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Divines paroles de Saint Padre Pio
Claire- Admin
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Paroles sages de saint Padre Pio
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Divines paroles de Saint Padre Pio
Divines Paroles de Saint Padre Pio–FÊTE LE 23 SEPTEMBRE*Ne sème pas dans le jardin des autres, mais cultive le tien. Ne désire rien d’autre que d’être ce que tu es. Mais désire bien être ce que tu es*
Texte de Padre Pio
Quand vous vous sentez attaquée par les tentations, le moyen de contraindre Dieu à venir à votre aide se trouve dans l’humilité de l’esprit, la contrition du cœur et la prière confiante. Face à une telle attitude, il est impossible que Dieu ne vous fasse pas bonne figure, qu’il ne cède pas, ne se rende pas et ne vienne pas à votre secours.
La puissance de Dieu, en vérité, triomphe de tout ; cependant l’humble prière douloureuse triomphe de Dieu lui-même, elle arrête son bras, éteint sa colère, le désarme, le vainc et rend Dieu, pour ainsi dire, dépendant et amical. Portons notre regard sur notre divin Maître Jésus en prière, et découvrons la véritable échelle qui unit la terre au ciel. Nous y verrons que l’humilité, la contrition et la prière franchissent cette distance qu’il y a entre Dieu et l’homme.
L’humilité, la contrition et la prière font en sorte que Dieu descend en l’homme et que l’homme s’élève en Dieu, dans une connaissance réciproque, un amour réciproque, une possession réciproque. Ce grand secret que Jésus nous a enseigné par ses paroles et ses actes, je vous invite, par le très doux Jésus, à le pratiquer sans cesse. Par lui, vous parviendrez à ce que Dieu vous soit propice, vous changerez sa justice en attention amoureuse, et vous obtiendrez de lui tout ce que vous demanderez : le pardon des péchés, la grâce de vaincre tous vos ennemis, la sainteté et le salut éternel.
(Lettre à Anita Rodote, 27 août 1915)
Textes de Padre Pio
Ne sème pas dans le jardin des autres, mais cultive le tien. Ne désire rien d’autre que d’être ce que tu es. Mais désire bien être ce que tu es. Concentre tes pensées à te perfectionner en cela et à porter les croix, petites ou grandes, que tu rencontreras. Et crois-moi, ma petite fille, tel est le grand conseil pour mener sa vie spirituellement, même s’il est le plus méconnu. Chacun aime selon son propre désir. Peu aiment selon leur devoir et le désir de notre Seigneur.
(Lettre à Maria Gargani, 27 juillet 1917)
Dans son Évangile, Jésus nous dit : « Je suis la Vérité ». Cette Vérité est un chemin sûr pour arriver au port de notre salut, une vérité substantielle qui ne peut ni se tromper ni nous tromper. Elle ne peut pas se tromper parce qu’elle est amour et bonté. Elle ne peut pas nous tromper parce que c’est Dieu qui, avec sa sagesse et son omniscience, voit tout et sait tout. Suivons-le donc et tâchons de le suivre dans la vérité, cette vérité qui nous conduira non seulement au port de notre salut, mais à la possession de Dieu lui-même. (Bénédiction aux pèlerins de San Giovanni Rotondo, été 1959)
Textes de Padre Pio
-La nuit, quand je ferme les yeux, je vois que le voile s’abaisse et que le paradis s’ouvre devant moi ; heureux de cette vision, je m’endors avec un sourire de douce béatitude sur les lèvres et une expression de grande sérénité sur le visage, attendant que le petit compagnon de mon enfance vienne m’éveiller pour que nous entonnions ensemble les laudes au Bien-aimé de nos cœurs.
(Lettre au Père Agostino, 14 octobre 1912)
Prenez la belle habitude de toujours penser à votre ange gardien. A côté de nous, il y a un esprit céleste qui, du berceau à la tombe, ne nous quitte pas un instant, qui nous guide, qui nous protège comme un ami, comme un frère, qui doit aussi nous consoler toujours, spécialement dans les heures qui sont, pour nous, les plus tristes. Invoquez souvent cet ange gardien, cet ange bénéfique, répétez souvent la belle prière : « Ange de Dieu qui êtes mon gardien, vous à qui la bonté divine m’a confié, éclairez-moi, protégez-moi, guidez-moi, maintenant et toujours. »
Quelle sonsolation sera la vôtre, ô Raffaelina, quand votre âme, au moment de la mort, verra cet ange si bon qui vous aura accompagnée tout au long de votre vie, et aura été plus prodigue qu’un coeur maternel !
