laquelle sont familiers tous ceux qui ont étudié et qui se sont servis de l’ Explosion de l’ Evangélisation . “George,” demandai-je: “S’il arrivait que tu te retrouves en face de Dieu et qu’Il te demande si tu crois qu’Il devrait te laisser entrer dans Ses Cieux, quelle serait ta réponse?”
“Impossible!” répondit-il, “je suis un pécheur.”
“C’est donc cela.” Dis-je: “Tu n’as pas à entrer au ciel.”
“Oh! Oui!” dit-il: “Jésus est mort pour mes péchés.”
“George,” lui dis-je: “En vertu de la parole de Dieu et de ta croyance, je crois que tu as été sauvé. Ta réponse est exactement celle que j’espérais entendre.”
Il s’en était suivi une bonne communion et je m’étais permis de lui demander comment il s’était exactement servi d’Internet pour trouver les réponses qu’il cherchait. Grâce au moteur de recherches Yahoo, il avait d’abord introduit la clé de recherche qui est religion, puis Bible pour se consacrer exactement aux passages qui étaient relatifs au salut. Il avait trouvé le site du Séminaire de Théologie de Dallas ( Dallas Theological Seminary) (www.dts.edu) ainsi que celui de la Traduction Anglaise de la Bible (NET Bible) (www.bible.org) sites. Il avait téléchargé les parties qui se rapportaient au ciel, au péché, au pardon, et à l’assurance qu’il avait mémorisées-à l’instar de celles qu’il avait citées devant moi.
La cybervie? Le Cybersalut? Sont des concepts qui sonnent un peu bizarre, mais ils sont incontournables. Dieu s’était servi de Sa parole, du site web du DTS, de la NET Bible ( En partie traduite et devéloppée par les universitaires du séminaire de Dallas), et d’Internet pour subvenir aux besoins en salut de George Ponsford.En tant que témoin du miracle, je fus suffisamment béni autant que réjoui!
L’hospitalisation de George et l’histoire racontée plus haut se sont déroulées pendant la dernière semaine du mois de Janvier 1997. J’avais continué de lui rendre visite après même qu’il fut sorti de l’hôpital; en même temps je l’appelais et je l’encourageais. Avec l’aide de son beau-fils Jason, il avait continué d’étudier la Parole et il avait téléchargé tout le programme de suivi des nouveaux convertis que les Anciens Etudiants du Dallas Theoligical Seminary avaient élaboré sur un site web. George avait été d’autant plus encouragé qu’il avait lu le livre de Chuck Swindoll intitulé Hope Again. Le 31 Mars 1998 Le Seigneur l’avait rappelé à Lui. Quoique ces derniers jours ne furent pas aisés, il exhalait néanmoins de George un parfum de paix réelle et de réconciliation avec le Seigneur.
extrait du site bible.org