"Faites en tout temps par l'Esprit toutes sortes de prières et de supplications"
Ephésiens 6.18
Elen travaille comme animatrice dans un quartier populaire. Voici le message qu'elle m'envoyait un soir...
"Un habitant nous a appelés pour nous signaler qu'un de ses amis avait fait une tentative de suicide par étranglement. Nous sommes donc allés voir cette personne.
A notre arrivée, l'homme était assis, se sentant plutôt bien, mais quelques minutes plus tard il nous a demandé d'appeler les secours, car il se sentait mal.
Nous l'avons accompagné à sa porte et là il a été saisi d'une grande douleur à la poitrine, puis s'est écroulé par terre.
Les secours tardaient à arriver, au point que mes deux collègues, ayant pris son pouls, m'ont signifié que c'était fini.
Je me suis dit que non, que le Seigneur était au-dessus de tout cela et nous avons prié.
Petit à petit, son pouls s'est remis en marche, puis il a recommencé à respirer.
Les pompiers sont arrivés et l'ont emmené aux urgences.
Mes collègues et moi-même sommes encore sous le choc. L'un d'eux m'a dit : "Elen ! il était mort, il n'y avait plus rien, ses yeux étaient fixes et sa langue pendait, c'est un MIRACLE !"
Cette spontanéité est simple et belle. Comme Elen, ne calculons pas avant de prier pour ceux qui nous entourent ; autrement, nous risquerions d'être plus incrédules que pleins de foi.
Bernard Delépine
Ephésiens 6.18
Elen travaille comme animatrice dans un quartier populaire. Voici le message qu'elle m'envoyait un soir...
"Un habitant nous a appelés pour nous signaler qu'un de ses amis avait fait une tentative de suicide par étranglement. Nous sommes donc allés voir cette personne.
A notre arrivée, l'homme était assis, se sentant plutôt bien, mais quelques minutes plus tard il nous a demandé d'appeler les secours, car il se sentait mal.
Nous l'avons accompagné à sa porte et là il a été saisi d'une grande douleur à la poitrine, puis s'est écroulé par terre.
Les secours tardaient à arriver, au point que mes deux collègues, ayant pris son pouls, m'ont signifié que c'était fini.
Je me suis dit que non, que le Seigneur était au-dessus de tout cela et nous avons prié.
Petit à petit, son pouls s'est remis en marche, puis il a recommencé à respirer.
Les pompiers sont arrivés et l'ont emmené aux urgences.
Mes collègues et moi-même sommes encore sous le choc. L'un d'eux m'a dit : "Elen ! il était mort, il n'y avait plus rien, ses yeux étaient fixes et sa langue pendait, c'est un MIRACLE !"
Cette spontanéité est simple et belle. Comme Elen, ne calculons pas avant de prier pour ceux qui nous entourent ; autrement, nous risquerions d'être plus incrédules que pleins de foi.
Bernard Delépine