Condensé de la Vie et la Mission de « Marie-Catherine Olive Danzé …
qui deviendra Sœur Marie du Christ-Roi, au Monastère des Bénédictines de Paris *
La petite vie de Soeur Olive
Olive est le seul prénom que JÉsus retiendra et utilisera, parce qu’Il fera de la cellule de son cœur son « Jardin des Oliviers » : le cœur de cette femme sera pressuré comme l’olive sous le pressoir. Écrasé et rejeté pour qu’en elle, comme en Lui, tout soit consommé ! »
« La petite Olive était d’une nature très attachante. Si Jésus, pour une raison toute mystique, l’appela souvent sa douce et petite Olive, chez elle et dans son entourage, on l’appellera de son premier nom de baptême, Marie, ou plus familièrement Marik, « petite Marie » en Breton.
Comme tous les enfants de son âge, la petite Marie était vive, souriante et joyeuse. Toute sa vie, elle restera quelque peu espiègle, aimant s’amuser, même au couvent. La Joie est un signe de la Présence de DIEU dans le cœur, car DIEU est la Joie !
A l’exemple de ses parents, la petite Olive fait preuve très jeune, elle aussi, de courage et d’abnégation, et, comme sa mère, « son âme est élevée, et sa nature fine et délicate. Petite, elle le reste toute sa vie… Sa voix, son regard et ses paroles sont le reflet visible de sa Pureté lors de son baptême. » JÉsus est Celui qu’elle aime plus que tout et bien plus qu’elle-même, Il est son doux Ami, son petit Roi d’Amour. »
L’Enfant-Jésus devient le compagnon de jeu de la petite Olive
« Pour nourrir sa nombreuse famille, le travail de son père, si tenace et si appliqué qu’il fût, ne pouvait suffire. Sa mère aussi était donc obligée d’aller souvent travailler au-dehors pendant la journée !
Et quand elle s’absentait, elle avait l’habitude de fermer la porte de sa chambre jusqu’à ce qu’elle revienne, le soir, à la maison. Pendant sa longue absence, la petite Olive cherchait à se distraire comme elle pouvait.
Mais le plus souvent, l’enfant souffrait terriblement de la solitude et elle pleurait tristement. Mais, prodige merveilleux de la Bonté de DIEU, un jour tout changea !
Un ravissant petit Compagnon vint jouer avec elle : c’était le divin petit Enfant JÉsus en personne ! Il apportait même une balle et des jouets pour s’amuser avec elle ! »
« Dès sa plus tendre enfance, Olive aura donc avec le saint Enfant Jésus des rapports d’une ravissante simplicité.
Oui, de la façon la plus naturelle qui soit, Il lui apparaissait, la regardait jouer, prenait part à ses ébats, s’asseyait à côté d’elle, la tenait par la main, se promenait avec elle, la caressait, l’instruisait, la bénissait…
Et, suprême délicatesse divine, Il grandissait avec elle. « Nos deux fronts se touchaient toujours », dira-t-elle avec une ravissante candeur. »
« J’avais cinq ans, raconte Sœur Olive, lorsque je connus mon petit Ami Jésus.
Un jour, je jouai avec ma poupée dans le couloir. Je voulais monter dans ma petite voiture et la faire marcher en même temps : chose difficile, bien sûr ! Étant moi-même assise dedans, je ne pouvais pas, toute seule, arriver à la faire rouler.
Je n’avais pas d’ami, ni sœur, ni frère présents. Ce jour-là, je parlai à ma poupée chérie : si nous avions un petit compagnon ou une petite amie pour venir s’amuser tous les jours avec nous, comme nous serions vraiment heureux, n’est-ce pas !? »
« Je n’avais pas encore fini de parler que je vis un tout petit enfant de mon âge qui vint vers moi et me dit : « Viens jouer ! »
« Oui, lui dis-je, tout de suite. Je suis trop heureuse de trouver un petit ami pour jouer avec moi ! »
Il me mit dans la voiture avec ma poupée et me conduisit dans l’Oratoire, la chambre où maman avait l’habitude de faire ses prières. Là se trouvaient exposés une statue de la Ste Vierge, un crucifix et des cadres avec des images pieuses.
