Voici les paroles inattendues et remarquables du curé de la paroisse catholique romaine Sainte-Anne dans la ville de Gilbert, en Arizona, le Père Sergio Muñoz Fita, lors de la messe du Jeudi Saint 2021.
Je ressens le besoin de m'excuser publiquement pour les événements de l'année écoulée. Je suis prêtre, et donc dans une petite mesure, je représente l'Église. Je la représente pour vous, et aussi dans ce monde que Dieu aime tant. Quand les gens autour de moi me voient – dans un restaurant, dans un supermarché, dans un magasin, chez le médecin – ils voient l'Église. Quand vous venez me demander conseil, vous ne recherchez pas mon avis, qui est aussi faillible et fragile que le vôtre. Vous voulez trouver la direction et la vérité que Dieu a confiées à l'Église.
C'est pourquoi, conscient de cette réalité, je veux vous demander pardon ce soir, et demander pardon à Dieu au nom de l'Église, pour mes péchés et les siens. Je vous demande pardon de vous avoir laissé sans Eucharistie pendant de nombreuses semaines l'année dernière. Beaucoup d'entre vous, dans les moments les plus difficiles de la pandémie, se sont tournés vers [vos bergers] pour du pain, et nous vous avons donné une pierre. Nous vous avons laissé tomber en vous refusant la seule Nourriture qui peut soutenir votre espérance. Nous vous avons abandonnés alors que nous aurions dû être à vos côtés. Pour cela, en cette sainte messe, je vous demande pardon.
Le pire, c'est que je ne peux pas vous assurer qu'une telle chose ne se reproduira plus, car pour autant que je sache, je n'ai entendu personne exprimer de regret pour ce qui s'est passé. Ce que je peux vous promettre, c'est que je ne serai plus jamais complice de quelque chose de semblable, et que si mon devoir d'obéissance me conduit à nouveau dans une telle situation, je me retirerai pour ne pas être responsable et coupable de quelque chose qui, encore aujourd'hui, pèse sur ma conscience, comme l'acte dont j'ai le plus honte de toute ma vie.
(...]
Le prêtre a poursuivi son homélie en espagnol, racontant aux fidèles comment le Seigneur a dû souffrir pendant le confinement en étant traité « comme s'il n'était pas important » et en étant relégué « dans la catégorie des choses qui ne sont pas essentielles ».
« Je demande pardon au Christ Eucharistique pour tout ce qu'Il a dû souffrir au cours de l'année écoulée », a déclaré le Père Muñoz Fita.
(...]
Muñoz Fita a conclu son homélie par un appel aux catholiques à rejoindre les rangs de la Bienheureuse Vierge Marie.
« En ces jours que nous vivons, accompagnons la Mère des douleurs, voyant tout depuis la Tour de Guet de son Cœur Immaculé et la suppliant de nous apprendre à être comme elle, en aimant les desseins du Père et de Son Fils Jésus. »
Notre gratitude pour le Père Sergio, et pour tous les saints prêtres, ne connaît pas de limites. Dieu vous bénisse, Père ! Vous avez renouvelé notre espérance !
Note du traducteur : espérons que ce réveil et ces excuses deviennent contagieux et ce jusqu'au plus haut sommet de l'Église ! Que l'Église de ce XXIè siècle cesse de mettre sa foi dans la science dévoyée et de prétendre que notre salut se trouve dans ce vaccin expérimental. Puissent nos bergers se réveiller et nous rappeler avec force que le seul par qui nous sommes sauvés, corps et âmes, est Notre Seigneur Jésus-Christ !
