Pour moi, je sais que tu m'exauces toujours...Jean 11.42
Petit témoignage de Gérard PEILHON (éditions CAEF à Grenoble) :
Paul âgé de 12 ans, est embarqué comme mousse sur un bâteau de pêche, "la Bonne Espérance"
Le soir du 7e jour de navigation, le ciel s'assombrit et d'immenses vagues se mettent à bousculer le chalutier. Devenu le jouet des éléments déchaînés, il est impossible de le gouverner.
La panique s'installe, les marins tentent de garder le navire à flot. Paul et le fils du capitaine, du même âge, se blottissent l'un contre l'autre. L'heure est à la catastrophe.
Soudain, le commandant crie : "Le bateau est perdu, nous allons couler !".
Le copain de Paul se met à pleurer.
Paul tente de le rassurer, lui prend la main, lui dit calmement :
"si nous ne coulons pas avant 20 h, nous serons sauvés."
Surpris, l'enfant demande à Paul ce qui lui permet d'avancer une telle affirmation.
Paul lui répond : "Tous les soirs à 20 h, ma maman parle à Jésus et je sais qu'il l'écoute. Fais comme moi, mets-toi à genoux et prions ensemble".
- "Mais je ne sais pas prier !" - C'est simple, parle comme si tu parlais à ton papa.
Les deux enfants, à genoux sous l'escalier, parlent à leur Père céleste. Ils sont maintenant rassurés, les larmes ont séché...
La vieille horloge d'une cabine proche égraine huit coups, des cris de joie retentissent sur le pont : "Nous sommes saufs, la tempête est passée !".
Depuis Paul et son ami, chaque soir à 20 h, unissent leurs prières vers le Père qui les a sauvés et fraternellement unis.
Petit témoignage de Gérard PEILHON (éditions CAEF à Grenoble) :
Paul âgé de 12 ans, est embarqué comme mousse sur un bâteau de pêche, "la Bonne Espérance"
Le soir du 7e jour de navigation, le ciel s'assombrit et d'immenses vagues se mettent à bousculer le chalutier. Devenu le jouet des éléments déchaînés, il est impossible de le gouverner.
La panique s'installe, les marins tentent de garder le navire à flot. Paul et le fils du capitaine, du même âge, se blottissent l'un contre l'autre. L'heure est à la catastrophe.
Soudain, le commandant crie : "Le bateau est perdu, nous allons couler !".
Le copain de Paul se met à pleurer.
Paul tente de le rassurer, lui prend la main, lui dit calmement :
"si nous ne coulons pas avant 20 h, nous serons sauvés."
Surpris, l'enfant demande à Paul ce qui lui permet d'avancer une telle affirmation.
Paul lui répond : "Tous les soirs à 20 h, ma maman parle à Jésus et je sais qu'il l'écoute. Fais comme moi, mets-toi à genoux et prions ensemble".
- "Mais je ne sais pas prier !" - C'est simple, parle comme si tu parlais à ton papa.
Les deux enfants, à genoux sous l'escalier, parlent à leur Père céleste. Ils sont maintenant rassurés, les larmes ont séché...
La vieille horloge d'une cabine proche égraine huit coups, des cris de joie retentissent sur le pont : "Nous sommes saufs, la tempête est passée !".
Depuis Paul et son ami, chaque soir à 20 h, unissent leurs prières vers le Père qui les a sauvés et fraternellement unis.