Fête de la petite Thérèse de l’Enfant-Jésus…
1 octobre *"Nous n’avons que cette vie pour vivre de FOI"*
Notre Mère "Ste Thérèse dit qu’il faut entretenir l’amour. Le bois ne se trouve pas à notre portée quand nous sommes dans les ténèbres, dans les sécheresses, mais du moins ne sommes-nous pas obligées d’y jeter de petites pailles ?
« Quand je n’ai pas d’occasions je veux au moins Lui dire souvent que je l’aime, ce n’est pas difficile et cela entretient le feu, quand même il me semblerait qu’il serait éteint, ce feu d’amour, je voudrais y jeter quelque chose et Jésus saurait bien alors le rallumer. » (LT 143)
Mais dès que j’ai dit : Mon pied a chancelé, votre miséricorde, Seigneur, m’a affermi !… Oui, il suffit de s’humilier, de supporter avec douceur ses imperfections. Voilà la vraie sainteté ! « (LT 243) »
O Jésus !(…) Je me souviens de ces paroles que vous avez prononcées pour m’apprendre à pratiquer l’humilité : « Je vous ai donné l’exemple afin que vous fassiez vous-mêmes ce que j’ai fait, le disciple n’est pas plus grand que le maître… Si vous comprenez ceci vous serez heureux en le pratiquant. » Je les comprends, Seigneur, ces paroles sorties de votre cœur doux et humble, je veux les pratiquer avec le secours de votre grâce. (…)
Ne croyez pas que ce soit l’humilité qui m’empêche de reconnaître les dons du bon Dieu, je sais qu’Il a fait en moi de grandes choses et je le chante chaque jour avec bonheur. " (LT 224)
Reçu par ‘‘Une petite soeur du Carmel"
http://myriamir.wordpress.com/2014/10/01/fete-de-la-petite-therese-de-lenfant-jesus-1-octobre-nous-navons-que-cette-vie-pour-vivre-de-foi/
1 octobre *"Nous n’avons que cette vie pour vivre de FOI"*
Notre Mère "Ste Thérèse dit qu’il faut entretenir l’amour. Le bois ne se trouve pas à notre portée quand nous sommes dans les ténèbres, dans les sécheresses, mais du moins ne sommes-nous pas obligées d’y jeter de petites pailles ?
Jésus est bien assez puissant pour entretenir seul le feu, cependant il est content de nous y voir mettre un peu d’aliment, c’est une délicatesse qui lui fait plaisir et alors Il jette dans le feu beaucoup de bois, nous ne le voyons pas mais nous sentons la force de la chaleur de l’amour.
J’en ai fait l’expérience quand je ne sens rien, que je suis incapable de prier, de pratiquer la vertu, c’est alors le moment de chercher de petites occasions, des riens qui font plaisir, plus de plaisir à Jésus que l’empire du monde ou même que le martyre souffert généreusement, par exemple, un sourire, une parole aimable alors que j’aurais envie de ne rien dire ou d’avoir l’air ennuyé……… » (LT 143)
« Quand je n’ai pas d’occasions je veux au moins Lui dire souvent que je l’aime, ce n’est pas difficile et cela entretient le feu, quand même il me semblerait qu’il serait éteint, ce feu d’amour, je voudrais y jeter quelque chose et Jésus saurait bien alors le rallumer. » (LT 143)
Sachons donc le retenir prisonnier, ce Dieu qui devient le mendiant de notre amour. il nous montre que les plus petites actions faites par amour sont celles qui charment son cœur… Ah ! s’il fallait faire de grandes choses, combien serions-nous à plaindre ?… Mais que nous sommes heureuses puisque Jésus se laisse enchaîner par les plus petites… " (LT 191)
L’important est de vivre chaque chose avec Jésus et de les lui offrir par amour et par reconnaissance, confiant qu’il nous aime comme nous sommes.
La seule chose qui ne soit point enviée c’est la dernière place, il n’y a donc que cette dernière place qui ne soit point vanité et affliction d’esprit…
Cependant « la voie de l’homme. n’est pas en son pouvoir » et parfois nous nous surprenons à désirer ce qui brille. Alors rangeons-nous humblement parmi les imparfaits, estimons-nous de petites âmes qu’il faut que le Bon Dieu soutienne à chaque instant ; dès qu’Il nous voit bien convaincues de notre néant il nous tend la main ; si nous voulons encore essayer de faire quelque chose de grand même sous prétexte de zèle, le Bon Jésus nous laisse seules.
Mais dès que j’ai dit : Mon pied a chancelé, votre miséricorde, Seigneur, m’a affermi !… Oui, il suffit de s’humilier, de supporter avec douceur ses imperfections. Voilà la vraie sainteté ! « (LT 243) »
O Jésus !(…) Je me souviens de ces paroles que vous avez prononcées pour m’apprendre à pratiquer l’humilité : « Je vous ai donné l’exemple afin que vous fassiez vous-mêmes ce que j’ai fait, le disciple n’est pas plus grand que le maître… Si vous comprenez ceci vous serez heureux en le pratiquant. » Je les comprends, Seigneur, ces paroles sorties de votre cœur doux et humble, je veux les pratiquer avec le secours de votre grâce. (…)
Mais, Seigneur, ma faiblesse vous est connue ; chaque matin je prends la résolution de pratiquer l’humilité et le soir je reconnais que j’ai commis encore bien des fautes d’orgueil, à cette vue je suis tentée de me décourager mais, je le sais, le découragement est aussi de l’orgueil, je veux donc, ô mon Dieu, fonder sur Vous seul mon espérance ; puisque vous pouvez tout, daignez faire naître en mon âme la vertu que je désire. « (Prière 20) » O mon Dieu, je vous en prie, préservez-moi du malheur d’être infidèle. "
Ne croyez pas que ce soit l’humilité qui m’empêche de reconnaître les dons du bon Dieu, je sais qu’Il a fait en moi de grandes choses et je le chante chaque jour avec bonheur. " (LT 224)
Reçu par ‘‘Une petite soeur du Carmel"
http://myriamir.wordpress.com/2014/10/01/fete-de-la-petite-therese-de-lenfant-jesus-1-octobre-nous-navons-que-cette-vie-pour-vivre-de-foi/