❤️️ Miracles de saint Charbel ❤️️

03 février 2016

Miracle de saint Charbel aux Etats-Unis

"[...] A Phoenix vit une femme, Dafné Gutierrez, mère de trois enfants, qui a complètement perdu l’usage d’un œil à l’automne 2014, puis de l’autre en novembre dernier. Un rapport médical constate que sa cécité est totale et irréversible. 

Le 16 janvier, ses proches la persuadent d’aller prier devant la relique de saint Charbel. On l’amène à l’église. Le Père Wissam raconte : « J’ai posé ma main sur sa tête, puis sur ses deux yeux, et j’ai demandé à Dieu de la guérir, par l’intercession de saint Charbel. » 

Le 18, à 5h du matin, elle se réveille avec une forte douleur dans les yeux, ainsi qu’une sensation de forte pression sur son crâne et ses orbites. Elle réveille son mari, qui sent quant à lui une « odeur de brûlé » et allume aussitôt la lumière… et l’éteint immédiatement parce que Dafné crie que ça lui fait mal. 

C’est alors, dans la pénombre, qu’elle comprend qu’elle voit. « Je te vois, je te vois avec mes yeux », dit-elle à son mari, tout en ressentant toujours la forte pression sur son crâne, « comme après une opération ». « Je ne pouvais pas le croire, dit-elle. Je ne voulais pas fermer les yeux. Et mes enfants criaient : Maman voit, Dieu l’a guérie ! » [...]"

Posté le 3 février 2016 à 14h15 par Michel Janva | Salon Beige

Waaaah, comme c'est beau et émouvant, je reste sans voix, Dieu est vraiment bon!

C'est un beau témoignage pour ceux qui ne croient pas à l'intercession par les reliques de saints....

Oui.

, Claire pour ce récit si émouvant...   C'est un témoignage qui mériterait d'être vraiment connu...

Que se passa-il donc le 9 octobre 1977 sur la route de Meyrouba ?

C'est le 9 octobre 1977, que le père Charbel a été canonisé, au Vatican, par le pape Paul VI.
Et ce jour-là, en 1977, bien loin du Vatican, se déroule au Liban, sur la route de Meyrouba, une histoire invraisemblable et pourtant vraie.

Antoine Michel Abi Harb et Amal Lteif, qui ont 4 enfants aujourd'hui, étaient de jeunes fiancés à l'époque. Ils peuvent être joints au numéro de téléphone suivant : 009613953485.

Le 9 octobre 1977, jour de la canonisation de St Charbel par le pape Paul VI, le jeune couple décide de se rendre à Annaya pour prendre part à la grande célébration religieuse qui s'y déroule. Ils ont la ferme intention de s'y recueillir, de prier et d'obtenir la bénédiction de leur saint qu'ils vénèrent. Ils garent leur voiture à Jbeil (Byblos) et en guise de pèlerinage font le trajet à pied jusqu'à l'ermitage. Cinq heures de marche qui finissent par la très belle messe à laquelle ils assistent avec une grande ferveur.

Antoine accompagne ensuite sa fiancée à Faraya où il passe la soirée en compagnie de sa future belle famille. A son retour, vers trois heures du matin, sa voiture tombe en panne. Il faudrait se souvenir qu'en 1977 le Liban est en pleine guerre et que circuler la nuit n'était pas sans dangers ni risques. Antoine est à quatre kilomètres de Meyrouba. Il décide malgré et contre tout de se rendre à pied à la station d'essence du village le plus proche, à environ un kilomètre.

Comme il est très tard, il doit donc réveiller le propriétaire de la station. Ce dernier redoute les visites nocturnes et répond qu'il n'a plus d'essence. Antoine insiste mais en vain. Il rebrousse chemin, retourne à sa voiture et s'y enferme. Très contrarié, il invoque St Charbel et ne comprend pas qu'il puisse ainsi l'abandonner le jour même où il avait été se recueillir, avec sa fiancée, à l'ermitage à Annaya: " St Charbel pourquoi m'abandonnes-tu ainsi alors que j'ai besoin de ton aide ?".

