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    Facebook peut-il causer la dépression ?

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    Facebook peut-il causer la dépression ? Empty Facebook peut-il causer la dépression ?

    Message par Invité Mar 23 Oct 2018 - 1:23

    Facebook peut-il causer la dépression ? Jbareham_180405_1777_facebook_0001.0

    Une étude établit un lien entre l'utilisation intensive du réseau social et des symptômes de dépression

    Avez-vous déjà eu l’impression que votre vie est ennuyeuse ou que vous n’en profitez pas suffisamment lorsque vous parcourez votre fil d’actualité Facebook ? Vous êtes-vous déjà sentis nuls ou déprimés en regardant les photos, vidéos et autres réalisations de vos amis sur Facebook ?

    Si la réponse à au moins une de ces questions est oui, alors les résultats de cette étude de psychologie reflètent en quelque sorte la réalité. En effet, une étude de psychologie sociale réalisée par un chercheur de l’université de Houston (HU) s’est intéressée à l’impact de l’utilisation du réseau de Mark Zuckerberg sur la santé mentale des utilisateurs. L’étude a fini par révéler qu’il existe des liens pertinents entre le temps passé sur Facebook et des symptômes de dépression chez les internautes.

    Toutefois, selon le chercheur Mai-Ly Steers – candidat au doctorat en psychologie – un autre facteur entre également en considération, celui des comparaisons que les utilisateurs font entre leur propre vie et celles de leurs amis virtuels sur Facebook. Autrement dit, le lien entre le temps passé sur le réseau social bleu et les symptômes de dépression transitait par le fait que les utilisateurs effectuent en permanence des comparaisons entre leur vie et celles de leurs amis sur Facebook.

    L’étude a été menée sur deux échantillons différents. Et pour les deux groupes, cette relation a été confirmée, même si pour l’un des groupes étudiés, le lien via les comparaisons sociales a été prouvé seulement chez le sexe masculin.

    Steers explique ces résultats par le fait que Facebook donne une réalité biaisée de la vie des utilisateurs. Les « facebookers » n’ont tendance qu’à montrer les meilleurs moments de leur vie en ligne tout en mettant de côté tous les moments difficiles. Et étant donné que Facebook nous informe en permanence des activités de nos amis, on ne peut systématiquement pas s’empêcher de se comparer à ces derniers. En d’autres termes, nous comparons notre vie, avec tous nos hauts et bas, aux meilleurs moments de la vie de nos amis sur Facebook. Bien évidemment, la comparaison est biaisée et cela « peut nous amener à penser que leurs vies valent mieux que ce qu'elles sont réellement » et « nous faire sentir encore plus mal à propos de nos propres vies. »

    Pour les personnes souffrant de difficultés émotionnelles, ce sera encore plus difficile. Elles peuvent être particulièrement sensibles aux symptômes dépressifs dus à la comparaison sociale sur Facebook, après avoir passé plus de temps sur le réseau. Cette vision déformée de la vie de leurs amis peut leur faire croire qu’elles sont les seules à traverser des moments difficiles, et par ricochet aggraver leur sentiment de solitude et d'isolement.

    Steers conclut donc que « l'action de se comparer aux autres est socialement liée aux émotions destructrices à long terme. Tout bénéfice acquis à faire des comparaisons sociales est temporaire et s'engager dans la comparaison sociale fréquente de toute sorte peut être lié à la baisse du bien-être ». Toutefois, le chercheur en psychologie précise que « cela ne signifie pas que Facebook provoque la dépression, mais que les sentiments de dépression et beaucoup de temps sur Facebook, et se comparer à d'autres ont tendance à aller de pair ».

    « Bien que les processus de comparaison sociale aient été examinés en détail dans des contextes traditionnels, la littérature ne fait que commencer à explorer des comparaisons sociales en milieu de réseautage social en ligne», a déclaré Steers. Le chercheur espère seulement que les résultats de son étude aideront les gens à comprendre que le progrès technologique est un couteau à double tranchant. La candidate au doctorat en psychologie espère également que cela permettra de guider les politiques dans la réduction de l'utilisation de Facebook chez les personnes à risque de dépression.


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    Message par Invité Mar 23 Oct 2018 - 17:18

    Facebook peut-il causer la dépression ? Facebook-depression

    Facebook augmenterait les risques de dépression !

    Si vous êtes un fou des réseaux sociaux cette information pourrait bien vous faire ralentir la cadence. Selon une étude, consulter trop souvent les réseaux sociaux et notamment Facebook, augmenterait les risques de dépression.

