Fête de Sainte Paule Élisabeth Cerioli, Fondatrice de la « Congrégation de la Sainte Famille » (1816-1865).
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M-Odile
Marie du 85
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LE SAINT DU JOUR !!
Marie du 85- Messages : 423
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LE SAINT DU JOUR !!
Rappel du premier message :
Dimanche 24 Décembre 2017
Fête de Sainte Paule Élisabeth Cerioli, Fondatrice de la « Congrégation de la Sainte Famille » (1816-1865).
Fête de Sainte Paule Élisabeth Cerioli, Fondatrice de la « Congrégation de la Sainte Famille » (1816-1865).
https://nominis.cef.fr/contenus/saint/9774/Sainte-Paule-Elisabeth.html
http://levangileauquotidien.org/main.php?language=FR&module=saintfeast&localdate=20171224&id=621&fd=0
Marie du 85- Messages : 423
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- Message n°41
Re: LE SAINT DU JOUR !!
Dimanche 28 Janvier 2018
Fête de Saint Thomas d'Aquin, Prêtre Dominicain, Docteur de l'Église (1225-1274).
Fête de Saint Thomas d'Aquin, Prêtre Dominicain, Docteur de l'Église (1225-1274).
Après avoir été élevé comme Oblat à l'Abbaye du Mont Cassin, il entre chez les Frères Prêcheurs (Dominicains), malgré l'opposition de sa famille.
Il étudie à Paris auprès de St Albert le Grand, obtient son doctorat et se met à enseigner et à écrire.
Il est un des grands maîtres de la scholastique, et son ouvrage le plus important est la "Somme Théologique" qui marquera longtemps la théologie catholique.
Admirateur d'Aristote, il voulait concilier Foi et raison. Mais à la fin de sa vie, son expérience d'homme de Prière lui fit entrevoir des réalités telles, qu'il considérait alors tous ses écrits comme de "la paille et du foin".
Lire
Saint Thomas d'Aquin
Frère Prêcheur, Docteur de l'Église (+ 1274)
Né dans une noble famille napolitaine, élevé à l'Abbaye Bénédictine du Mont-Cassin, Thomas choisit cependant, à 19 ans, d'entrer chez les Frères Prêcheurs.
Ce n'est guère du goût de sa famille, qui le fait enlever et enfermer. L'Ordre Dominicain est un ordre mendiant, fondé quelques années plus tôt, et il n'avait pas bonne presse dans l'aristocratie.
Au bout d'un an, Thomas peut enfin suivre sa vocation. On l'envoie à Paris pour y suivre les cours de la bouillonnante Université.
Il a comme professeur saint Albert le GrandIci
. Pour ce dernier, il faut faire confiance à la raison et à l'intelligence de l'homme pour chercher Dieu.
Le philosophe le plus approprié à cette recherche est Aristote. Saint Thomas retient la leçon. Devenu professeur, il s'attelle à un gigantesque travail pour la mettre en œuvre.
Connaissant très bien Aristote et ses commentateurs, mais aussi la Bible et la tradition patristique Chrétienne, il élabore une pensée originale, qu'il expose dans de multiples ouvrages, dont le plus connu est la "Somme Théologique".
Comme professeur, il doit aussi soutenir de véhémentes controverses avec des intellectuels chevronnés. Il voyage aussi à la demande des Papes.
Mais c'est l'étude qui a toute sa faveur : à la possession de "Paris la grande ville", il dit préférer "le texte correct des homélies de saint Jean ChrysostomeIci sur l'évangile de saint Matthieu".Ici
Il meurt sur la route, en chemin vers Lyon où il devait participer au grand Concile de 1274.
Le 23 Juillet 2010 - catéchèse sur Saint Thomas d'Aquin consacrée à la Summa Theologiae, l'apogée de son œuvre en 512 questions et 2.669 articles.
Le Docteur Angélique y expose avec précision et pertinence les vérités de la Foi découlant de l'Écriture et des Pères, principalement de saint Augustin.
"Comme la vie entière, rappelle Thomas, l'esprit humain doit être sans cesse éclairé par la Prière et par la Lumière qui vient du Ciel".
Dans la Somme, a dit Benoît XVI, Saint Thomas décrit les trois modes d'existence de Dieu:
Dieu existe en Lui même, il est principe et fin de toute chose, tout vient de lui et en dépend.
Ensuite, Dieu se manifeste par la grâce dans la vie et l'action du Chrétien et des Saints. Enfin il est tout particulièrement présent en la personne du Christ et dans les Sacrements découlant de sa mission Rédemptrice".
Puis le Pape a rappelé que saint Thomas s'est tout spécialement intéressé au mystère Eucharistique, pour lequel il avait une grande dévotion...
A la suite des saints, attachons-nous à ce Sacrement. Participons avec ferveur à la messe afin d'en retirer des fruits spirituels.
Nourrissons-nous du Corps et du Sang du Seigneur afin de recevoir continuellement la grâce divine. Arrêtons-nous souvent devant Le Saint Sacrement!
Ce que Thomas d'Aquin a exposé avec rigueur dans son œuvre, et en particulier dans la Somme, il l'a également transmis dans sa prédication.
Son contenu...correspond pratiquement entièrement à la structure du Catéchisme de l'Église Catholique...
Dans une époque marquée par un fort souci de reévangélisation, ces thèmes fondamentaux ne doivent pas manquer car ils sont ce en quoi nous croyons, le symbole de la foi, ce que nous récitons comme le Pater et l'Ave Maria, ce que nous vivons en vertu de la révélation biblique, ainsi que la loi de l'amour...de Dieu et du prochain".
Dans son "opuscule sur le Symbole des Apôtres", Thomas explique la valeur de la Foi. Grâce à elle les âmes s'unissent à Dieu..., la vie trouve sa juste voie et nous le moyen d'éviter les tentations.
A qui pense que la Foi est obtuse car on ne peut la prouver par nos sens, il offre une réponse complète.
Ce doute est sans consistance car l'intelligence est limité et ne saurait tout connaître. Seulement si nous pouvions tout connaître du visible comme de l'invisible, ce serait une véritable faute d'accepter des vérités sur la simple base de la Foi.
Il est d'ailleurs impossible de vivre sans l'expérience de l'autre, là où la connaissance personnelle n'arrive pas.
Il est donc raisonnable de croire en un Dieu qui se révèle, et dans le témoignage des apôtres".
Revenant sur l'article de la Somme consacré à l'incarnation du Verbe de Dieu, le Saint-Père a rappelé que pour saint Thomas la Foi Chrétienne doit être renforcée par le mystère de l'incarnation.
L'espérance s'accroît et se renforce en pensant que Le Fils de Dieu est venu parmi nous, comme un de nous, pour communiquer sa Divinité aux hommes.
La Charité est renforcée car il n'y a pas de signe plus évident de l'Amour que nous porte Dieu, ni de voir le Créateur se faire créature".
Saint Thomas d'Aquin, a conclu Benoît XVI, "fut comme tous les saints un grand dévot de Marie, qu'il a magnifiquement baptisée trône de la Trinité, lieu où elle trouve son repos.
Par l'incarnation, dans aucune créature autre qu'elle les trois personnes Divines ne séjournent en plénitude de grâce et n'accordent d'aide par l'intercession de la Prière". (source: VIS 20100623 610)
- Audiences générales du pape Benoît XVI, catéchèse sur la méditation de certains grands penseurs du Moyen-Age - Saint Thomas d'Aquin.
le 2 juin 2010 Ici- le 16 juin 2010Ici - le 23 juin 2010Ici
- Site officiel de l'Académie pontificale de Saint Thomas d'Aquin (en anglais)Ici
Mémoire de saint Thomas d’Aquin, Prêtre de l’Ordre des Prêcheurs et Docteur de l’Église.
Doué des plus hautes qualités intellectuelles, il transmit aux autres, par ses Prières et ses écrits, sa sagesse éminente.
Appelé par le Pape lui-même, le bienheureux Grégoire X,Ici au deuxième Concile général de Lyon, il s’y rendait, quand il mourut au monastère de Fossanova dans le Latium, le 7 mars 1274 et, bien des années après, en 1369, son corps fut transféré à Toulouse en ce jour.
Martyrologe romain
La paix entre les hommes est mieux garantie si chacun se trouve satisfait de ce qui lui appartient. Ce qui convient le mieux à l’homme par rapport aux biens extérieurs, c’est de s’en servir.
Sous cet angle, toutefois, l’homme ne doit pas posséder ces biens comme s’ils lui étaient propres, mais comme étant à tous. Il doit donc être disposé à en faire part aux plus pauvres, suivant le conseil de saint Paul.
Saint Thomas – Somme théologique.
Il étudie à Paris auprès de St Albert le Grand, obtient son doctorat et se met à enseigner et à écrire.
Il est un des grands maîtres de la scholastique, et son ouvrage le plus important est la "Somme Théologique" qui marquera longtemps la théologie catholique.
Admirateur d'Aristote, il voulait concilier Foi et raison. Mais à la fin de sa vie, son expérience d'homme de Prière lui fit entrevoir des réalités telles, qu'il considérait alors tous ses écrits comme de "la paille et du foin".
Lire
Saint Thomas d'Aquin
Frère Prêcheur, Docteur de l'Église (+ 1274)
Né dans une noble famille napolitaine, élevé à l'Abbaye Bénédictine du Mont-Cassin, Thomas choisit cependant, à 19 ans, d'entrer chez les Frères Prêcheurs.
Ce n'est guère du goût de sa famille, qui le fait enlever et enfermer. L'Ordre Dominicain est un ordre mendiant, fondé quelques années plus tôt, et il n'avait pas bonne presse dans l'aristocratie.
Au bout d'un an, Thomas peut enfin suivre sa vocation. On l'envoie à Paris pour y suivre les cours de la bouillonnante Université.
Il a comme professeur saint Albert le GrandIci
. Pour ce dernier, il faut faire confiance à la raison et à l'intelligence de l'homme pour chercher Dieu.
Le philosophe le plus approprié à cette recherche est Aristote. Saint Thomas retient la leçon. Devenu professeur, il s'attelle à un gigantesque travail pour la mettre en œuvre.
Connaissant très bien Aristote et ses commentateurs, mais aussi la Bible et la tradition patristique Chrétienne, il élabore une pensée originale, qu'il expose dans de multiples ouvrages, dont le plus connu est la "Somme Théologique".
Comme professeur, il doit aussi soutenir de véhémentes controverses avec des intellectuels chevronnés. Il voyage aussi à la demande des Papes.
Mais c'est l'étude qui a toute sa faveur : à la possession de "Paris la grande ville", il dit préférer "le texte correct des homélies de saint Jean ChrysostomeIci sur l'évangile de saint Matthieu".Ici
Il meurt sur la route, en chemin vers Lyon où il devait participer au grand Concile de 1274.
Le 23 Juillet 2010 - catéchèse sur Saint Thomas d'Aquin consacrée à la Summa Theologiae, l'apogée de son œuvre en 512 questions et 2.669 articles.
Le Docteur Angélique y expose avec précision et pertinence les vérités de la Foi découlant de l'Écriture et des Pères, principalement de saint Augustin.
"Comme la vie entière, rappelle Thomas, l'esprit humain doit être sans cesse éclairé par la Prière et par la Lumière qui vient du Ciel".
Dans la Somme, a dit Benoît XVI, Saint Thomas décrit les trois modes d'existence de Dieu:
Dieu existe en Lui même, il est principe et fin de toute chose, tout vient de lui et en dépend.
Ensuite, Dieu se manifeste par la grâce dans la vie et l'action du Chrétien et des Saints. Enfin il est tout particulièrement présent en la personne du Christ et dans les Sacrements découlant de sa mission Rédemptrice".
Puis le Pape a rappelé que saint Thomas s'est tout spécialement intéressé au mystère Eucharistique, pour lequel il avait une grande dévotion...
A la suite des saints, attachons-nous à ce Sacrement. Participons avec ferveur à la messe afin d'en retirer des fruits spirituels.
Nourrissons-nous du Corps et du Sang du Seigneur afin de recevoir continuellement la grâce divine. Arrêtons-nous souvent devant Le Saint Sacrement!
Ce que Thomas d'Aquin a exposé avec rigueur dans son œuvre, et en particulier dans la Somme, il l'a également transmis dans sa prédication.
Son contenu...correspond pratiquement entièrement à la structure du Catéchisme de l'Église Catholique...
Dans une époque marquée par un fort souci de reévangélisation, ces thèmes fondamentaux ne doivent pas manquer car ils sont ce en quoi nous croyons, le symbole de la foi, ce que nous récitons comme le Pater et l'Ave Maria, ce que nous vivons en vertu de la révélation biblique, ainsi que la loi de l'amour...de Dieu et du prochain".
Dans son "opuscule sur le Symbole des Apôtres", Thomas explique la valeur de la Foi. Grâce à elle les âmes s'unissent à Dieu..., la vie trouve sa juste voie et nous le moyen d'éviter les tentations.
A qui pense que la Foi est obtuse car on ne peut la prouver par nos sens, il offre une réponse complète.
Ce doute est sans consistance car l'intelligence est limité et ne saurait tout connaître. Seulement si nous pouvions tout connaître du visible comme de l'invisible, ce serait une véritable faute d'accepter des vérités sur la simple base de la Foi.
Il est d'ailleurs impossible de vivre sans l'expérience de l'autre, là où la connaissance personnelle n'arrive pas.
Il est donc raisonnable de croire en un Dieu qui se révèle, et dans le témoignage des apôtres".
Revenant sur l'article de la Somme consacré à l'incarnation du Verbe de Dieu, le Saint-Père a rappelé que pour saint Thomas la Foi Chrétienne doit être renforcée par le mystère de l'incarnation.
L'espérance s'accroît et se renforce en pensant que Le Fils de Dieu est venu parmi nous, comme un de nous, pour communiquer sa Divinité aux hommes.
La Charité est renforcée car il n'y a pas de signe plus évident de l'Amour que nous porte Dieu, ni de voir le Créateur se faire créature".
Saint Thomas d'Aquin, a conclu Benoît XVI, "fut comme tous les saints un grand dévot de Marie, qu'il a magnifiquement baptisée trône de la Trinité, lieu où elle trouve son repos.
Par l'incarnation, dans aucune créature autre qu'elle les trois personnes Divines ne séjournent en plénitude de grâce et n'accordent d'aide par l'intercession de la Prière". (source: VIS 20100623 610)
- Audiences générales du pape Benoît XVI, catéchèse sur la méditation de certains grands penseurs du Moyen-Age - Saint Thomas d'Aquin.
le 2 juin 2010 Ici- le 16 juin 2010Ici - le 23 juin 2010Ici
- Site officiel de l'Académie pontificale de Saint Thomas d'Aquin (en anglais)Ici
Mémoire de saint Thomas d’Aquin, Prêtre de l’Ordre des Prêcheurs et Docteur de l’Église.
Doué des plus hautes qualités intellectuelles, il transmit aux autres, par ses Prières et ses écrits, sa sagesse éminente.
Appelé par le Pape lui-même, le bienheureux Grégoire X,Ici au deuxième Concile général de Lyon, il s’y rendait, quand il mourut au monastère de Fossanova dans le Latium, le 7 mars 1274 et, bien des années après, en 1369, son corps fut transféré à Toulouse en ce jour.
Martyrologe romain
La paix entre les hommes est mieux garantie si chacun se trouve satisfait de ce qui lui appartient. Ce qui convient le mieux à l’homme par rapport aux biens extérieurs, c’est de s’en servir.
Sous cet angle, toutefois, l’homme ne doit pas posséder ces biens comme s’ils lui étaient propres, mais comme étant à tous. Il doit donc être disposé à en faire part aux plus pauvres, suivant le conseil de saint Paul.
Saint Thomas – Somme théologique.
Lire
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Lecture
La doctrine sacrée utilise aussi la raison humaine, non point certes pour prouver la Foi, ce qui serait en abolir le mérite, mais pour mettre en lumière certaines autres choses que cette doctrine enseigne.
Donc, puisque la grâce ne détruit pas la nature, mais la parfait, c’est un devoir, pour la raison naturelle, de servir la Foi, tout comme l’inclination naturelle de la volonté obéit à la Charité.
Aussi l’Apôtre dit-il (2Co 10,5) :
»Nous assujettissons toute pensée pour la faire obéir au Christ »
(Thomas d’Aquin d’après la Somme théologique).
La doctrine sacrée utilise aussi la raison humaine, non point certes pour prouver la Foi, ce qui serait en abolir le mérite, mais pour mettre en lumière certaines autres choses que cette doctrine enseigne.
Donc, puisque la grâce ne détruit pas la nature, mais la parfait, c’est un devoir, pour la raison naturelle, de servir la Foi, tout comme l’inclination naturelle de la volonté obéit à la Charité.
Aussi l’Apôtre dit-il (2Co 10,5) :
»Nous assujettissons toute pensée pour la faire obéir au Christ »
(Thomas d’Aquin d’après la Somme théologique).
Marie du 85- Messages : 423
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- Message n°42
Re: LE SAINT DU JOUR !!
Lundi 29 Janvier 2018
Fête de Saint Gildas, Abbé en Bretagne ( 570).
Fête de Saint Gildas, Abbé en Bretagne ( 570).
Source
Saint Gildas
Abbé en Bretagne ( 570)
Ce noble breton voit le jour en Écosse vers la fin du Ve siècle, l'année où les Bretons romanisés battent les Saxons envahisseurs.
D'après nombre d'hagiographes, il aurait étudié dans un Monastère du pays de Galles, sous la direction d'un disciple de saint Germain l'Auxerrois.Ici
Ordonné Prêtre en 518, cet apôtre, surnommé "le sage", convertit d'abord ses compatriotes par une éloquence sacrée aussi simple qu'efficace.
Avec le même succès, il passe en Irlande (saint Colomban d'ailleurs lui rendra hommage) pour aboutir en Armorique, la petite Bretagne continentale.Ici
D'abord installé dans l'île d'Houat, il va vivre en Ermite dans la presqu'île de Rhuys qui ferme, au sud, le golfe du Morbihan.
Il y fondera une Abbaye qui porte aujourd'hui son nom et où on l'honore toujours. Abélard, le savant théologien du Moyen Age, en sera l'abbé au XIIe siècle.
Troublé par l'effondrement de la civilisation romaine sous les coups successifs des envahisseurs saxons, il écrit: "De la ruine de la Bretagne" ouvrage qui connaîtra un grand succès durant tout le haut Moyen Age.