Alors qu'il est absorbé par ses pensées, il aperçoit, au loin, les phares d'une voiture qui roule en sens opposé et s'arrête, de l'autre côté de la route, à son niveau. Quand le chauffeur en descend et se dirige vers lui d'un pas ferme, l'inquiétude d'Antoine est grande. Que peut lui vouloir ce personnage inconnu à une heure aussi tardive et en période de guerre civile ? Ce dernier lui fait signe de baisser la vitre et lui demande si c'est bien lui qui l'a réveillé pour avoir de l'essence. Antoine reprend doucement confiance et lui répond par l'affirmative. Le Chauffeur lui confie alors qu'à trois reprises, alors qu'il essayait de renouer avec le sommeil, St Charbel l'avait réveillé et lui avait demandé d'aller porter secours à la personne qui l'avait sollicité. Il avait même pris soin de lui préciser la nature de la panne.

Tous deux se rendent alors ensemble à Ajaltoun dans une station de service d'où ils ramènent la pièce de rechange supposée remplacer celle qui est apparue défectueuse. La réparation de la voiture achevée, Antoine peut donc reprendre son chemin. Mais lorsqu'il propose de régler les frais correspondants, le propriétaire de la station, confus et quelque peu froissé, rejette délicatement son offre et lui dit : "la chance que vous avez M. Antoine est immense ! Savez-vous combien l'affection de St Charbel pour vous est grande ? Je ne vous demande qu'une chose : de prier pour moi et de m'obtenir sa bénédiction. C'est le plus grand bien que vous pouvez me faire dorénavant.".

Cette nuit-là chacun de nos deux amis réunis reprit son chemin en priant et remerciant St Charbel de son intervention. C'était un 9 octobre 1977. C'était le jour de la canonisation de St Charbel.

Bénissons le Seigneur de nous avoir donné Saint Charbel ! Que sa lumière qui brille au-dessus d'Annaya, brille sur le monde entier.
Alleluia Alleluia Alleluia

Nous avons vu la main droite du Saint s'illuminer...


La veille du 9 octobre 1977, il se passe quelque chose de merveilleux à Annaya, autour de la statue de bronze qui accueille les visiteurs à l'entrée du monastère.


Très peu de gens connaissent les circonstances de la réalisation de cette œuvre d’art. Pour information, elle a été offerte au monastère par Badih et Rose Moukarzel de Bickfaya, suite à la guérison de Mme Moukarzel. Elle est l’œuvre du célèbre sculpteur libanais d’origine Arménienne, Zaven Hadichian, qui réalise la statue du Bienheureux Charbel en argile, dans son atelier en 1968 et qu’il envoie par la suite à la fonderie d’art Lagana à Naples, en Italie.


Le célèbre sculpteur raconte que la veille de la canonisation du bienheureux Charbel, le 8 octobre 1977, il a vu, ainsi que la foule présente sur la grande place à Annaya, la main droite du Saint s'illuminer pendant quelques minutes, comme pour bénir l'assemblée réunie dans un moment de grand recueillement et de grande ferveur, en union de prière. 


Quand, par ailleurs on sait que depuis sa canonisation cette lumière ainsi que celle de sa lampe illuminent le monde et les coeurs avec générosité et amour on ne peut que rester saisis.


 Cette phrase de l'homélie du pape Paul VI en dit long sur la personne du moine devenu saint :


"" Et voilà qu’aujourd’hui, nous vénérons ensemble un fils dont tout le Liban, et spécialement l’Eglise maronite, peuvent être fiers : Charbel Makhlouf. Un fils bien singulier, un artisan paradoxal de la paix, puisqu’il l’a recherchée à l’écart du monde, en Dieu seul, dont il était comme enivré. Mais sa lampe, allumée au sommet de la montagne de son ermitage, au siècle dernier, a brillé d’un éclat toujours plus grand, et l’unanimité s’est faite rapidement autour de sa sainteté.""  
    
Amen

" Vous venez d'obtenir une grande grâce, allez vite remercier St Charbel votre médecin du ciel. Vous êtes guérie."


Rita Sami Abou Atmeh, native de 1961, est originaire de Machmoucheh. Elle réside à Jdeideh dans le Metn. Vous pouvez la joindre au /00961-81384226 


En janvier 2020, Rita souffre de brûlures dans les urines et s'inquiète également de constater qu'elles sont accompagnées de traces de sang. Elle se rend alors à l'hôpital gouvernemental de Dahr Al Bashek pour consultation. Le Dr Mazloum lui détecte un polype sur la vessie et lui recommande six séances d'injection de BCG. La crise du Covid ayant entraîné la fermeture de l'hôpital, Rita n'est pas en mesure de suivre les recommandations de son médecin et d'avoir le traitement prescrit.


