La porte de Pâques, le général et les prostituées
TD / ALETEIA
Mgr Benoist de Sinety - Publié le 05/04/21
Dans ce Royaume désormais accessible à tous, depuis que les ténèbres, déchirés par la Lumière, en ont démasqué le chemin, nous le savons, les prostituées nous précèdent (Mt 21, 31). Celles de l’Évangile, celles du monde, celles de nos rues : celle, croisée un jour devant la basilique St Pierre, qui pleurait de ne pouvoir communier car elle ne pouvait refuser de retourner au turbin le soir-même pour gagner son pain quotidien. Celles rencontrées autour d’une table d’un beau réveillon de Noël et qui chantaient à gorges déployées avec des visages de petites filles Gloria in excelsis Deo. Celles enfin sur lesquelles, plusieurs années de suite, lors des vigiles pascales, je fis couler l’eau baptismale avant de les consacrer par l’huile sainte. Elles étaient, celles-ci, amenées par une association, Tamaris, sise dans le centre de Paris. Une association modeste, portée par quelques bénévoles, armés de leur bonne volonté et d’un désir puissant d’accueillir et de protéger.
Elles étaient venues d’abord pour se poser, parler. Puis, invitées par ceux qui les recevaient, certaines prirent goût à la lecture des Écritures, la prière, et demandèrent le baptême. Elles firent ce vœu car elles voyaient « vivre des chrétiens », ceux qui leur avaient ouverte la porte de Tamaris et la porte de leurs vies.
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https://fr.aleteia.org/2021/04/05/la-porte-de-paques-le-general-et-les-prostituees/?fbclid=IwAR3kczETH_D-AwebzYae9JWmyTYwHRpQzojANmojhD6g7AIMBy9VG9cLpMU
TD / ALETEIA
Mgr Benoist de Sinety - Publié le 05/04/21
Grâce au général Henri Marescaux, diacre de Jésus Christ qui vient de retourner à Dieu ce Jeudi saint, des prostituées connurent la joie d’être baptisées le jour de Pâques.
Dans ce Royaume désormais accessible à tous, depuis que les ténèbres, déchirés par la Lumière, en ont démasqué le chemin, nous le savons, les prostituées nous précèdent (Mt 21, 31). Celles de l’Évangile, celles du monde, celles de nos rues : celle, croisée un jour devant la basilique St Pierre, qui pleurait de ne pouvoir communier car elle ne pouvait refuser de retourner au turbin le soir-même pour gagner son pain quotidien. Celles rencontrées autour d’une table d’un beau réveillon de Noël et qui chantaient à gorges déployées avec des visages de petites filles Gloria in excelsis Deo. Celles enfin sur lesquelles, plusieurs années de suite, lors des vigiles pascales, je fis couler l’eau baptismale avant de les consacrer par l’huile sainte. Elles étaient, celles-ci, amenées par une association, Tamaris, sise dans le centre de Paris. Une association modeste, portée par quelques bénévoles, armés de leur bonne volonté et d’un désir puissant d’accueillir et de protéger.
Le général et les prostituées
Elles étaient venues d’abord pour se poser, parler. Puis, invitées par ceux qui les recevaient, certaines prirent goût à la lecture des Écritures, la prière, et demandèrent le baptême. Elles firent ce vœu car elles voyaient « vivre des chrétiens », ceux qui leur avaient ouverte la porte de Tamaris et la porte de leurs vies.
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