Saint Gildas, dit "Le Sage", est né dans l'île de Bretagne; il y a reçu son éducation dans le sud-est du Pays de Galles actuel...
Il s'établit sur le continent y fonda avec quelques compagnons l'Abbaye de Rhuys, où il mourut vers 570.
L'Abbaye de Rhuys a conservé son tombeau et développé son culte... Saint Gildas est connu sous les formes bretonnes Sant Veltas ou sant Gueltas... (diocèse de Quimper et Léon - saint Gildas)Ici
L'abbatiale de Saint Gildas de RhuyIci
Cliquer
s abrite la sépulture du Saint mort en 570 sur l'île de Houat.
Voir aussi "l'ère des Saints": de 600 à 800 environ site du diocèse de Vannes.
En Bretagne, l’an 570, Saint Gildas, Abbé, surnommé le Sage.
Il écrivit sur la ruine de la Grande-Bretagne en déplorant les calamités de son peuple et en reprochant avec véhémence la dépravation des chefs et du clergé.
La tradition lui attribue la Fondation du Monastère de Rhuys en face de l’Océan et le fait mourir à l’île d’Houat.
Martyrologe romain
Abbé en Bretagne ( 570)
Ce noble breton voit le jour en Écosse vers la fin du Ve siècle, l'année où les Bretons romanisés battent les Saxons envahisseurs.
D'après nombre d'hagiographes, il aurait étudié dans un Monastère du pays de Galles, sous la direction d'un disciple de saint Germain l'Auxerrois.Ici
Ordonné Prêtre en 518, cet apôtre, surnommé "le sage", convertit d'abord ses compatriotes par une éloquence sacrée aussi simple qu'efficace.
Avec le même succès, il passe en Irlande (saint Colomban d'ailleurs lui rendra hommage) pour aboutir en Armorique, la petite Bretagne continentale.Ici
D'abord installé dans l'île d'Houat, il va vivre en Ermite dans la presqu'île de Rhuys qui ferme, au sud, le golfe du Morbihan.
Il y fondera une Abbaye qui porte aujourd'hui son nom et où on l'honore toujours. Abélard, le savant théologien du Moyen Age, en sera l'abbé au XIIe siècle.
Troublé par l'effondrement de la civilisation romaine sous les coups successifs des envahisseurs saxons, il écrit: "De la ruine de la Bretagne" ouvrage qui connaîtra un grand succès durant tout le haut Moyen Age.
Saint Gildas, dit "Le Sage", est né dans l'île de Bretagne; il y a reçu son éducation dans le sud-est du Pays de Galles actuel...
Il s'établit sur le continent y fonda avec quelques compagnons l'Abbaye de Rhuys, où il mourut vers 570.
L'Abbaye de Rhuys a conservé son tombeau et développé son culte... Saint Gildas est connu sous les formes bretonnes Sant Veltas ou sant Gueltas... (diocèse de Quimper et Léon - saint Gildas)Ici
L'abbatiale de Saint Gildas de RhuyIci
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s abrite la sépulture du Saint mort en 570 sur l'île de Houat.
Voir aussi "l'ère des Saints": de 600 à 800 environ site du diocèse de Vannes.
En Bretagne, l’an 570, Saint Gildas, Abbé, surnommé le Sage.
Il écrivit sur la ruine de la Grande-Bretagne en déplorant les calamités de son peuple et en reprochant avec véhémence la dépravation des chefs et du clergé.
La tradition lui attribue la Fondation du Monastère de Rhuys en face de l’Océan et le fait mourir à l’île d’Houat.
Martyrologe romain
Pour des approfondissements biographiques
Saint Gildas le Sage, Abbé en BretagneIci
Saint Gildas le Sage, Abbé en BretagneIci
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Marie du 85- Messages : 423
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- Message n°43
Re: LE SAINT DU JOUR !!
Mardi 30 Janvier 2018
Fête de Sainte Bathilde, reine de France et Moniale à Chelles (vers 630- 680).
Fête de Sainte Bathilde, reine de France et Moniale à Chelles (vers 630- 680).
Source
Sainte Bathilde
Reine de Neustrie et Moniale à Chelles ( 680)
ou Bertille.
Célébrée dans les Églises d'Orient et d'Occident.
D'origine anglo-saxonne, elle avait été prise, encore enfant, par des corsaires et revendue comme esclave à Erkinoald.
Quand le roi Clovis II, fils du roi Dagobert, fut en âge de se marier, il remarqua cette admirable jeune fille dont la beauté et la douceur l'attiraient.
Erkinoald la lui céda et elle devint reine.
Elle eut trois fils. Mais son mari, usé par la débauche, mourut à vingt-trois ans.
Devenue régente, elle donna toute sa mesure, conseillée par saint EloiIci et d'autres Évêques.
Elle supprima l'esclavage, rendit l'impôt plus équitable et favorisa la vie Monastique.
Les aléas des conquêtes conduisirent le "maire du palais royal" à l'évincer.
Mais Ebroïn l'estimait tout en la trouvant encombrante. Il l'obligea à s'enfermer dans un Couvent, à Chelles près de Paris.
Elle avait trente et un ans et y resta jusqu'à sa mort à quarante six ans, pardonnant à ses ennemis, se chargeant des besognes les plus basses et se vouant de préférence au soin des malades.
Elle présida de façon décisive à l'éclosion du monachisme dans son royaume.
Voir sur le site des Bénédictines, prieuré de Sainte BathildeIci - et sur le site de la paroisse de Chatenay-Malabry du diocèse de Nanterre.Ici
A lire aussi:
- Sainte Bathilde (vers 630 – 680) Reine des Francs - Épouse de Clovis II - Bienveillante protectrice et généreuse donatrice auprès des Monastères colombaniens. (site internet des amis de saint Colomban)Ici
- les Saints parisiens sur le site du diocèse de Paris.Ici
À Chelles près de la Marne sur le territoire de Paris, en 680, Sainte Bathilde. Esclave anglo-saxonne, elle devint l’épouse de Clovis II, roi des Francs.
Elle fonda des Monastères sous la Règle de Saint Benoît, mais à la manière de Luxeuil; après la mort de Clovis II, elle devint régente du royaume des Francs et, quand son fils devint roi, elle passa les dernières années de sa vie en observant entièrement la Règle Monastique.
Martyrologe romain
Chaque groupe porte une dénomination tirée de ses origines ou de son implantation, des pratiques ou des actions qui lui sont propres.
Pour nous, la grande affaire et le titre suprême consistaient à être Chrétiens et à en porter le nom.
Saint Basile le Grand, que les Églises d’Orient fêtent aujourd’hui.
Reine de Neustrie et Moniale à Chelles ( 680)
ou Bertille.
Célébrée dans les Églises d'Orient et d'Occident.
D'origine anglo-saxonne, elle avait été prise, encore enfant, par des corsaires et revendue comme esclave à Erkinoald.
Quand le roi Clovis II, fils du roi Dagobert, fut en âge de se marier, il remarqua cette admirable jeune fille dont la beauté et la douceur l'attiraient.
Erkinoald la lui céda et elle devint reine.
Elle eut trois fils. Mais son mari, usé par la débauche, mourut à vingt-trois ans.
Devenue régente, elle donna toute sa mesure, conseillée par saint EloiIci et d'autres Évêques.
Elle supprima l'esclavage, rendit l'impôt plus équitable et favorisa la vie Monastique.
Les aléas des conquêtes conduisirent le "maire du palais royal" à l'évincer.
Mais Ebroïn l'estimait tout en la trouvant encombrante. Il l'obligea à s'enfermer dans un Couvent, à Chelles près de Paris.
Elle avait trente et un ans et y resta jusqu'à sa mort à quarante six ans, pardonnant à ses ennemis, se chargeant des besognes les plus basses et se vouant de préférence au soin des malades.
Elle présida de façon décisive à l'éclosion du monachisme dans son royaume.
Voir sur le site des Bénédictines, prieuré de Sainte BathildeIci - et sur le site de la paroisse de Chatenay-Malabry du diocèse de Nanterre.Ici
A lire aussi:
- Sainte Bathilde (vers 630 – 680) Reine des Francs - Épouse de Clovis II - Bienveillante protectrice et généreuse donatrice auprès des Monastères colombaniens. (site internet des amis de saint Colomban)Ici
- les Saints parisiens sur le site du diocèse de Paris.Ici
À Chelles près de la Marne sur le territoire de Paris, en 680, Sainte Bathilde. Esclave anglo-saxonne, elle devint l’épouse de Clovis II, roi des Francs.
Elle fonda des Monastères sous la Règle de Saint Benoît, mais à la manière de Luxeuil; après la mort de Clovis II, elle devint régente du royaume des Francs et, quand son fils devint roi, elle passa les dernières années de sa vie en observant entièrement la Règle Monastique.
Martyrologe romain
Chaque groupe porte une dénomination tirée de ses origines ou de son implantation, des pratiques ou des actions qui lui sont propres.
Pour nous, la grande affaire et le titre suprême consistaient à être Chrétiens et à en porter le nom.
Saint Basile le Grand, que les Églises d’Orient fêtent aujourd’hui.
Lire
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Claire- Admin
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Age : 74
Localisation : NORD
- Message n°44
Re: LE SAINT DU JOUR !!
Marie,
Encore une sainte que je ne connaissais pas mais enchantée de faire sa connaissance
Merci !
Encore une sainte que je ne connaissais pas mais enchantée de faire sa connaissance
Merci !
M-Odile- Messages : 589
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Localisation : Herlies
- Message n°45
Re: LE SAINT DU JOUR !!
Moi aussi, Claire, je suis admiratrice devant tous ces témoins dont on ne parle pas. Merci encore à toi, Marie, pr tt ce que tu ns fais découvrir, pr ttes tes recherches pr illustrer à chaque fois les textes...
J'ai été émue de lire la vie de Ste Angèle dont j'entendais parler ds l'école d'Arras où j'ai fait 9 ans de pension : j'ai eu la chance d'avoir été formée par les... Ursulines. Pr un grand nombre de raisons, j'éprouve un immense respect à leur égard, une très grande reconnaissance et une profonde affection. Je suis encore en relation avec 2 d'entre elles. Ste Angèle !
J'ai été émue de lire la vie de Ste Angèle dont j'entendais parler ds l'école d'Arras où j'ai fait 9 ans de pension : j'ai eu la chance d'avoir été formée par les... Ursulines. Pr un grand nombre de raisons, j'éprouve un immense respect à leur égard, une très grande reconnaissance et une profonde affection. Je suis encore en relation avec 2 d'entre elles. Ste Angèle !
Marie du 85- Messages : 423
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Localisation : Vendée
- Message n°46
Re: LE SAINT DU JOUR !!
Bonjour,
Un Grand Merci @vous deux!
C'est avec Joie que je vous "livre" chaque jour la vie de ces Saintes et Saints dont parfois j'ignore l'existence!!
C'est un sujet qui me passionne beaucoup, on découvre à travers leur univers tant de belles choses!!
Amitiés
Un Grand Merci @vous deux!
C'est avec Joie que je vous "livre" chaque jour la vie de ces Saintes et Saints dont parfois j'ignore l'existence!!
C'est un sujet qui me passionne beaucoup, on découvre à travers leur univers tant de belles choses!!
Amitiés
Mercredi 31 Janvier 2018
Fête de Saint Jean (Giovanni) Bosco, Prêtre et Fondateur de la « Congrégation Salésienne (SDB) » et de l'Institut des « Filles de Marie-Auxiliatrice (FMA) » (1815-1888).
Fête de Saint Jean (Giovanni) Bosco, Prêtre et Fondateur de la « Congrégation Salésienne (SDB) » et de l'Institut des « Filles de Marie-Auxiliatrice (FMA) » (1815-1888).
Source
Saint Jean Bosco
Fondateur de la société de Saint-François-de-Sales et de l'Institut des Filles de Marie-Auxiliatrice (+ 1888)
C'était un fils de pauvres paysans piémontais. Adolescent, il joue à l'acrobate pour distraire sainement les garnements de son village.
Devenu Prêtre à force de sacrifices, il se dévoue aux jeunes ouvriers de Turin abandonnés à eux-mêmes.
Il crée pour eux un centre de loisirs, un patronage, puis un centre d'accueil, puis des ateliers. Rien de tout cela n'était planifié à l'avance, mais ce sont les besoins immenses qui le pressent.
Jamais il ne refuse d'accueillir un jeune, même si la maison est petite, même si l'argent manque.
Plutôt que de refuser, il multipliera les châtaignes comme son maître multipliait les pains en Palestine.
Sa confiance absolue en la Providence n'est jamais déçue.
Ses "enfants" seront bientôt des centaines et tous se feraient couper en morceaux pour Don Bosco.
Sa mère, Maman Marguerite, vient s'installer près de lui et jusqu'à sa mort, elle leur cuira la polenta et raccommodera leurs vêtements.
Très marqué par la spiritualité de saint François de SalesIci, Jean Bosco invente une éducation par la douceur, la confiance et l'amour.
Pour ses garçons, il fonde l'Oratoire, l'œuvre, qui sera à l'origine de la Congrégation des Prêtres Salésiens. Pour les filles, il fonde la Congrégation de Marie-Auxiliatrice.
Don Bosco mourra, épuisé, en butte à l'hostilité de son Évêque qui ne le comprend pas, mais entouré de ses disciples.
Site des religieux Salésiens de Don Bosco.Ici
Mémoire de Saint Jean Bosco, Prêtre.
Il connut une enfance pauvre et dure, et après son Ordination, il mit à Turin toute son énergie à l’éducation des jeunes et fonda la Société de Saint-François de Sales et, avec l’aide de sainte Marie-Dominique Mazzarello,Ici l’Institut des Filles de Marie Auxiliatrice, pour enseigner aux jeunes un métier et la vie Chrétienne.
Après avoir réalisé tant de projets, il mourut à Turin en 1888.
Martyrologe romain
Pas d’agitation dans notre cœur, pas de mépris dans nos regards, pas d’injures sur nos lèvres.
Ayons de la compassion pour le présent.
Alors vous serez de vrais pères et vous accomplirez un véritable commandement.
Un texte de Saint Jean Bosco.
Le Salésien "saisit les valeurs du monde et refuse de gémir sur son temps: il retient tout ce qui est bon, surtout si cela plaît aux jeunes.
Celui qui est toujours prêt à se plaindre n'a pas le véritable esprit Salésien"
Article 22 - L'optimisme et la Joie de l'Espérance.
Fondateur de la société de Saint-François-de-Sales et de l'Institut des Filles de Marie-Auxiliatrice (+ 1888)
C'était un fils de pauvres paysans piémontais. Adolescent, il joue à l'acrobate pour distraire sainement les garnements de son village.
Devenu Prêtre à force de sacrifices, il se dévoue aux jeunes ouvriers de Turin abandonnés à eux-mêmes.
Il crée pour eux un centre de loisirs, un patronage, puis un centre d'accueil, puis des ateliers. Rien de tout cela n'était planifié à l'avance, mais ce sont les besoins immenses qui le pressent.
Jamais il ne refuse d'accueillir un jeune, même si la maison est petite, même si l'argent manque.
Plutôt que de refuser, il multipliera les châtaignes comme son maître multipliait les pains en Palestine.
Sa confiance absolue en la Providence n'est jamais déçue.
Ses "enfants" seront bientôt des centaines et tous se feraient couper en morceaux pour Don Bosco.
Sa mère, Maman Marguerite, vient s'installer près de lui et jusqu'à sa mort, elle leur cuira la polenta et raccommodera leurs vêtements.
Très marqué par la spiritualité de saint François de SalesIci, Jean Bosco invente une éducation par la douceur, la confiance et l'amour.
Pour ses garçons, il fonde l'Oratoire, l'œuvre, qui sera à l'origine de la Congrégation des Prêtres Salésiens. Pour les filles, il fonde la Congrégation de Marie-Auxiliatrice.
Don Bosco mourra, épuisé, en butte à l'hostilité de son Évêque qui ne le comprend pas, mais entouré de ses disciples.
Site des religieux Salésiens de Don Bosco.Ici
Mémoire de Saint Jean Bosco, Prêtre.
Il connut une enfance pauvre et dure, et après son Ordination, il mit à Turin toute son énergie à l’éducation des jeunes et fonda la Société de Saint-François de Sales et, avec l’aide de sainte Marie-Dominique Mazzarello,Ici l’Institut des Filles de Marie Auxiliatrice, pour enseigner aux jeunes un métier et la vie Chrétienne.
Après avoir réalisé tant de projets, il mourut à Turin en 1888.
Martyrologe romain
Pas d’agitation dans notre cœur, pas de mépris dans nos regards, pas d’injures sur nos lèvres.
Ayons de la compassion pour le présent.
Alors vous serez de vrais pères et vous accomplirez un véritable commandement.
Un texte de Saint Jean Bosco.
Le Salésien "saisit les valeurs du monde et refuse de gémir sur son temps: il retient tout ce qui est bon, surtout si cela plaît aux jeunes.
Celui qui est toujours prêt à se plaindre n'a pas le véritable esprit Salésien"
Article 22 - L'optimisme et la Joie de l'Espérance.
L'Evangile au quotidien - cliquer -
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Hommages
Jean Bosco est Béatifié en 1929 puis Canonisé par Pie XI le 1er Avril 1934, jour de clôture de l'année sainte.
En 1958, Pie XII le proclame patron des apprentis.
À Rome, la Basilique San Giovanni Bosco fut construite dans les années 1950 en hommage et le quartier Don Bosco qui l'entoure est renommé en son honneur.Ici
Une école primaire porte son nom à l'Ile Maurice :
Saint Jean Bosco R.C.A School, cette école se situe dans la ville de Curepipe à l'arrière de la Basilique de Sainte Hélène.
Des écoles secondaires portent son nom en Europe et en Afrique (notamment au Maroc dans la ville de Kenitra), mais la Belgique est la seule à organiser une compétition sportive : InterBosco.
En Amérique du Sud, plusieurs fondations portent son nom et œuvrent dans le même but que Don Bosco.
Don Bosco est l'un des parrains de Brasilia, la capitale du Brésil, en raison d'une « prophétie » effectuée suite à l'un de ses rêves dans lequel il vit la création d'une cité prospère située au bord d'un lac entre le 15 et le 20 parallèle de l'hémisphère sud.
