Pour bien vivre les jours saints... ‟Béni soit Celui qui vient au Nom du Seigneur !” Chers amis, Au dimanche des Rameaux, le peuple élu acclamait Jésus-Christ avec enthousiasme, le bénissant et reconnaissant en Lui l'Envoyé de Dieu. Pourtant, moins d'une semaine plus tard, ce même peuple réclamait avec férocité la mort de Notre-Seigneur, et se réjouissait de son martyre épouvantable... Nous ne sommes pas différents d'eux, 2000 ans plus tard ! Nos aînés les plus âgés s'en souviennent : il y a à peine quelques décennies, notre pays, surtout la partie canadienne-française alors majoritairement catholique, était baigné dans la culture chrétienne qui imprégnait chaque pan de notre vie personnelle et sociale. Le Québec était alors surnommé "la catholique province de Québec" ; et sa métropole, Montréal, "la ville aux cent clochers" (clochers d'églises, pas de minarets1...) Nous étions réputés pour être un peuple fervent et proche de Dieu. ( 1 Minaret : tour d'une mosquée, dans l'Islam.) Nous voici maintenant engagés dans les jours de Passion du Corps mystique du Christ. Les peuples ont majoritairement rejeté Dieu et réclament sa mort, inspirés en cela par celui qui est "homicide dès le commencement" : Lucifer. La "catholique province de Québec" détient maintenant le triste record du plus haut taux mondial de décès par "aide médicale à mourir", nom pudique pour recouvrir le suicide de celui qui la demande, et le meurtre commis par celui qui l'autorise ou l'administre... Et nous passons sous silence tout le reste de notre déchéance morale et de nos offenses envers le Coeur si bon de notre Dieu. Dieu cherche des consolateurs Sur le chemin de douleurs de Notre-Seigneur, douleurs provoquées et attisées par schacun de nos péchés, se sont cependant dressés des consolateurs : l'Ange du Jardin des oliviers, la Vierge Marie, Véronique, le Cyrénéen, le Bon Larron même...
Nous pouvons nous aussi, à leur exemple, devenir des consolateurs de Notre-Seigneur, par nos prières, nos adorations devant le Saint-Sacrement, nos sacrifices, nos oeuvres de miséricorde, notre soin à éviter le péché et les chemins y conduisant. Les jours saints qui arrivent sont là pour nous y aider. Veillons à les sanctifier d'une manière particulière en participant aux offices disponibles dans nos paroisses, et /ou en priant plus intensivement seul, en famille, en groupe de prière...
La neuvaine à Jésus Miséricordieux.C'est le Vendredi saint (qui tombe cette année le 29 mars) que débute la neuvaine à Jésus Miséricordieux, demandée par Notre-Seigneur à sainte Faustine. Cette neuvaine se termine la veille du jour élevé par le pape saint Jean-Paul II au titre de «Dimanche de la Miséricorde» (le dimanche après Pâques). De très grandes grâces y sont rattachées : ne nous en privons pas ! «L'unique salut pour le monde est de se jeter dans les bras de la Divine Miséricorde, où l'humanité trouvera la vie, le bonheur, la paix durable.» (Jésus à sainte Faustine) Pour lire et/ou télécharger gratuitement le document contenant cette neuvaine, son historique, les litanies de la Divine Miséricorde, le tableau de Jésus, le Dimanche de la Miséricorde, les grâces rattachées, etc. cliquez sur CE LIEN. "Si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme et ne buvez son Sang, vous ne posséderez pas la vie en vous." (Jn 6, 53) À Pâques, tout Catholique ayant fait sa Première Communion a l'obligation de recevoir le Corps du Christ, le jour même ou au moins durant le Temps Pascal. "Ton Créateur tu recevras au moins à Pâques humblement" (3e commandement de l'Église). C'est ce que l'on nomme la "Communion pascale" ou encore "faire ses Pâques". IMPORTANT : La précision "humblement", qui figure dans l'énoncé du commandement, nous rappelle que nous devons absolument être en état de grâce (sans péché grave non pardonné sur la conscience) pour recevoir le Corps du Christ. Le Carême et le temps pascal sont l'occasion idéale pour remettre notre conscience en amitié avec Dieu par une bonne confession (confession individuelle à un prêtre, et non absolution collective), tout en accomplissant le 2e commandement de l'Église : "Tes péchés tu confesseras à tout le moins une fois l'an."Pour plus de détails sur l'étendue du "temps pascal", et sur les cas particuliers qui peuvent survenir, suivez CE LIEN. Pour plus de détails sur les "absolutions collectives", suivez CE LIEN. Nous vous partageons plus bas quelques ressources parmi d'autres pouvant vous aider à mieux intérioriser ces jours saints. N'hésitez pas à les partager avec toutes les âmes de bonne volonté qui pourraient en profiter ! Bonne semaine sainte ! |
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C'est le Vendredi saint (qui tombe cette année le 29 mars) que débute la neuvaine à Jésus Miséricordieux, demandée par Notre-Seigneur à sainte Faustine. Cette neuvaine se termine la veille du jour élevé par le pape saint Jean-Paul II au titre de «Dimanche de la Miséricorde» (le dimanche après Pâques). De très grandes grâces y sont rattachées : ne nous en privons pas !