(Lettre à Rafaellina Cerase, 20 avril 1915)
Textes de Padre Pio
Ma bouche goûte toute la douceur de la chair immaculée du Fils de Dieu (…) Que Jésus me rend joyeux ! Comme son esprit est doux ! Je suis plein de confusion et ne sais rien faire d’autre que pleurer et répéter : « Jésus, ma nourriture !… » Ce qui m’afflige le plus, c’est que je récompense tout cet amour de Jésus par tant d’ingratitude… Il m’aime toujours et me serre toujours plus contre lui. Il a oublié mes péchés et l’on dirait qu’il ne se souvient que de sa miséricorde.
(Lettre au Père Agostino, 21 mars 1912)
Sachons donner du même amour dont Jésus se donne à nous. En particulier dans le sacrement de l’amour : l’Eucharistie. Jésus se donne à nous sans réserve, toujours, tout entier et sans limite. Efforçons-nous de faire de même avec lui. Nous savons bien ce qu’il nous donne en se donnant lui-même. Il nous donne le Paradis. La seule différence est celle-ci : les saints le contemplent à visage découvert, tandis qu’à nous, il nous parle sous forme voilée. Mais, un beau jour, ces voiles se déchireront et nous contemplerons Jésus dans la plénitude de sa gloire.
(Bénédiction aux pèlerins de San Giovanni Rotondo, été 1959)
Textes de Padre Pio
Que le Très-Haut soit toujours béni, lui qui ne m’abandonne jamais entièrement aux mains des puissances des ténèbres ! Alors même que la bataille me semble toucher à sa fin en faveur de mes adversaires, voici que le Seigneur accourt avec sollicitude pour les mettre en déroute et les réduire à l’impuissance. Plus que jamais, vive la miséricorde divine ! Comme Jésus est bon envers ses créatures ! Combien de victoires son serviteur ne peut-il pas énumérer, toutes dues à son aide puissante ! Jésus a voulu faire de moi un modèle de grâce et me donner en exemple à tous les pécheurs, afin qu’ils ne perdent pas l’espoir d’être sauvés.
(Lettre au Père Agostino, 8 décembre 1914)
L’espérance en la miséricorde inépuisable de Dieu nous soutient dans le tumulte des passions et le flot des contrariétés : c’est avec confiance que nous accourons au sacrement de pénitence où le Seigneur nous attend à tout moment comme un Père de miséricorde. Certes, nous sommes bien conscients, devant lui, de ne pas mériter son pardon ; mais nous ne doutons pas de sa miséricorde infinie. Oublions donc nos péchés, comme Dieu l’a fait avant nous.
(Propos recueillis par Giorgio Festa)
Textes de Padre Pio
Je crois que Dieu a déposé au fond de mon âme de nombreuses grâces de compassion pour les misères d’autrui, en particulier pour les pauvres qui sont dans le besoin. A la vue d’un pauvre, la grande compassion qu’éprouve mon âme suscite en elle un désir brûlant de lui venir en aide et, si je n’écoutais que ma volonté propre, j’irais jusqu’à me dépouiller de mes vêtements pour l’en revêtir. Si j’apprends que quelqu’un est affligé dans son corps ou dans son âme, que ne ferais-je pas auprès du Seigneur pour le voir délivré de ses malheurs ?
(Lettre au Père Benedetto, 26 mars 1914)
Ne refusez d’aucune manière et pour aucune raison de faire la charité à qui que ce soit ; mieux, si l’occasion se présente, prenez-en l’initiative. C’est là ce que demande le Seigneur et c’est ce que vous devez vous efforcer de faire.
(Propos recueillis par Giorgio Festa)
(Lettre à Raffaelina Cerase, 8 octobre 1915)
Texte de Padre Pio
Quand vous vous sentez attaquée par les tentations, le moyen de contraindre Dieu à venir à votre aide se trouve dans l’humilité de l’esprit, la contrition du cœur et la prière confiante. Face à une telle attitude, il est impossible que Dieu ne vous fasse pas bonne figure, qu’il ne cède pas, ne se rende pas et ne vienne pas à votre secours.
La puissance de Dieu, en vérité, triomphe de tout ; cependant l’humble prière douloureuse triomphe de Dieu lui-même, elle arrête son bras, éteint sa colère, le désarme, le vainc et rend Dieu, pour ainsi dire, dépendant et amical. Portons notre regard sur notre divin Maître Jésus en prière, et découvrons la véritable échelle qui unit la terre au ciel. Nous y verrons que l’humilité, la contrition et la prière franchissent cette distance qu’il y a entre Dieu et l’homme.
L’humilité, la contrition et la prière font en sorte que Dieu descend en l’homme et que l’homme s’élève en Dieu, dans une connaissance réciproque, un amour réciproque, une possession réciproque. Ce grand secret que Jésus nous a enseigné par ses paroles et ses actes, je vous invite, par le très doux Jésus, à le pratiquer sans cesse. Par lui, vous parviendrez à ce que Dieu vous soit propice, vous changerez sa justice en attention amoureuse, et vous obtiendrez de lui tout ce que vous demanderez : le pardon des péchés, la grâce de vaincre tous vos ennemis, la sainteté et le salut éternel.