Le groupe Scout de France, 14e Strasbourg, implanté à Neudorf Ici(Strasbourg) porte le nom de groupe Jean Bosco.
À Paris, l'église Saint-Jean-Bosco renferme des reliques du saint.
À Sherbrooke,Ici une rue est nommée en l'honneur de don Bosco.
Il y a également un collège d'enseignement secondaire privé nommé Salésien sur cette même rue.
À partir de juin 2010, les reliques de Jean Bosco sont emmenée en pèlerinage dans 130 pays du monde, en préparation du bicentenaire de sa naissance qui aura lieu en 2015.
À Saint-Macaire-en-Mauges, Icile collège privé de la commune porte le nom de collège Jean Bosco
A Nice, la Fondation Don Bosco propose un collège privé, un CFA, un lycée général et technologique et un lycée professionnel, une place porte aussi son nom.
A Antananarivo,https://fr.wikipedia.org/wiki/Antananarivo radio Don Bosco émet sur 93.4 FM, ou siège dans le quartier d'Ivato l'administration de la communauté Salésienne Malgache.
A Gieres, une école primaire et collège est également nommé Don Bosco.
Jean Bosco est Béatifié en 1929 puis Canonisé par Pie XI le 1er Avril 1934, jour de clôture de l'année sainte.
En 1958, Pie XII le proclame patron des apprentis.
À Rome, la Basilique San Giovanni Bosco fut construite dans les années 1950 en hommage et le quartier Don Bosco qui l'entoure est renommé en son honneur.Ici
Une école primaire porte son nom à l'Ile Maurice :
Saint Jean Bosco R.C.A School, cette école se situe dans la ville de Curepipe à l'arrière de la Basilique de Sainte Hélène.
Des écoles secondaires portent son nom en Europe et en Afrique (notamment au Maroc dans la ville de Kenitra), mais la Belgique est la seule à organiser une compétition sportive : InterBosco.
En Amérique du Sud, plusieurs fondations portent son nom et œuvrent dans le même but que Don Bosco.
Don Bosco est l'un des parrains de Brasilia, la capitale du Brésil, en raison d'une « prophétie » effectuée suite à l'un de ses rêves dans lequel il vit la création d'une cité prospère située au bord d'un lac entre le 15 et le 20 parallèle de l'hémisphère sud.
Le groupe Scout de France, 14e Strasbourg, implanté à Neudorf Ici(Strasbourg) porte le nom de groupe Jean Bosco.
À Paris, l'église Saint-Jean-Bosco renferme des reliques du saint.
À Sherbrooke,Ici une rue est nommée en l'honneur de don Bosco.
Il y a également un collège d'enseignement secondaire privé nommé Salésien sur cette même rue.
À partir de juin 2010, les reliques de Jean Bosco sont emmenée en pèlerinage dans 130 pays du monde, en préparation du bicentenaire de sa naissance qui aura lieu en 2015.
À Saint-Macaire-en-Mauges, Icile collège privé de la commune porte le nom de collège Jean Bosco
A Nice, la Fondation Don Bosco propose un collège privé, un CFA, un lycée général et technologique et un lycée professionnel, une place porte aussi son nom.
A Antananarivo,https://fr.wikipedia.org/wiki/Antananarivo radio Don Bosco émet sur 93.4 FM, ou siège dans le quartier d'Ivato l'administration de la communauté Salésienne Malgache.
A Gieres, une école primaire et collège est également nommé Don Bosco.
Songe de Don Bosco - cliquer -
marie-rose- Messages : 953
Date d'inscription : 28/02/2014
- Message n°47
Re: LE SAINT DU JOUR !!
Je pensais le connaitre,mais je ne savais pas qu'il était mort épuisé et subissais le rejet Il faut le prier pour cette jeunesse en détresse
Claire- Admin
- Messages : 13597
Date d'inscription : 19/07/2009
Age : 74
Localisation : NORD
- Message n°48
Re: LE SAINT DU JOUR !!
C'est un saint très important que l'on peut prier pour la jeunesse.
Ce soir, à la messe, le prêtre âgé qui nous présentait ce saint, nous a révélé que c'est peut être grâce à ce saint qu'il est devenu prêtre. C'est le premier livre que son curé lui a prêté et qui l'a marqué. Depuis c'est son saint préféré !
UDP
Ce soir, à la messe, le prêtre âgé qui nous présentait ce saint, nous a révélé que c'est peut être grâce à ce saint qu'il est devenu prêtre. C'est le premier livre que son curé lui a prêté et qui l'a marqué. Depuis c'est son saint préféré !
UDP
Marie du 85- Messages : 423
Date d'inscription : 23/12/2017
Age : 70
Localisation : Vendée
- Message n°49
Re: LE SAINT DU JOUR !!
@marie-rose @claire
En UDP pour tous les jeunes!!
En UDP pour tous les jeunes!!
Jeudi 1er Février 2018
Fête de Sainte Brigitte de Kildare, Abbesse en Irlande, Co-Patronne de l'Irlande ( 523).
Fête de Sainte Brigitte de Kildare, Abbesse en Irlande, Co-Patronne de l'Irlande ( 523).
(Co-Patronne de l'Irlande avec Saint Patrick).
(L’Église Célèbre la Fête (propre à l’Irlande) et fait mémoire facultative (propre à la Nouvelle-Zélande) de Sainte Brigitte de Kildare)
(L’Église Célèbre la Fête (propre à l’Irlande) et fait mémoire facultative (propre à la Nouvelle-Zélande) de Sainte Brigitte de Kildare)
Brigitte, née vers 453, est la Sainte patronne d'Irlande.
Grande amie des pauvres, elle a fondé des Monastères et fait des miracles partout dans le pays.
Encore toute jeune-fille, elle a converti un vieux seigneur païen en lui fabriquant une croix avec des ajoncs qui couvraient le sol de la maison.
Quinze siècles plus tard, les Irlandais construisent toujours cette petite croix et vous en trouverez dans la plupart des foyers irlandais, y compris chez les Irlandais en France.
Issue d’une noble famille du Leinster, probablement convertie par Saint Patrick, Brigitte, jeune Irlandaise de 16 ans, reçut le voile des vierges des mains de l’Évêque Macaille.
Sept ou huit jeunes filles prirent le voile en même temps et se placèrent sous sa conduite.
Son humilité et son désir d’avancer dans la Vie évangélique attirèrent dans son couvent de nouvelles recrues.
Elles priaient pour l’évangélisation de l’Irlande.
Le rayonnement de Brigitte fut tel qu’elle érigea de nombreux Couvents, dont le plus célèbre est celui de Kildare, où elle mourut le 1er Février 523.
Une vénération extraordinaire entoura sa mémoire, non seulement en Irlande, mais dans toute l’Église occidentale.
C’est sans doute Landévennec qui propagea son culte en Bretagne dès le haut Moyen Age.
Grande amie des pauvres, elle a fondé des Monastères et fait des miracles partout dans le pays.
Encore toute jeune-fille, elle a converti un vieux seigneur païen en lui fabriquant une croix avec des ajoncs qui couvraient le sol de la maison.
Quinze siècles plus tard, les Irlandais construisent toujours cette petite croix et vous en trouverez dans la plupart des foyers irlandais, y compris chez les Irlandais en France.
Issue d’une noble famille du Leinster, probablement convertie par Saint Patrick, Brigitte, jeune Irlandaise de 16 ans, reçut le voile des vierges des mains de l’Évêque Macaille.
Sept ou huit jeunes filles prirent le voile en même temps et se placèrent sous sa conduite.
Son humilité et son désir d’avancer dans la Vie évangélique attirèrent dans son couvent de nouvelles recrues.
Elles priaient pour l’évangélisation de l’Irlande.
Le rayonnement de Brigitte fut tel qu’elle érigea de nombreux Couvents, dont le plus célèbre est celui de Kildare, où elle mourut le 1er Février 523.
Une vénération extraordinaire entoura sa mémoire, non seulement en Irlande, mais dans toute l’Église occidentale.
C’est sans doute Landévennec qui propagea son culte en Bretagne dès le haut Moyen Age.
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M-Odile- Messages : 589
Date d'inscription : 28/11/2014
Age : 76
Localisation : Herlies
- Message n°50
Re: LE SAINT DU JOUR !!
Je suppose, Claire, que tu parles du prêtre qui célèbre chez les Clarisses et qui a + de 60 ans de sacerdoce... Je n'ai eu que 2 fois l'occasion d'assister à la messe là-bas et ce prêtre m'a énormément impressionnée : j'ai tt de suite senti que c'est un disciple du Christ qui parle, malgré son âge, "avec autorité" ( c'est ce que les gens disaient de Jésus) et... en toute humilité. Une belle âme...
C'est amusant que ce cher Don Bosco soit son saint préféré, parce que c'est le cas aussi pr moi : combien de fois, juste avant d'ouvrir la porte d'une salle de classe, ne lui ai-je pas demandé d'être à mes côtés, de m'accompagner pr avoir la meilleure relation possible avec mes élèves et surtt avec les moins faciles. Très tôt, j'avais lu la vie et cela m'avait vraiment impressionnée. Merci encore à notre sœur Marie...
Je vs laisse : je pars emmener les résidants au chapelet à la maison de retraite. Belle fête de la LUMIERE ! Qu'elle éclaire nos et notre monde qui en a tant besoin !
C'est amusant que ce cher Don Bosco soit son saint préféré, parce que c'est le cas aussi pr moi : combien de fois, juste avant d'ouvrir la porte d'une salle de classe, ne lui ai-je pas demandé d'être à mes côtés, de m'accompagner pr avoir la meilleure relation possible avec mes élèves et surtt avec les moins faciles. Très tôt, j'avais lu la vie et cela m'avait vraiment impressionnée. Merci encore à notre sœur Marie...
Je vs laisse : je pars emmener les résidants au chapelet à la maison de retraite. Belle fête de la LUMIERE ! Qu'elle éclaire nos et notre monde qui en a tant besoin !
Marie du 85- Messages : 423
Date d'inscription : 23/12/2017
Age : 70
Localisation : Vendée
- Message n°51
Re: LE SAINT DU JOUR !!
Vendredi 02 Février 2018
Fête de la Présentation du Seigneur au Temple.
Fête de la Présentation du Seigneur au Temple.
Journée mondiale de la Vie Consacrée (Fête des personnes Consacrées).
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Présentation de Jésus au Temple
Rencontre du Seigneur Jésus avec le vieillard SyméonIci
Célébrée dès le IVe siècle à Jérusalem, cette Fête eut d'abord pour objet la rencontre du Seigneur Jésus avec le vieillard Syméon.
En proclamant que cet enfant était la Lumière du monde et serait un signe de contradiction, le vieillard achevait de manifester que Jésus était le Messie, Sauveur du monde.
Au VIIe siècle, cette Fête commence à être Célébrée à Rome et s'accompagne d'une procession de Pénitence qui, commencée à l'aurore, se faisait à la lumière des cierges, pour témoigner que dans la nuit du monde, Jésus était cette lumière tant attendue.
La Bénédiction des cierges ne date que du Xe siècle.
En Gaule, la Fête devint mariale, reprenant la Purification exigée des jeunes mères Juives qui se faisait quarante jours après la naissance, d'où la date de la Fête qui se rattache encore au mystère de Noël.
La Purification de la Vierge Marie eut lieu quarante jours après la Nativité du Seigneur.
Cette Fête a été nommée ordinairement de trois manières, la Purification, Hypapante ou rencontre, et la Chandeleur...
Cette Fête a reçu le nom d'Hypapante, ce qui est la même chose que Présentation, parce que Jésus a été présenté au Temple:
Hypapante veut encore dire rencontre*, parce que Siméon et Anne se rencontrèrent avec le Seigneur, qu'on offrait dans le Temple.
(source: Abbaye saint Benoît.)
Ici
*De hypa, qui veut dire aller, et ante, au-devant; voir aussi sur le site du service national de la pastorale liturgique et sacramentelle.[url=Ici]Ici[/url]
Un internaute nous écrit:
l'Église grecque melkite catholique (Liban , Syrie etc..) Célèbre cette Fête le 2 février, d'autres penchent pour le 3.
Fête de la Présentation du Seigneur, que les Grecs appellent Hypapante, la Rencontre.
Quarante jours après sa Naissance, Jésus fut présenté au Temple par Marie et Joseph - selon les apparences, il accomplissait la Loi de Moïse - en réalité, il venait au devant de son peuple croyant et exultant, Lumière pour éclairer les nations païennes et Gloire d’Israël son peuple.
Martyrologe romain
O Divin Esprit, je veux être devant vous comme une plume légère, afin que votre souffle m’emporte où il veut et que je n’y apporte jamais la moindre résistance.
François-Marie Libermann – Commentaire de l’Évangile selon Saint Jean.Ici
Rencontre du Seigneur Jésus avec le vieillard SyméonIci
Célébrée dès le IVe siècle à Jérusalem, cette Fête eut d'abord pour objet la rencontre du Seigneur Jésus avec le vieillard Syméon.
En proclamant que cet enfant était la Lumière du monde et serait un signe de contradiction, le vieillard achevait de manifester que Jésus était le Messie, Sauveur du monde.
Au VIIe siècle, cette Fête commence à être Célébrée à Rome et s'accompagne d'une procession de Pénitence qui, commencée à l'aurore, se faisait à la lumière des cierges, pour témoigner que dans la nuit du monde, Jésus était cette lumière tant attendue.
La Bénédiction des cierges ne date que du Xe siècle.
En Gaule, la Fête devint mariale, reprenant la Purification exigée des jeunes mères Juives qui se faisait quarante jours après la naissance, d'où la date de la Fête qui se rattache encore au mystère de Noël.
La Purification de la Vierge Marie eut lieu quarante jours après la Nativité du Seigneur.
Cette Fête a été nommée ordinairement de trois manières, la Purification, Hypapante ou rencontre, et la Chandeleur...
Cette Fête a reçu le nom d'Hypapante, ce qui est la même chose que Présentation, parce que Jésus a été présenté au Temple:
Hypapante veut encore dire rencontre*, parce que Siméon et Anne se rencontrèrent avec le Seigneur, qu'on offrait dans le Temple.
(source: Abbaye saint Benoît.)
Ici
*De hypa, qui veut dire aller, et ante, au-devant; voir aussi sur le site du service national de la pastorale liturgique et sacramentelle.[url=Ici]Ici[/url]
Un internaute nous écrit:
l'Église grecque melkite catholique (Liban , Syrie etc..) Célèbre cette Fête le 2 février, d'autres penchent pour le 3.
Fête de la Présentation du Seigneur, que les Grecs appellent Hypapante, la Rencontre.
Quarante jours après sa Naissance, Jésus fut présenté au Temple par Marie et Joseph - selon les apparences, il accomplissait la Loi de Moïse - en réalité, il venait au devant de son peuple croyant et exultant, Lumière pour éclairer les nations païennes et Gloire d’Israël son peuple.
Martyrologe romain
O Divin Esprit, je veux être devant vous comme une plume légère, afin que votre souffle m’emporte où il veut et que je n’y apporte jamais la moindre résistance.
François-Marie Libermann – Commentaire de l’Évangile selon Saint Jean.Ici
Lire
Pour approfondir, lire l’Homélie du Pape Saint Jean-Paul II :
Fête de la Présentation du Seigneur au Temple
Fête de la Présentation du Seigneur au Temple
Lire
CÉLÉBRATION DES VÊPRES
DE LA FÊTE DE LA PRÉSENTATION DE JÉSUS AU TEMPLE
HOMÉLIE DU PAPE BENOÎT XVI
Basilique Saint-Pierre
Mardi 2 Février 2011
DE LA FÊTE DE LA PRÉSENTATION DE JÉSUS AU TEMPLE
HOMÉLIE DU PAPE BENOÎT XVI
Basilique Saint-Pierre
Mardi 2 Février 2011
Lire
Galerie Photographique - cliquer -
Pour voir au travers des Révélations de Jésus à Maria Valtorta, les détails de cette Fête et la rencontre avec le vieillard Syméon.
Lire
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Marie du 85- Messages : 423
Date d'inscription : 23/12/2017
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Localisation : Vendée
- Message n°52
Re: LE SAINT DU JOUR !!
Samedi 03 Février 2018
Fête de Saint Blaise de Sébaste, Évêque et martyr en Arménie († v. 320).
Fête de Saint Blaise de Sébaste, Évêque et martyr en Arménie († v. 320).
De telles chandelles sont utilisées pour la Bénédiction des gorges pendant le jour de sa Fête, qui tombe dans l'Église Occidentale le 03 Février et dans l'Église Orientale le 11 Février.
La coutume veut que l’on allume deux cierges Bénis croisés sur la gorge du fidèle qui prie pour sa guérison.
On tenait les bougies devant la gorge et on prononçait les mots suivants Per intercessionem Sancti Blasii liberet te Deus a malo gutteris et a quovis alio malo in nomine Patris et Filii et Spiritus Sancti
[Par l'intercession de Saint Blaise que Dieu te libère de ce mal de gorge et de tout autre mal au Nom du Père et du Fils et du Saint Esprit].
La coutume veut que l’on allume deux cierges Bénis croisés sur la gorge du fidèle qui prie pour sa guérison.
On tenait les bougies devant la gorge et on prononçait les mots suivants Per intercessionem Sancti Blasii liberet te Deus a malo gutteris et a quovis alio malo in nomine Patris et Filii et Spiritus Sancti
[Par l'intercession de Saint Blaise que Dieu te libère de ce mal de gorge et de tout autre mal au Nom du Père et du Fils et du Saint Esprit].
Saint Blaise de Sébaste
Martyr en Arménie ( 320)
Il naquit, vécut et mourut, dit-on, en Arménie.
Il était médecin quand il fut choisit comme Évêque de Sébaste. Il fit d'une caverne du mont Argée sa résidence épiscopale et y guérissait aussi bien les hommes que les bêtes sauvages.
Ce pourquoi il fut remarqué par le gouverneur de la Cappadoce qui avait besoin d'animaux sauvages qu'il devait livrer pour les jeux du cirque.
Il fit arrêter Saint Blaise et voulut le noyer dans un étang.
Ce qui ne fut pas possible. Blaise marchait sur les eaux. Revenu sur la berge, il fut décapité.
A lire
«De St Blaise à Jean Cocteau : le chemin de la simplicité» - diocèse de Metz.Ici
L’église Saint-Eucaire de Metz (quartier Outre-Seille) est chaque année le cadre du traditionnel pèlerinage de la Saint Blaise.