    Selon une étude publiée dans le Journal of Social and Clinical Psychology, parcourir un peu trop souvent son fil Facebook pourrait favoriser les risques de dépression. Non non ce n’est pas une blague.

    Selon l’auteure de l’étude menée sur 300 étudiants, Mai-Ly Steers, les utilisateurs du réseau social de Mark Zuckerberg qui ont tendance à consulter souvent les photos et fils d’actualités de leurs amis ont davantage de risques de dépression que ceux qui n’utilisent pas le réseau social.

    Pourquoi ? Parce que les photos, vidéos et statuts partagés par nos amis Facebook mettent en avant la plupart du temps les évènements les plus palpitants de leur vie. Et ces images, dépourvues de tous les problèmes du quotidien nous donnent la sensation d’avoir une vie moins intéressante que celle de nos amis. En gros, selon l’étude, plus on consulte Facebook et plus on a l’impression d’avoir une vie de m****.

    Cela ne signifie pas que Facebook cause la dépression, mais plutôt que les sentiments de dépression sont intimement associés à beaucoup de temps passé sur Facebook et au fait de se comparer avec ses amis. (…) Le danger c’est que Facebook nous divulgue souvent de l’information à propos de nos amis qui nous serait inconnus en temps normal, ce qui nous offre encore plus d’occasions pour se comparer socialement. – Mai-Ly Steers, responsable de l’étude –

    En fait, c’est le fait de se comparer plus souvent à ses amis qui augmenterait les risques de dépression. D’autant plus que nous consultons de plus en plus souvent nos smartphones, et notamme le réseau social. Dès que l’on a un temps mort on a tendance à avoir le réflexe Facebook, pour combler le vide.

    Ce n’est pas la première étude sur le sujet, alors vous êtes prévenus, levez le pied sur les réseaux (on pourrait appliquer le même principe à des réseaux sociaux comme Instagram ou Snapchat) si vous ne voulez pas augmenter vos risques de dépression. A moins que vos amis se contentent de publier des photos de leurs repas, de leurs chats ou des différents exploits de leurs nouveaux nés. Dans ce cas ça devrait aller.

    Facebook peut-il causer la dépression ? CWgLbgmOHwDBVzBDBBfwB8MYxq12HPzg7WPNLBuDMMVnnOEfTBXM0cJiJmAxD+tzYXMPLmXwxj1+0oN314Gl0D7D2zIMWwQ8BiMbLuMaq8DsndH3WAiCIAiCIAiCIAiCIAiCIAiCIAiCIAiCIP4v+R8k6dACjiNqAgAAAABJRU5ErkJggg==Facebook peut-il causer la dépression ? 32a893927c6bd17442bc3b83ac359281?s=120&d=mm&r=gpar Romain Vitt
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    Facebook peut-il causer la dépression ? Empty Re: Facebook peut-il causer la dépression ?

    Message par Invité Ven 26 Oct 2018 - 20:40

    Facebook peut-il causer la dépression ? Http%3A%2F%2Fi.huffpost.com%2Fgen%2F3906006%2Fimages%2Fn-FACEBOOK-FRIENDS-628x314

    Vous avez plus de 150 amis sur Facebook? Ce ne sont pas des "vrais"

    RÉSEAUX SOCIAUX - Contrairement aux idées reçues, les réseaux sociaux en ligne ne nous permettent pas d'avoir plus d'amis selon une étude publiée mercredi dans le journal Royal Society Open Science.

    Le nombre maximum de personnes avec lesquels nous pouvons entretenir des relations sincères et fortes tourne autour de 150. Ce chiffre a été défini par le britannique Robin Dunbar, également auteur de cette étude, et serait lié à la taille de notre cerveau.

    A cette limite physiologique, s'ajoutent des impératifs de temps car entretenir de vraies relations amicales est chronophage.

    Pas plus de 5 amis intimes

    Ainsi, nos connaissances peuvent être classées par niveau d'affinité: amis intimes, meilleurs amis, bons amis, amis, connaissances, et enfin les personnes que nous connaissons de vue.

    Selon l'étude, ces groupes ont été évalués et se composent respectivement de 5, 15, 50, 150, 500 et 1.500 personnes.

    "Les amis (évalués à 150) représentent des personnes avec lesquels nous avons de vraies relations, avec qui nous avons développé des obligations mutuelles", explique à l’AFP Robin Dunbar, professeur de psychologie à l'université d'Oxford.

    Ce chiffre peut varier mais faiblement. "C'est comme si nous avions chacun une quantité limitée de capital social et que nous pouvions choisir d'en investir moins mais avec plus de gens ou plus mais avec moins de gens, mais sans pouvoir dépasser cette quantité", explique le chercheur.