(Lettre à Anita Rodote, 27 août 1915)
Textes de Padre Pio
Ne sème pas dans le jardin des autres, mais cultive le tien. Ne désire rien d’autre que d’être ce que tu es. Mais désire bien être ce que tu es. Concentre tes pensées à te perfectionner en cela et à porter les croix, petites ou grandes, que tu rencontreras. Et crois-moi, ma petite fille, tel est le grand conseil pour mener sa vie spirituellement, même s’il est le plus méconnu. Chacun aime selon son propre désir. Peu aiment selon leur devoir et le désir de notre Seigneur.
(Lettre à Maria Gargani, 27 juillet 1917)
Dans son Évangile, Jésus nous dit : « Je suis la Vérité ». Cette Vérité est un chemin sûr pour arriver au port de notre salut, une vérité substantielle qui ne peut ni se tromper ni nous tromper. Elle ne peut pas se tromper parce qu’elle est amour et bonté. Elle ne peut pas nous tromper parce que c’est Dieu qui, avec sa sagesse et son omniscience, voit tout et sait tout. Suivons-le donc et tâchons de le suivre dans la vérité, cette vérité qui nous conduira non seulement au port de notre salut, mais à la possession de Dieu lui-même. (Bénédiction aux pèlerins de San Giovanni Rotondo, été 1959)
-La nuit, quand je ferme les yeux, je vois que le voile s’abaisse et que le paradis s’ouvre devant moi ; heureux de cette vision, je m’endors avec un sourire de douce béatitude sur les lèvres et une expression de grande sérénité sur le visage, attendant que le petit compagnon de mon enfance vienne m’éveiller pour que nous entonnions ensemble les laudes au Bien-aimé de nos cœurs.
(Lettre au Père Agostino, 14 octobre 1912)
Prenez la belle habitude de toujours penser à votre ange gardien. A côté de nous, il y a un esprit céleste qui, du berceau à la tombe, ne nous quitte pas un instant, qui nous guide, qui nous protège comme un ami, comme un frère, qui doit aussi nous consoler toujours, spécialement dans les heures qui sont, pour nous, les plus tristes. Invoquez souvent cet ange gardien, cet ange bénéfique, répétez souvent la belle prière : « Ange de Dieu qui êtes mon gardien, vous à qui la bonté divine m’a confié, éclairez-moi, protégez-moi, guidez-moi, maintenant et toujours. »
Quelle sonsolation sera la vôtre, ô Raffaelina, quand votre âme, au moment de la mort, verra cet ange si bon qui vous aura accompagnée tout au long de votre vie, et aura été plus prodigue qu’un coeur maternel !
(Lettre à Rafaellina Cerase, 20 avril 1915)
Ma bouche goûte toute la douceur de la chair immaculée du Fils de Dieu (…) Que Jésus me rend joyeux ! Comme son esprit est doux ! Je suis plein de confusion et ne sais rien faire d’autre que pleurer et répéter : « Jésus, ma nourriture !… » Ce qui m’afflige le plus, c’est que je récompense tout cet amour de Jésus par tant d’ingratitude… Il m’aime toujours et me serre toujours plus contre lui. Il a oublié mes péchés et l’on dirait qu’il ne se souvient que de sa miséricorde.
(Lettre au Père Agostino, 21 mars 1912)
Sachons donner du même amour dont Jésus se donne à nous. En particulier dans le sacrement de l’amour : l’Eucharistie. Jésus se donne à nous sans réserve, toujours, tout entier et sans limite. Efforçons-nous de faire de même avec lui. Nous savons bien ce qu’il nous donne en se donnant lui-même. Il nous donne le Paradis. La seule différence est celle-ci : les saints le contemplent à visage découvert, tandis qu’à nous, il nous parle sous forme voilée. Mais, un beau jour, ces voiles se déchireront et nous contemplerons Jésus dans la plénitude de sa gloire.
(Bénédiction aux pèlerins de San Giovanni Rotondo, été 1959)
Que le Très-Haut soit toujours béni, lui qui ne m’abandonne jamais entièrement aux mains des puissances des ténèbres ! Alors même que la bataille me semble toucher à sa fin en faveur de mes adversaires, voici que le Seigneur accourt avec sollicitude pour les mettre en déroute et les réduire à l’impuissance. Plus que jamais, vive la miséricorde divine ! Comme Jésus est bon envers ses créatures ! Combien de victoires son serviteur ne peut-il pas énumérer, toutes dues à son aide puissante ! Jésus a voulu faire de moi un modèle de grâce et me donner en exemple à tous les pécheurs, afin qu’ils ne perdent pas l’espoir d’être sauvés.