Trois semaines plus tard, elle consulte le Dr J. Makdessi à l'hôpital de Karantina. il lui fait renouveler les radios et les analyses des urines à la suite desquels il lui révèle qu'elle est atteinte d'un cancer de la vessie. Elle effectue huit séances de chimiothérapie et comme son immunité est très faible l'hôpital fait appel à des dons de sang en sa faveur. Les résultats satisfaisants ne sont pas au rendez-vous et son médecin lui annonce qu'il faudra qu'elle subisse une cystectomie ou ablation de la vessie. 


L'inquiétude de Rita est à son comble après cette annonce. Elle invoque St Charbel qu'elle vénère à chaque instant de la journée. Dans ses prières elle l'implore d'intércéder auprès de Jésus pour la guerir.  Lorsqu'elle se rend de nouveau à l'hôpital pour une dernière IRM pré-opératoire une chose magnifique se produit. Alors qu'elle est étendue et prête pour la radio elle voit St Charbel et l'entend qui lui dit: "Ne t'inquiète pas, je suis auprès de toi". Les résultats qui tombent sont totalement positifs. Les radios ne montrent ni anomalie de la vessie ni traces de cancer.


Les rapports médicaux en main ainsi que les différentes radios effectuées, Rita se rend chez le Dr F. Hachem qui va une fois de plus renouveler l'IRM. il va également lui faire subir une biopsie pour plus de certitude. Lorsque le résultats tombent ils confirment en effet la guérison de Rita. Le Dr Hachem n'en revient pas. Il la félicite chaleureusement et lui dit : " Vous venez d'obtenir une grande grâce, allez vite remercier St Charbel votre médecin du ciel. Vous êtes guérie."


Le 2 octobre 2021 Rita s'empresse de se rendre à Annaya pour remercier St Charbel et enregistrer cette belle grâce du ciel.

Quel bonheur de cotoyer des croyants, de s'entendre dire à l'hopital par le médecin, "Allez remercier tel Saint" car votre intercession a été entendue.

Je pense qu'il faut être au Liban ou dans quelque rare autre pays pour entendre encore cela....

J'ai une photo de Saint Charbel dans ma chambre, je l'ai découvert dans mes lectures grâce au petit mensuel "Stella Maris"

Une image de St Charbel, une guérison ...

Iman Ali Sakour, native de 1964, originaire de Tartous en Syrie, est de confession musulmane alaouite. Elle est mariée à Manhal Ghoraib. Le couple réside à Tartous..

Iman souffre depuis quelques temps de douleurs violentes au ventre. Admise aux urgences de l'Hôpital Canadien, les examens et analyses qu'elle subit révèlent la présence d'un cancer qui touche l'utérus. Très vite, la triste nouvelle parcourt sa famille et l'entourage du couple.


Un ami de la famille, ayant à cœur la guérison d'Iman, procure au couple une image sainte de St Charbel et prie Manhal de la confier à son épouse afin qu'elle la pose sur son ventre et son dos avec confiance. Iman, touchée par ce geste, n'hésite pas un seul instant. Elle ne tarde pas à faire ce que leur ami la supplie de faire. "Il y avait mis tant de confiance et de foi", pense-t-elle. Puis elle se livre au sommeil et à une nuit encore difficile.


Le lendemain, Iman se réveille sans plus de douleurs Le couple est sous le coup de la surprise. Et, lorsqu'il se rend à l'hôpital, quelques jours plus tard, pour les examens recommandés par le médecin traitant, c'est au tour de l'équipe médicale d'exprimer sa stupéfaction. En effet, les résultats sont positifs et les examens que subit Iman ne montrent plus de traces de maladie. Iman est complètement guérie.


Ce miracle a été enregistré, à Annaya, auprès du Père Louis Matar, le 27 juin 2022, après l'obtention, par Iman, des rapports médicaux correspondants.


Les miracles ne se ressemblent pas. Chaque guérison est une histoire à part entière. Parfois l'attente est longue, d'autres fois elle est instantanée. La patience et la persévérance dans la confiance et la foi paient.

