Belle fête du Christ Roi !
Dimanche 23 novembre fête du Christ Roi de l’univers !
Jésus déclara : « Ma royauté ne vient pas de ce monde ; si ma royauté
venait de ce monde, j’aurais des gardes qui se seraient battus pour que je
ne sois pas livré aux Juifs. Non, ma royauté ne vient pas d’ici. »
Pilate lui dit : « Alors, tu es roi ? » Jésus répondit : « C’est toi qui
dis que je suis roi. Je suis né, je suis venu dans le monde pour ceci :
rendre témoignage à la vérité. Tout homme qui appartient à la vérité écoute
ma voix. »
(Jn 18, 35-37)
Découvrez ci-dessous cette prédication du Père Cantalamessa ancien prédicateur de la maison Pontificale
* Que le Christ-Roi nous bénisse !
Thierry Fourchaud
La Bonne Nouvelle
22 novembre 2014
Dimanche 23 novembre fête du Christ Roi de l’univers !
Jésus déclara : « Ma royauté ne vient pas de ce monde ; si ma royauté
venait de ce monde, j’aurais des gardes qui se seraient battus pour que je
ne sois pas livré aux Juifs. Non, ma royauté ne vient pas d’ici. »
Pilate lui dit : « Alors, tu es roi ? » Jésus répondit : « C’est toi qui
dis que je suis roi. Je suis né, je suis venu dans le monde pour ceci :
rendre témoignage à la vérité. Tout homme qui appartient à la vérité écoute
ma voix. »
(Jn 18, 35-37)
Découvrez ci-dessous cette prédication du Père Cantalamessa ancien prédicateur de la maison Pontificale
Un des grands défenseurs de l’évolutionnisme athée aujourd’hui est l’Anglais Richard Dawkins, auteur du libre « God Delusion » (L’illusion de Dieu). Il fait la promotion d’une campagne publicitaire qui se propose de mettre sur les bus des villes l’inscription suivante : «Dieu n’existe probablement pas : cesse de t’en faire et profite de la vie !» (There’s probably no God. Now stop worrying and enjoy life). « Probablement ». Il n’est donc pas complètement exclu qu’il puisse exister !
Si Dieu n’existe pas, le croyant n’a pratiquement rien perdu. En revanche, s’il existe, le non croyant a tout perdu.
Je me mets à la place d’un parent qui a un enfant porteur de handicap, autiste ou gravement malade, d’un immigré qui a fui la faim ou les horreurs de la guerre, d’un ouvrier qui a perdu son travail, d’un agriculteur expulsé de ses terres… Je me demande comment il réagirait devant cette annonce : «Dieu n’existe probablement pas : cesse de t’en faire et profite de la vie !».
L’existence du mal et de l’injustice dans le monde est certes un mystère et un scandale mais sans la foi et sans un jugement dernier, le mal et l’injustice apparaissent infiniment plus absurdes et plus tragiques encore.
La fête du Christ Roi, avec l’évangile du jugement dernier, répond à l’espérance humaine la plus universelle. Elle nous assure que l’injustice et le mal n’auront pas le dernier mot et en même temps elle nous exhorte à vivre de telle manière que le jugement ne soit pas pour nous un jugement de condamnation mais de salut et que nous puissions être de ceux à qui le Christ dira : «Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume préparé pour vous depuis la création du monde».
* Que le Christ-Roi nous bénisse !
Thierry Fourchaud
La Bonne Nouvelle