(Lettre au Père Agostino, 8 décembre 1914)
L’espérance en la miséricorde inépuisable de Dieu nous soutient dans le tumulte des passions et le flot des contrariétés : c’est avec confiance que nous accourons au sacrement de pénitence où le Seigneur nous attend à tout moment comme un Père de miséricorde. Certes, nous sommes bien conscients, devant lui, de ne pas mériter son pardon ; mais nous ne doutons pas de sa miséricorde infinie. Oublions donc nos péchés, comme Dieu l’a fait avant nous.
(Propos recueillis par Giorgio Festa)
Je crois que Dieu a déposé au fond de mon âme de nombreuses grâces de compassion pour les misères d’autrui, en particulier pour les pauvres qui sont dans le besoin. A la vue d’un pauvre, la grande compassion qu’éprouve mon âme suscite en elle un désir brûlant de lui venir en aide et, si je n’écoutais que ma volonté propre, j’irais jusqu’à me dépouiller de mes vêtements pour l’en revêtir. Si j’apprends que quelqu’un est affligé dans son corps ou dans son âme, que ne ferais-je pas auprès du Seigneur pour le voir délivré de ses malheurs ?
(Lettre au Père Benedetto, 26 mars 1914)
Ne refusez d’aucune manière et pour aucune raison de faire la charité à qui que ce soit ; mieux, si l’occasion se présente, prenez-en l’initiative. C’est là ce que demande le Seigneur et c’est ce que vous devez vous efforcer de faire.
(Propos recueillis par Giorgio Festa)
Textes de Padre Pio
Vous me demandiez un éclaircissement sur votre façon de souffrir, me disant que vous allez souvent à la recherche de réconfort, que la nature veut être épargnée, et vous croyez pour cela que votre amour pour Dieu n’est ni parfait ni sincère. Rassurez-vous, car vous souffrez comme Dieu le veut. Si la nature s’en ressent et réclame ses droits c’est la condition de l’homme voyageur qui, pour secrètement et tacitement que ce soit, ressent la douleur des souffrances et naturellement voudrait les fuir ; c’est parce que l’homme a été créé pour le bonheur, et les croix sont la conséquence du péché. Tant que nous sommes en ce monde, nous aurons toujours à sentir l’aversion naturelle pour les souffrances.
(Lettre à Raffaelina Cerase, 13 mai 1915)
Quant à moi, je ne puis que prendre part, et de tout cœur, à la douleur qui vous opprime, prier assidûment le Bon Dieu pour vous et vous souhaiter du très doux Jésus la force spirituelle et matérielle pour traverser la dernière épreuve de son amour paternel envers vous (…) Comme je voudrais être auprès de vous en ces moments pour adoucir en quelque manière la douleur qui nous opprime ! Mais je serai auprès de vous par la pensée ; je ferai miennes toutes vos souffrances et je les offrirai toutes pour vous en holocauste au Seigneur.(Lettre à Raffaelina Cerase, 13 mai 1915)
(Lettre à Raffaelina Cerase, 8 octobre 1915)
Textes de Padre Pio
Parmi toutes les vertus, et plus que toutes, la charité est celle qui, en soi, constitue la perfection chrétienne. Ainsi donc, ma soeur, accordons une attention sans mesure à cette vertu, si nous voulons trouver miséricorde auprès du Père céleste. Aimons la charité et mettons-la en pratique : elle est la vertu qui fait de nous des fils d’un même Père qui est aux cieux. Aimons la charité, car elle est le commandement de notre divin Maître : c’est par elle que nous nous distinguons des gentils. Aimons la charité et fuyons jusqu’à l’ombre où nous pourrions en quelque manière l’offenser. Oui, enfin, aimons la charité et ayons toujours présent à l’esprit le grand enseignement de l’Apôtre : » Nous sommes tous membres de Jésus Christ » (Eph 5,30) et Jésus seul est » la tête de nous tous, ses membres » (Eph 4, 15). Montrons-nous notre amour réciproque et souvenons-nous que tous nous sommes appelés à former un seul corps et que si nous conservons la charité, la belle paix de Jésus triomphera et exultera toujours en nos coeurs.
(Lettre à Raffaelina Cerase, 13 mai 1915)
(Lettre à Raffaelina Cerase, 13 mai 1915)
Que le Seigneur veuille accorder le triomphe à la vérité, la paix à son Église, la tranquillité aux peuples de la terre, la santé et la prospérité à votre Sainteté, afin que, lorsque ces bourrasques passagères se seront dissipées, le Règne de Dieu triomphe dans tous les cœurs, par votre œuvre apostolique de Pasteur de toute la chrétienté.