Près de 4 000 personnes y assistent, venant vénérer les reliques de Saint Blaise, sorties exceptionnellement le jour de la Fête de son martyr. Plus de 10 000 petits pains sont également bénis à cette occasion.
A Metz, la Fête de Saint Blaise trouve un nouveau sens. (saint-jacques.info)Ici
"La croix Saint-Blaise a retrouvé sa place (Savigny-sur-Clairis, lYonne.fr, 23 août 2011), érigée en 1120, année où les reliques de Saint Blaise ont été ramenées d'Arménie par des pèlerins revenant de Palestine.Ici
Saint Blaise a fortement marqué la paroisse au Moyen-âge: une source, une croix et une maison portent alors son nom.
Les pèlerins qui se rendaient à Saint-Jacques de Compostelle, vénéraient particulièrement Saint Blaise, dont on retrouve l'évocation sur de très nombreuses étapes. Savigny en fait partie."
Un internaute nous écrit: "il sauva miraculeusement un enfant mourant d'un œdème à la gorge dû à une arête de poisson."
Mémoire de Saint Blaise, Évêque de Sébaste en Arménie et martyr, qui souffrit pour le nom de Chrétien.
La tradition place son martyre sous l’empereur Licinius, vers 320.
Martyrologe romain.
Martyr en Arménie ( 320)
Il naquit, vécut et mourut, dit-on, en Arménie.
Il était médecin quand il fut choisit comme Évêque de Sébaste. Il fit d'une caverne du mont Argée sa résidence épiscopale et y guérissait aussi bien les hommes que les bêtes sauvages.
Ce pourquoi il fut remarqué par le gouverneur de la Cappadoce qui avait besoin d'animaux sauvages qu'il devait livrer pour les jeux du cirque.
Il fit arrêter Saint Blaise et voulut le noyer dans un étang.
Ce qui ne fut pas possible. Blaise marchait sur les eaux. Revenu sur la berge, il fut décapité.
A lire
«De St Blaise à Jean Cocteau : le chemin de la simplicité» - diocèse de Metz.Ici
L’église Saint-Eucaire de Metz (quartier Outre-Seille) est chaque année le cadre du traditionnel pèlerinage de la Saint Blaise.
Près de 4 000 personnes y assistent, venant vénérer les reliques de Saint Blaise, sorties exceptionnellement le jour de la Fête de son martyr. Plus de 10 000 petits pains sont également bénis à cette occasion.
A Metz, la Fête de Saint Blaise trouve un nouveau sens. (saint-jacques.info)Ici
"La croix Saint-Blaise a retrouvé sa place (Savigny-sur-Clairis, lYonne.fr, 23 août 2011), érigée en 1120, année où les reliques de Saint Blaise ont été ramenées d'Arménie par des pèlerins revenant de Palestine.Ici
Saint Blaise a fortement marqué la paroisse au Moyen-âge: une source, une croix et une maison portent alors son nom.
Les pèlerins qui se rendaient à Saint-Jacques de Compostelle, vénéraient particulièrement Saint Blaise, dont on retrouve l'évocation sur de très nombreuses étapes. Savigny en fait partie."
Un internaute nous écrit: "il sauva miraculeusement un enfant mourant d'un œdème à la gorge dû à une arête de poisson."
Mémoire de Saint Blaise, Évêque de Sébaste en Arménie et martyr, qui souffrit pour le nom de Chrétien.
La tradition place son martyre sous l’empereur Licinius, vers 320.
Martyrologe romain.
Lire
Pour un approfondissement biographique
Saint Blaise de Sébaste
Saint Blaise de Sébaste
Lire
Marie du 85- Messages : 423
Date d'inscription : 23/12/2017
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- Message n°53
Re: LE SAINT DU JOUR !!
Dimanche 04 Février 2018
Fête de Sainte Véronique, femme ayant essuyé le visage du Christ montant au Golgotha (1er s.).
Fête de Sainte Véronique, femme ayant essuyé le visage du Christ montant au Golgotha (1er s.).
Sainte Véronique.
Selon la tradition Chrétienne, sainte femme Juive qui aurait essuyé le visage du Christ lors de sa montée au Calvaire.
Le morceau d'étoffe blanche dont elle se servit aurait gardé l'empreinte de la face de Jésus.
Ce voile de Véronique est conservé à Saint-Pierre de Rome.
Fête le 4 Février.
CHEMIN DE CROIX
Sainte Véronique essuie le visage de Jésus.
Jésus, tu étais plein de sueur et de sang quand cette sainte femme t'a apporté un peu de fraîcheur et de réconfort.
Oh Jésus !
Apprends-moi à donner un peu fraîcheur et de réconfort à ceux que je vois dans le besoin.
Chemin de la Croix
médité par
Père Jean-Grégoire de la Trinité, O.D.M.
à l'occasion d'un Vendredi-Saint
Sixième station
Véronique essuie le visage de Jésus
* Nous t'adorons, Ô Christ et nous Te bénissons !
* Par ta sainte Croix, Tu as racheté le monde
La foule se moque de Jésus, le frappe et le bouscule. Mais Véronique, femme au cœur droit, sait qu'Il est innocent.
Bravant la meute déchaînée, elle se précipite et essuie le visage de Jésus. Forte de sa Foi, elle ne craint personne.
- Seigneur Jésus, que Ta grâce assure ma Foi, pour que jamais de Toi je ne rougisse, et que toujours et partout, sans hésitation, je Te rendre témoignage.
Notre Père...
Je vous salue...
Gloire au Père...
Par tes Saintes blessures, nous t'en prions,
Seigneur Jésus, prends pitié de nous.
Le Voile de Véronique.
Aucun récit évangélique ne fait allusion à Véronique, que certaines traditions anciennes citent pour avoir essuyé le Visage du Christ au cours de Sa montée au Golgotha, l'image du Saint Visage restant "imprimée" sur le tissu.
Ce prénom de Véronique pourrait venir d'un mélange de latin-grec, "vera icon", ce qui signifie "véritable image".
Pour certains, cette tradition ne serait d'ailleurs qu'une légende, à rapprocher de l'histoire du Mandylion.
L'apocryphe "La mort de Pilate" raconte à l'appui de cette thèse que Le Christ imprima son visage sur une toile qu'il donna à Véronique.
Les preuves historiques de l'histoire du voile remontent au VIII° siècle, au cours duquel le Pape Jean VII le plaça dans un oratoire qu'il fit construire au Vatican.
Exposé au XII° siècle au Latran, le voile fut transféré au début du XVII° à la Basilique Saint Pierre de Rome, où il fut l'objet d'une dernière ostension en 1854.
Il n'a fait l'objet d'aucune étude scientifique, mais les copies conservées à Rome et à Gênes rappellent l'image du Saint Suaire.
Selon la tradition Chrétienne, sainte femme Juive qui aurait essuyé le visage du Christ lors de sa montée au Calvaire.
Le morceau d'étoffe blanche dont elle se servit aurait gardé l'empreinte de la face de Jésus.
Ce voile de Véronique est conservé à Saint-Pierre de Rome.
Fête le 4 Février.
CHEMIN DE CROIX
Sainte Véronique essuie le visage de Jésus.
Jésus, tu étais plein de sueur et de sang quand cette sainte femme t'a apporté un peu de fraîcheur et de réconfort.
Oh Jésus !
Apprends-moi à donner un peu fraîcheur et de réconfort à ceux que je vois dans le besoin.
Chemin de la Croix
médité par
Père Jean-Grégoire de la Trinité, O.D.M.
à l'occasion d'un Vendredi-Saint
Sixième station
Véronique essuie le visage de Jésus
* Nous t'adorons, Ô Christ et nous Te bénissons !
* Par ta sainte Croix, Tu as racheté le monde
La foule se moque de Jésus, le frappe et le bouscule. Mais Véronique, femme au cœur droit, sait qu'Il est innocent.
Bravant la meute déchaînée, elle se précipite et essuie le visage de Jésus. Forte de sa Foi, elle ne craint personne.
- Seigneur Jésus, que Ta grâce assure ma Foi, pour que jamais de Toi je ne rougisse, et que toujours et partout, sans hésitation, je Te rendre témoignage.
Notre Père...
Je vous salue...
Gloire au Père...
Par tes Saintes blessures, nous t'en prions,
Seigneur Jésus, prends pitié de nous.
Le Voile de Véronique.
Aucun récit évangélique ne fait allusion à Véronique, que certaines traditions anciennes citent pour avoir essuyé le Visage du Christ au cours de Sa montée au Golgotha, l'image du Saint Visage restant "imprimée" sur le tissu.
Ce prénom de Véronique pourrait venir d'un mélange de latin-grec, "vera icon", ce qui signifie "véritable image".
Pour certains, cette tradition ne serait d'ailleurs qu'une légende, à rapprocher de l'histoire du Mandylion.
L'apocryphe "La mort de Pilate" raconte à l'appui de cette thèse que Le Christ imprima son visage sur une toile qu'il donna à Véronique.
Les preuves historiques de l'histoire du voile remontent au VIII° siècle, au cours duquel le Pape Jean VII le plaça dans un oratoire qu'il fit construire au Vatican.
Exposé au XII° siècle au Latran, le voile fut transféré au début du XVII° à la Basilique Saint Pierre de Rome, où il fut l'objet d'une dernière ostension en 1854.
Il n'a fait l'objet d'aucune étude scientifique, mais les copies conservées à Rome et à Gênes rappellent l'image du Saint Suaire.
La dévotion du "Chemin de la Croix" évoque le souvenir de cette femme qui aurait bravé la foule hostile pour essuyer le visage du Christ pendant sa Passion, recueillant ainsi sur son linge la Sainte Face.
Selon la tradition latine, Ste Véronique était la femme qui essuya le visage ensanglanté du Seigneur portant sa Croix vers le Golgotha.
Les traits du Sauveur restèrent imprimés sur le linge, qui fut ainsi considéré comme une des images "non faites de main d'homme".
Mais selon un très ancien écrit apocryphe, les Actes de Pilate, Véronique (Bérénice) était bien l'Hémorroïsse qui, étant en possession d'un portrait du Christ, alla le présenter à l'Empereur Tibère à Rome.
A sa mort, la précieuse image aurait été transmise à St Clément.
Selon la tradition orientale, elle serait l'hémorroïsse guérie par le Christ (Matthieu 9. 20).
Selon Saint Eusèbe de Césarée, en témoignage d'action de grâces, elle aurait fait couler une statue de bronze qui représentait Le Christ prenant la main d'une femme agenouillée.
C'est l'unique exemple de la vénération d'une statue dans la tradition Orthodoxe.
Cette effigie du Christ fut abattue sur ordre de Julien l'Apostat, lors de sa tentative de restauration du paganisme.
Sainte Véronique (l’hémorroïsse) était originaire de Césarée de Philippe (Panéas). Elle fut guérie par Notre Seigneur Jésus-Christ d'un flux de sang qui l'affligeait depuis de longues années (cf. Mat. 9:20).
En témoignage d'action de grâces, elle fit couler une statue de bronze qui représentait le Christ tendant la main à une femme agenouillée devant lui.
À ses pieds, sur la stèle — où l'on pouvait lire l'inscription:
À Dieu, Sauveur du monde — poussait une plante qui avait la vertu de guérir toutes les maladies.
Véronique plaça cette statue devant sa maison, afin que tous les passants la vénèrent et gardent présente à l'esprit la mémoire de son modèle, le Dieu-Homme.
Ayant mené le reste de sa vie de manière sainte et agréable à Dieu, elle s'endormit en paix, pour jouir de la Face du Seigneur.
Selon la tradition latine, Ste Véronique était la femme qui essuya le visage ensanglanté du Seigneur portant sa Croix vers le Golgotha.
Les traits du Sauveur restèrent imprimés sur le linge, qui fut ainsi considéré comme une des images "non faites de main d'homme".
Mais selon un très ancien écrit apocryphe, les Actes de Pilate, Véronique (Bérénice) était bien l'Hémorroïsse qui, étant en possession d'un portrait du Christ, alla le présenter à l'Empereur Tibère à Rome.
A sa mort, la précieuse image aurait été transmise à St Clément.
Selon la tradition orientale, elle serait l'hémorroïsse guérie par le Christ (Matthieu 9. 20).
Selon Saint Eusèbe de Césarée, en témoignage d'action de grâces, elle aurait fait couler une statue de bronze qui représentait Le Christ prenant la main d'une femme agenouillée.
C'est l'unique exemple de la vénération d'une statue dans la tradition Orthodoxe.
Cette effigie du Christ fut abattue sur ordre de Julien l'Apostat, lors de sa tentative de restauration du paganisme.
Sainte Véronique (l’hémorroïsse) était originaire de Césarée de Philippe (Panéas). Elle fut guérie par Notre Seigneur Jésus-Christ d'un flux de sang qui l'affligeait depuis de longues années (cf. Mat. 9:20).
En témoignage d'action de grâces, elle fit couler une statue de bronze qui représentait le Christ tendant la main à une femme agenouillée devant lui.
À ses pieds, sur la stèle — où l'on pouvait lire l'inscription:
À Dieu, Sauveur du monde — poussait une plante qui avait la vertu de guérir toutes les maladies.
Véronique plaça cette statue devant sa maison, afin que tous les passants la vénèrent et gardent présente à l'esprit la mémoire de son modèle, le Dieu-Homme.
Ayant mené le reste de sa vie de manière sainte et agréable à Dieu, elle s'endormit en paix, pour jouir de la Face du Seigneur.
Selon les Révélations de Jésus à Maria Valtorta :
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L'étonnante découverte.
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Parcours apostolique.
Témoin de la Passion et de l'Ascension.
Disciple passionnée de Jésus, elle acquiert une maison à Jérusalem, en plus de sa propriété de Jéricho, pour pouvoir être près de son Maître, de plus en plus présent à Jérusalem jusqu'à sa Passion
C’est elle qui essuiera le visage de Jésus montant au Calvaire (9.28) et recevra ainsi le suaire miraculeux sur lequel est inscrit le portrait de Jésus (Sainte Face).
"Sur le Calvaire... J'ai vu le Sauveur en cet état... J'avais préparé le voile des reins pour qu'il ne se serve pas des chiffons des bourreaux...
Mais il était tout en sueur, avec du sang dans les yeux, et j'ai pensé le Lui donner pour qu'il s'essuie.
Et Lui l'a fait... Et il m'a rendu le voile. Je ne m'en suis plus servie...
Je voulais le garder comme relique avec sa sueur et son sang.
Et, voyant l'acharnement des juifs, après un moment, avec Plautina et les autres romaines Lidia et Valeria ensemble, nous avons décidé de revenir, craignant qu'ils nous enlèvent ce voile.
Les romaines sont des femmes viriles. Elles nous ont mises au milieu, la servante et moi, et elles nous ont protégées.
Il est vrai qu'elles sont une contamination pour Israël... et qu'il est dangereux de toucher Plautina.
Escortée des romaines sympathisantes, présentes elles aussi, elle se réfugie dans sa maison de Jérusalem.
Elle s'effondre en pleurs.
Mais cela, on y pense par temps calme. Aujourd'hui, ils étaient tous ivres... À la maison, j'ai pleuré... pendant des heures...
Puis est venu le tremblement de terre et je me suis évanouie...
Revenue à moi, j'ai voulu baiser ce voile et j'ai vu... Oh !... Il y a dessus le visage du Rédempteur !..."
En hâte, elle court chez la Vierge Marie à peine revenue de la sépulture. La vue de la relique la réconforte (9.33).
Nike est présente à l'Ascension (10.23).
Lors des premières persécutions, sa propriété devient l'un des refuges pour les disciples (10.34).
Son nom.
Niké (Nique) veut dire "Victoire" en grec. C’est la même racine qui a donné son nom à la ville de Nice en France.
Le surnom de Véronique par lequel elle est plus connue, provient d'une déformation du nom grec Béréniké (Bérénice), "porteuse de victoire", ce qui est plus conforme à ce qu'en dit Maria Valtorta.
(Un écrit apocryphe : les Actes de Pilate, chapitre VII, le mentionne mais c'est le nom de l'hémorroïsse guérie et non de la femme qui essuie le visage de Jésus.)Lire
Témoin de la Passion et de l'Ascension.
Disciple passionnée de Jésus, elle acquiert une maison à Jérusalem, en plus de sa propriété de Jéricho, pour pouvoir être près de son Maître, de plus en plus présent à Jérusalem jusqu'à sa Passion
C’est elle qui essuiera le visage de Jésus montant au Calvaire (9.28) et recevra ainsi le suaire miraculeux sur lequel est inscrit le portrait de Jésus (Sainte Face).
"Sur le Calvaire... J'ai vu le Sauveur en cet état... J'avais préparé le voile des reins pour qu'il ne se serve pas des chiffons des bourreaux...
Mais il était tout en sueur, avec du sang dans les yeux, et j'ai pensé le Lui donner pour qu'il s'essuie.
Et Lui l'a fait... Et il m'a rendu le voile. Je ne m'en suis plus servie...
Je voulais le garder comme relique avec sa sueur et son sang.
Et, voyant l'acharnement des juifs, après un moment, avec Plautina et les autres romaines Lidia et Valeria ensemble, nous avons décidé de revenir, craignant qu'ils nous enlèvent ce voile.
Les romaines sont des femmes viriles. Elles nous ont mises au milieu, la servante et moi, et elles nous ont protégées.
Il est vrai qu'elles sont une contamination pour Israël... et qu'il est dangereux de toucher Plautina.
Escortée des romaines sympathisantes, présentes elles aussi, elle se réfugie dans sa maison de Jérusalem.
Elle s'effondre en pleurs.
Mais cela, on y pense par temps calme. Aujourd'hui, ils étaient tous ivres... À la maison, j'ai pleuré... pendant des heures...
Puis est venu le tremblement de terre et je me suis évanouie...
Revenue à moi, j'ai voulu baiser ce voile et j'ai vu... Oh !... Il y a dessus le visage du Rédempteur !..."
En hâte, elle court chez la Vierge Marie à peine revenue de la sépulture. La vue de la relique la réconforte (9.33).
Nike est présente à l'Ascension (10.23).
Lors des premières persécutions, sa propriété devient l'un des refuges pour les disciples (10.34).
Son nom.
Niké (Nique) veut dire "Victoire" en grec. C’est la même racine qui a donné son nom à la ville de Nice en France.
