Ces trois modestes objets religieux — ou sacramentaux — recèlent une force étonnante et sont susceptibles de protéger efficacement le foyer.
L’utilisation d’objets bénits est l’une des pratiques propres à l’Église catholique les plus controversées et les plus sujettes à la moquerie. Ces gestes, aussi anciens que l’Église, sont souvent considérés comme d’archaïques superstitions.
Et les fidèles sont bien souvent responsables de cette réputation, pour avoir effectivement souvent recours à ces objets de manière superstitieuse, faute d’avoir été correctement formés pour saisir le sens profond de cette démarche.
C’est la raison pour laquelle ces objets sont trop souvent utilisés comme des instruments magiques, plutôt que comme des vecteurs de la Grâce. Un phénomène d’autant plus regrettable qu’ils sont censés enrichir la vie spirituelle, et non l’atrophier.
Les objets bénits ont en effet été institués par l’Église pour nourrir en chacun une relation toujours plus intime avec le Christ et pour sanctifier toutes les dimensions de l’existence. Ce sont les extensions des sept sacrements et ils apportent la grâce de Dieu en toute action.
Ces objets sont particulièrement utiles dans l’enceinte du foyer. Utilisés avec foi, ils peuvent aider à repousser le mal ou aider chacun à vivre une vie toujours plus proche de Dieu. Voici les trois plus connus d’entre eux qui, utilisés à bon escient, seront de véritable catalyseurs spirituels, indispensables pour tenir à l’écart le mal qui rôde.
Suite de ce beau texte en entier : Les trois objets bénits indispensables à la maison - Aleteia
par Philip Kosloski
Ici au Québec, si j'allais voir un prêtre pour lui demander du sel bénit, je crois qu'il me regarderait comme un extraterrestre !!! Je crois que notre clergé ne connait pas cela. À moins de contacter une église de la tradition.
Et chez vous en France, est-ce que les prêtres conservent ce sel bénit si les fidèles en demandent ?