(Lettre à Paul VI ; dernière lettre de Padre Pio, le 12 septembre 1968)
(Lettre à Paul VI ; dernière lettre de Padre Pio, le 12 septembre 1968)
Textes de Padre Pio
Comme il est doux, mon Père, ce mot de : CROIX! Ici, au pied de la croix, les âmes se revêtent de lumière, s’enflamment d’amour, mettent des ailes pour atteindre des cieux plus élevés. Que cette même croix soit également notre lit de repos, notre école de perfection, notre héritage bien-aimé ! Dans ce but, gardons-nous de la séparer de l’amour que nous portons à Jésus : sans celui-ci, elle deviendrait un fardeau que notre faiblesse ne saurait supporter.
Que la Vierge des Douleurs nous obtienne de son Fils de nous faire pénétrer toujours plus avant dans ce mystère et de nous enivrer des souffrances de Jésus ! La plus grande preuve d’amour consiste à souffrir pour l’être aimé. Par conséquent, comme le Fils de Dieu a subi tant de souffrances par pur amour, il ne fait aucun doute que la croix qu’il a portée devient aussi aimable que l’amour.
Que la Sainte Vierge nous obtienne d’aimer la croix, les souffrances et les douleurs ! Puisqu’elle fut la première à mettre l’Évangile en pratique dans toute sa perfection et sa sévérité, et cela avant même qu’il soit publié, qu’elle nous l’obtienne à nous aussi et nous donne d’être toujours à ses côtés. Efforçons-nous aussi, à l’exemple de tant d’âmes élues, de nous tenir toujours derrière cette Mère bénie et de marcher à sa suite, car il n’y a pas d’autre chemin qui conduise à la vie que celui que notre Mère emprunte : ne nous en détournons pas, si nous voulons atteindre le but.
(Lettre au Père Agostino, 1er juillet 1915)
(Lettre au Père Agostino, 1er juillet 1915)
https://gloria.tv/article/gAtWwnJYxgzC3ccpUyBiW96AX
Source: https://myriamir.wordpress.com/author/myriamir/
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Claire- Admin
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- Message n°3
Re: Divines paroles de Saint Padre Pio
Merci Jérémie tu m'as devancée ! Grand Padre Pio !
AZUR- Messages : 1736
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- Message n°5
Re: Divines paroles de Saint Padre Pio
Ah, quel grand saint!
Merci, Jérémie!
Merci, Jérémie!
Claire- Admin
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- Message n°6
Re: Divines paroles de Saint Padre Pio
Saint Padre Pio et le Rosaire…*
Que dire des innombrables rosaires qu’il a récités... à tel point qu’on l’appelait « le Rosaire vivant » ! Il priait toujours. Il était, au plein sens du terme « l’homme fait prière ». Jamais il ne se lassait de prier. Bien plus, on lit dans les lettres qu’il écrivait à ses Directeurs spirituels qu’il se plaignait de ne jamais avoir le temps de prier.
Il avait écrit un jour : « Je voudrais que les journées aient quarante heures ! « … Il priait partout, à l’autel, au confessionnal, à sa place au matronée de la basilique où on le voyait lever son chapelet comme pour le montrer aux fidèles qui, en bas, le regardaient, priaient avec lui, priaient par lui…
Il priait dans les escaliers, dans les couloirs, dans sa cellule, le jour et la nuit, à l’exception des très rares heures de sommeil. Il priait avec des gémissements du cœur.
Le Rosaire était pour lui l’occasion de méditer les desseins du Seigneur pour le Salut du monde. Il repassait dans son esprit les Mystères Joyeux, Douloureux et Glorieux de la vie de Jésus et de Marie. Il aurait aussi – et avec quelle joie ! – adopté les Mystères Lumineux que nous a donnés le Pape Jean Paul II.
Il ne s’endormait jamais le soir pour de très courtes heures de repos qu’il s’accordait, sans son chapelet qu’il appelait « son arme », « son épée » (la mia spada !). Il est vrai qu’il avait souvent à soutenir d’âpres luttes avec ceux qu’il appelait « les cosaques », les démons !
C’est sans doute pour le remercier de tant d’amour que la Vierge Marie – présente en sa statue pèlerine de Fatima – avait guéri Padre Pio au terme de sa visite de grâce à San Giovanni Rotondo. On se souvient aussi avec émotion du visage extatique de Padre Pio, de son regard merveilleux posé sur une statuette qu’un pèlerin lui présentait pour qu’il la bénisse…
Il la prit et imprima un long baiser sur le Cœur maternel de Marie… Ses yeux profonds et lumineux étaient baignés de larmes…
Que voyait-il à travers cette matière inerte qu’il tenait en mains ? Quel monde mystérieux l’Esprit Saint avait construit dans l’âme de saint Padre Pio !
