Le bonheur doit nous être arraché
Le meilleur que Dieu tient en réserve est accessible seulement à ceux qui sacrifient ou qui consentent à sacrifier ce qui n’est que bon. Si nous nous satisfaisons d’avoir une bonne santé, des enfants obéissants, un mariage heureux, des amis attentionnés, un travail passionnant et un ministère fructueux, nous n’aurons jamais faim et soif des choses meilleurs que Dieu tient en réserve pour nous, notre adoration sera superficielle.
J’ai acquis la conviction que seules les personnes brisées sont de véritables adorateurs. Celles qui n’ont pas connu l’expérience du brisement –les gens heureux qui apprécient leurs bénédictions davantage que Celui qui les leur procure- remercient Dieu comme un client satisfait remercie une vendeuse d’un grand magasin.
Dans chaque génération, rares sont ceux qui croient que le poids de connaître Dieu est une bénédiction supérieure (et par là, je veux dire plus merveilleuse) à tout autre. Et ceux qui sont venus à cette conviction semblent avoir appris cette leçon dans la souffrance. Le bonheur doit nous être arraché presque de force, avant que la joie puisse se manifester ; et nous puissions apprécier et poursuivre les rêves dont la concrétisation engendrera la joie véritable.
C’est tragique lorsque de croyants arrivent à la fin de leur vie sans avoir découvert que leur bonheur n’a rien de différent de celui des païens qui ont bien réussi.
Je doute fort qu’il soit possible de faire cette découverte sans devoir endurer la douleur des rêves brisés.
L’expérience du désespoir est le premier mouvement dans le rythme de l’espérance.
Larry Crabb : « Quand vos rêves volent en éclat ».
http://www.clcfrance.com/quand-vos-reves-volent-en-eclats_ref_CLAQ010.html
Le meilleur que Dieu tient en réserve est accessible seulement à ceux qui sacrifient ou qui consentent à sacrifier ce qui n’est que bon. Si nous nous satisfaisons d’avoir une bonne santé, des enfants obéissants, un mariage heureux, des amis attentionnés, un travail passionnant et un ministère fructueux, nous n’aurons jamais faim et soif des choses meilleurs que Dieu tient en réserve pour nous, notre adoration sera superficielle.
J’ai acquis la conviction que seules les personnes brisées sont de véritables adorateurs. Celles qui n’ont pas connu l’expérience du brisement –les gens heureux qui apprécient leurs bénédictions davantage que Celui qui les leur procure- remercient Dieu comme un client satisfait remercie une vendeuse d’un grand magasin.
Dans chaque génération, rares sont ceux qui croient que le poids de connaître Dieu est une bénédiction supérieure (et par là, je veux dire plus merveilleuse) à tout autre. Et ceux qui sont venus à cette conviction semblent avoir appris cette leçon dans la souffrance. Le bonheur doit nous être arraché presque de force, avant que la joie puisse se manifester ; et nous puissions apprécier et poursuivre les rêves dont la concrétisation engendrera la joie véritable.
C’est tragique lorsque de croyants arrivent à la fin de leur vie sans avoir découvert que leur bonheur n’a rien de différent de celui des païens qui ont bien réussi.
Je doute fort qu’il soit possible de faire cette découverte sans devoir endurer la douleur des rêves brisés.
L’expérience du désespoir est le premier mouvement dans le rythme de l’espérance.
Larry Crabb : « Quand vos rêves volent en éclat ».
http://www.clcfrance.com/quand-vos-reves-volent-en-eclats_ref_CLAQ010.html