2 avril : colloque franc-maçon pour les jeunes avec Najat Vallaud-Belkacem
Le Salon Beige
Aujourd'hui à 11:59
Il semble que "l'Eglise de la République" cherche à redorer son image auprès de la jeunesse, voire à recruter. La Grande Loge de France (GLDF) et la Grande Loge Féminine de France (GLFF) organisent un colloque le 2 avril au Palais Brongniart pour :
Sic. Le tout en présence de... Mme Najat Valaud Belkacem, Ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche.
Ce qui prouve bien la collusion entre cette secte et le gouvernement.
Voilà le programme :
Table Ronde N°1 de 10 heures à 12 heures : Partager l’essentiel ? Une ambition ? avec Dounia Bouzar, anthropologue, créatrice du CPDSI (Centre de prévention des dérives sectaires liées à l'Islam)
et Robert de Rosa, franc-maçon de la Grande Loge de France, directeur de la rédaction de PVI (Points de Vue Initiatique, la revue de la Grande Loge de France).
Table Ronde N°2 : Aimer aujourd’hui ? Passion, Curiosité ? Avec André Manoukian, musicien, pianiste, compositeur, animateur d'émission (juré de l'émission "Nouvelle Star", sur D8) et Charline Rasse, membre de la Grande Loge Féminine de France.
Table Ronde N°3 : Travailler encore demain ? Une envie ? Avec Alain Graesel, passé Grand Maître de la Grande Loge de France.
En 1985, l'Eglise expliquait pourquoi l'adhésion à la franc-maçonnerie est incompatible de la foi catholique :
Michel Janva
Le Salon Beige
Aujourd'hui à 11:59
Il semble que "l'Eglise de la République" cherche à redorer son image auprès de la jeunesse, voire à recruter. La Grande Loge de France (GLDF) et la Grande Loge Féminine de France (GLFF) organisent un colloque le 2 avril au Palais Brongniart pour :
"Loin des idées bizarres et fausses que l'on trouve parfois sur les réseaux sociaux, des franc-maçonnes et des francs-maçons dialogueront directement avec les jeunes. Sans tabou et en toute liberté."
Sic. Le tout en présence de... Mme Najat Valaud Belkacem, Ministre de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche.
Ce qui prouve bien la collusion entre cette secte et le gouvernement.
Voilà le programme :
Table Ronde N°1 de 10 heures à 12 heures : Partager l’essentiel ? Une ambition ? avec Dounia Bouzar, anthropologue, créatrice du CPDSI (Centre de prévention des dérives sectaires liées à l'Islam)
et Robert de Rosa, franc-maçon de la Grande Loge de France, directeur de la rédaction de PVI (Points de Vue Initiatique, la revue de la Grande Loge de France).
Table Ronde N°2 : Aimer aujourd’hui ? Passion, Curiosité ? Avec André Manoukian, musicien, pianiste, compositeur, animateur d'émission (juré de l'émission "Nouvelle Star", sur D8) et Charline Rasse, membre de la Grande Loge Féminine de France.
Table Ronde N°3 : Travailler encore demain ? Une envie ? Avec Alain Graesel, passé Grand Maître de la Grande Loge de France.
En 1985, l'Eglise expliquait pourquoi l'adhésion à la franc-maçonnerie est incompatible de la foi catholique :
"Toutefois, pour un chrétien catholique, il ne lui est pas possible de vivre sa relation avec Dieu de deux façons, c’est-à-dire en la scindant sous une forme humanitaire: supraconfessionnelle, et sous une forme interne: chrétienne. Il ne peut entretenir de relations de deux sortes avec Dieu, ni exprimer son rapport avec le Créateur par des formes symboliques de deux natures. Ceci représenterait quelque chose de totalement différent de cette collaboration, évidente pour lui, avec tous ceux qui sont engagés dans l’accomplissement du bien, même à partir de principes différents. D’autre part, un chrétien catholique ne peut pas, simultanément, participer à la pleine communion de la fraternité chrétienne et considérer son frère chrétien, par ailleurs, selon l’optique maçonnique, comme un «profane».Même, comme on l’a déjà dit, s’il n’y avait pas obligation explicite de professer le relativisme en tant que doctrine, la force relativisante d’une telle fraternité, en raison de sa logique intrinsèque elle-même a cependant en soi la capacité de transformer la structure de l’acte de foi si radicalement qu’elle ne serait plus acceptable pour un chrétien «auquel sa foi est chère» (Léon XIII).Ce bouleversement de la structure fondamentale de foi s’opère en outre, en général, de manière atténuée et sans que l’on s’en aperçoive: la solide adhésion à la vérité de Dieu, révélée dans l’Église, devient simple appartenance à une institution considérée comme une forme expressive particulière à côté d’autres formes expressives – également plus ou moins possibles et valables – de l’orientation de l’homme vers l’éternel.La tentation d’aller dans cette direction est aujourd’hui d’autant plus forte en raison du fait qu’elle correspond entièrement à certaines convictions qui prévalent dans la mentalité contemporaine. L’opinion que la vérité ne peut être connue est une caractéristique typique de notre époque et, en même temps, un élément essentiel de sa crise générale."
Michel Janva