Je regardai tous ces objets au lieu de regarder mon petit ami, qui, arrivé là, me laissa toute seule. »
« A son retour, maman fut toute étonnée de me trouver dans son Oratoire, l’ayant bien fermé à clef avant son départ… Un moment elle resta bouche bée, comme en extase devant moi et ma poupée, puis elle me dit :
– Mais qui t’a fait entrer ici, ma petite ?
– Un petit enfant, maman.
– Et qui est ce petit enfant ?
Je ne sus que répondre à maman, car je ne le connaissais pas du tout !
– Mais comment était-il habillé ? me demanda encore maman.
– Il était tout en blanc, les pieds nus, avec des cheveux bouclés et un rond d’or autour de la tête.
– C’est très bien ! me dit maman, je Le connais. Ce n’est pas étonnant qu’Il ait pu ouvrir la porte fermée à clef. Viens, ma petite fille, tu es à Lui et non à moi.
Cela ne représente-t-il pas une preuve donnée par Jésus que c’est bien Lui qui est venu jouer avec Olive ? Mais les cœurs purs et aimants n’ont pas besoin de preuves pour croire ! Ils perçoivent le Divin et L’accueillent comme tel.
L’appel du Sacré-Cœur
« En 1916 (elle a dix ans), le Sacré-Cœur lui apparaît dans l’église paroissiale de Plogoff. Elle témoigne : « Il n’était plus le petit Jésus que j’avais connu. Il était devenu Homme et Il souffrait.
Il me dit : « Mon Cœur est transpercé par des milliers et des millions de lames de couteau. »
– Mais qui donc T’a fait tout cela, ô mon Jésus ?
– Eh bien ! ce sont mes enfants, mes enfants qui ne M’aiment pas assez. Je suis persécuté par les pécheurs. Je souffre à cause d’eux. Oh ! vole donc, chère amie, vole au secours de ces pauvres âmes. Donne-les-Moi, elles aussi ! Donne-Moi des âmes, toutes les âmes que tu pourras. »
– Je suis prête à tout quitter pour Te gagner des âmes.
– Oui, il Me faut des âmes.
– Et où veux-Tu que j’aille pour les sauver ?
– Reste chez toi pendant quelques années encore. Et plus tard, tu voleras au loin, mon enfant.
– Oui, mon Jésus. Je ferai ta Volonté en toutes choses.
La Ste Vierge lui précise sa vocation religieuse
Quelques jours plus tard, Marie lui apparaît au moment de sa Communion solennelle et lui confirme sa vocation religieuse :
« Ma petite fille, retourne chez ta maman. Sois en paix. Tu seras l’épouse de mon Fils. Encore un peu de patience. Tu es vraiment trop petite encore. Que ton esprit repose en paix. D’ici-là, tu vas grandir en amour et en âge. Va, ma fille, sois fidèle ! »
« En 1920, la Ste Vierge lui communique l’adresse des Bénédictines du Saint-Sacrement à Paris, le « lieu béni » choisi pour elle (au 16, rue Tournefort, sur la montagne Ste Geneviève, à Paris) et lui montre l’intérieur de leur monastère.
« Tu vois, ma Sœur, dit-elle, c’est ici que tu viendras. Ici, on vient pour réparer et consoler mon Divin Fils. »
« Tu viendras ici, près de Lui et de moi. Tu ne seras pas isolée. Tu me reverras. Tu seras réparatrice des outrages faits à mon Fils, qui est Roi. Il est triste d’être la Victime innocente de pécheurs foncièrement mauvais, méchants et pervers !
La couronne d’épines a été tressée par des mains infâmes, qui voulurent sa mort et Le crucifièrent ! Ils craignaient de perdre leurs places et leurs privilèges, en voyant la Puissance et la Divinité de mon Fils…
« Oui, tu viendras ici, ma petite Sœur, réparer les irrespects et les profanations de sa divine Présence dans l’Hostie.