Le surnom de Véronique par lequel elle est plus connue, provient d'une déformation du nom grec Béréniké (Bérénice), "porteuse de victoire", ce qui est plus conforme à ce qu'en dit Maria Valtorta.
(Un écrit apocryphe : les Actes de Pilate, chapitre VII, le mentionne mais c'est le nom de l'hémorroïsse guérie et non de la femme qui essuie le visage de Jésus.)Lire
En savoir plus sur ce personnage.
Légende et tradition la donnent mariée à Zachée, émigrant avec lui en Gaule à Soulac-sur-mer en Gironde où elle meurt, en l'an 70 dit-on, et où ses reliques sont vénérées depuis le Moyen-âge (Basilique Notre-Dame de la fin des Terres).
Veuf, Zachée aurait alors émigré dans le Quercy, à Roc Amadour.
En rapprochant ces informations des données de Maria Valtorta, on peut dire que son union, même platonique, avec Zachée est plausible : tout les deux sont de Jéricho et se consacrent à l'apostolat envers les éprouvés, fondant tous les deux un "foyer de charité.
Leur émigration en Gaule est possible.
Lors des premières persécutions il y a eu une vague d'émigration (la famille de Béthanie par exemple), Liretoutefois un débarquement en Gironde interroge : ce n'est pas la route maritime la plus directe en venant de Palestine.
(Dans la légende, Véronique est parfois identifiée à l'hémorroïsse guérie par Jésus.
On lui attribue alors le nom de Bérénice d'où dériverait le nom de Véronique).
Ces derniers éléments sont infirmés par les écrits de Maria Valtorta.
Légende et tradition la donnent mariée à Zachée, émigrant avec lui en Gaule à Soulac-sur-mer en Gironde où elle meurt, en l'an 70 dit-on, et où ses reliques sont vénérées depuis le Moyen-âge (Basilique Notre-Dame de la fin des Terres).
Veuf, Zachée aurait alors émigré dans le Quercy, à Roc Amadour.
En rapprochant ces informations des données de Maria Valtorta, on peut dire que son union, même platonique, avec Zachée est plausible : tout les deux sont de Jéricho et se consacrent à l'apostolat envers les éprouvés, fondant tous les deux un "foyer de charité.
Leur émigration en Gaule est possible.
Lors des premières persécutions il y a eu une vague d'émigration (la famille de Béthanie par exemple), Liretoutefois un débarquement en Gironde interroge : ce n'est pas la route maritime la plus directe en venant de Palestine.
(Dans la légende, Véronique est parfois identifiée à l'hémorroïsse guérie par Jésus.
On lui attribue alors le nom de Bérénice d'où dériverait le nom de Véronique).
Ces derniers éléments sont infirmés par les écrits de Maria Valtorta.
Marie du 85- Messages : 423
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- Message n°54
Re: LE SAINT DU JOUR !!
Lundi 05 Février 2018
Fête de Sainte Agathe de Catane, vierge et martyre en Sicile ( 251).
Vitrail de l'église de Lignières (diocèse de Bourges):
Sainte Agathe conduite au supplice pour s'être refusée aux hommages du gouverneur Quintionnus.
Lire
Fête de Sainte Agathe de Catane, vierge et martyre en Sicile ( 251).
Vitrail de l'église de Lignières (diocèse de Bourges):
Sainte Agathe conduite au supplice pour s'être refusée aux hommages du gouverneur Quintionnus.
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Sainte Agathe de Catane
Martyre en Sicile ( 251)
Son nom signifie "bonté"
Cette belle jeune fille serait née en Sicile.
Le gouverneur de Palerme ou de Catane la convoitait et, malgré une entremetteuse, il ne parvint pas à la persuader de céder à sa passion.
Les bourreaux rivalisèrent de sadisme pour la vaincre.
Une seule chose est sûre: elle garda jusqu'à la mort la pureté qu'elle avait vouée au seul Christ.
Elle y gagna sa place dans le canon romain de la Prière Eucharistique avec Sainte Lucie, Sainte Agnès et Sainte Cécile.
Mémoire de Sainte Agathe, vierge et martyre.
À Catane en Sicile, encore jeune fille, quand sévit la persécution de Dèce, vers 250, elle conserva son corps pur et sa Foi intacte dans le martyre, offrant au Christ Seigneur le témoignage de sa vie.
Martyrologe romain.
Martyre en Sicile ( 251)
Son nom signifie "bonté"
Cette belle jeune fille serait née en Sicile.
Le gouverneur de Palerme ou de Catane la convoitait et, malgré une entremetteuse, il ne parvint pas à la persuader de céder à sa passion.
Les bourreaux rivalisèrent de sadisme pour la vaincre.
Une seule chose est sûre: elle garda jusqu'à la mort la pureté qu'elle avait vouée au seul Christ.
Elle y gagna sa place dans le canon romain de la Prière Eucharistique avec Sainte Lucie, Sainte Agnès et Sainte Cécile.
Mémoire de Sainte Agathe, vierge et martyre.
À Catane en Sicile, encore jeune fille, quand sévit la persécution de Dèce, vers 250, elle conserva son corps pur et sa Foi intacte dans le martyre, offrant au Christ Seigneur le témoignage de sa vie.
Martyrologe romain.
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Un an après sa mort, l'EtnaIci entra en éruption, déversant un flot de lave en direction de Catane.
Les habitants s'emparèrent du voile qui recouvrait la sépulture d'Agathe et le placèrent devant le feu qui s'arrêta aussitôt, épargnant ainsi la ville.
Depuis, on invoque son nom pour se protéger des tremblements de terre, des éruptions volcaniques ou des incendies.
Les habitants s'emparèrent du voile qui recouvrait la sépulture d'Agathe et le placèrent devant le feu qui s'arrêta aussitôt, épargnant ainsi la ville.
Depuis, on invoque son nom pour se protéger des tremblements de terre, des éruptions volcaniques ou des incendies.
Marie du 85- Messages : 423
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- Message n°55
Re: LE SAINT DU JOUR !!
Mardi 06 Février 2018
Fête de Saint Paul Miki et ses compagnons martyrs au Japon ( 1597).
Fête de Saint Paul Miki et ses compagnons martyrs au Japon ( 1597).
(Mémoire obligatoire le 06 Février pour l’Église universelle et mémoire obligatoire le 07 Février propre à la Belgique et propre à la Nouvelle-Zélande (à cause de Waitangi Day)).
Source
Saint Paul Miki
et ses compagnons(*) martyrs au Japon ( 1597)
Sur les traces de saint François Xavier, les Pères Jésuites et les Frères Franciscains avaient profondément enraciné le Christianisme dans le sol japonais.
Ecoles, paroisses, hospices et léproseries témoignaient de la vigueur de cette jeune Église.
Mais, à cette date, le Japon est en proie à des bouleversements politiques importants.
Le shogun Taïcosama cherche à unifier le pays en limitant l'influence des daïmios locaux.
Il veut aussi limiter l'influence des étrangers au Japon.
Or le Christianisme est une importation étrangère : le shogun s'en prend donc aux Chrétiens.
En 1587, les Missionnaires sont expulsés, le Christianisme interdit. Celui-ci s'enfouit et devient clandestin.
Dix ans plus tard la persécution reprend de plus belle. En février 1597, vingt-six Chrétiens sont arrêtés : des Jésuites, des Franciscains, des laïcs tertiaires de saint François, des enfants de chœur...
Parmi eux, Paul Miki, premier Jésuite japonais et prédicateur passionné.
On les promène de ville en ville, pour l'exemple, pour dissuader ceux qui seraient tentés d'embrasser la Religion interdite.
Torturés, les martyrs continuent à prêcher et à chanter pendant leurs supplices avant de finir crucifiés sur une colline proche de Nagasaki, face à l'Occident, comme pour narguer cet horizon d'où venait le Christianisme.
Voir aussi:
Saints Paul Miki, Jean Soan (de Goto) et Jacques Kisai sur le site internet des jésuites et sur le calendrier des Franciscains Saints Pierre-Baptiste, Paul Miki et leurs compagnons.
(*) Jean Soan de Goto, Jacques Kisai, Religieux Jésuites; Pierre-Baptiste Blazquez, Martin de l’Ascension Aguirre, François Blanco, Prêtres Franciscains; Philippe de Jésus de Las Casas, Gonzalve Garcia, François de Saint-Michel de la Parilla, Religieux Franciscains; Léon Karasuma, Pierre Sukejiro, Côme Takeya, Paul Ibaraki, Thomas Dangi, interprête, Paul Suzuki, catéchistes; Louis Ibaraki (11ans), Antoine (13 ans), Michel Kozaki et son fils Thomas; Bonaventure, Gabriel, Jean Kinuya, Matthias, François de Méako, médecin, Joachim Sakakibara, médecin, François Danto, néophytes.
Au martyrologe romain au 5 Février:
À Nagasaki au Japon, en 1597, la passion de Saint Paul Miki et vingt-cinq compagnons, dont la mémoire est célébrée le lendemain donc le 6 Février.
Martyrologe romain.
et ses compagnons(*) martyrs au Japon ( 1597)
Sur les traces de saint François Xavier, les Pères Jésuites et les Frères Franciscains avaient profondément enraciné le Christianisme dans le sol japonais.
Ecoles, paroisses, hospices et léproseries témoignaient de la vigueur de cette jeune Église.
Mais, à cette date, le Japon est en proie à des bouleversements politiques importants.
Le shogun Taïcosama cherche à unifier le pays en limitant l'influence des daïmios locaux.
Il veut aussi limiter l'influence des étrangers au Japon.
Or le Christianisme est une importation étrangère : le shogun s'en prend donc aux Chrétiens.
En 1587, les Missionnaires sont expulsés, le Christianisme interdit. Celui-ci s'enfouit et devient clandestin.
Dix ans plus tard la persécution reprend de plus belle. En février 1597, vingt-six Chrétiens sont arrêtés : des Jésuites, des Franciscains, des laïcs tertiaires de saint François, des enfants de chœur...
Parmi eux, Paul Miki, premier Jésuite japonais et prédicateur passionné.
On les promène de ville en ville, pour l'exemple, pour dissuader ceux qui seraient tentés d'embrasser la Religion interdite.
Torturés, les martyrs continuent à prêcher et à chanter pendant leurs supplices avant de finir crucifiés sur une colline proche de Nagasaki, face à l'Occident, comme pour narguer cet horizon d'où venait le Christianisme.
Voir aussi:
Saints Paul Miki, Jean Soan (de Goto) et Jacques Kisai sur le site internet des jésuites et sur le calendrier des Franciscains Saints Pierre-Baptiste, Paul Miki et leurs compagnons.
(*) Jean Soan de Goto, Jacques Kisai, Religieux Jésuites; Pierre-Baptiste Blazquez, Martin de l’Ascension Aguirre, François Blanco, Prêtres Franciscains; Philippe de Jésus de Las Casas, Gonzalve Garcia, François de Saint-Michel de la Parilla, Religieux Franciscains; Léon Karasuma, Pierre Sukejiro, Côme Takeya, Paul Ibaraki, Thomas Dangi, interprête, Paul Suzuki, catéchistes; Louis Ibaraki (11ans), Antoine (13 ans), Michel Kozaki et son fils Thomas; Bonaventure, Gabriel, Jean Kinuya, Matthias, François de Méako, médecin, Joachim Sakakibara, médecin, François Danto, néophytes.
Au martyrologe romain au 5 Février:
À Nagasaki au Japon, en 1597, la passion de Saint Paul Miki et vingt-cinq compagnons, dont la mémoire est célébrée le lendemain donc le 6 Février.
Martyrologe romain.
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Lève- toi, Seigneur : viens vers ta demeure !
Souviens- toi, Seigneur de David,
de sa promesse au puissant de Jacob :
REFRAIN :
" J'interdirai tout sommeil à mes yeux avant
d'avoir trouvé un lieu pour le Seigneur."
Entrons dans la demeure de Dieu,
prosternons-nous aux pieds de ton trône.
Monte, Seigneur, vers le lieu de ton repos,
toi, et l'arche de ta force !
REFRAIN
Que tes prêtres soient vêtus de justice,
que tes fidèles crient de joie !
Pour l'amour de David, ton serviteur,
ne repousse pas la face de ton messie.
REFRAIN
Par Jésus le Christ notre sauveur, qui règne avec vous
et pour les siècles des siècles
AMEN.
Souviens- toi, Seigneur de David,
de sa promesse au puissant de Jacob :
REFRAIN :
" J'interdirai tout sommeil à mes yeux avant
d'avoir trouvé un lieu pour le Seigneur."
Entrons dans la demeure de Dieu,
prosternons-nous aux pieds de ton trône.
Monte, Seigneur, vers le lieu de ton repos,
toi, et l'arche de ta force !
REFRAIN
Que tes prêtres soient vêtus de justice,
que tes fidèles crient de joie !
Pour l'amour de David, ton serviteur,
ne repousse pas la face de ton messie.
REFRAIN
Par Jésus le Christ notre sauveur, qui règne avec vous
et pour les siècles des siècles
AMEN.
Fête de la Vénérable Marthe Robin, vierge, Mystique stigmatisée et Fondatrice de l'Association des Foyers de Charité, « victime » offerte pour l’Amour de Dieu (1902-1981).
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PAROLES DE MARTHE ROBIN
Certains croient qu'ils n'ont plus la Foi,
mais ils l'ont sous des cendres.
Il faut souffler pour raviver la flamme.
Il y a rarement de grandes choses à faire.
Il y en a beaucoup de petites.
Il faut être ambitieux pour les petites.
On ne croit plus quand on ne prie plus.
Foi, espérance, charité sont données au Baptême.
Il faut cultiver ce don par la prière.
C'est la SAINTE VIERGE qui nous l'apprendra.
Par l'amour le cœur se dilate,
par l'amour l'âme triomphe,
par l'amour notre vie est fortifiée, affermie.
Chercher DIEU c'est la Foi...
le trouver, c'est l'espérance...
le connaître, c'est l'amour...
le sentir, c'est la paix...
le goûter, c'est la joie...
le posséder, c'est l'ivresse....
La paix,
c'est un sentiment suave et profond dans l'âme,
lequel ne vient que de DIEU...
La paix durable et profonde
naît dans la prière
elle est semblable à un ruisseau qui coule,
limpide, calme et paisible entre deux rives fleuries.
La prière est le parfum qui charme,
la fraîcheur qui captive,
l'aimant qui attire,
la grâce qui enivre,
la douceur qui enchante.
Si l'âme est triste, elle la relève,
si elle dort, elle l'éveille,
si elle est joyeuse, elle la modère,
si elle est dans les ténèbres, c'est le rayon divin
qui doucement descend sur elle
et la ravit en DIEU.
Aimer ! C'est sans retour se dévouer sans cesse, c'est se laisser trahir sans jamais se venger, c'est plus que se donner, c'est faire avec noblesse l'abandon de soi-même et ne jamais changer.
Aimer ! C'est ennoblir sa pensée et son être, c'est réchauffer son cœur et c'est le ranimer, c'est un parfum si pur qu'il charme, qu'il pénètre, c'est un ravissement qu'on ne peut exprimer.
Aimer ! C'est accomplir un vœu de la nature, qui trace la route au but mystérieux.
C'est obéir à DIEU qu'aimer sa créature, de tous les sentiments, c'est le plus glorieux.
'est dans la souffrance que la Foi est lumière, que l'espérance s'affirme, que l'amour grandit.
Certains croient qu'ils n'ont plus la Foi,
mais ils l'ont sous des cendres.
Il faut souffler pour raviver la flamme.
Il y a rarement de grandes choses à faire.
Il y en a beaucoup de petites.
Il faut être ambitieux pour les petites.
On ne croit plus quand on ne prie plus.
Foi, espérance, charité sont données au Baptême.
Il faut cultiver ce don par la prière.
C'est la SAINTE VIERGE qui nous l'apprendra.
Par l'amour le cœur se dilate,
par l'amour l'âme triomphe,
par l'amour notre vie est fortifiée, affermie.
Chercher DIEU c'est la Foi...
le trouver, c'est l'espérance...
le connaître, c'est l'amour...
le sentir, c'est la paix...
le goûter, c'est la joie...
le posséder, c'est l'ivresse....
La paix,
c'est un sentiment suave et profond dans l'âme,
lequel ne vient que de DIEU...
La paix durable et profonde
naît dans la prière
elle est semblable à un ruisseau qui coule,
limpide, calme et paisible entre deux rives fleuries.
La prière est le parfum qui charme,
la fraîcheur qui captive,
l'aimant qui attire,
la grâce qui enivre,
la douceur qui enchante.
Si l'âme est triste, elle la relève,
si elle dort, elle l'éveille,
si elle est joyeuse, elle la modère,
si elle est dans les ténèbres, c'est le rayon divin
qui doucement descend sur elle
et la ravit en DIEU.
Aimer ! C'est sans retour se dévouer sans cesse, c'est se laisser trahir sans jamais se venger, c'est plus que se donner, c'est faire avec noblesse l'abandon de soi-même et ne jamais changer.
Aimer ! C'est ennoblir sa pensée et son être, c'est réchauffer son cœur et c'est le ranimer, c'est un parfum si pur qu'il charme, qu'il pénètre, c'est un ravissement qu'on ne peut exprimer.
Aimer ! C'est accomplir un vœu de la nature, qui trace la route au but mystérieux.
C'est obéir à DIEU qu'aimer sa créature, de tous les sentiments, c'est le plus glorieux.
'est dans la souffrance que la Foi est lumière, que l'espérance s'affirme, que l'amour grandit.
Le Vatican reconnait ses vertus héroïques
(Site officiel) Vénérable Marthe Robin
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M-Odile- Messages : 589
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Age : 76
Localisation : Herlies
- Message n°56
Re: LE SAINT DU JOUR !!
Merci encore une fois pr les précieux résultats de tes recherches !
Merci, chère Marie de nous rappeler la vie vraiment pas ordinaire de Marthe. Je ne me lasse js de découvrir ou de relire ce qu'elle a dit. Prions pour que cette belle âme soit vite reconnue comme sainte ! Quelle fête ce sera !
Merci, chère Marie de nous rappeler la vie vraiment pas ordinaire de Marthe. Je ne me lasse js de découvrir ou de relire ce qu'elle a dit. Prions pour que cette belle âme soit vite reconnue comme sainte ! Quelle fête ce sera !
Marie du 85- Messages : 423
Date d'inscription : 23/12/2017
Age : 70
Localisation : Vendée
- Message n°57
Re: LE SAINT DU JOUR !!
coucou M-Odile
Merci c'est avec une Grande Joie!!
