Bonsoir vous qui faites la joie du Christ, heureux que vous êtes si dans le désert vous avez trouvé un oasis car moi je ne croise que des carcasses blanchies et des cactus. Des années d'errance qui semblent ne jamais devoir prendre fin, une soif que rien ne désaltère. Ô pourtant Dieu dans sa bonté m'a donné à boire des torrents, m'a régalé de repas de fête mais je sais à quel point tout ceci est éphémère !
Le moindre doute, la moindre chute prennent de vertigineuses proportions et ainsi mettent fin au festin. La "terre promise" demeure pour moi à l'état de mirage, par l'Esprit de mon sauveur j'ordonne aux montagnes de se jeter dans la mer et celles-ci ne bougent pas d'un pouce. Que me manque-t'il donc par rapport à mon frère ou ma soeur pour obtenir Mon miracle ? Si seulement Jésus, l'heureux fils de Dieu était toujours de chair et de sang... il passerait devant moi je toucherais son vêtement ou je lui crierais : Seigneur, si tu le veux rends moi pur !
Certainement il le voudrait et je serais guéri; bien entendu il pourrait également décider que ma guérison attendrait car ses voies ne sont pas celles des hommes et lui seul sait ce qu'il fait. L'attente de sa réponse m'angoisse !
Il y a une chose en ce moment qui me préoccupe plus que tout et il me faut une issue le plus vite possible, j'ai peur de devoir en arriver à traverser une épreuve selon la volonté de Dieu que je ne pourrai pas supporter.
Je n'entrerai pas pour l'instant dans les détails mais il faut absolument que la montagne qui est face à moi fuit loin de ma face. Par contre si le Seigneur accomplit ce miracle que j'espère tant, je témoignerai mais seulement si j'ai la preuve irréfutable de ma guérison (physique).
Moralement à cause de ça je ne vais pas bien du tout ! Je ressens une telle tristesse, même si je hurlais à la mort elle ne pourrait pas s'estomper, merci d'avoir lu. Ce soir comme beaucoup d'autres je le vis comme si c'était le dernier de mon existence, je m'efforce de ne rien regretter !
Le moindre doute, la moindre chute prennent de vertigineuses proportions et ainsi mettent fin au festin. La "terre promise" demeure pour moi à l'état de mirage, par l'Esprit de mon sauveur j'ordonne aux montagnes de se jeter dans la mer et celles-ci ne bougent pas d'un pouce. Que me manque-t'il donc par rapport à mon frère ou ma soeur pour obtenir Mon miracle ? Si seulement Jésus, l'heureux fils de Dieu était toujours de chair et de sang... il passerait devant moi je toucherais son vêtement ou je lui crierais : Seigneur, si tu le veux rends moi pur !
Certainement il le voudrait et je serais guéri; bien entendu il pourrait également décider que ma guérison attendrait car ses voies ne sont pas celles des hommes et lui seul sait ce qu'il fait. L'attente de sa réponse m'angoisse !
Il y a une chose en ce moment qui me préoccupe plus que tout et il me faut une issue le plus vite possible, j'ai peur de devoir en arriver à traverser une épreuve selon la volonté de Dieu que je ne pourrai pas supporter.
Je n'entrerai pas pour l'instant dans les détails mais il faut absolument que la montagne qui est face à moi fuit loin de ma face. Par contre si le Seigneur accomplit ce miracle que j'espère tant, je témoignerai mais seulement si j'ai la preuve irréfutable de ma guérison (physique).
Moralement à cause de ça je ne vais pas bien du tout ! Je ressens une telle tristesse, même si je hurlais à la mort elle ne pourrait pas s'estomper, merci d'avoir lu. Ce soir comme beaucoup d'autres je le vis comme si c'était le dernier de mon existence, je m'efforce de ne rien regretter !