Sais-tu qu’il y a de nombreux endroits dans le monde qui se trouvent encore dans l’ignorance et les ténèbres, parce que personne n’y est allé pour y faire connaître mon Fils et y porter ses belles Paroles de Vie ? Et où par conséquent Il ne rayonne pas, Lui qui est la Lumière du monde.
Tu viendras ici pour faire connaître son Amour et sa Bonté présents dans l’Hostie. Tu feras aimer sa Royauté et tu contribueras à Le faire régner. »
Sr Olive et la demande du Christ-Roi
« Comme la Ste Vierge le lui avait annoncé, la jeune Olive entre, le 14 août 1926, au monastère parisien des Bénédictines du St-Sacrement…
« Elle sentait souvent son cœur si brûlant, écrit la maîtresse des novices, qu’elle avait de la peine à en supporter la douleur. La nuit surtout, cette chaleur intense se faisait sentir. Il lui sembla plusieurs fois qu’une flamme la consumait et sortait de son cœur !
Et en effet, trois de ses chemises furent successivement brûlées à l’endroit du cœur. La troisième portait aussi une tâche de sang due à la blessure du coup de lance, dont elle portait le stigmate.
Dès lors, la maîtresse put constater qu’un suintement sanglant et parfois une plaie vive se produisaient au cœur de la petite Olive. Elle en souffrait extrêmement, surtout le vendredi.
« Parfois la flamme, qui dévorait son cœur, était si vive, et ce cœur se consumait tellement d’Amour pour le Seigneur que le feu brûlait non seulement sa chemise, mais encore sa robe de moniale…
Paroles de JÉsus, datées du mois de juin 1927 :
« Ma petite Reine, Je viens te rendre visite pour te dire que mon Cœur est grand ouvert pour te recevoir avec tes prières et tous ceux que tu aimes tant. Désormais, Je ne pourrai rien te refuser : demande et Je te donne. Oui, demande la paix pour la France, Je te la donnerai. Demande de la nourriture pour tes Sœurs, Je te la donnerai encore. Demande de la Charité et de la Foi, Je te les donnerai aussi.
« Mais demande aussi que mon Cœur soit aimé, connu, adoré et respecté. Demande que mes Commandements soient obéis, que mon Nom soit glorifié et ma Royauté honorée et respectée. Que toutes les nations M’obéissent et Me prennent pour leur vrai Roi du Ciel et de la Terre. Que tout genou fléchisse à mon Nom : « Jésus-Christ-Roi » sur le monde entier.
« Que toutes les personnes consacrées Me restent fidèles et M’aiment plus qu’elles ne le font. Demande aussi que tous ceux et celles que J’appellerai obéissent à ma Voix. J’ai besoin d’évangélisateurs et de prêtres : de tous temps, il y aura des prêtres à proportion de l’Evangélisation qui sera déployée et accomplie, d’où l’extrême nécessité d’Apôtres nombreux.
Demandez donc de très nombreux Apôtres, les Apôtres étant ceux qui sont « envoyés » partout pour Me donner à tous, Moi et mes Enseignements révélés.
« J’ai besoin de femmes ardentes et pieuses pour venir dans ce cloître privilégié. J’ai besoin de l’Amour de mes épouses pour réparer le mal commis dans le monde en ce moment.
« Il y aura toujours du mal sur la Terre, parce que J’ai créé l’homme libre de choisir le Bien ou le mal. Or, usant de cette liberté, certains préfèrent et donc choisissent le mal plutôt que le Bien.
Le mal n’existe pas dans mon Royaume céleste, qui est celui de la Sainteté absolue et, par suite, de la Béatitude… Toute ma Création est exempte de mal ; c’est ma créature libre qui le fait surgir par sa préférence pour lui et son libre choix du péché. Car le seul mal qui soit est le péché de l’être libre.
