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    Y a-t-il encore des guérisons miraculeuses de nos jours ?

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    Message par Invité Dim 19 Mai 2019 - 18:15

    Y a-t-il encore des guérisons miraculeuses de nos jours ? Pictures-of-jesus-healing-raising-dead

    Les Évangiles rapportent de nombreux récits de guérisons miraculeuses faites par Jésus. Sont-elles juste des symboles ? Peuvent-elles arriver encore de nos jours ?

    Dans la mission du Christ, les guérisons du corps ne sont pas si importantes. Elles sont symboliques ?

    Beaucoup en effet pensent que les guérisons ne sont que secondaires dans le ministère de Jésus. Mais les Évangiles nous disent le contraire. Du point de vue biblique, l’être humain est une inséparable unité de corps et d’esprit. Le Christ n’est pas venu « sauver des âmes », mais sauver l’humanité. Il est venu élever nos âmes et nos corps à la plénitude de la vie divine, à la communion éternelle avec Dieu et tous les rachetés. Le corps a par conséquent une valeur inestimable dans le projet de Dieu. Il est dit qu’il sera un jour incorruptible et glorieux. Les guérisons qu’opère Jésus sur les corps malades et les infirmités sont une annonce de la glorieuse destinée du corps humain. Vingt-et-un pour cent des récits de l’Évangile concernant le ministère public de Jésus sont consacrés aux guérisons physiques et aux exorcismes. La guérison et la délivrance ne sont donc pas périphériques, elles constituent le cœur même de sa mission. En définitive, Jésus est venu guérir l’humanité de sa plus profonde blessure : la blessure de ses péchés et de sa séparation d’avec Dieu, avec tout ce que cela implique de fractures spirituelles et physiques. Jésus guérit et donne la vie car c’est là sa nature même, à l’égal de Dieu.

    Pourtant Jésus attend plutôt des chrétiens qu’ils supportent l’épreuve de la maladie et l’offrent par amour pour lui.


    Nulle part dans les Évangiles il ne nous est rapporté qu’il ait simplement conseillé à quelqu’un de supporter la maladie qui était la sienne. En aucun cas il ne laisse à penser qu’une personne en demande trop et devrait se contenter d’une guérison partielle ou supporter son état. Il considère invariablement la maladie comme un mal qui doit être vaincu, plutôt que comme une chose à embrasser. Pourtant, Jésus ne répond pas toujours immédiatement aux demandes des foules nécessiteuses. En quelques rares occasions, il se retire dans la solitude pour prier et être avec le Père avant de se diriger vers sa prochaine destination. On doit aussi préciser que Jésus ne guérit pas tous les malades qu’il rencontre. Il laisse une partie de la tâche à ses Apôtres ! Cependant, les Écritures ne disent pas qu’on obtiendra automatiquement du Seigneur une guérison si l’on prie avec suffisamment de foi. Jésus exhorte aussi ses fidèles à « visiter » les malades. Mais il est raisonnable de conclure que le Seigneur souhaite guérir bien plus souvent qu’on ne le croit.

    Admettons que Jésus ait fait des guérisons par amour pour les hommes, avant de leur offrir sa vie. Mais après lui, cela s’est arrêté, c’était son don à lui !


    Au cours de son ministère public, Jésus renvoie ses douze Apôtres à une mission pratique. Voilà ce qu’il leur commande : « Chemin faisant, proclamez que le Royaume des Cieux est tout proche. Guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les lépreux, expulsez les démons. » (Mt 10, 7). Il ne leur était pas demandé de prêcher l’Évangile en paroles seulement, mais de le manifester par des actes de puissance. Ce n’est pas par leurs propres moyens qu’ils accomplissent ces œuvres, mais par l’autorité que le Christ leur délègue. Saint Luc rapporte que Jésus commande plus tard à un groupe de soixante-dix personnes : « En toute ville où vous entrerez et où l’on vous accueillera (…) guérissez les malades et dites aux gens : Le Royaume de Dieu est tout proche de vous. » (Lc 10, 8-9). Ainsi, le don de guérison d’abord donné à Pierre et aux Douze Apôtres commence rapidement à se diffuser parmi les autres membres de l’Église. D’ailleurs, après sa Résurrection, le Seigneur ressuscité a étendu son autorité à tous les croyants, leur permettant à eux aussi de guérir et de chasser les démons. Concernant les signes qui accompagneront « ceux qui croient », c’est-à-dire les chrétiens, il dit : « En mon nom, ils chasseront les démons, ils imposeront les mains aux infirmes et ceux-ci seront guéris » (Mc 16 ; 17-18).


