par Corée : les croix des églises brillent au sein des villes
(Tratto dall'archivio della Radio Vaticana)
2014-08-14 Radio Vatican
(RV) Le Pape François s’est envolé ce mercredi après-midi de l’aéroport romain de Ciampino pour Séoul en Corée du Sud. Il effectue son troisième voyage apostolique depuis le début de son pontificat. Il part à la rencontre de l’Asie orientale, continent qu’un Pape n’a pas visité depuis 1999, quand Jean-Paul II était allé en Inde, à Bombay. Le Pape François y passe quatre jours en tout, partant à la rencontre de le jeunesse asiatique et d’une Eglise coréenne dynamique. Xavier Sartre
Le pape ne les verra pas car il arrive le matin, mais pour le voyageur qui se rend à Séoul de nuit, outre les lumières des tours de la ville, elles sont partout. Des croix lumineuses, rouges le plus souvent, brillent au sommet des clochers . Pour un peu, on croirait que la Corée du Sud est un pays essentiellement chrétien. Certes, les fidèles des Eglises catholique et protestantes représentent un tiers de la population, mais cela suffit pour que les églises soient un des éléments essentiels du paysage urbain de la capitale.
La plus vieille a un peu plus de 122 ans et ne précède que de six ans la cathédrale. C’est dire si la présence des chrétiens et d’abord des catholiques, aidés par les missionnaires français, est récente mais dynamique. Les plus belles sont directement inspirées des églises européennes, en néogothique. Les autres ont des styles plus disparates, l’aspect pratique du bâtiment l’emportant sur d’éventuelles considérations esthétiques.
Mais toutes témoignent de l’ancrage des Eglises dans la société coréenne, de leur intégration dans la culture dans tous ses aspects. L’Eglise catholique est ainsi très active dans le domaine social. C’est cette dimension que le Pape verra en particulier en se rendant sur la colline de Kkottongnae samedi, au centre pour handicapés géré par la Communauté de la Maison de l’Espoir. Il verra par lui-même pourquoi les Coréens, quel que soit leur confession, apprécient autant l’Eglise catholique.
(RV) Le Pape François s’est envolé ce mercredi après-midi de l’aéroport romain de Ciampino pour Séoul en Corée du Sud. Il effectue son troisième voyage apostolique depuis le début de son pontificat. Il part à la rencontre de l’Asie orientale, continent qu’un Pape n’a pas visité depuis 1999, quand Jean-Paul II était allé en Inde, à Bombay. Le Pape François y passe quatre jours en tout, partant à la rencontre de le jeunesse asiatique et d’une Eglise coréenne dynamique. Xavier Sartre
Le pape ne les verra pas car il arrive le matin, mais pour le voyageur qui se rend à Séoul de nuit, outre les lumières des tours de la ville, elles sont partout. Des croix lumineuses, rouges le plus souvent, brillent au sommet des clochers . Pour un peu, on croirait que la Corée du Sud est un pays essentiellement chrétien. Certes, les fidèles des Eglises catholique et protestantes représentent un tiers de la population, mais cela suffit pour que les églises soient un des éléments essentiels du paysage urbain de la capitale.
La plus vieille a un peu plus de 122 ans et ne précède que de six ans la cathédrale. C’est dire si la présence des chrétiens et d’abord des catholiques, aidés par les missionnaires français, est récente mais dynamique. Les plus belles sont directement inspirées des églises européennes, en néogothique. Les autres ont des styles plus disparates, l’aspect pratique du bâtiment l’emportant sur d’éventuelles considérations esthétiques.
Mais toutes témoignent de l’ancrage des Eglises dans la société coréenne, de leur intégration dans la culture dans tous ses aspects. L’Eglise catholique est ainsi très active dans le domaine social. C’est cette dimension que le Pape verra en particulier en se rendant sur la colline de Kkottongnae samedi, au centre pour handicapés géré par la Communauté de la Maison de l’Espoir. Il verra par lui-même pourquoi les Coréens, quel que soit leur confession, apprécient autant l’Eglise catholique.
(Tratto dall'archivio della Radio Vaticana)
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