Jésus souffre à Gethsémani
(passage de référence : Luc 22, 44-46)
Jésus a révélé à sainte Faustine Kowalska que c'était les âmes indifférentes et froides qui l'avaient fait souffrir à Gethsémani :
"Ce sont ces âmes-là qui blessent le plus douloureusement mon Coeur. Ce sont elles qui, au Jardin des Oliviers, m'inspirèrent la plus grande aversion. C'est à cause d'elles que j'ai dit : "Mon Père, s'il est possible, que cette coupe passe loin de moi !" (neuvaine à la Divine Miséricorde).
L'épisode de Gethsémani nous enseigne que contrairement à ce que l'on pourrait croire, l'indifférence est quelque chose d'extrêmement violent.
L'indifférence, c'est quand on cherche à débarrasser nos coeurs de la présence et du souvenir de l'autre.
L'indifférence, c'est quand on veut faire disparaître notre prochain de nos pensées chaque fois qu'il vient frapper à la porte de notre mémoire.
Etre indifférent, d'une certaine façon, c'est tuer l'image de l'autre à l'intérieur de nous.
Quand on y réfléchit bien, cela fait penser à un meurtre.
Jésus, est-ce pour cette raison que tu avais le visage couvert de sang au Jardin des Oliviers ?
http://chere-gospa.over-blog.com/article-3319847.html
(passage de référence : Luc 22, 44-46)
Jésus a révélé à sainte Faustine Kowalska que c'était les âmes indifférentes et froides qui l'avaient fait souffrir à Gethsémani :
"Ce sont ces âmes-là qui blessent le plus douloureusement mon Coeur. Ce sont elles qui, au Jardin des Oliviers, m'inspirèrent la plus grande aversion. C'est à cause d'elles que j'ai dit : "Mon Père, s'il est possible, que cette coupe passe loin de moi !" (neuvaine à la Divine Miséricorde).
L'épisode de Gethsémani nous enseigne que contrairement à ce que l'on pourrait croire, l'indifférence est quelque chose d'extrêmement violent.
L'indifférence, c'est quand on cherche à débarrasser nos coeurs de la présence et du souvenir de l'autre.
L'indifférence, c'est quand on veut faire disparaître notre prochain de nos pensées chaque fois qu'il vient frapper à la porte de notre mémoire.
Etre indifférent, d'une certaine façon, c'est tuer l'image de l'autre à l'intérieur de nous.
Quand on y réfléchit bien, cela fait penser à un meurtre.
Jésus, est-ce pour cette raison que tu avais le visage couvert de sang au Jardin des Oliviers ?
http://chere-gospa.over-blog.com/article-3319847.html