Marthe est une Sainte que j'apprécie particulièrement, j'aime beaucoup cette phrase de Marhe « Tous mes actes, je les veux rayonnants, divins : tous sont mûris dans le face à face avec Dieu. »
En UDP M-Odile
Mercredi 07 Février 2018
Fête de la Bienheureuse Eugénie Smet (Marie de la Providence), Fondatrice des Auxiliatrices des Âmes du Purgatoire ( 1871).
Merci c'est avec une Grande Joie!!
Marthe est une Sainte que j'apprécie particulièrement, j'aime beaucoup cette phrase de Marhe « Tous mes actes, je les veux rayonnants, divins : tous sont mûris dans le face à face avec Dieu. »
En UDP M-Odile
Mercredi 07 Février 2018
Fête de la Bienheureuse Eugénie Smet (Marie de la Providence), Fondatrice des Auxiliatrices des Âmes du Purgatoire ( 1871).
Lire
Bienheureuse Eugénie Smet
Fondatrice des Auxiliatrices des Âmes du Purgatoire ( 1871)
en religion Marie de la Providence.
Née à Lille où elle avait voulu fonder un Institut religieux destiné à se dévouer en priorité aux Âmes du Purgatoire, elle répondit à des sollicitations qui venaient de Paris.
Son Institut connut des débuts difficiles, jusqu'au jour où elle reçut l'autorisation de Rome.
Elle orienta ses Religieuses vers toutes les tâches qui pouvaient répondre aux besoins multiples des plus défavorisés.
"Que la charité envers les âmes souffrantes s’unisse intimement chez Eugénie Smet à l’apostolat le plus concret, le plus actif, le plus universel, voilà sans aucun doute un trait saillant de sa physionomie spirituelle et le cachet particulier que Dieu voulut lui donner" Pie XII
Marie de la Providence - site des auxiliatricesIci
"...Les soins gratuits des pauvres à domicile constituent l’activité principale de l’institut naissant, auquel les laïcs sont, dès le départ, associés..."
Pie XII l’a Béatifiée en 1957. Source: Bienheureuse Marie de la Providence (Eugénie Smet) - diocèse de ParisIci
À Paris, en 1871, la Bienheureuse Marie de la Providence (Eugénie Smet), vierge, qui fonda la Congrégation des Auxiliatrices du Purgatoire, dans une totale confiance en la Providence.
Martyrologe romain.
Quelle bonté de Dieu envers l'Église… envers les malades pauvres et les pécheurs qui trouvent, dans ses membres, des servantes et des apôtres… envers les pauvres en inclinant vers eux le cœur des riches par l'intermédiaire de ce petit institut qui se pose comme un trait d’union entre les deux pointes extrêmes de l'échelle sociale.
Bienheureuse Marie de la Providence.
Fondatrice des Auxiliatrices des Âmes du Purgatoire ( 1871)
en religion Marie de la Providence.
Née à Lille où elle avait voulu fonder un Institut religieux destiné à se dévouer en priorité aux Âmes du Purgatoire, elle répondit à des sollicitations qui venaient de Paris.
Son Institut connut des débuts difficiles, jusqu'au jour où elle reçut l'autorisation de Rome.
Elle orienta ses Religieuses vers toutes les tâches qui pouvaient répondre aux besoins multiples des plus défavorisés.
"Que la charité envers les âmes souffrantes s’unisse intimement chez Eugénie Smet à l’apostolat le plus concret, le plus actif, le plus universel, voilà sans aucun doute un trait saillant de sa physionomie spirituelle et le cachet particulier que Dieu voulut lui donner" Pie XII
Marie de la Providence - site des auxiliatricesIci
"...Les soins gratuits des pauvres à domicile constituent l’activité principale de l’institut naissant, auquel les laïcs sont, dès le départ, associés..."
Pie XII l’a Béatifiée en 1957. Source: Bienheureuse Marie de la Providence (Eugénie Smet) - diocèse de ParisIci
À Paris, en 1871, la Bienheureuse Marie de la Providence (Eugénie Smet), vierge, qui fonda la Congrégation des Auxiliatrices du Purgatoire, dans une totale confiance en la Providence.
Martyrologe romain.
Quelle bonté de Dieu envers l'Église… envers les malades pauvres et les pécheurs qui trouvent, dans ses membres, des servantes et des apôtres… envers les pauvres en inclinant vers eux le cœur des riches par l'intermédiaire de ce petit institut qui se pose comme un trait d’union entre les deux pointes extrêmes de l'échelle sociale.
Bienheureuse Marie de la Providence.
Source
Les étapes de la vie de Marie de la Providence
25 mars 1825
elle naît à Lille
1836-1843
elle est élevée au Sacré-Cœur de Lille
1843-1853
elle mène une vie apostolique intense à Loos-lez-Lille
1er-2 novembre 1853
elle découvre sa mission dans l’Église
1855
le curé d’Ars la confirme dans sa mission
19 janvier 1856
elle arrive à Paris et fonde l’Institut des Auxiliatrices des âmes du Purgatoire
1859
elle adopte la spiritualité ignatienne (les Règles et les Constitutions de la Compagnie de Jésus
1863
fondation de la maison de Nantes
4 août 1867
appel pour la mission de Chine
1869
fondation de la maison de Bruxelles
7 février 1871
elle meurt à Paris, à l’âge de 45 ans
1957
elle est béatifiée par Pie XII
« Que la Charité envers les âmes souffrantes s’unisse intimement chez Eugénie Smet à l’apostolat le plus concret, le plus actif, le plus universel, voilà sans aucun doute un trait saillant de sa physionomie spirituelle et le cachet particulier que Dieu voulut lui donner »
Pie XII.
25 mars 1825
elle naît à Lille
1836-1843
elle est élevée au Sacré-Cœur de Lille
1843-1853
elle mène une vie apostolique intense à Loos-lez-Lille
1er-2 novembre 1853
elle découvre sa mission dans l’Église
1855
le curé d’Ars la confirme dans sa mission
19 janvier 1856
elle arrive à Paris et fonde l’Institut des Auxiliatrices des âmes du Purgatoire
1859
elle adopte la spiritualité ignatienne (les Règles et les Constitutions de la Compagnie de Jésus
1863
fondation de la maison de Nantes
4 août 1867
appel pour la mission de Chine
1869
fondation de la maison de Bruxelles
7 février 1871
elle meurt à Paris, à l’âge de 45 ans
1957
elle est béatifiée par Pie XII
« Que la Charité envers les âmes souffrantes s’unisse intimement chez Eugénie Smet à l’apostolat le plus concret, le plus actif, le plus universel, voilà sans aucun doute un trait saillant de sa physionomie spirituelle et le cachet particulier que Dieu voulut lui donner »
Pie XII.
Claire- Admin
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Localisation : NORD
- Message n°58
Re: LE SAINT DU JOUR !!
Bonsoir !
J'ai bcp entendu parler de cette sainte sur RCF Lille et j'ai de ce fait appris qu'elle avait vécu pas loin de chez moi mais pas à la même époque
Une grande sainte !
J'ai bcp entendu parler de cette sainte sur RCF Lille et j'ai de ce fait appris qu'elle avait vécu pas loin de chez moi mais pas à la même époque
Une grande sainte !
Marie du 85- Messages : 423
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Localisation : Vendée
- Message n°59
Re: LE SAINT DU JOUR !!
Bonjour Claire,
Comme tu le dis si bien "pas à la même époque"
re
Comme tu le dis si bien "pas à la même époque"
re
Jeudi 08 Février 2018
Fête de Sainte Joséphine Bakhita, esclave soudanaise puis Religieuse Canossienne (1869-1947).
Fête de Sainte Joséphine Bakhita, esclave soudanaise puis Religieuse Canossienne (1869-1947).
Originaire du Soudan, elle est faite prisonnière par des négriers arabes à l'âge de neuf ans.
Ceux-ci lui donneront le nom de "Bakhita", qui signifie « fortunée, heureuse ».
Vendue et revendue plusieurs fois sur les marchés, elle connut les humiliations, les souffrances physiques et morales de l’esclavage.
A Khartoum, capitale du Soudan, Bakhita fut finalement achetée par le consul italien Monsieur Legnani.
Pour la première fois, depuis son enlèvement à l’âge de 9 ans, on la traitait d’une manière aimable sans brutalité.
Celui-ci la donna par la suite en "cadeau" à une famille amie qui l'emmena en Italie.
Elle fut plus tard confiée aux Sœurs Canossiennes de l’institut des Catéchumènes à Venise.
C’est là que Bakhita reconnut ce Dieu que depuis son enfance « elle sentait dans son cœur sans savoir qui il était ».
Elle reçut le Baptême, la Confirmation et la Communion le 9 Janvier 1890, et bientôt, elle entrait dans la Congrégation des Canossiennes à Vérone sous le nom de Joséphine.
Dans les différents Couvents où elle vécut, elle n’occupa que des emplois modestes : cuisinière, chargée de porterie, lingère, brodeuse, sacristie.
Son humilité, sa simplicité et son sourire constant lui gagnèrent le cœur de tous les habitants de Schio.
Ils l’appellent « notre Sainte Mère Brunette ».
La vieillesse, la maladie arrivèrent, mais Bakhita continua à offrir un témoignage de Foi, de Bonté et d’Espérance.
A ceux qui la visitaient et lui demandaient comment elle se portait, en souriant elle répondait : « Comme le Maître veut ».
Elle décéda en 1947 dans la maison de Schio.
Son corps est resté intact et souple dans la mort, survenue après plus de 50 ans de profession Religieuse.
Ceux-ci lui donneront le nom de "Bakhita", qui signifie « fortunée, heureuse ».
Vendue et revendue plusieurs fois sur les marchés, elle connut les humiliations, les souffrances physiques et morales de l’esclavage.
A Khartoum, capitale du Soudan, Bakhita fut finalement achetée par le consul italien Monsieur Legnani.
Pour la première fois, depuis son enlèvement à l’âge de 9 ans, on la traitait d’une manière aimable sans brutalité.
Celui-ci la donna par la suite en "cadeau" à une famille amie qui l'emmena en Italie.
Elle fut plus tard confiée aux Sœurs Canossiennes de l’institut des Catéchumènes à Venise.
C’est là que Bakhita reconnut ce Dieu que depuis son enfance « elle sentait dans son cœur sans savoir qui il était ».
Elle reçut le Baptême, la Confirmation et la Communion le 9 Janvier 1890, et bientôt, elle entrait dans la Congrégation des Canossiennes à Vérone sous le nom de Joséphine.
Dans les différents Couvents où elle vécut, elle n’occupa que des emplois modestes : cuisinière, chargée de porterie, lingère, brodeuse, sacristie.
Son humilité, sa simplicité et son sourire constant lui gagnèrent le cœur de tous les habitants de Schio.
Ils l’appellent « notre Sainte Mère Brunette ».
La vieillesse, la maladie arrivèrent, mais Bakhita continua à offrir un témoignage de Foi, de Bonté et d’Espérance.
A ceux qui la visitaient et lui demandaient comment elle se portait, en souriant elle répondait : « Comme le Maître veut ».
Elle décéda en 1947 dans la maison de Schio.
Son corps est resté intact et souple dans la mort, survenue après plus de 50 ans de profession Religieuse.
Sainte Joséphine Bakhita
Religieuse ( 1947)
Giuseppina Bakhita (1869-1947), soudanaise, esclave puis Religieuse.Lire
La Mère Noire - ainsi l'appelaient affectueusement les gens qui la connaissaient - s'éteint le 8 Février 1947.
Le Pape Saint Jean Paul II a Béatifié Joséphine Bakhita le 17 Mai 1992. Elle a été déclarée Sainte le 1er Octobre 2000.
Bonté et ferveur missionnaireLire
En 1931 sort un livre intitulé: Histoire merveilleuse.
Ce livre raconte la vie de Bakhita et montre ses photos. Il connaît un grand succès.
Mémoire de Sainte Joséphine Bakhita, vierge. Née au Soudan dans la région du Darfour, elle fut enlevée toute jeune, vendue plusieurs fois à des marchands d’esclaves africains et subit une servitude cruelle.
Vidéo - Ici -
Enfin libérée, elle devint Chrétienne puis Religieuse à Venise chez les Filles de la Charité, passa le reste de sa vie dans le Christ à Schio, au pays de Vicence, en subvenant aux besoins de tous, et mourut en 1947.
Martyrologe romain
Lire
Ô Seigneur, si je pouvais voler là-bas, auprès de mes gens et prêcher à tous à grands cris ta bonté:
Ôh, combien d'âmes je pourrais te conquérir!
Tout d'abord ma mère et mon père, mes frères, ma sœur encore esclave... tous, tous les pauvres Noirs de l’Afrique, fais, Ô Jésus, qu’eux aussi te connaissent et t’aiment!
Religieuse ( 1947)
Giuseppina Bakhita (1869-1947), soudanaise, esclave puis Religieuse.Lire
La Mère Noire - ainsi l'appelaient affectueusement les gens qui la connaissaient - s'éteint le 8 Février 1947.
Le Pape Saint Jean Paul II a Béatifié Joséphine Bakhita le 17 Mai 1992. Elle a été déclarée Sainte le 1er Octobre 2000.
Bonté et ferveur missionnaireLire
En 1931 sort un livre intitulé: Histoire merveilleuse.
Ce livre raconte la vie de Bakhita et montre ses photos. Il connaît un grand succès.
Mémoire de Sainte Joséphine Bakhita, vierge. Née au Soudan dans la région du Darfour, elle fut enlevée toute jeune, vendue plusieurs fois à des marchands d’esclaves africains et subit une servitude cruelle.
Vidéo - Ici -
Enfin libérée, elle devint Chrétienne puis Religieuse à Venise chez les Filles de la Charité, passa le reste de sa vie dans le Christ à Schio, au pays de Vicence, en subvenant aux besoins de tous, et mourut en 1947.
Martyrologe romain
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Ô Seigneur, si je pouvais voler là-bas, auprès de mes gens et prêcher à tous à grands cris ta bonté:
Ôh, combien d'âmes je pourrais te conquérir!
Tout d'abord ma mère et mon père, mes frères, ma sœur encore esclave... tous, tous les pauvres Noirs de l’Afrique, fais, Ô Jésus, qu’eux aussi te connaissent et t’aiment!
Source
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Pour un approfondissement biographique, Lire
Sainte Joséphine BakhitaIci
Sainte Joséphine BakhitaIci
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La dernière épreuve.
Dans l'agonie, elle revécut les jours terribles de son esclavage, et, à maintes reprises, elle supplia l'infirmière qui l'assistait:
«Lâchez un peu les chaînes... elles me font mal!».
Ce fut la très Sainte Vierge Marie qui la libéra de toute souffrance.
Ses dernières paroles furent:
«Notre Dame! Notre Dame!», tandis que son ultime sourire témoignait de sa rencontre avec la Mère du Seigneur.
Mère Bakhita s'est éteinte le 8 Février 1947 dans la maison de Schio, entourée de la Communauté en pleurs et en Prières.
Une foule accourut rapidement à la maison de l'Institut pour voir une dernière fois leur «petite Mère noire» et lui demander la protection du Ciel. Sa réputation de sainteté s'est désormais répandue sur tous les continents.
Nombreuses sont les grâces obtenues par son intercession.
Dans l'agonie, elle revécut les jours terribles de son esclavage, et, à maintes reprises, elle supplia l'infirmière qui l'assistait:
«Lâchez un peu les chaînes... elles me font mal!».
Ce fut la très Sainte Vierge Marie qui la libéra de toute souffrance.
Ses dernières paroles furent:
«Notre Dame! Notre Dame!», tandis que son ultime sourire témoignait de sa rencontre avec la Mère du Seigneur.
Mère Bakhita s'est éteinte le 8 Février 1947 dans la maison de Schio, entourée de la Communauté en pleurs et en Prières.
Une foule accourut rapidement à la maison de l'Institut pour voir une dernière fois leur «petite Mère noire» et lui demander la protection du Ciel. Sa réputation de sainteté s'est désormais répandue sur tous les continents.
Nombreuses sont les grâces obtenues par son intercession.
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Marie du 85- Messages : 423
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Age : 70
Localisation : Vendée
- Message n°60
Re: LE SAINT DU JOUR !!
Vendredi 09 Février 2018
Fête de la Bienheureuse Anna Katharina Emmerick « Mystique du Land de Münster » (1774-1824).
Fête de la Bienheureuse Anna Katharina Emmerick « Mystique du Land de Münster » (1774-1824).
Bienheureuse Anna Katharina Emmerick
Mystique ( 1824)
Béatifiée le 3 Octobre 2004
Homélie du Pape Jean-Paul IILire
"La Bienheureuse Anna Katharina Emmerick, a crié 'la Passion douloureuse de Notre Seigneur Jésus-Christ' et elle l'a vécue dans son corps."
Anna Katharina Emmerick (1774-1824), biographie sur le site du VaticanLire
"La vie d'Anna Katharina fut caractérisée par une profonde union avec Le Christ; les stigmates qu'elle portait en furent la preuve.
Elle éprouva également une profonde dévotion à l'égard de Marie.
A travers la Foi et l'Amour elle servit l'œuvre de la Rédemption."
De nombreux ouvrages nous parlent d'elle...Ici
"Tu ne peux imaginer le nombre de personnes qui seront incitées à la vertu en lisant ces choses", disait son ange gardien à Anne-Catherine, qui s'étonnait qu'on lui ordonne de raconter ses visions de la vie du Christ.
- La douloureuse Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ d’après les méditations d’Anne-Catherine Emmerich, 1872.
- Vie de Notre-Seigneur Jésus-Christ d’après les visions de la Sœur Anne-Catherine Emmerich recueillies par Clément Brentano, 1884.
- K. E. Schmoeger, Vie d’Anne-Catherine Emmerich, 1923.
- Visions d’Anne-Catherine Emmerich sur la vie de Notre-Seigneur Jésus-Christ et de la Très Sainte Vierge coordonnées en un seul tome selon l’ordre des faits, par le R.P. Fr. Joseph-Alvare Duley, traduites du texte allemand par M. Charles d’Ébeling, 1939. Nouvelle édition 1995.
- La douloureuse Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ d’après les méditations d’Anne-Catherine Emmerich, traduction par M. l’abbé de Cazalès, 1945.