« Ma petite Reine, J’ai besoin d’une chapelle, il faudra qu’elle soit construite lorsque Je le dirai. Mais avant tout, J’ai besoin de toi, de ton obéissance pour aller demander l’aumône dans les églises, que Je t’indiquerai ensuite. Va courageusement. Je serai avec toi. Affirme à mes deux épouses que c’est ma Volonté que tu fasses ainsi.
Je te conduirai partout dans les saints lieux, et tu rapporteras beaucoup pour nourrir tes sœurs et payer l’avance à l’Etat…
« Ma Volonté, dit encore Jésus, est que toutes les nations apprennent que Je suis le Roi de la Paix, Maître des nations, Maître de tous mes enfants. »
Jésus déclare, le 30 août 1928 : « Oh ! dis aux hommes combien mon Cœur est peiné et combien ma colère divine est prête à tomber sur la Terre, si les gens ne prient pas et ne font pas pénitence, et si ma Royauté n’est pas acceptée. Oui, mon Cœur souffre de voir le désordre dans l’Eglise et dans les familles, dans les personnes et parmi les nations. Mon enfant, prie pour ta belle patrie. »
« Je choisis la plus humble Fleur des champs de France pour exhaler des parfums, pour prévenir les vaillants soldats de France. Toi, humble Fleur de France, jette le parfum de ton enfance et de ton innocence aux âmes vaillantes de ta belle patrie.
Mais Je cherche des âmes aimantes et donc croyantes, pour te comprendre et sentir le parfum de mes Paroles, diffusé par toi, petit porte-voix de DIEU. »
« Ma Royauté est au-dessus de toute gloire et elle sera annoncée à toutes les nations. Les hommes viendront, Me glorifieront et adoreront ma Royauté divine. »
Le même jour, Jésus déclare encore : « J’ai choisi une légion d’enfants pour Me faire connaître aux hommes. Ces innocents et ces Justes sont élus dans mon Royaume, mais voici que Je ne garde plus qu’une petite femme, pour faire connaître ma Royauté et réchauffer mon Amour parmi les hommes, déjà refroidi en ce siècle obscur et vide !
Cette femme choisie dans l’innocence fera connaître ma Royauté, ma Beauté et ma Bonté, ma Miséricorde, ma Justice et mon Amour. »
« Je veux régner et Je régnerai sur toutes les nations. Je terrasserai par des fléaux les méchants, les destructeurs, les blasphémateurs, les profanateurs, les menteurs, les pécheurs entêtés, les opposants à mon Règne…
Oui, mon enfant, Je régnerai. Je serai le DIEU Vainqueur. Toutes les nations Me seront soumises. »
Le Seigneur sauvera la France d’une manière extraordinaire !
Malgré ces conditions dramatiques, Jésus dit à sœur Olive que lorsque la France, sa Fille bien-aimée, serait tombée au plus bas, Il la sauverait d’une manière extraordinaire.
L’entrevue avec Pie XII
Le 14 novembre 1953, Sr Olive fut reçue par le pape, à Castelgandolfo.
« Posant ses deux mains sur ma tête, dit la Sœur, le Pape me dit : « Soyez fidèle et fervente religieuse pour la consolation du Cœur de JÉsus. »
Sr Olive n’avait jamais prononcé ses vœux définitifs ; notre Seigneur voulut qu’elle reçoive cette consécration des mains du Pape, pour manifester ainsi l’universalité de sa Mission. »
« Dans sa lettre de supplique à Pie XII, Sr Olive écrivit que le Sanctuaire du Christ-Roi avait protégé Paris durant la dernière guerre, lui épargnant la destruction.
Mais Jésus lui transmit cet avertissement :
« Si mes ministres ne font pas ma Volonté, si l’œuvre n’est pas reconnue, Paris sera châtié et brûlé. »
Or Jésus tient toujours parole !
Si Paris n’est pas encore brûlée en 2014, cela se produira certainement lors du grand « nettoyage promis » pour purifier la France, avec la venue de l’Avertissement.