    Lire la suite : Y a-t-il encore des guérisons miraculeuses ? – L'1visible

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    Y a-t-il encore des guérisons miraculeuses de nos jours ? Gilles10
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    Message par Invité Mar 21 Mai 2019 - 23:04

    Y a-t-il encore des guérisons miraculeuses de nos jours ? 000_18C2OD

    À Lourdes, un bureau des miracles

    Depuis février 2018, Lourdes compte soixante-dix miracles à son palmarès... Tous sont certifiés par le Bureau des Constatations Médicales, après des investigations de plusieurs années.

    Lourdes: à chaque jour son cortège de fauteuils roulants, sa tonne et demie de cierges et sa grotte, dont les parois sont devenues lisses à force d’être touchées et embrassées. On y croise même un métier unique au monde… S’affairant du matin au soir, les feutiers allument et entretiennent la flamme des cierges, dont les plus gros atteignent 70 kilos.

    Ici, il n’y a pas que l’eau bénite qui coule à flots. De part et d’autre des deux rues commerçantes menant au sanctuaire, les devantures des boutiques souvenirs regorgent d’objets en tout genre: boîtes à musique en forme de grotte, Sainte Vierge déclinable à l’infini –fluorescentes ou en plastique, sur des tasses ou des assiettes, en pendentif ou en T-shirt. L’autre «star» des étals s’appelle Bernadette Soubirous. Avec son regard taciturne, elle pose sur les posters, un châle austère jeté sur les épaules.

    En 2016, un conflit a opposé les commerçants du boulevard de la Grotte à ceux de la rue de la Grotte, les deux voies obligatoires pour tout pèlerin souhaitant se rendre au sanctuaire. La cause de la dispute? Devenue le chemin «aller», la rue de la Grotte a manifesté pour conserver le principe d’une circulation alternée. Apparemment, les visiteurs sont plus disposés à dépenser lorsqu’ils reviennent de la Grotte que lorsqu’ils s’y rendent. Si la bonne santé des commerces semble loin de s’éteindre, avec plus de six millions de visiteurs annuels, on comprend qu’ils soient si prompts à défendre leur business. Et il y a fort à parier que l’annonce d’un soixante-dixième miracle va attirer de nouveaux pèlerins…

    Sœur Bernadette Moriau, nouvelle miraculée


    C’est en 2008 que Bernadette Moriau se rend à Lourdes. Souffrant depuis plus de 40 ans de fortes douleurs lombaires, aussi appelées syndrome de la queue de cheval, la sexagénaire se recueille, prie, mais ne demande pas sa guérison.

    À son retour, elle ressent une chaleur intense dans tous ses membres et entend une voix qui l’encourage à se débarrasser de son attelle. Le lendemain, elle part se balader en forêt avec ses proches, après avoir interrompu son traitement à la morphine, sans ressentir aucun effet de sevrage. Revenant sur son expérience pour la chaîne de télé catholique KTO, elle déclare ne s’être jamais plainte de sa maladie: «La vie nous est donnée et se mesure à sa fécondité, qu’on soit malade ou pas.» Et d’ajouter dans un sourire que, depuis sa guérison, elle trouve beaucoup moins le temps de prier…


    Lire la suite de ce texte très intéressant : À Lourdes, un bureau des miracles | Slate.fr www.slate.fr

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    Message par Invité Sam 21 Sep 2019 - 1:37

    Y a-t-il encore des guérisons miraculeuses de nos jours ? Safe_image.php?d=AQAG-1fo9XDSkjyb&w=540&h=282&url=https%3A%2F%2Femmanuel.info%2Fwp-content%2Fuploads%2F2019%2F09%2FVignette-IEV-Aupetit-grande

    Y a-t-il encore des guérisons miraculeuses de nos jours ? Priere-de-delivrance

    Face à la détresse et la souffrance existentielle qu’il  a rencontré au cœur de ses différents ministères, Monseigneur Michel Aupetit choisit aujourd’hui d’encourager les prières de guérison et de délivrance. Une initiative inédite de la part d’un archevêque, sur laquelle il a accepté d’échanger avec Il est Vivant !



