La force du chapelet face à la mort
« En guise de récompense, je te prolonge la vie »
La Très Sainte Vierge plaça dans l’autre plateau le chapelet qu’Alphonse avait emporté pour l’honorer, ainsi que les chapelets que d’autres avaient récité, grâce à l’exemple du roi. Ce côté de la balance pencha davantage que les péchés d’Alphonse.
Le regardant avec bienveillance, la Vierge lui dit alors :
Reprenant ses esprits, le roi s’exclama : « Oh, bien-aimé chapelet de notre Très Sainte Vierge, qui m’a délivré de la souffrance éternelle ! ».
Une fois qu’il eût recouvré la santé, le roi devint un fervent utilisateur du chapelet, le récitant tous les jours.
Que les dévots de la Très Sainte Vierge s’emploient à attirer le plus grand nombre de fidèles vers la Confrérie du Saint Rosaire, à l’instar de ces saints et de ce roi. Ils obtiendront de la sorte la protection de Marie sur terre, puis la vie éternelle : « Ceux qui me feront connaître atteindront l’éternité » (Ecl 24, 31).
On raconte que le roi Alphonse IX aimait se promener le chapelet à la ceinture...
La Sainte Vierge ne l'oublia pas.
ALETEIA
30 JANVIER 2016
Non seulement la Très Sainte Vierge accorde ses faveurs à celui qui prie le chapelet, mais aussi celui qui, montrant l’exemple, attire les autres à cette dévotion.
Souhaitant que tous ses sujets honorent la Très Sainte Vierge en portant un chapelet, Alphonse IX (1188-1230), roi de León et de Galice, décida de les amener à porter ostensiblement, comme lui, un grand chapelet, même sans le prier.
Son exemple suffit à obliger toute la cour à le prier avec dévotion. Le roi tomba gravement malade et on le crut déjà mort. Son esprit fit alors face au tribunal de Jésus Christ, il vit les démons qui l’accusaient de tous les crimes qu’il avait commis.
Au moment où le Juge Divin s’apprêtait à le condamner à la souffrance éternelle, la Très Sainte Vierge intercéda en sa faveur. On amena alors une balance : on posa dans l’un de ses plateaux les péchés du roi.
Souhaitant que tous ses sujets honorent la Très Sainte Vierge en portant un chapelet, Alphonse IX (1188-1230), roi de León et de Galice, décida de les amener à porter ostensiblement, comme lui, un grand chapelet, même sans le prier.
Son exemple suffit à obliger toute la cour à le prier avec dévotion. Le roi tomba gravement malade et on le crut déjà mort. Son esprit fit alors face au tribunal de Jésus Christ, il vit les démons qui l’accusaient de tous les crimes qu’il avait commis.
Au moment où le Juge Divin s’apprêtait à le condamner à la souffrance éternelle, la Très Sainte Vierge intercéda en sa faveur. On amena alors une balance : on posa dans l’un de ses plateaux les péchés du roi.
« En guise de récompense, je te prolonge la vie »
La Très Sainte Vierge plaça dans l’autre plateau le chapelet qu’Alphonse avait emporté pour l’honorer, ainsi que les chapelets que d’autres avaient récité, grâce à l’exemple du roi. Ce côté de la balance pencha davantage que les péchés d’Alphonse.
Le regardant avec bienveillance, la Vierge lui dit alors :
« En guise de récompense pour le petit service que tu m’as rendu en portant mon chapelet, je te prolonge la vie de quelques années, par la grâce de mon Fils. Fais-en bon usage, et vis en toute pénitence ! »
Reprenant ses esprits, le roi s’exclama : « Oh, bien-aimé chapelet de notre Très Sainte Vierge, qui m’a délivré de la souffrance éternelle ! ».
Une fois qu’il eût recouvré la santé, le roi devint un fervent utilisateur du chapelet, le récitant tous les jours.
Que les dévots de la Très Sainte Vierge s’emploient à attirer le plus grand nombre de fidèles vers la Confrérie du Saint Rosaire, à l’instar de ces saints et de ce roi. Ils obtiendront de la sorte la protection de Marie sur terre, puis la vie éternelle : « Ceux qui me feront connaître atteindront l’éternité » (Ecl 24, 31).
http://fr.aleteia.org/2016/01/30/la-force-du-chapelet-face-a-la-mort/