Quand Dieu sourit aux audacieux !
3 août 2021
Leurs prières étaient osées voir gonflées ! Et pourtant, elles ont été exaucées.
Catherine 30 ans : « Je voulais un enfant »
Adolescente, je me voyais maman. Une fois mariée, la réalité était tout autre. Les médecins me donnaient une chance sur cinq d’avoir un enfant. J’ai prié, seule, avec mon mari, mon Église ou des amis, sans cesse, en suppliant Dieu de m’en donner un. Je ne pouvais imaginer ma vie sans enfant.
Lors d’un cours pour couples, nous avons reçu la conviction qu’un verset biblique était pour nous : « À la femme privée d’enfants, Dieu donne une maison, il fait d’elle une mère heureuse au milieu de ses enfants » (Ps. 113,9). Après deux ans et un traitement médical, Gaëlle nous a rejoint. Puis, je me suis permis de demander à Dieu s’il était prêt à nous en donner un deuxième. Le psaume disait « ses enfants ». Et il l’a fait. Là aussi, en prière, une femme pasteur a eu une vision où elle a vu un bébé à côté de Dieu, prêt à nous rejoindre. Trois ans après, Chloé, sans traitement, est venue.
Magaly, 40 ans : « J’ai demandé une voiture avec boîte à vitesses automatique »
Suite à un accident, le bras droit de Magaly se remet mal. Dans son métier d’indépendante, elle est sérieusement handicapée, d’autant que les indemnités vont bientôt toucher à leur fin. Jusque-là, Magaly trouve l’énergie nécessaire pour faire face. Lorsque, à la veille des vacances scolaires, sa voiture rend l’âme, elle n’en peut plus. Elle imagine mal cette période sans moyen de transport pour elle et son fils. Magaly, avec un petit air de confession dans la voix, admet avoir crié sa déception et sa tristesse à Dieu. « Tu as dit que nous n’aurions pas à supporter plus que ce que nous pouvons ! Alors, Seigneur, j’ai besoin d’une voiture. Et comme mon bras me fait encore souffrir, j’ai besoin d’une voiture automatique ! ». Le soir même, un ami l’appelait pour savoir si elle voulait la voiture qu’il n’employait plus. Une automatique !
Shéleg : « J’ai pris position au risque de perdre mon emploi »
J’avais à peine vingt-trois ans et c’était mon deuxième emploi « sérieux ». Engagée comme assistante d’un gestionnaire de fortune, je m’occupais de l’aspect administratif des comptes clients. Quoique formée sur place et sur le tas, je ne comprenais pas pourquoi une partie des dossiers clients était rangée à part, dans une armoire du couloir ; ou pourquoi un vieil homme passait régulièrement la douane avec des liasses de billets cachées dans un sac de courses. Un jour, mon chef m’a tendu un document à ranger dans l’armoire du couloir, me précisant que nous risquions la prison si les vérificateurs le retrouvaient. Sur le moment, j’ai été désemparée. J’ai aussitôt donné ma démission pour motifs de conscience religieuse. On m’a alors envoyée devant le directeur. Je suis restée ferme. J’ai placé ma confiance en Dieu et trouvé un meilleur poste, mieux payé, avec la conscience tranquille en prime. (sr)
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