    Il est Vivant !  : Pourquoi cette initiative inédite de la part d’un archevêque ?

    Mgr Michel Aupetit : Je porte simplement le souci de répondre au mieux à l’appel du Christ à ses apôtres : « Guérissez les malades, ressuscitez les morts, purifiez les lépreux, chassez les démons. Vous avez reçu gratuitement, donnez gratuitement » (Mt 10). Dans les trois missions de l’évêque, il y a le gouvernement, l’enseignement et la sanctification du peuple de Dieu. La cathédrale est le signe de l’autorité de l’évêque qui consiste à sanctifier le peuple par l’écoute de la Parole et le don des sacrements. L’École cathédrale est consacrée à la formation des chrétiens à l’intelligence de la foi. Mais il y avait aussi l’Hôtel-Dieu, dédié au soin des malades, des pauvres, des désespérés, là où s’exerce concrètement la charité, la sainteté « en actes ». C’est simplement cette charité que j’ai voulu vivre avec les communautés et paroisses du diocèse habituées à ce type de prière de délivrance.

    Il est Vivant !  : Pourquoi y a-t-il aujourd’hui un tel besoin de guérison et de délivrance ?

    Mgr Michel Aupetit : Quand j’étais évêque de Nanterre, et c’est vrai aussi à Paris, je passais un temps considérable à la sortie des messes à bénir les personnes qui me confiaient leurs souffrances, leurs détresses. La foi simple et confiante des chrétiens me touche profondément. Audelà des douleurs liées à la maladie, au deuil, à la pauvreté matérielle, au délitement des familles, il y a une souffrance existentielle profonde. Nous avons chassé Dieu de notre monde et nous gisons au pouvoir de la mort, du non-sens, du désespoir. Devant cette vacuité spirituelle et cette adoration de l’Argent et du bien-être matériel érigé en idole suprême du bonheur, beaucoup de personnes fragiles se tournent vers la sorcellerie, l’ésotérisme et d’autres pratiques aliénantes qui sont des portes ouvertes à l’influence démoniaque. Nous avons perdu le sens ultime de notre vie, qui est de vivre en communion avec le Dieu d’amour révélé en Jésus Christ. Il nous faut proclamer avec force le nom de Jésus, source de salut, de libération et de paix.

    Il est Vivant ! :  Pourquoi faire appel à cette forme de prière ? Les sacrements seraient-ils insuffisants ?

    Mgr Michel Aupetit : Le baptême est la source de toute la vie chrétienne et les sacrements font vivre le Corps entier de l’Église. Mais la stratégie du diable est précisément de nous en éloigner. La prière de délivrance permet aux hommes de retrouver le chemin de la pratique sacramentelle pour la vie de leur âme et la promesse de la résurrection de leurs corps. Les sacrements sont au cœur de ce type de célébration. À Saint-Sulpice, beaucoup de fidèles ont pu se confesser. La prière de délivrance et de guérison était intimement liée au sacrement de l’Eucharistie. C’est Jésus qui fait tout. Je n’ai pas proclamé d’homélie, je me suis mis à genoux devant le Seigneur exposé dans le Saint- Sacrement et je lui ai parlé en lui demandant de guérir le peuple qu’il m’a confié. Puis je l’ai porté aux fidèles à travers toute l’église et même sur le parvis.

    Il est Vivant ! : En promettant guérison et délivrance le risque n’est-il pas grand de décevoir les personnes qui ne recevront pas ces grâces dans l’immédiat ?

    Mgr Michel Aupetit : Je n’ai promis à personne une délivrance ou une guérison immédiate. Je ne suis pas un gourou… Le Seigneur fait ce qu’il veut, selon sa pédagogie et selon la foi des fidèles. Dieu est patient. Il y a eu des guérisons et des délivrances. Les fruits se manifestent déjà, nombreux. Mais l’essentiel, la guérison intérieure de la liberté, demeure invisible pour les yeux. Nous ne pouvons la mesurer.

    Il est Vivant ! : Et maintenant ?

    Mgr Michel Aupetit : J’encourage les curés et les fidèles de Paris à développer ces célébrations avec audace et confiance. Je crois que le message a été bien reçu.


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