Le Seigneur a répondu à l'appel de cette femme, de confession alaouite, qui a cru sans avoir vu. Il n'y a pas de formule unique. L'essentiel étant dans la foi et la confiance profondes dont on témoigne.



https://www.facebook.com/miraclessaintcharbel?__cft__[0]=AZW3o0jEarPj8iaCxqVwGUX-YVnRrcVum7pZP4OPcxMduLLsPRqqTA5LNXmmOXTFbFuCD7rOI4cAF1GjDGMY_kCNcBWw2_kN7WXej5zymd4WUGl1_dDI8pblqYaQO9xfZFINSvRVeiwOxOjarAqvY1a6S4LQgIiVBccIseCakbz0dzx3ziW32vpjS1CCTa0pDlU&__tn__=-UC%2CP-R

Soudain  une source jaillit  dans la grotte de Bekaakafra ..( village natal de St Charbel) 


Des années après la mort du père Charbel, les passants voient une lumière étrange jaillir de la grotte où petit il allait se recueillir pour réciter le chapelet devant l'icône de la Sainte Vierge.


Un jour, le père Moubarak Makhlouf, curé de la paroisse, y récite son chapelet lorsque soudain il a une vision de St Charbel qui lui demande à 3 reprises de construire une église en son nom à cet endroit.
Les travaux de construction commencent et les ouvriers ont soif. Un des ouvriers présents, ce jour là, implore le ciel en ces termes : 


« Charbel ne peux-tu nous envoyer de l'eau à cet endroit, nous avons tous soif et il n'y a pas de source à proximité ».


Et, soudain, une source jaillit dans ce lieu exactement comme celle de Lourdes en France.
Saint Charbel dit alors au père Moubarak : 
 « Ceux qui boiront de cette eau avec Foi et Confiance recevront les grâces de l'âme et du corps.». 


Aujourd'hui des pèlerins viennent des quatre coins du monde pour boire de cette eau qui est tirée directement du puits et servie dans un petit seau par les Soeurs de la communauté St Simon de Ayto (village du Nord Liban). D'autres y reviennent pour remercier St Charbel de les avoir guéris. D'ailleurs on peut lire à l'intérieur même de la grotte les remerciements des fidèles qui relatent les circonstances miraculeuses de leur guérison. On peut également y observer les béquilles qui sont abandonnées par les miraculés.

La pointe d'humour de St Charbel !
 Un message sans aucun doute ....
La religieuse qui est chargée de tirer l'eau du puits à l'aide d'un petit seau et qui remplit l'équivalent d'une petite bouteille à ceux et celles qui le souhaitent nous raconte : 
"" Un monsieur arrive un jour sur ces lieux avec l'intention ferme de remplir un jerricane (bidon). Je lui explique que cela prendrait des heures et que ce n'est pas la quantité qui compte en définitive mais la Foi et la Confiance  qu'on y met. Mais il ne veut rien entendre et prend mes propos pour une offense "".

Elle poursuit : "" Ce monsieur attend mon départ, l'heure de la prière et du déjeuner probablement, pour retourner tranquillement  sur les  lieux et remplir le jerricane comme il l'entend. Bien entendu il retourne chez lui satisfait d'avoir enfin obtenu gain de cause. 
D'une voix autoritaire il dit alors à son épouse : " tu peux en distribuer à la famille et aux amis "". 
Et elle ajoute : "" Mais quand  cette dernière saisit le jerricane elle ne peut étouffer sa surprise. En effet il n'est pas du tout lourd ! Elle  en vide alors le contenu et constate qu'elle n'obtient que l'équivalent d'une petite bouteille. Donc l'équivalent du contenu du seau que j'avais modestement proposé à son mari lors de sa visite "".
La bonne soeur qui accomplit sa tâche avec ferveur, humilité et assiduité lève les yeux vers moi et conclut :


 « Ce n'est pas la quantité d'eau qui compte mais la Foi et la Confiance qu'on y met. Il suffit d'une goutte pour en  faire des merveilles »....


Ci-dessus la grotte du saint et à gauche on peut voir le puits avec les cruches.

Encore un miracle :

Onilla ( la petite Irakienne de Erbil) se redresse et marche...


Onilla  Youkhana Al kouba, native de 2014, originaire de Erbil en Irak, est de confession chrétienne Assyrienne et réside à Erbil.  Vous pouvez joindre sa famille au / 009647513301692


Onilla est née à l'hôpital "Souran" à Erbil. Le pédiatre lui diagnostique, à la naissance, une sérieuse carence en calcium dans le sang. Cette dernière est en effet à l'origine d'une faiblesse dans les jambes d'Onilla, faiblesse qui l'empêche de marcher et qui devient un véritable handicap. A l'âge de trois ans par exemple, la petite fille rampe encore sur le ventre sans parvenir à se redresser pour faire ses premiers pas .