«L'unique salut pour le monde est de se jeter dans les bras de la Divine Miséricorde, où l'humanité trouvera la vie, le bonheur, la paix durable.» (Jésus à sainte Faustine)
Pour lire et/ou télécharger gratuitement le document contenant cette neuvaine, son historique, les litanies de la Divine Miséricorde, le tableau de Jésus, le Dimanche de la Miséricorde, les grâces rattachées, etc.
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Vendredi saint :
un jour pas comme les autres.
N'oublions pas le jeûne du Vendredi saint, qui consiste en un seul repas complet auquel il est permis d'ajouter une légère collation pour chacun des deux autres repas, de façon à ne pas défaillir dans notre travail. À ce jeûne s'ajoute l'obligation de l'abstinence de viande. Par cette "mort à notre sensualité", nous nous unissons à la mort de Notre-Seigneur qui s'est dépouillé de tout, jusqu'à sa vie, pour nous sauver de l'enfer et nous ouvrir les portes du Ciel.
Ce jeûne/abstinence est une loi de l'Église qui oblige gravement en conscience.
- Pour l'abstinence de viande : tout fidèle âgé de 14 ans révolus et plus est tenu d'observer ce précepte.
- Pour le jeûne : tout fidèle âgé de 18 à 60 ans est tenu d'observer ce précepte. En sont exemptés les grands malades à qui le jeûne serait néfaste, les femmes enceintes ou qui allaitent, et certains autres cas similaires.
Le jour de Pâques
"Si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme et ne buvez son Sang, vous ne posséderez pas la vie en vous." (Jn 6, 53)
À Pâques, tout Catholique ayant fait sa Première Communion a l'obligation de recevoir le Corps du Christ, le jour même ou au moins durant le Temps Pascal. "Ton Créateur tu recevras au moins à Pâques humblement" (3e commandement de l'Église). C'est ce que l'on nomme la "Communion pascale" ou encore "faire ses Pâques".
IMPORTANT : La précision "humblement", qui figure dans l'énoncé du commandement, nous rappelle que nous devons absolument être en état de grâce (sans péché grave non pardonné sur la conscience) pour recevoir le Corps du Christ. Le Carême et le temps pascal sont l'occasion idéale pour remettre notre conscience en amitié avec Dieu par une bonne confession (confession individuelle à un prêtre, et non absolution collective), tout en accomplissant le 2e commandement de l'Église : "Tes péchés tu confesseras à tout le moins une fois l'an."
Pour plus de détails sur l'étendue du "temps pascal", et sur les cas particuliers qui peuvent survenir, suivez CE LIEN.
Pour plus de détails sur les "absolutions collectives", suivez CE LIEN.
Nous vous partageons plus bas quelques ressources parmi d'autres pouvant vous aider à mieux intérioriser ces jours saints. N'hésitez pas à les partager avec toutes les âmes de bonne volonté qui pourraient en profiter !
Bonne semaine sainte !