Saint Augustin de Cantorbéry guérit un aveugle
Au début du VIIe siècle, saint Augustin, évêque de Cantorbéry (Angleterre, Kent) convertit l’Angleterre par sa foi et sa charité.
Un jour, parti en mission à partir de Londres, sans escorte ni arme, accompagné seulement de chrétiens fervents, il veut faire une halte à York (nord-est de l’Angleterre).
Parvenu à l’entrée de cette cité, il est accosté par un homme aveugle et paralysé, en train de mendier sur le bord du chemin.
Se souvenant des miracles de Jésus, Augustin s’approche de lui et trace un grand signe au-dessus de son corps meurtri. Puis, les yeux levés, il lui impose les mains sans mot dire.
Les compagnons du saint et les passants surpris de cette scène, fixent le pauvre homme. Peut-être retrouvera-t-il un peu d’espérance…
L’instant d’après, le ciel descend à York : le mendiant ouvre les yeux et crie qu’il voit ! A cet instant, sans même s’en apercevoir, il se redresse sur ses deux jambes comme s’il n’avait jamais été handicapé.
Augustin et les siens sont émerveillés. Les badauds chantent leur joie. Le mendiant pleure d’émotion tant il mesure la grandeur du don que Dieu vient de lui faire.
L'équipe Marie de Nazareth
Source : d’après Frédéric Oakeley, Histoire de saint Augustin (Apôtre des Anglais, Archevêque de Cantorbéry), et du premier établissement du Christianisme en Angleterre, Paris, Jacques Lecoffre et Cie, 1846
Au début du VIIe siècle, saint Augustin, évêque de Cantorbéry (Angleterre, Kent) convertit l’Angleterre par sa foi et sa charité.
Un jour, parti en mission à partir de Londres, sans escorte ni arme, accompagné seulement de chrétiens fervents, il veut faire une halte à York (nord-est de l’Angleterre).
Parvenu à l’entrée de cette cité, il est accosté par un homme aveugle et paralysé, en train de mendier sur le bord du chemin.
Se souvenant des miracles de Jésus, Augustin s’approche de lui et trace un grand signe au-dessus de son corps meurtri. Puis, les yeux levés, il lui impose les mains sans mot dire.
Les compagnons du saint et les passants surpris de cette scène, fixent le pauvre homme. Peut-être retrouvera-t-il un peu d’espérance…
L’instant d’après, le ciel descend à York : le mendiant ouvre les yeux et crie qu’il voit ! A cet instant, sans même s’en apercevoir, il se redresse sur ses deux jambes comme s’il n’avait jamais été handicapé.
Augustin et les siens sont émerveillés. Les badauds chantent leur joie. Le mendiant pleure d’émotion tant il mesure la grandeur du don que Dieu vient de lui faire.
L'équipe Marie de Nazareth
Source : d’après Frédéric Oakeley, Histoire de saint Augustin (Apôtre des Anglais, Archevêque de Cantorbéry), et du premier établissement du Christianisme en Angleterre, Paris, Jacques Lecoffre et Cie, 1846