« Nous avons souvent rendu visite à la petite Sr Olive, à la fin de sa vie, lorsqu’elle s’est réfugiée à Plogoff, dans les dix dernières années qu’elle a passées ici. Elle avait des locutions intérieures.
« Elle disait souvent que la France aurait beaucoup à souffrir du fait de sa négligence et parce qu’elle n’était plus fidèle à son DIEU. Parce qu’elle s’était détournée de DIEU par son infidélité, elle devrait être purifiée et revenir à son Roi, au Christ-Roi. »
« Vous a-t-elle donné des explications au sujet de cette purification, comment la percevait-elle ? »
« Elle nous a parlé de troubles sociaux très graves : la France tombait à genoux devant une telle catastrophe !
Elle nous a parlé aussi d’une invasion d’étrangers : elle avait eu la vision de la France envahie, combattue de toutes parts, du pauvre petit drapeau français qui flottait tout seul et des Français complètement à bout, qui tombaient à genoux, ne sachant plus vers qui se tourner, implorant notre Seigneur et Lui disant :
« Seigneur, aidez-nous ! »
Et notre Seigneur, d’une façon encore jamais connue de nos jours, relevait la France et la rendait plus belle que jamais. »
« Épuisée par les privations et les souffrances morales, Soeur Olive mourut le 2 mai 1968.
Le Seigneur le lui avait annoncé le mercredi 2 mars 1927, mercredi des Cendres, en lui imposant Lui-même les cendres sur le front :
« Tu as été créée à partir de l’Amour et de l’Esprit-Saint de DIEU. Ton corps de chair est poussière et il retournera bientôt en poussière. Je t’ai faite d’Esprit et de terre pour devenir une grande chose. Au milieu des créatures, tu seras dans la terre, mais au sein de cette poussière, ton cadavre restera intact. »
« Au cours de nombreux entretiens, écrit Henri-Pierre Bourcier, notre Seigneur lui avait recommandé de dire qu’il faudrait la prier après son départ pour le Ciel, afin que l’Église reconnaisse vite ce que Jésus a fait.
Je te donnerai, ajouta notre Seigneur, le don de faire des Miracles pour ceux qui le demanderont par ton intercession, afin que tu sois plus vite connue.
« Lorsque le temps sera venu de la décomposition de ton corps, on l’exhumera plus tard et on le trouvera aussi frais qu’au moment de ta mort ! »
Mais bientôt, très bientôt, a dit Jésus, « l’heure est proche où la tête orgueilleuse du chef des damnés va être écrasée par la toute innocente Immaculée : elle terrassera le dragon. Oui, il arrive le Roi de Gloire ! »
« JÉsus vainc ! JÉsus règne ! JÉsus
est toujours le Souverain Maître ! »
L’éternel Vainqueur de tous les combats
ne peut que vaincre et régner !
« Tu nous conduis de Victoire en Victoire.
Avec Toi, nous avançons en vainqueurs
et pour vaincre toujours ! »
Comme Jésus l’a dit, c’est sa dernière demande… avant la venue de l’Avertissement et des Châtiments divins que nous avons mérités, et qui seront très durs, comme beaucoup de Prophètes actuels l’annoncent aussi.
Néanmoins, nous pouvons les atténuer par l’évangélisation, la conversion, la prière et le jeûne ; en disant à Jésus que nous Le voulons chez nous en Christ-Roi, et en faisant tout pour qu’Il le soit effectivement.
Source: Bibliographie :
« La Colombe de la Paix, petite vie de Sœur Olive », par Jean-Baptiste Roussot ;
« La Messagère du Christ-Roi, Sœur Olive », par Henri-Pierre Bourcier (les 2 aux éditions Résiac)
C’est surtout le premier livre qui a servi à la rédaction de ces articles.
Ici fichier Word complet: CHRIST-ROI et Soeur Olive du C-R
https://myriamir.wordpress.com/category/soeur-olive-christ-roi/
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et merci à AZUR pour m'avoir fait connaître cette Soeur !