Il est mort, serrant dans ses mains son chapelet et murmurant jusqu’à son dernier souffle les doux noms de Jésus et de Marie…. Jésus... Marie…. Son amour ! Quel exemple !… Devant cette « âme solaire », que convient-il de faire sinon, humblement, de nous agenouiller et de remercier Dieu de nous l’avoir donnée, et d’avoir peut-être compris que Dieu lançait à travers Padre Pio un appel angoissé au monde : celui de mesurer l’immense, l’abyssale gravité du péché et, en même temps, l’immensité de l’Amour du Père et l’infinie Tendresse du Cœur de Jésus…
Père Jean Derobert-Fils spirituel du Padre
https://myriamir.wordpress.com/2016/10/02/saint-padre-pio-et-le-rosaire/
Que dire des innombrables rosaires qu’il a récités... à tel point qu’on l’appelait « le Rosaire vivant » ! Il priait toujours. Il était, au plein sens du terme « l’homme fait prière ». Jamais il ne se lassait de prier. Bien plus, on lit dans les lettres qu’il écrivait à ses Directeurs spirituels qu’il se plaignait de ne jamais avoir le temps de prier.
Il avait écrit un jour : « Je voudrais que les journées aient quarante heures ! « … Il priait partout, à l’autel, au confessionnal, à sa place au matronée de la basilique où on le voyait lever son chapelet comme pour le montrer aux fidèles qui, en bas, le regardaient, priaient avec lui, priaient par lui…
Il priait dans les escaliers, dans les couloirs, dans sa cellule, le jour et la nuit, à l’exception des très rares heures de sommeil. Il priait avec des gémissements du cœur.
Le Rosaire était pour lui l’occasion de méditer les desseins du Seigneur pour le Salut du monde. Il repassait dans son esprit les Mystères Joyeux, Douloureux et Glorieux de la vie de Jésus et de Marie. Il aurait aussi – et avec quelle joie ! – adopté les Mystères Lumineux que nous a donnés le Pape Jean Paul II.
Il ne s’endormait jamais le soir pour de très courtes heures de repos qu’il s’accordait, sans son chapelet qu’il appelait « son arme », « son épée » (la mia spada !). Il est vrai qu’il avait souvent à soutenir d’âpres luttes avec ceux qu’il appelait « les cosaques », les démons !
C’est sans doute pour le remercier de tant d’amour que la Vierge Marie – présente en sa statue pèlerine de Fatima – avait guéri Padre Pio au terme de sa visite de grâce à San Giovanni Rotondo. On se souvient aussi avec émotion du visage extatique de Padre Pio, de son regard merveilleux posé sur une statuette qu’un pèlerin lui présentait pour qu’il la bénisse…
Il la prit et imprima un long baiser sur le Cœur maternel de Marie… Ses yeux profonds et lumineux étaient baignés de larmes…
Que voyait-il à travers cette matière inerte qu’il tenait en mains ? Quel monde mystérieux l’Esprit Saint avait construit dans l’âme de saint Padre Pio !
Il est mort, serrant dans ses mains son chapelet et murmurant jusqu’à son dernier souffle les doux noms de Jésus et de Marie…. Jésus... Marie…. Son amour ! Quel exemple !… Devant cette « âme solaire », que convient-il de faire sinon, humblement, de nous agenouiller et de remercier Dieu de nous l’avoir donnée, et d’avoir peut-être compris que Dieu lançait à travers Padre Pio un appel angoissé au monde : celui de mesurer l’immense, l’abyssale gravité du péché et, en même temps, l’immensité de l’Amour du Père et l’infinie Tendresse du Cœur de Jésus…
Père Jean Derobert-Fils spirituel du Padre
https://myriamir.wordpress.com/2016/10/02/saint-padre-pio-et-le-rosaire/
Invité- Invité
- Message n°7
Re: Divines paroles de Saint Padre Pio
C'est beau, merci Claire!
Il y a un très bon livre à lire absolument, que je me suis procuré, c'est "Le Rosaire, Les vingt mystères revisités" de Mgr René Laurentin:
Il y a un très bon livre à lire absolument, que je me suis procuré, c'est "Le Rosaire, Les vingt mystères revisités" de Mgr René Laurentin:
marie-rose- Messages : 953
Date d'inscription : 28/02/2014
- Message n°8
Re: Divines paroles de Saint Padre Pio
Textes de Padre Pio
Ne sème pas dans le jardin des autres, mais cultive le tien. Ne désire rien d’autre que d’être ce que tu es. Mais désire bien être ce que tu es. Concentre tes pensées à te perfectionner en cela et à porter les croix, petites ou grandes, que tu rencontreras. Et crois-moi, ma petite fille, tel est le grand conseil pour mener sa vie spirituellement, même s’il est le plus méconnu. Chacun aime selon son propre désir. Peu aiment selon leur devoir et le désir de notre Seigneur.
magnifique! ça répond à mes questions merci Claire! merci Pa Padre Pio!