- Anne-Catherine Emmerich, Les mystères de l’ancienne alliance, texte intégral recueilli par Cl. Brentano, traduit et présenté par Jean-Joachim Bouflet, 1977.
- M. T. Loutrel, Anne-Catherine Emmerick racontée par elle-même et par ses contemporains, 1992.
Bibliothèque diocésaine de Reims:
Anne-Catherine Emmerich (k)Lire
"J'ai toujours considéré le service au prochain comme la plus haute vertu.
Dans ma jeunesse, j'ai prié Dieu afin qu'il veuille bien me donner la force de servir mon prochain et d'être utile.
A présent je sais qu'il a exaucé ma prière".
Mystique ( 1824)
Béatifiée le 3 Octobre 2004
Homélie du Pape Jean-Paul IILire
"La Bienheureuse Anna Katharina Emmerick, a crié 'la Passion douloureuse de Notre Seigneur Jésus-Christ' et elle l'a vécue dans son corps."
Anna Katharina Emmerick (1774-1824), biographie sur le site du VaticanLire
"La vie d'Anna Katharina fut caractérisée par une profonde union avec Le Christ; les stigmates qu'elle portait en furent la preuve.
Elle éprouva également une profonde dévotion à l'égard de Marie.
A travers la Foi et l'Amour elle servit l'œuvre de la Rédemption."
De nombreux ouvrages nous parlent d'elle...Ici
"Tu ne peux imaginer le nombre de personnes qui seront incitées à la vertu en lisant ces choses", disait son ange gardien à Anne-Catherine, qui s'étonnait qu'on lui ordonne de raconter ses visions de la vie du Christ.
- La douloureuse Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ d’après les méditations d’Anne-Catherine Emmerich, 1872.
- Vie de Notre-Seigneur Jésus-Christ d’après les visions de la Sœur Anne-Catherine Emmerich recueillies par Clément Brentano, 1884.
- K. E. Schmoeger, Vie d’Anne-Catherine Emmerich, 1923.
- Visions d’Anne-Catherine Emmerich sur la vie de Notre-Seigneur Jésus-Christ et de la Très Sainte Vierge coordonnées en un seul tome selon l’ordre des faits, par le R.P. Fr. Joseph-Alvare Duley, traduites du texte allemand par M. Charles d’Ébeling, 1939. Nouvelle édition 1995.
- La douloureuse Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ d’après les méditations d’Anne-Catherine Emmerich, traduction par M. l’abbé de Cazalès, 1945.
- Anne-Catherine Emmerich, Les mystères de l’ancienne alliance, texte intégral recueilli par Cl. Brentano, traduit et présenté par Jean-Joachim Bouflet, 1977.
- M. T. Loutrel, Anne-Catherine Emmerick racontée par elle-même et par ses contemporains, 1992.
Bibliothèque diocésaine de Reims:
Anne-Catherine Emmerich (k)Lire
"J'ai toujours considéré le service au prochain comme la plus haute vertu.
Dans ma jeunesse, j'ai prié Dieu afin qu'il veuille bien me donner la force de servir mon prochain et d'être utile.
A présent je sais qu'il a exaucé ma prière".
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Pour un approfondissement biographique
Bienheureuse Anna Katharina EmmerickLire
Bienheureuse Anna Katharina EmmerickLire
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Stigmates et autres phénomènes.
Les stigmates.
Dès 1799, Anne-Catherine ressent les douleurs de la couronne d'épines; le sang coule chaque vendredi, mais elle réussit à le dissimuler.
En automne 1807, commencent les douleurs des stigmates aux pieds et aux mains, sans écoulement de sang ni marque extérieure.
Le 25 novembre 1812, une croix se forme sur la poitrine; cette croix, qui se doublait à Noël, saignait ordinairement le mercredi.
Les derniers jours de 1812, les stigmates des mains, des pieds et du côté deviennent apparents; le sang coule.
Aucune vision n'accompagne la stigmatisation, comme A.C. Emmerich l'affirmera sous serment aux enquêteurs ecclésiastiques.
Par l'indiscrétion d'une sœur, qui découvre les plaies des mains le 28 février 1813, ces phénomènes arrivent à la connaissance de la ville.
Le médecin de Dülmen, le Docteur Franz Wesener (1782-1832), qui rendit visite à la malade en vue de la "démasquer", fut l'objet (comme, après lui, le Dr Druffel et d'autres) d'une preuve impressionnante de sa cardiognosis.
Le 25 mars, le vicaire général Clemens Auguste von Droste-Vischering (1773-1845), futur Archevêque de Cologne, vint accompagné du Dr Druffel et du supérieur du séminaire Bernard Overberg (1754-1826).
Le Dr Krauthausen ancien médecin du couvent, tenta de traiter les blessures, mais sans succès; il fut également chargé d'une surveillance médicale assidue.
Le jeûne perpétuel.
Une surveillance étroite pendant dix jours (10-19 juin) confirma l'écoulement du sang des stigmates et le jeûne perpétuel.
Depuis l'apparition des stigmates, en effet, l'appétit avait disparu, sans que cela soit en rapport avec une maladie quelconque; bientôt A.C. Emmerich ne consomma plus que de l'eau.
Par la suite, une enquête gouvernementale (5-29 août 1819) ne put apporter les preuves d'aucune supercherie.
Le Docteur Franz Wesener se chargea des soins médicaux. Son Journal, rédigé consciencieusement de mars 1813 à novembre 1819, ainsi que l'Histoire abrégée qu'il écrivit l'année de la mort d'Anne-Catherine pour une revue médicale, constituent "une source rare pour l'étude psychologico-religieuse et médicale de la stigmatisation et des phénomènes analogues".
La hiérognosie.
Docteur Franz Wesener, le premier, relate, chez A.C. Emmerich, de nombreux cas de hiérognosie.
Dès 1817, Christian Brentano avait, en effet, découvert, comme s'en étaient déjà aperçus l'abbé Lambert et le P. Limberg, l'extrême sensibilité de la stigmatisée au sacré, surtout pendant ses extases, qu'il s'agisse d'authentifier des reliques, de reconnaître des hosties consacrées ou d'obéir aux ordres de l'autorité ecclésiastique.
Clément Brentano, de son côté, rendit le Docteur Franz Wesener attentif au fait que la stigmatisée acceptait volontairement de prendre sur elle maladies et souffrances d'autrui.
Dans son Histoire abrégée, le docteur s'en explique. "Ce n'est qu'au cours des deux dernières années de sa vie que j'ai compris ses souffrances mystérieuses.
La plupart de ses maladies, en effet, étaient l'acceptation spontanée de souffrances de ses amis, qui lui avaient confié leurs soucis et se recommandaient à ses prières.
Dans ses extases elle s'exprimait clairement là-dessus, indiquant la plupart du temps le moment où son intervention se terminerait".
Une religieuse malade d'une grave tuberculose des poumons et du larynx demanda à Anne-Catherine Emmerich d'intercéder auprès de Dieu et se retrouva guérie d'une manière inexplicable.
D'autres cas de guérison subite et simultanée auraient été attestés.
Les visions et les écrits de Clemens Brentano.
La plupart des visions d'A.C. Emmerich lui ont été attribuées par Clemens Brentano.
Ces ouvrages racontent la vie et la Passion du Christ et la vie de la Vierge d'après le récit, quasi-journalier, d'A.C. Emmerich, fait à Brentano de 1818 à 1824.
Non seulement elle a vu la Passion du Sauveur, mais pendant trois ans, elle l'a suivi dans tous ses voyages à travers la Palestine et hors de la Palestine.
La nature du sol, les fleuves, les montagnes, les forêts, les habitants, leurs mœurs, tout a passé sous ses regards dans des images claires et distinctes.
En outre, elle pouvait plonger son regard dans un passé bien plus éloigné (Adam et Ève) et embrasser l'histoire entière.
Le travail considérable de Clemens Brentano, 16.000 feuillets de notes diverses, parut en trois fois :
en 1833, neuf ans après la mort d'A.C. Emmerich, "La douloureuse Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ" (Das bittere Leiden unsers Herrn Jesu Christus), précédée d'une esquisse biographique de la stigmatisée.
en 1852 "La vie de la Vierge Marie" (Leben der heiligen Jungfrau Maria) : l'impression commencée fut interrompue par la mort de Clemens (1842), remaniée et poursuivie par son frère Christian, mort en 1851, et achevée par sa belle-sœur, dix ans après la mort de Clemens.
en 1858-1860, six ans plus tard, les trois volumes de "La vie de Notre-Seigneur et Sauveur Jésus-Christ", (Das Leben unsers Herrn und Heilandes Jesu Christi) publiés par le rédemptoriste K. E. Schmöger d'après les manuscrits de Brentano, profondément remaniés et amendés.
La polémique.
On ne peut négliger de souligner la différence d'un titre à l'autre : "d'après les méditations" dit Clemens Brentano (''Nach den Betrachtungen der gottselingen A.K. Emmerick'') dans le premier ouvrage; "d'après les visions" imprime K.E. Schmöger en tête du dernier (''Nach den Gesichten der gottselingen A.K. Emmerick…aufgeschrieben von C. Brentano'').
Malheureusement, ses "méditations" ou ses "visions" brodent considérablement sur la trame et le texte des évangiles; elles ajoutent faits, discours et attitudes qui semblent provenir d'apocryphes ou de légendes hagiographiques.
La part de Brentano, consciente ou non, semble importante. Comment démêler ce qui relève de la "vision" et ce qui est rédaction personnelle de l'écrivain ?
Les aléas de leur publication ne simplifient pas le discernement. "Une étude critique du texte reste encore à faire" concluait d'ailleurs Joachim Bouflet, un des spécialistes d'A.C. Emmerich, dans son avant-propos à la réédition récente de la "Vie de la Vierge Marie"
L'appréciation objective des visions d'A.C. Emmerich est délicate.
Clemens Brentano et, à sa suite, K.E. Schmöger, Th. Wegener, J. Niessen et d'autres, les considèrent sans hésiter comme d'authentiques révélations surnaturelles privées, en raison même des précisions topographiques qui semblaient alors ne pouvoir être connues autrement.
En revanche, d'autres y ont signalé des inexactitudes; mais cela ne préjuge en rien de l'authenticité des visions, distinctes de la façon dont elles sont rapportées.
L'étude des sources a permis de déceler de nombreux emprunts. Christian Brentano, le frère de Clemens, a consigné le fait dans ses notes au Journal de son frère.
Clemens a avoué l'influence des écrits de Martin de Cochem dans ''La douloureuse Passion''.
Les travaux de L. Stahl (1909), de H. Cardauns (1916) et de W. Hümpfner, ont montré ces influences sans équivoque possible.
Position de l'Église catholique.
Attribution des visions.
En 1927, la congrégation des Rites, prenant pour base les travaux de W. Hümpfner, renonçait à son tour à considérer les notes et la rédaction de Brentano comme des écrits d'A.C. Emmerich et à l'en rendre responsable.
C'est cette position que reprend le Cardinal José Saraiva Martins, préfet de la Congrégation pour les Causes des Saints lors de la Béatification d'Anne-Catherine Emmerich en Octobre 2004 par le Pape Jean-Paul II.
"La bienheureuse Anne-Catherine Emmerick, ne nous a laissé que trois lettres dont l’authenticité soit sûre.
Les autres écrits, qui lui sont attribués par erreur, ont des origines diverses: les “visions” de la Passion du Christ ont été annotées, réélaborées très librement et sans contrôle par l’écrivain allemand Clemens Brentano et ont été publiées en 1833 sous le titre ''La douloureuse Passion de Notre Seigneur Jésus-Christ''.
Les œuvres en discussion ne peuvent donc pas être considérées comme des œuvres écrites ou dictées par Anne-Catherine Emmerick ni comme des transcriptions fidèles de ses déclarations et de ses récits, mais comme une œuvre littéraire de Brentano qui a procédé à de telles amplifications et manipulations qu’il est impossible d’établir quel est le véritable noyau attribuable à la bienheureuse".
Cela n'empêche pas le Pape Jean-Paul de citer, dans le décret officiel de béatification,
"La Douloureuse Passion"
L'Église et les révélations privées.
La position de l'Église Catholique sur les révélations privées est rappelée dans les articles 66, 67 et 514 du Catéchisme de l'Église Catholique (1992).
Les deux premiers rappellent qu'elles ne sont pas une alternative à l'Évangile :
"Au fil des siècles il y a eu des révélations dites "privées", dont certaines ont été reconnues par l’autorité de l’Église.
Elles n’appartiennent cependant pas au dépôt de la Foi. Leur rôle n’est pas "d’améliorer" ou de "compléter" la Révélation définitive du Christ, mais d’aider à en vivre plus pleinement à une certaine époque de l’histoire".
Le troisième en souligne cependant tout l'intérêt : "Toute la vie du Christ est un mystère et […] Beaucoup de choses qui intéressent la curiosité humaine au sujet de Jésus ne figurent pas dans les Évangiles".
Il ne fait ainsi que reprendre ce que dit Jean à la fin de son évangile (Jean 20,30-31 et Jean 21,24-25).
Anne-Catherine Emmerich et les autres voyantes.
Les visions de scènes de l'Évangile n'est pas un cas réservé à la seule Anne-Catherine Emmerich.
De grandes saintes en ont bénéficié comme sainte Hildegarde de Bingen (1098-1179), sainte Angèle de Bohême (+ 1243), sainte Gertrude de Helfta (1256-1302), sainte Brigitte de Suède (1302-1373), sainte Thérèse d'Avila (1515-1582), sainte Marie-Madeleine de Pazzi (1568-1607), et d'autres. Mais elles ne fournissent que des visions limitées sur divers aspects de la vie de Jésus.
Trois voyantes ont reçu des visions complètes : la bienheureuse Marie d'Agréda (María Jesús de Ágreda; Lire1602-1665), la bienheureuse A.C. Emmerich et Maria Valtorta (1897-1961).
Toutes ces voyantes ont en commun d'avoir vu une très grande polémique autour de leur œuvre et d'avoir eu une vie de souffrance acceptée.
Mais alors que les visions de Marie d'Agréda ne concernent que la vie de la Vierge Marie (peu décrite dans l'Évangile), celles d'A.C. Emmerich embrassent pour la première fois aussi la vie de Jésus, sujet central de l'Évangile.
Elles sont aussi les premières à donner la prééminence à la narration historique sur les commentaires spirituels, au début d'un siècle qui ne demandait que cela.
Cela explique sans doute l'immense succès de ces œuvres, mais aussi la polémique qu'elles ont engendrée, comme d'ailleurs les œuvres des autres voyantes.
Un extrait peut permettre de juger de l'apport spécifique d'A.C. Emmerich : c'est celui de l'agonie de Jésus au Mont des Oliviers.
Dans cet extrait, publié du vivant de C. Brentano, l'extrême sensibilité d'A.C. Emmerich rend vivants et palpables l'angoisse de Jésus jusqu'à la sueur de sang (Luc 22,44) et les assauts pervers de la Tentation.
L'intérêt de l'œuvre de Maria Valtorta tient principalement en trois points :
1. Alors que les visions de Marie d'Agréda, concernent la vie de Marie, peu connue des Évangiles, celles de Maria Valtorta, comme d'ailleurs celles d'Anne-Catherine Emmerich, relatent en plus la vie de Jésus, autrement dit l'Évangile.
L'œuvre de Maria Valtorta est si précise dans cette relation qu'une concordance exacte a pu être établie entre les quatre Évangiles et l'œuvre de Maria Valtorta.
2. Alors que les visions de Marie d'Agreda souffrent d'une narration tardive (à plus de trente ans de distance) et que celles d'Anne-Catherine Emmerich souffrent d'une narration indirecte (Clemens Brentano et ses héritiers), celles de Maria Valtorta sont retranscrites immédiatement et directement après les visions.
3. Enfin, plus encore qu'Anne-Catherine Emmerich, Maria Valtorta rapportent la vision historique des scènes d'Évangile, sans interférer dans leur narration. Les enseignements (de Jésus) sont distincts et rapportés dans la série des trois "Cahiers".
Les stigmates.
Dès 1799, Anne-Catherine ressent les douleurs de la couronne d'épines; le sang coule chaque vendredi, mais elle réussit à le dissimuler.
En automne 1807, commencent les douleurs des stigmates aux pieds et aux mains, sans écoulement de sang ni marque extérieure.
Le 25 novembre 1812, une croix se forme sur la poitrine; cette croix, qui se doublait à Noël, saignait ordinairement le mercredi.
Les derniers jours de 1812, les stigmates des mains, des pieds et du côté deviennent apparents; le sang coule.
Aucune vision n'accompagne la stigmatisation, comme A.C. Emmerich l'affirmera sous serment aux enquêteurs ecclésiastiques.
Par l'indiscrétion d'une sœur, qui découvre les plaies des mains le 28 février 1813, ces phénomènes arrivent à la connaissance de la ville.
Le médecin de Dülmen, le Docteur Franz Wesener (1782-1832), qui rendit visite à la malade en vue de la "démasquer", fut l'objet (comme, après lui, le Dr Druffel et d'autres) d'une preuve impressionnante de sa cardiognosis.
Le 25 mars, le vicaire général Clemens Auguste von Droste-Vischering (1773-1845), futur Archevêque de Cologne, vint accompagné du Dr Druffel et du supérieur du séminaire Bernard Overberg (1754-1826).
Le Dr Krauthausen ancien médecin du couvent, tenta de traiter les blessures, mais sans succès; il fut également chargé d'une surveillance médicale assidue.
Le jeûne perpétuel.
Une surveillance étroite pendant dix jours (10-19 juin) confirma l'écoulement du sang des stigmates et le jeûne perpétuel.
Depuis l'apparition des stigmates, en effet, l'appétit avait disparu, sans que cela soit en rapport avec une maladie quelconque; bientôt A.C. Emmerich ne consomma plus que de l'eau.
Par la suite, une enquête gouvernementale (5-29 août 1819) ne put apporter les preuves d'aucune supercherie.
Le Docteur Franz Wesener se chargea des soins médicaux. Son Journal, rédigé consciencieusement de mars 1813 à novembre 1819, ainsi que l'Histoire abrégée qu'il écrivit l'année de la mort d'Anne-Catherine pour une revue médicale, constituent "une source rare pour l'étude psychologico-religieuse et médicale de la stigmatisation et des phénomènes analogues".
La hiérognosie.
Docteur Franz Wesener, le premier, relate, chez A.C. Emmerich, de nombreux cas de hiérognosie.