Le père d'Onilla décide alors de se rendre au Liban pour se recueillir devant le sanctuaire de St Charbel à Annaya et l'implorer de venir en aide à sa fille. Fervent croyant, il prie et supplie St Charbel d'intercéder auprès du Seigneur pour pour la guérison de sa fille. Puis il retourne en Iraq, à Erbil, après s'être procuré des reliques du Saint qu'il dépose dans la chambre de sa petite fille.


Voyant ces reliques, la petite Onilla en demande tout comme un enfant pourrait le faire. Ses parents lui font boire un peu d'huile bénite et une pincée de terre de la tombe de St Charbel mélangées à de l'eau. Dès cet instant, la petite Onilla se redresse et marche en direction de ses parents qui n'en croient pas leurs yeux.


Tout heureux, les parents d'Onilla reprennent la route du Liban et d'Annaya pour remercier St Charbel d'avoir exaucé leurs prières et d'avoir surtout remis du bonheur dans le cœur de leur fille. Ils enregistrent leur témoignage  le 27 octobre 2022.. 

Alleluia , Alleluia ...Béni soit son Saint Nom ...

Magnifique !


Ya Bouna Charbel , que cette bougie, sur la terrasse, soit un signe du ciel si elle ne s'éteint pas...!


Bouna Charbel, C'est ainsi qu'elle l'appelle. Sahar Daou Zein El Din, de confession musulmane druze, est originaire de Sawfar au Liban. Elle est joignable au 00961 70752035 et 00961 3513869.


Sahar est enceinte. Sa grossesse se passe normalement avec un suivi régulier. Au 7ème mois cependant son gynécologue, le Dr H. Al Aouwar, détecte du liquide dans l'abdomen du bébé. Ce diagnostic inquiétant est confirmé après une deuxième échographie conduite par le Dr K. Abi Nader de l'hôpital Géitaoui qui analyse, par la même occasion, le liquide amniotique sans détecter la présence de virus. Sahar consulte alors un troisième médecin, le Dr S Moneïm qui se range sur l'avis des deux précédents. A ce stade elle sait qu'elle court de grands risques de perdre son enfant ou de donner naissance à un enfant handicapé.


Tout comme sa famille, Sahar a depuis toujours une grande vénération pour St Charbel. Elle le prie sans arrêt et croit en son pouvoir d'intercession. Elle enduit chaque jour son ventre avec de l'huile bénite mélangée à de la terre de la tombe de St Charbel et garde sur elle la ceinture bénite qu'elle s'est procurée au monastère à Annaya. Elle est confiante et certaine que ce Saint ne va pas l'abandonner. Elle se rend à Annaya sans plus tarder et implore St Charbel de retirer l'eau du ventre de son bébé et de le guérir avant la prochaine échographie.


A son retour d'Annaya, Sahar recherche un signe de St Charbel qui viendrait la réconforter. Elle décide spontanément de poser une bougie allumée sur sa terrasse de Sawfar, région connue habituellement pour ses forts courants d'air. En effet, comme  son nom l'indique, "sawfar" en arabe est synonyme de siffler. La bougie résiste et reste allumée malgré les courants d'air jusqu'à ce qu'elle se consume entièrement... Sahar y voit un signe du ciel.


Lorsqu'elle se rend à son examen au huitième mois de grossesse, elle est confiante, habitée d'une confiance simple et modeste mais sûre. Devant la stupéfaction de son médecin qui ne trouve aucune trace d'eau dans l'abdomen du bébé, elle conserve son calme et brûle d'une joie intérieure secrète. Le médecin souhaite renouveler l'échographie pour plus de certitude. Sahar ne s'y oppose pas et se soumet à l'examen qui vient confirmer définitivement la disparition des symptômes inquiétants et donc la guérison du bébé.

Sahar accouche le 3 novembre 2016 de "Anil Charbel", un bébé en parfaite santé. A sa sortie de l'hôpital, et avant de retourner chez elle, elle se rend au couvent d'Annaya, en compagnie du petit Charbel cette fois. Elle remercie le Seigneur et St Charbel d'avoir exaucé ses prières et enregistre cette belle grâce le 18 juin 2017. En guise de reconnaissance le petit Anil revêt la tunique de St Charbel.    Gloire à toi Seigneur !





Source : Miracles de saint Charbel (facebook)