* * *
Les chrétiens doivent se lever et résister à cet « agenda libéral, qui cherche à détruire l’Église et éradiquer Dieu de la société. »
« Lorsque nous sommes divisés et séparés les uns des autres, cela devient très difficile de poursuivre ce combat. C'est la raison pour laquelle il est essentiel que nous nous rassemblions en tant que communautés, pour prier ensemble, adorer ensemble, en particulier dans le Saint Sacrifice de la Messe. »
— Père Sean Mulligan, prêtre du diocèse de Clogher, cathédrale Saint Macartan, Monaghan, Irlande
Je ressens le besoin de m'excuser publiquement pour les événements de l'année écoulée. Je suis prêtre, et donc dans une petite mesure, je représente l'Église. Je la représente pour vous, et aussi dans ce monde que Dieu aime tant. Quand les gens autour de moi me voient – dans un restaurant, dans un supermarché, dans un magasin, chez le médecin – ils voient l'Église. Quand vous venez me demander conseil, vous ne recherchez pas mon avis, qui est aussi faillible et fragile que le vôtre. Vous voulez trouver la direction et la vérité que Dieu a confiées à l'Église.
C'est pourquoi, conscient de cette réalité, je veux vous demander pardon ce soir, et demander pardon à Dieu au nom de l'Église, pour mes péchés et les siens. Je vous demande pardon de vous avoir laissé sans Eucharistie pendant de nombreuses semaines l'année dernière. Beaucoup d'entre vous, dans les moments les plus difficiles de la pandémie, se sont tournés vers [vos bergers] pour du pain, et nous vous avons donné une pierre. Nous vous avons laissé tomber en vous refusant la seule Nourriture qui peut soutenir votre espérance. Nous vous avons abandonnés alors que nous aurions dû être à vos côtés. Pour cela, en cette sainte messe, je vous demande pardon.
Le pire, c'est que je ne peux pas vous assurer qu'une telle chose ne se reproduira plus, car pour autant que je sache, je n'ai entendu personne exprimer de regret pour ce qui s'est passé. Ce que je peux vous promettre, c'est que je ne serai plus jamais complice de quelque chose de semblable, et que si mon devoir d'obéissance me conduit à nouveau dans une telle situation, je me retirerai pour ne pas être responsable et coupable de quelque chose qui, encore aujourd'hui, pèse sur ma conscience, comme l'acte dont j'ai le plus honte de toute ma vie.
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Le prêtre a poursuivi son homélie en espagnol, racontant aux fidèles comment le Seigneur a dû souffrir pendant le confinement en étant traité « comme s'il n'était pas important » et en étant relégué « dans la catégorie des choses qui ne sont pas essentielles ».
« Je demande pardon au Christ Eucharistique pour tout ce qu'Il a dû souffrir au cours de l'année écoulée », a déclaré le Père Muñoz Fita.
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Muñoz Fita a conclu son homélie par un appel aux catholiques à rejoindre les rangs de la Bienheureuse Vierge Marie.
« En ces jours que nous vivons, accompagnons la Mère des douleurs, voyant tout depuis la Tour de Guet de son Cœur Immaculé et la suppliant de nous apprendre à être comme elle, en aimant les desseins du Père et de Son Fils Jésus. »
Notre gratitude pour le Père Sergio, et pour tous les saints prêtres, ne connaît pas de limites. Dieu vous bénisse, Père ! Vous avez renouvelé notre espérance !
Note du traducteur : espérons que ce réveil et ces excuses deviennent contagieux et ce jusqu'au plus haut sommet de l'Église ! Que l'Église de ce XXIè siècle cesse de mettre sa foi dans la science dévoyée et de prétendre que notre salut se trouve dans ce vaccin expérimental. Puissent nos bergers se réveiller et nous rappeler avec force que le seul par qui nous sommes sauvés, corps et âmes, est Notre Seigneur Jésus-Christ !
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Les chrétiens doivent se lever et résister à cet « agenda libéral, qui cherche à détruire l’Église et éradiquer Dieu de la société. »
« Lorsque nous sommes divisés et séparés les uns des autres, cela devient très difficile de poursuivre ce combat. C'est la raison pour laquelle il est essentiel que nous nous rassemblions en tant que communautés, pour prier ensemble, adorer ensemble, en particulier dans le Saint Sacrifice de la Messe. »
— Père Sean Mulligan, prêtre du diocèse de Clogher, cathédrale Saint Macartan, Monaghan, Irlande