    Les réseaux sociaux ne changeraient rien à ça

    En théorie, les réseaux sociaux qui se développent sur internet devraient limiter les contraintes de temps et d'espace et nous permettre de maintenir des réseaux beaucoup plus importants.

    Or deux enquêtes distinctes réalisées au Royaume-Uni prouvent le contraire. Amitiés en ligne ou en chair et en os, le nombre en est limité à 150.

    Selon l'étude, les nouveaux outils de communication (comme Twitter ou Facebook) facilitent l’entretien des liens amicaux mais ne permettent pas de dépasser le nombre de Dunbar.

    Et de toute façon, pour que les amitiés "en ligne" soient durables, il faut se voir de temps en temps.

    "Les gens peuvent avoir 500 ou même 1000 amis sur Facebook, mais cela englobe des personnes que nous aurions normalement appelées des connaissances ou des individus que nous connaissons simplement de vue", note Robin Dunbar.

    "Et, passer les 200 premiers, nous pouvons nous demander à quel point ces personnes connaissent leurs amis", estime-t-il.

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    Message par Invité Dim 28 Oct 2018 - 17:28

    Facebook peut-il causer la dépression ? 14654506

    "J'ai vu ressurgir tout ce que je détestais dans l'internet des années 2000" : ils expliquent pourquoi ils ont quitté Facebook

    Au moment où le réseau social est au cœur d'un nouveau scandale, certains de ses utilisateurs ont décidé de sauter le pas. Ils livrent leur témoignage à franceinfo.

    "J'ai supprimé mon compte Facebook hier." Albert, un internaute de franceinfo qui a répondu à notre appel à témoignages, a franchi le pas. Il a quitté le réseau social de Mark Zuckerberg, sous le feu des critiques après la divulgation de données personnelles de 50 millions d'utilisateurs et leur possible utilisation dans le cadre de la campagne présidentielle aux Etats-Unis. "Je n'ai aucune confiance dans cette entreprise qui se permet de vendre nos informations personnelles. Voilà le 'business model' de Facebook", critique Albert. "J'ai supprimé mon compte à la suite du scandale Cambridge Analytica. Je ne veux plus rien avoir affaire avec ce réseau soi-disant social, qui prend ses abonnés pour des pigeons", renchérit un internaute anonyme.

    Pour Olive, cette nouvelle affaire concernant Facebook a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. "Cela fait plusieurs semaines que je me posais la question de me retirer de Facebook. Si vous mettez dans la balance les amis (et ceux qui n'en sont pas), les informations (et les fake news), les nouvelles de vos connaissances (et le voyeurisme social), eh bien l'équilibre n'y est pas, juge-t-elle. Le scandale des vols de données a fini de me décider."

    Une vie privée mise à mal

    Mais la plupart des repentis de Facebook avec lesquels franceinfo a pu entrer en contact s'en sont détournés avant même l'affaire Cambridge Analytica. Le respect de la vie privée revient souvent parmi les raisons qui les ont poussés à s'en aller.

    Florian, 24 ans, a ainsi claqué la porte de Facebook il y a un mois, gêné que ses collègues de travail prennent un malin plaisir à regarder son profil "de façon très malveillante".

    Régulièrement, les suggestions du réseau social l'invitant à "partager un souvenir" posté il y a plusieurs années lui ont fait prendre conscience que certaines photos ou vidéos postées lorsqu'il était adolescent étaient devenues difficiles à assumer.

    J'ai utilisé les réseaux sociaux à un âge où je n'avais aucun recul et j'ai littéralement publié ma vie. (...) On m’a filmé et pris en photo sans mon consentement plusieurs fois et mes bêtises sont gravées sur les timelines.Florian, 24 ansà franceinfo

    Victime de harcèlement scolaire lorsqu'elle était au collège et au lycée, Mathilde a continué à vivre son calvaire via Facebook, où ses harceleurs l'ont retrouvée des années plus tard, "malgré les pseudonymes" qu'elle utilisait. De guerre lasse, elle a décidé de quitter le réseau il y a trois ans.

    Un réseau "voyeuriste" et "narcissique"

    Pour protéger sa vie privée sur Facebook, il est possible de régler ses paramètres de confidentialité. Mais c'est une besogne trop complexe pour Marie, qui passait son temps à devoir "supprimer des 'amis' inconnus" qui se présentaient sur son mur ou "empêcher des notifications intempestives". Elle a raccroché il y a tout juste un mois.