Claire- Admin
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- Message n°9
Re: Divines paroles de Saint Padre Pio
Voici une lettre très importante de Padre Pio à Paul VI que l'on n'avait pas encore postée sur ce forum :
https://www.evangelium-vitae.org/actualite/3298/padre-pio-et-humanae-vitae.htm
Padre Pio et Humanae Vitae
Publiée le 23-09-2018
Le 25 juillet 1968, le Pape Paul VI publiai "Humanae Vitae", Lettre Encyclique sur l'amour humain et la régulation naturelle des naissances. Le Pape Paul VI se retrouva alors isolé, abandonné, comme Jésus, ce fut pour le Pape Paul VI une très grande épreuve.
Cette épreuve, Padre Pio l'a ressentie profondément. A tel point qu'il a tenu à écrire au Pape une lettre, dont voici un extrait concernant Humanae Vitae :
"«Je sais que votre coeur souffre beaucoup ces jours-ci pour le destin de l'Église, pour la paix dans le monde, pour les si nombreux besoins des peuples, mais surtout à cause du manque d'obéissance de certains Catholiques à l'égard du haut enseignement que vous nous donnez, assisté par l'Esprit-Saint et au nom de Dieu. Je vous offre ma prière, et ma souffrance quotidienne… afin que le Seigneur vous réconforte par sa grâce, pour continuer à suivre le chemin droit et difficile, en défendant l'éternelle vérité…
Je vous remercie également des paroles claires et décisives que vous avez prononcées, particulièrement dans la dernière encyclique Humanæ vitæ, et je réaffirme ma foi, ainsi que mon obéissance inconditionnelle à vos directives éclairées.
Que le Seigneur veuille accorder le triomphe à la vérité, la paix à son Église, la tranquillité aux peuples de la terre, la santé et la prospérité à votre Sainteté, afin que, lorsque ces bourrasques passagères se seront dissipées, le Règne de Dieu triomphe" dans tous les cœurs."
Cette lettre est datée du 12 septembre 1968. Padre Pio mourut quelques jours plus tard, le 23 septembre.
https://www.evangelium-vitae.org/actualite/3298/padre-pio-et-humanae-vitae.htm
Dernière édition par Claire le Mer 5 Déc 2018 - 20:30, édité 1 fois
Claire- Admin
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- Message n°10
Re: Divines paroles de Saint Padre Pio
LA PRIERE IRRESISTIBLE DE PADRE PIO
À réciter quand les tempêtes s’abattent plus fortement et plus violemment sur nos vies.
Padre Pio a reçu de Dieu de grands dons, des dons précieux qui lui donnaient l’art de discerner et secouer les consciences de tous ceux qui l’approchaient. Les milliers de lettres écrites de sa main, qui servaient de guide aux personnes qu’il suivait personnellement, les milliers de conseils dispensés au détours d’une rencontre, d’une homélie, d’une confidence, d’une vision avec Jésus, la Vierge Marie, son ange gardien… sont sources de sagesse concrète et de grande utilité, comme un pont entre le ciel et la terre.
Mais surtout, le capucin était avide de prières à l’autel, au confessionnal, dans sa cellule, de jour comme de nuit — pour la Vierge Marie, pour Jésus, pour son ange gardien — exhortant les fidèles à faire de même pour devenir un chrétien meilleur. Il y en a une, en particulier, qui est irrésistible. C’est d’ailleurs son nom à réciter quand les tempêtes s’abattent violemment sur nos vies, quand la croix que l’on porte sur nos épaules se fait de plus en plus lourde.
Cette prière est définie « irrésistible » parce qu’elle repose sur les trois promesses solennelles du Seigneur rapportées dans l’Évangile. Et ce qu’il conseillait à tous, Padre Pio l’a vécu le premier dans une piété sans commune mesure. Il la disait chaque jour pour tous ceux qui se recommandaient à ses prières. Dite par lui et maintenant récitée par nous, le cœur sacré de Jésus, auquel s’adresse cette prière, ne saura que s’en émouvoir :
Ô mon Jésus qui avez dit : « en vérité, en vérité je vous le dis,
demandez et vous recevrez, cherchez et vous trouverez, frappez et il vous sera répondu.
Voilà que je frappe, je cherche, et je demande la grâce de ….......
Notre Père, Je vous salue, Gloire au Père,
Cœur Sacré de Jésus, j’ai confiance en Vous !
Ô mon Jésus qui avez dit : en vérité, en vérité je vous le dis,
tout ce que vous demanderez à mon Père en mon Nom, Il vous l’accordera.