Dès 1817, Christian Brentano avait, en effet, découvert, comme s'en étaient déjà aperçus l'abbé Lambert et le P. Limberg, l'extrême sensibilité de la stigmatisée au sacré, surtout pendant ses extases, qu'il s'agisse d'authentifier des reliques, de reconnaître des hosties consacrées ou d'obéir aux ordres de l'autorité ecclésiastique.
Clément Brentano, de son côté, rendit le Docteur Franz Wesener attentif au fait que la stigmatisée acceptait volontairement de prendre sur elle maladies et souffrances d'autrui.
Dans son Histoire abrégée, le docteur s'en explique. "Ce n'est qu'au cours des deux dernières années de sa vie que j'ai compris ses souffrances mystérieuses.
La plupart de ses maladies, en effet, étaient l'acceptation spontanée de souffrances de ses amis, qui lui avaient confié leurs soucis et se recommandaient à ses prières.
Dans ses extases elle s'exprimait clairement là-dessus, indiquant la plupart du temps le moment où son intervention se terminerait".
Une religieuse malade d'une grave tuberculose des poumons et du larynx demanda à Anne-Catherine Emmerich d'intercéder auprès de Dieu et se retrouva guérie d'une manière inexplicable.
D'autres cas de guérison subite et simultanée auraient été attestés.
Les visions et les écrits de Clemens Brentano.
La plupart des visions d'A.C. Emmerich lui ont été attribuées par Clemens Brentano.
Ces ouvrages racontent la vie et la Passion du Christ et la vie de la Vierge d'après le récit, quasi-journalier, d'A.C. Emmerich, fait à Brentano de 1818 à 1824.
Non seulement elle a vu la Passion du Sauveur, mais pendant trois ans, elle l'a suivi dans tous ses voyages à travers la Palestine et hors de la Palestine.
La nature du sol, les fleuves, les montagnes, les forêts, les habitants, leurs mœurs, tout a passé sous ses regards dans des images claires et distinctes.
En outre, elle pouvait plonger son regard dans un passé bien plus éloigné (Adam et Ève) et embrasser l'histoire entière.
Le travail considérable de Clemens Brentano, 16.000 feuillets de notes diverses, parut en trois fois :
en 1833, neuf ans après la mort d'A.C. Emmerich, "La douloureuse Passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ" (Das bittere Leiden unsers Herrn Jesu Christus), précédée d'une esquisse biographique de la stigmatisée.
en 1852 "La vie de la Vierge Marie" (Leben der heiligen Jungfrau Maria) : l'impression commencée fut interrompue par la mort de Clemens (1842), remaniée et poursuivie par son frère Christian, mort en 1851, et achevée par sa belle-sœur, dix ans après la mort de Clemens.
en 1858-1860, six ans plus tard, les trois volumes de "La vie de Notre-Seigneur et Sauveur Jésus-Christ", (Das Leben unsers Herrn und Heilandes Jesu Christi) publiés par le rédemptoriste K. E. Schmöger d'après les manuscrits de Brentano, profondément remaniés et amendés.
La polémique.
On ne peut négliger de souligner la différence d'un titre à l'autre : "d'après les méditations" dit Clemens Brentano (''Nach den Betrachtungen der gottselingen A.K. Emmerick'') dans le premier ouvrage; "d'après les visions" imprime K.E. Schmöger en tête du dernier (''Nach den Gesichten der gottselingen A.K. Emmerick…aufgeschrieben von C. Brentano'').
Malheureusement, ses "méditations" ou ses "visions" brodent considérablement sur la trame et le texte des évangiles; elles ajoutent faits, discours et attitudes qui semblent provenir d'apocryphes ou de légendes hagiographiques.
La part de Brentano, consciente ou non, semble importante. Comment démêler ce qui relève de la "vision" et ce qui est rédaction personnelle de l'écrivain ?
Les aléas de leur publication ne simplifient pas le discernement. "Une étude critique du texte reste encore à faire" concluait d'ailleurs Joachim Bouflet, un des spécialistes d'A.C. Emmerich, dans son avant-propos à la réédition récente de la "Vie de la Vierge Marie"
L'appréciation objective des visions d'A.C. Emmerich est délicate.
Clemens Brentano et, à sa suite, K.E. Schmöger, Th. Wegener, J. Niessen et d'autres, les considèrent sans hésiter comme d'authentiques révélations surnaturelles privées, en raison même des précisions topographiques qui semblaient alors ne pouvoir être connues autrement.
En revanche, d'autres y ont signalé des inexactitudes; mais cela ne préjuge en rien de l'authenticité des visions, distinctes de la façon dont elles sont rapportées.
L'étude des sources a permis de déceler de nombreux emprunts. Christian Brentano, le frère de Clemens, a consigné le fait dans ses notes au Journal de son frère.
Clemens a avoué l'influence des écrits de Martin de Cochem dans ''La douloureuse Passion''.
Les travaux de L. Stahl (1909), de H. Cardauns (1916) et de W. Hümpfner, ont montré ces influences sans équivoque possible.
Position de l'Église catholique.
Attribution des visions.
En 1927, la congrégation des Rites, prenant pour base les travaux de W. Hümpfner, renonçait à son tour à considérer les notes et la rédaction de Brentano comme des écrits d'A.C. Emmerich et à l'en rendre responsable.
C'est cette position que reprend le Cardinal José Saraiva Martins, préfet de la Congrégation pour les Causes des Saints lors de la Béatification d'Anne-Catherine Emmerich en Octobre 2004 par le Pape Jean-Paul II.
"La bienheureuse Anne-Catherine Emmerick, ne nous a laissé que trois lettres dont l’authenticité soit sûre.
Les autres écrits, qui lui sont attribués par erreur, ont des origines diverses: les “visions” de la Passion du Christ ont été annotées, réélaborées très librement et sans contrôle par l’écrivain allemand Clemens Brentano et ont été publiées en 1833 sous le titre ''La douloureuse Passion de Notre Seigneur Jésus-Christ''.
Les œuvres en discussion ne peuvent donc pas être considérées comme des œuvres écrites ou dictées par Anne-Catherine Emmerick ni comme des transcriptions fidèles de ses déclarations et de ses récits, mais comme une œuvre littéraire de Brentano qui a procédé à de telles amplifications et manipulations qu’il est impossible d’établir quel est le véritable noyau attribuable à la bienheureuse".
Cela n'empêche pas le Pape Jean-Paul de citer, dans le décret officiel de béatification,
"La Douloureuse Passion"
L'Église et les révélations privées.
La position de l'Église Catholique sur les révélations privées est rappelée dans les articles 66, 67 et 514 du Catéchisme de l'Église Catholique (1992).
Les deux premiers rappellent qu'elles ne sont pas une alternative à l'Évangile :
"Au fil des siècles il y a eu des révélations dites "privées", dont certaines ont été reconnues par l’autorité de l’Église.
Elles n’appartiennent cependant pas au dépôt de la Foi. Leur rôle n’est pas "d’améliorer" ou de "compléter" la Révélation définitive du Christ, mais d’aider à en vivre plus pleinement à une certaine époque de l’histoire".
Le troisième en souligne cependant tout l'intérêt : "Toute la vie du Christ est un mystère et […] Beaucoup de choses qui intéressent la curiosité humaine au sujet de Jésus ne figurent pas dans les Évangiles".
Il ne fait ainsi que reprendre ce que dit Jean à la fin de son évangile (Jean 20,30-31 et Jean 21,24-25).
Anne-Catherine Emmerich et les autres voyantes.
Les visions de scènes de l'Évangile n'est pas un cas réservé à la seule Anne-Catherine Emmerich.
De grandes saintes en ont bénéficié comme sainte Hildegarde de Bingen (1098-1179), sainte Angèle de Bohême (+ 1243), sainte Gertrude de Helfta (1256-1302), sainte Brigitte de Suède (1302-1373), sainte Thérèse d'Avila (1515-1582), sainte Marie-Madeleine de Pazzi (1568-1607), et d'autres. Mais elles ne fournissent que des visions limitées sur divers aspects de la vie de Jésus.
Trois voyantes ont reçu des visions complètes : la bienheureuse Marie d'Agréda (María Jesús de Ágreda; Lire1602-1665), la bienheureuse A.C. Emmerich et Maria Valtorta (1897-1961).
Toutes ces voyantes ont en commun d'avoir vu une très grande polémique autour de leur œuvre et d'avoir eu une vie de souffrance acceptée.
Mais alors que les visions de Marie d'Agréda ne concernent que la vie de la Vierge Marie (peu décrite dans l'Évangile), celles d'A.C. Emmerich embrassent pour la première fois aussi la vie de Jésus, sujet central de l'Évangile.
Elles sont aussi les premières à donner la prééminence à la narration historique sur les commentaires spirituels, au début d'un siècle qui ne demandait que cela.
Cela explique sans doute l'immense succès de ces œuvres, mais aussi la polémique qu'elles ont engendrée, comme d'ailleurs les œuvres des autres voyantes.
Un extrait peut permettre de juger de l'apport spécifique d'A.C. Emmerich : c'est celui de l'agonie de Jésus au Mont des Oliviers.
Dans cet extrait, publié du vivant de C. Brentano, l'extrême sensibilité d'A.C. Emmerich rend vivants et palpables l'angoisse de Jésus jusqu'à la sueur de sang (Luc 22,44) et les assauts pervers de la Tentation.
L'intérêt de l'œuvre de Maria Valtorta tient principalement en trois points :
1. Alors que les visions de Marie d'Agréda, concernent la vie de Marie, peu connue des Évangiles, celles de Maria Valtorta, comme d'ailleurs celles d'Anne-Catherine Emmerich, relatent en plus la vie de Jésus, autrement dit l'Évangile.
L'œuvre de Maria Valtorta est si précise dans cette relation qu'une concordance exacte a pu être établie entre les quatre Évangiles et l'œuvre de Maria Valtorta.
2. Alors que les visions de Marie d'Agreda souffrent d'une narration tardive (à plus de trente ans de distance) et que celles d'Anne-Catherine Emmerich souffrent d'une narration indirecte (Clemens Brentano et ses héritiers), celles de Maria Valtorta sont retranscrites immédiatement et directement après les visions.
3. Enfin, plus encore qu'Anne-Catherine Emmerich, Maria Valtorta rapportent la vision historique des scènes d'Évangile, sans interférer dans leur narration. Les enseignements (de Jésus) sont distincts et rapportés dans la série des trois "Cahiers".
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Marie du 85- Messages : 423
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- Message n°61
Re: LE SAINT DU JOUR !!
Samedi 10 Février 2018
Fête de la Vénérable Madeleine de Jésus, Religieuse Passioniste italienne (1888- 1960).
Fête de la Vénérable Madeleine de Jésus, Religieuse Passioniste italienne (1888- 1960).
Vénérable Madeleine de Jésus
Religieuse Passioniste italienne ( 1960)
Décret du 3 Avril 2014Ici relatif aux vertus héroïques de la servante de Dieu Maria Maddalena de Jésus Sacrement (Maria Giuseppina Teresa Marcucci 1888 - 1960), Religieuse italienne de la Congrégation de la Passion.
Née Marie-Joséphine le 24 Avril 1888 près de Lucques, Fondatrice de deux Monastères en Espagne et Co-Fondatrice de trois autres.
Elle prend le nom de Maddalena di Gesù (Marie-Madeleine de Jésus dans le Saint Sacrement) le 27 Juin 1907 jour de son entrée chez les Passionistes.
Grande mystique, elle a en particulier œuvré pour la connaissance de Sainte Gemma Galgani et le développement de son Sanctuaire à Lucques.Lire
Son autobiographie 'Apôtre de l'Amour' est décrite comme 'l'ouvrage le plus élevé qui ait jamais été écrit à propos de l'Amour de Dieu pour ses créatures'
Elle est morte le 10 Février 1960 à Madrid.
En italien:
- Mère Madeleine Marcucci, l'apôtre de la saintetéLire
- Introduction de l'édition italienne de l'autobiographie de Maria Maddalena MarcucciLire
Religieuse Passioniste italienne ( 1960)
Décret du 3 Avril 2014Ici relatif aux vertus héroïques de la servante de Dieu Maria Maddalena de Jésus Sacrement (Maria Giuseppina Teresa Marcucci 1888 - 1960), Religieuse italienne de la Congrégation de la Passion.
Née Marie-Joséphine le 24 Avril 1888 près de Lucques, Fondatrice de deux Monastères en Espagne et Co-Fondatrice de trois autres.
Elle prend le nom de Maddalena di Gesù (Marie-Madeleine de Jésus dans le Saint Sacrement) le 27 Juin 1907 jour de son entrée chez les Passionistes.
Grande mystique, elle a en particulier œuvré pour la connaissance de Sainte Gemma Galgani et le développement de son Sanctuaire à Lucques.Lire
Son autobiographie 'Apôtre de l'Amour' est décrite comme 'l'ouvrage le plus élevé qui ait jamais été écrit à propos de l'Amour de Dieu pour ses créatures'
Elle est morte le 10 Février 1960 à Madrid.
En italien:
- Mère Madeleine Marcucci, l'apôtre de la saintetéLire
- Introduction de l'édition italienne de l'autobiographie de Maria Maddalena MarcucciLire
Source
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Ven Maddalena Marcucci
Le 03 Avril 2014, Maddalena Marcucci a été déclarée "Vénérable" par le Pape François.
Maddalena Marcucci est née en 1888 près de Lucques (Italie).
Elle est la troisième d'une famille de 4 filles.
En grandissant, tandis que ses amies commençaient à devenir coquettes, elle fut préservée de cette inclination par une voix intérieure qui lui dit :
"Laisse les amies. Dieu a pour toi d'autres projets".
A 19 ans, elle entre chez les Moniales Passionistes de Lucques, où elle prend le nom de Marie-Madeleine de Jésus Saint-Sacrement.
Son comportement est si exemplaire que la supérieure l'envoie en 1913 au Mexique, pour fonder un nouveau Monastère avec 5 autres Religieuses.
Après avoir passé trois années au Mexique, elle revient en Europe où, en Espagne, elle fonde un Monastère à Deutz (Bilbao).
En 1922, elle rencontre le P. Arintero, Religieux Dominicain, qui devient son directeur spirituel, et lui demande de collaborer à la revue La Vida Sobrenatural (la vie surnaturelle), qu'il a fondée un an plus tôt.
Jusqu'à la fin de sa vie, elle y écrira sous le pseudonyme de "Jesus Pastor".
La plupart des écrits de Maddalena Marcucci concernent le thème de l'Amour Divin.
La mort de la supérieure des Moniales de Lucques, Madre Maria Giuseppa Armellini, laisse le Monastère sans Religieuse capable d'en prendre la tête.
De plus, la construction du Sanctuaire dédié à Gemma Galgani, et du nouveau Monastère attenant, est lancée.
Les Sœurs de Lucques tentent vainement d'obtenir du Monastère de Deutz qu’il lui envoie Sœur Maddalena.
C'est le Saint-Siège qui finit par ordonner à Sœur Maddalena d’aller assumer à Lucques la charge de supérieure : elle y arrive en 1935, et mène sa mission à bonne fin.
Mais c’est aussi le début de ses problèmes : pour avoir refusé de céder la propriété du Sanctuaire, qui devait être érigé en paroisse, elle se retrouve en délicatesse avec l'Archevêque.
Certaines Sœurs, mécontentes et jalouses, la dénoncent comme "hérétique" ; et l'Archevêque la destitue aussitôt de ses fonctions.
Nous sommes à quelques jours de l'inauguration du nouveau Sanctuaire ! Elle revient en Espagne en 1941, à Madrid, où elle fonde un autre Monastère.
C'est là qu'elle meurt en 1960 à l'âge de 72 ans.
Au début de son Autobiographie, elle résume ainsi sa vocation :
"Je suis née pour aimer Dieu, et pour le faire aimer".
Elle y est parvenue !
Le 03 Avril 2014, Maddalena Marcucci a été déclarée "Vénérable" par le Pape François.
Maddalena Marcucci est née en 1888 près de Lucques (Italie).
Elle est la troisième d'une famille de 4 filles.
En grandissant, tandis que ses amies commençaient à devenir coquettes, elle fut préservée de cette inclination par une voix intérieure qui lui dit :
"Laisse les amies. Dieu a pour toi d'autres projets".
A 19 ans, elle entre chez les Moniales Passionistes de Lucques, où elle prend le nom de Marie-Madeleine de Jésus Saint-Sacrement.
Son comportement est si exemplaire que la supérieure l'envoie en 1913 au Mexique, pour fonder un nouveau Monastère avec 5 autres Religieuses.
Après avoir passé trois années au Mexique, elle revient en Europe où, en Espagne, elle fonde un Monastère à Deutz (Bilbao).
En 1922, elle rencontre le P. Arintero, Religieux Dominicain, qui devient son directeur spirituel, et lui demande de collaborer à la revue La Vida Sobrenatural (la vie surnaturelle), qu'il a fondée un an plus tôt.
Jusqu'à la fin de sa vie, elle y écrira sous le pseudonyme de "Jesus Pastor".
La plupart des écrits de Maddalena Marcucci concernent le thème de l'Amour Divin.
La mort de la supérieure des Moniales de Lucques, Madre Maria Giuseppa Armellini, laisse le Monastère sans Religieuse capable d'en prendre la tête.
De plus, la construction du Sanctuaire dédié à Gemma Galgani, et du nouveau Monastère attenant, est lancée.
Les Sœurs de Lucques tentent vainement d'obtenir du Monastère de Deutz qu’il lui envoie Sœur Maddalena.
C'est le Saint-Siège qui finit par ordonner à Sœur Maddalena d’aller assumer à Lucques la charge de supérieure : elle y arrive en 1935, et mène sa mission à bonne fin.
Mais c’est aussi le début de ses problèmes : pour avoir refusé de céder la propriété du Sanctuaire, qui devait être érigé en paroisse, elle se retrouve en délicatesse avec l'Archevêque.
Certaines Sœurs, mécontentes et jalouses, la dénoncent comme "hérétique" ; et l'Archevêque la destitue aussitôt de ses fonctions.
Nous sommes à quelques jours de l'inauguration du nouveau Sanctuaire ! Elle revient en Espagne en 1941, à Madrid, où elle fonde un autre Monastère.
C'est là qu'elle meurt en 1960 à l'âge de 72 ans.
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"Je suis née pour aimer Dieu, et pour le faire aimer".
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