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Une bouteille vieille de 170 ans, retrouvée il y a cinq ans dans l'épave d'un navire, vient d'être analysée et goûtée par des scientifiques.
La Veuve Cliquot a retrouvé son domicile rémois, après près de deux siècles au fond de la mer Baltique. Une bouteille datée de 1839 vient d'être analysée et goûtée par des spécialistes, un breuvage trois fois plus sucré qu'aujourd'hui, mais moins alcoolisé, comme l'explique Philippe Jeandet, professeur de biochimie alimentaire. "On va trouver de l'alcool, mais à une concentration plus faible que les champagnes actuels, puisqu'on a une teneur en alcool de 9,5°C. (...) Les vignes avaient peut-être plus de mal à mûrir à cette époque-là car le climat était plus froid."
Conservées à 4°C
En 2010, au large de la Finlande, des plongeurs avaient trouvé dans une épave un trésor improbable : des centaines de bouteilles de champagne, conservées à 4°C, de quoi les garder parfaitement consommables.
Une cuvée que les experts ont d'abord jugé "très animale, avec des notes très fumées", puis après ouverture beaucoup plus fruitée voire florale. Ce nectar a évidemment pris une grande valeur : certaines bouteilles se sont vendues aux enchères à plus de 30 000 euros.
Une bouteille vieille de 170 ans, retrouvée il y a cinq ans dans l'épave d'un navire, vient d'être analysée et goûtée par des scientifiques.
La Veuve Cliquot a retrouvé son domicile rémois, après près de deux siècles au fond de la mer Baltique. Une bouteille datée de 1839 vient d'être analysée et goûtée par des spécialistes, un breuvage trois fois plus sucré qu'aujourd'hui, mais moins alcoolisé, comme l'explique Philippe Jeandet, professeur de biochimie alimentaire. "On va trouver de l'alcool, mais à une concentration plus faible que les champagnes actuels, puisqu'on a une teneur en alcool de 9,5°C. (...) Les vignes avaient peut-être plus de mal à mûrir à cette époque-là car le climat était plus froid."
Conservées à 4°C
En 2010, au large de la Finlande, des plongeurs avaient trouvé dans une épave un trésor improbable : des centaines de bouteilles de champagne, conservées à 4°C, de quoi les garder parfaitement consommables.
Une cuvée que les experts ont d'abord jugé "très animale, avec des notes très fumées", puis après ouverture beaucoup plus fruitée voire florale. Ce nectar a évidemment pris une grande valeur : certaines bouteilles se sont vendues aux enchères à plus de 30 000 euros.