Voici qu’à votre Père, en votre Nom, je demande la grâce de …
Notre Père, Je vous salue, Gloire au Père,
Cœur Sacré de Jésus, j’ai confiance en Vous !
Ô mon Jésus, qui avez dit : en vérité je vous le dis,
le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point !
Voici que, m’appuyant sur l’infaillibilité de vos saintes paroles,
je demande la grâce de …
Notre Père, je vous salue, Gloire au Père,
Cœur Sacré de Jésus, j’ai confiance en Vous !
Padre Pio
Dans les pas de Padre Pio rappelons-nous que Notre Seigneur tient toujours ses promesses.
Réciter cette prière chaque jour c’est Lui dire, chaque jour, que nous croyons à ses promesses et que nous voulons qu’Il les accomplisse.
http://www.chretiensmagazine.fr/2018/11/la-priere-irresistible-de-padre-pio.html
Claire- Admin
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Re: Divines paroles de Saint Padre Pio
"Il arrive que les abeilles traversent de grandes distances dans les prés avant de parvenir aux fleurs qu'elles ont choisies; ensuite, fatiguées mais satisfaites et chargées de pollen, elles rentrent à la ruche pour y accomplir la transformation silencieuse, mais féconde, du nectar des fleurs en nectar de vie.
Faites de même : après avoir écouté la Parole,
méditez-là attentivement,
examinez ses divers éléments,
cherchez sa signification profonde.
Alors elle vous deviendra claire et lumineuse; elle aura le pouvoir de transformer vos inclinations naturelles en une pure élévation de l'esprit; et votre coeur sera toujours plus étroitement uni au Coeur du Christ".
P Pio De Pietrelcina
Faites de même : après avoir écouté la Parole,
méditez-là attentivement,
examinez ses divers éléments,
cherchez sa signification profonde.
Alors elle vous deviendra claire et lumineuse; elle aura le pouvoir de transformer vos inclinations naturelles en une pure élévation de l'esprit; et votre coeur sera toujours plus étroitement uni au Coeur du Christ".
P Pio De Pietrelcina
Claire- Admin
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Re: Divines paroles de Saint Padre Pio
CITATION DU JOUR - de saint Pio de Pietrelcina
" Si tu n'arrives pas à rester longuement en prière, ou en train de méditer, il ne faut pas te décourager.
Tant que tu recevras le Christ avec ferveur et chaque matin dans le sacrement de l'Eucharistie, estime-toi heureuse au plus au point.
Dans la journée, lorsqu'il ne t'est pas possible de faire plus, appelle Jésus-Christ par un gémissement de ton âme, même au beau milieu de tes occupations; Il viendra et restera uni à toi par sa grâce et son amour.
Vole en esprit devant le Tabernacle quand tu ne peux y aller physiquement, et là, épanche tes désirs auprès de ton Bien-Aimé, parle-Lui et prie-Le"
(Padre Pio - Recueil III, p. 448)
www.citationschretiennes.com
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" Si tu n'arrives pas à rester longuement en prière, ou en train de méditer, il ne faut pas te décourager.
Tant que tu recevras le Christ avec ferveur et chaque matin dans le sacrement de l'Eucharistie, estime-toi heureuse au plus au point.
Dans la journée, lorsqu'il ne t'est pas possible de faire plus, appelle Jésus-Christ par un gémissement de ton âme, même au beau milieu de tes occupations; Il viendra et restera uni à toi par sa grâce et son amour.
Vole en esprit devant le Tabernacle quand tu ne peux y aller physiquement, et là, épanche tes désirs auprès de ton Bien-Aimé, parle-Lui et prie-Le"
(Padre Pio - Recueil III, p. 448)
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Claire- Admin
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Re: Divines paroles de Saint Padre Pio
Le 23 septembre c’est la fête du padre Pio.
Belle journée avec saint Pio de Pietrelcina !
Belle journée avec saint Pio de Pietrelcina !
Claire- Admin
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Re: Divines paroles de Saint Padre Pio
"L'inquiétude est un grand danger pour la pratique des vertus et de la prière. Elle ne nous fait courir que pour nous faire trébucher; par conséquent il nous faut nous en garder en toute occasion, mais spécialement dans l'oraison. Et pour mieux y parvenir, il sera bon de se rappeler ceci: La grâce et le goût de l'oraison ne viennent pas de la terre, mais du Ciel; il s'ensuit que tous nos efforts n'y peuvent rien, même s'il reste nécessaire de s'y disposer avec sérieux, humblement, et paisiblement. Il suffit de garder son cœur ouvert, tourné vers le Ciel, et d'attendre ainsi la Rosée Céleste "[size=16]P. Pio De Pietrelcina
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