Un petit témoignage que j'ai trouvé dans "La Bonne Semence" du 19 Mai 2010
Persécutés, mais non pas abandonnés ; terrassés, mais ne périssant pas ; portant toujours, partout dans le corps, la mort de Jésus, afin que la vie de Jésus, aussi, soit manifestée dans notre corps.
2 Corinthiens 4.9,10
Ahmed s'est tourné vers le Christ en 1983.
Trois ans après, il s'est marié et un fils est né. Mais sa famille ne pouvait supporter son engagement chrétien.
"J'ai vécu à l'écart, explique t-il, et tant mes parents que les autorités n'ont cessé de nous assaillir de questions pour nous pousser à revenir.
Je devais choisir entre Christ et eux.
Mon choix était fait, mais la décision prise a rendu mon père furieux.
Saisissant son fusil, il a pointé l'arme sur moi, résolu à me tuer ainsi que notre bébé.
Mais il n'a pas réussi à tirer, son bras était comme retenu !
Ce sont mes beaux-parents qui nous ont accueillis, bien que les gens du voisinage aient voulu nous chasser.
Nous étions les premiers chrétiens du village !
Bien plus tard, après avoir observé notre comportement, mes parents ont été touchés, puis ils ont donné leur vie à Christ et ils ont commencé à fréquenter des réunions chrétiennes.
La maison devenait trop petite, aussi mon père nous a proposé de tenir les réunions chez lui.
Dans la pièce où il nous avait tellement pressés de questions et menacés, on entend maintenant des prières et des chants de louange au Dieu Sauveur !"
Ne crains donc pas petit troupeau,
Toi que chérit le Père.
Que toujours la Croix de l'Agneau
Soit ta seule bannière !
Et si le monde est contre toi,
Ses mépris sont ta gloire ;
L'amour, l'espérance et la foi
Te donnent la victoire.
Persécutés, mais non pas abandonnés ; terrassés, mais ne périssant pas ; portant toujours, partout dans le corps, la mort de Jésus, afin que la vie de Jésus, aussi, soit manifestée dans notre corps.
2 Corinthiens 4.9,10
Ahmed s'est tourné vers le Christ en 1983.
Trois ans après, il s'est marié et un fils est né. Mais sa famille ne pouvait supporter son engagement chrétien.
"J'ai vécu à l'écart, explique t-il, et tant mes parents que les autorités n'ont cessé de nous assaillir de questions pour nous pousser à revenir.
Je devais choisir entre Christ et eux.
Mon choix était fait, mais la décision prise a rendu mon père furieux.
Saisissant son fusil, il a pointé l'arme sur moi, résolu à me tuer ainsi que notre bébé.
Mais il n'a pas réussi à tirer, son bras était comme retenu !
Ce sont mes beaux-parents qui nous ont accueillis, bien que les gens du voisinage aient voulu nous chasser.
Nous étions les premiers chrétiens du village !
Bien plus tard, après avoir observé notre comportement, mes parents ont été touchés, puis ils ont donné leur vie à Christ et ils ont commencé à fréquenter des réunions chrétiennes.
La maison devenait trop petite, aussi mon père nous a proposé de tenir les réunions chez lui.
Dans la pièce où il nous avait tellement pressés de questions et menacés, on entend maintenant des prières et des chants de louange au Dieu Sauveur !"
Ne crains donc pas petit troupeau,
Toi que chérit le Père.
Que toujours la Croix de l'Agneau
Soit ta seule bannière !
Et si le monde est contre toi,
Ses mépris sont ta gloire ;
L'amour, l'espérance et la foi
Te donnent la victoire.