    Les questions de vie privée ne sont pas les seules à gêner certains utilisateurs. Yon explique ainsi avoir quitté Facebook à cause de "ce voyeurisme où tout le monde s'expose, sans intimité, sans limite". C'est la course à la popularité, au nombre d'amis et de "likes" qui a décidé une autre internaute (anonyme), à supprimer Facebook en 2015. "J'ai déjà entendu des personnes se moquer d'une autre car elle avait eu peu de messages 'Joyeux anniversaire' sur son mur", raconte-t-elle.

    "Je faisais défiler le fil d'actualité de manière automatique, presque inconsciente, explique pour sa part Davina, 25 ans, qui a coupé tout lien avec Facebook l'année dernière. Je ne postais pas grand-chose donc ça ressemblait plus à du voyeurisme. J'étais parfois choquée de découvrir la vie de 'mes vrais amis' sur Facebook. Les gens ne prennent parfois plus la peine de s'écrire, car après tout ils ont déjà 'tout dit' sur Facebook. (...) Je trouvais ce narcissisme malsain."

    "Des foires d'empoigne incessantes"

    Davina se rappelle aussi s'être retrouvée malgré elle au milieu de polémiques en tous genres, par exemple lors de la présidentielle de 2017 : "Il ne fallait pas critiquer certains candidats, sous peine de voir débarquer une armée de groupies. J'étais atterrée par certains commentaires de haine, de violence, là où il n'y avait à la base qu'une simple divergence d'idées politiques."

    Je me suis interdit de réagir parfois ou de publier, pour éviter des déferlements de commentaires abominables. Ce qui était censé être un formidable outil encourageant la liberté d'expression est devenu le lieu d'une triste autocensure.Davina, 25 ansà franceinfo

    L'envie de "débattre dans des groupes de discussion", c'est aussi ce que recherchait Céline, qui s'est désabonnée après huit années passées sur le réseau social. Mais cette femme de 47 ans a fini par "prendre conscience du bavardage vide et chronophage" que représente Facebook. "Au début on trouve cela super, au final, on le regrette. On a du mal à se reconnaître soi-même en quittant son ordinateur en fin de soirée, après une foire d'empoigne sur un sujet brûlant d'actualité, sociétal et/ou politique.

    On s'emporte plus rapidement sur Facebook, on manque plus vite de respect, on réagit de manière épidermique.Céline, 47 ansà franceinfo

    Au fil du temps, Frédéric, un quadragénaire habitant à Metz, en a lui aussi eu assez de voir défiler fake news et autres messages de propagande. Même les photos de chatons et de petits dauphins ont fini par l'agacer. "J'ai vu ressurgir tout ce que je détestais dans l'internet des années 2000, quand ces trucs-là arrivaient par chaînes d'e-mails dans des 'PowerPoint'. Alors je me suis dit qu'il était temps de passer à autre chose", coupe-t-il. Sans regrets.

    Cette "impression sourde" de perdre son temps

    Céline non plus ne regrette rien. Depuis sa déconnexion au mois de novembre, elle assure avoir retrouvé "avec un grand soulagement" sa "liberté de penser", "le plaisir de la retenue, du secret, de la solitude". Et mis fin à "cette impression sourde de gaspiller un temps précieux de vie".

    L'argument de la perte de temps figure en bonne place parmi les raisons qui ont motivé certains internautes à quitter Facebook. Après plusieurs années "d'une assiduité quotidienne à toute épreuve" sur le réseau social, Eric s'en est finalement échappé.

    C'est vraiment la perte de temps qui m'a fait partir du réseau et le fait d'entretenir des relations avec des gens que je ne connais pas et dont finalement je me fiche un peu.Eric, 33 ansà franceinfo

    Il est passé à l'acte il y a quatre mois, en pleine nuit, alors qu'il venait de consulter un énième "top 10 débile sur je ne sais plus quoi". Le lendemain, il s'est presque senti en manque. "C'était un peu comme un arrêt du tabac, je ne savais pas trop quoi faire de mes pouces sur mon téléphone ou ma tablette, ou même sur mon ordinateur de travail." Un manque dont n'a pas souffert Thomas. "L'application était devenue chronophage, remplie de pub et surtout, un gros vecteur à conneries en tout genre, tranche-t-il. Depuis, aucune sensation de manque, bien au contraire. J'ai du temps, de l’indépendance et, surtout, j'ai fait un tri monumental dans mes potes."

    Facebook peut-il causer la dépression ? 4PoAjcIUtN64oAAAAASUVORK5CYII=Facebook peut-il causer la dépression ? Ilan-caro-6e3b844b85par Ilan Caro
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    Message par Invité Sam 1 Juin 2019 - 19:40

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