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    Covid-19 : une chimère fabriquée en laboratoire ?

    Claire
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    Covid-19 : une chimère fabriquée en laboratoire ?  Empty Covid-19 : une chimère fabriquée en laboratoire ?

    Message par Claire Ven 31 Juil 2020 - 23:58

    Covid-19 : une chimère fabriquée en laboratoire ? 

    Covid-19 : une chimère fabriquée en laboratoire ?  66f8d2d8e3025ad1fe863633d1756ece?s=50&r=g&default=https%3A%2F%2Fwww.lesalonbeige.fr%2Fwp-content%2Fplugins%2Fbuddypress-first-letter-avatar%2Fimages%2Fdefault%2F96%2Flatin_mPar Michel Janva le 30 juillet 2020




    Covid-19 : une chimère fabriquée en laboratoire ?  Une_inter_coronavirus-1050x600


    Italien, avec une carrière médicale et universitaire internationale, le professeur Joseph Trotto est un microchirurgien, expert en biotechnologie et nanotechnologie et président de la WABT (Académie mondiale des sciences et technologies biomédicales), une importante académie fondée en 1987. Il publie un livre-révélation, à sortir en Italie le 4 août, Cina Covid-19 La chimera che ha cambiato il mondo, destiné à provoquer un débat mondial, car il montre, avec des preuves scientifiques, que le coronavirus responsable de Covid-19 était le résultat d’une ingénierie de laboratoire. C’était l’hypothèse émise par le Pr Montagnier. En l’occurrence, le laboratoire de haute sécurité de Wuhan. Benoît-et-moi a traduit son entretien avec Libero.

    Extrait :
    « Dans plusieurs publications, par exemple dans l’étude des chercheurs de l’Indian Institute of Technology de New Dehli basée sur les génomes des patients, recueillis dans des bases de données mondiales, il est démontré que le SRAS-CoV-2 n’est pas seulement un hybride entre le virus de la chauve-souris et le virus de la pangolin. Mais à l’intérieur, il y a de petits inserts de résidus d’acides aminés du virus VIH-1, responsable du sida. La présence de ces inserts dans un virus développé dans la nature ne pourrait jamais se produire. 
    Et ce n’est pas tout. Le génome du SRAS-CoV-2 présente une autre modification sur ce qu’on appelle site furinique intracellulaire, comme le confirment deux études, l’une chinoise, l’autre canadienne-française. Les deux inserts ont une fonction spécifique : l’insert VIH-1 permet au CoV-2 du SRAS de s’ancrer à la cellule humaine et de pénétrer dans la cellule. Il est donc vraisemblablement responsable de la forte infectivité du virus. La modification du site de clivage furinique permet au virus de se multiplier dans la cellule et le rend hautement pathogène ».
    Dans quel but ce virus chimique aurait-il été créé? Comme arme de bioterrorisme ou uniquement pour des études scientifiques ?
    « Pour donner une réponse, nous devons rembobiner la bande. En 2005, après l’épidémie de Sars, a été fondé l’Institut de virologie de Wuhan, dirigé par la professeur Shi Zheng-Li, qui a repéré des coronavirus de certaines espèces de chauves-souris et les a recombinés avec d’autres composants viraux afin de créer des vaccins. En 2010, elle entre en contact avec des chercheurs américains dirigés par le professeur Ralph Baric, qui travaille à son tour sur des virus recombinants basés sur des coronavirus. Grâce aux virus de la matrice fournis par Shi, Baric crée en 2015 une chimère Sars-virus du rat, qui a un effet pathogène sur les cellules humaines analysées in vitro.

    À ce moment-là, la collaboration entre la Chine et les États-Unis devient une concurrence. Shi veut travailler à un virus plus puissant pour fabriquer un vaccin plus performant: elle combine in vitro un virus de chauve-souris avec un virus de pangolin et en 2017 elle publie les résultats de cette recherche dans plusieurs articles scientifiques. Ses recherches suscitent l’intérêt du secteur militaire et médico-biologique chinois qui s’intéresse aux armes biologiques utilisées comme moyen de dissuasion à des fins défensives et offensives. Ainsi, Shi est soutenu par des médecins et des biologistes du milieu politico-militaire, comme Guo Deyin, spécialiste des vaccins contre le sida et l’hépatite virale et expert en techniques de recombinaison génétique. L’introduction des nouveaux inserts techniques dans le génome du virus est le résultat de la collaboration entre l’équipe de Shi et celle de Guo Deyin. La réalisation de cette nouvelle chimère, d’un point de vue scientifique, est un succès. A tel point qu’une fois l’épidémie déclenchée, les deux chercheurs ont demandé à l’Oms de l’enregistrer comme un nouveau virus, le H-nCoV-19 (Human new Covid 19), et non comme un autre virus dérivé du SRAS. Il est raisonnable de penser que Shi a agi uniquement du point de vue du prestige scientifique, mais sans tenir compte des risques de sécurité et des intérêts politico-militaires que ses recherches auraient suscités ».
    Comment, en revanche, le virus a-t-il pu s’échapper du laboratoire? Par un accident, un vol ou le rejet délibéré dans l’environnement ?
    « J’exclurais cette dernière hypothèse, qui aurait porté préjudice aux Chinois, tout comme le vol, car les laboratoires de ce type sont très contrôlés. Les fuites accidentelles, causées par une panne de courant, ou la contamination accidentelle du personnel, sont plus probables. Trop de gens se déplaçaient dans le laboratoire de Wuhan : plus il y a d’individus, plus le risque de contamination est grand. En outre, de nombreuses personnes du laboratoire n’avaient pas de formation spécifique pour traiter certains virus de manière coordonnée et minutieuse ».
    Pourquoi la Chine n’a-t-elle jamais fourni le génome complet du virus à l’Oms ou à d’autres pays ?
    « Parce que fournir le virus maître aurait signifié reconnaître que le SRAS-CoV-2 a été créé en laboratoire. En fait, le génome incomplet mis à disposition par la Chine manque de certains inserts des acides aminés du SIDA, qui agissent comme une preuve irréfutable.
    En attendant, cependant, des négociations sont en cours entre les services de renseignement de 5 pays (États-Unis, Australie, Canada, Nouvelle-Zélande, Japon) et la Chine. Le premier, peut-être, dans les négociations diplomatiques, serait prêt à négliger les responsabilités chinoises, dont il a la preuve, en échange de la possibilité d’obtenir la matrice virale pour développer un vaccin universel ».


    Aurons-nous un jour un tel vaccin ?

    « Il est extrêmement improbable de trouver un vaccin unique pour bloquer le virus, étant donné les nombreuses mutations du SRAS-CoV-2.
    À l’heure actuelle, 11 souches différentes ont été identifiées : la lignée génétique A2a développée en Europe et la lignée B1 qui a pris racine en Amérique du Nord sont plus infectieuses que la souche 0 originaire de Wuhan. Je pense donc que nous pourrions tout au plus trouver un vaccin multivalent, valable pour 4-5 souches et capable de couvrir 70-75% de la population mondiale ».




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