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    Le 8 mai 1828, les cloches de Bekaakafra chantent l'enfant chéri du Liban, saint Charbel

    Claire
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    Message par Claire Ven 7 Mai 2021 - 16:40

    Le 8 mai 1828, les cloches de Bekaakafra chantent l'enfant chéri du Liban, saint Charbel Charbe11



    Le 8 mai 1828 les cloches de Bekaakafra chantent l'enfant chéri du Liban.


    Sa lampe à huile illumine aujourd'hui la planète entière.


    La vie de Charbel est d'une simplicité qui décourage le récit. Il est pourtant bien « ce juste qui poussa comme un palmier et grandit comme un cèdre du Liban » (Ps 92, 13).


    Youssef Makhlouf (père Charbel) est né le 8 mai 1828, dans un petit village du Liban, Bekaakafra, qui se trouve au-dessus de la Sainte Vallée à 1800 mètres d'altitude. IL est le fils cadet d'une famille de cinq enfants nés d'Antoun Makhlouf et de Brigitta Al-Chidiac. C'est le départ de l’histoire extraordinaire du grand saint du Liban.


    Le père Nehmetallah Al Hardini dit de lui qu'Il " était l’un des meilleurs et des plus habiles étudiants, excellent en théologie, d’une vive intelligence, dépassant les autres par sa science et ses connaissances."
    Le père Charbel avait rêvé d'être ermite. Il l'était déjà. Il avait rêvé de ne rien avoir que Dieu, il ne possédait que lui. Il fera le vide en son âme, vide de son passé, de sa famille, de ses confrères et du monde entier. Il restera sourd aux bruits du monde, laissant le silence régner autour de lui, afin qu'il puisse entrer entièrement en communion avec Dieu.


    Comment ne pas évoquer ici les propos de sa mère Brigitta, propos repris par le pape Paul VI lors de la canonisation du père Charbel : " Si tu ne devais pas être un bon religieux, je te dirais : Reviens à la maison. Mais je sais maintenant que le Seigneur te veut à son service. Et dans ma douleur d’être séparée de toi, je te dis : Qu’il te bénisse, mon enfant, et fasse de toi un saint."


    Sa vie cachée en Dieu nous montre le secret de son rayonnement. Si son intercession attire aujourd’hui tant de personnes dans les quatre coins du monde, c’est parce qu’il a lui-même été attiré par Dieu dans sa vie d’ermite. Il a accepté de se laisser dépouiller de lui-même par amour, pour n’être rempli que de Dieu. Tous ceux qui l’approchent par leur foi, demandant son intercession, sont introduits à leur tour dans cette amitié qui l’unit à Dieu, à la sainteté.

    Dans un monde où l’unité est souvent précaire, difficile à trouver, surgit l’exemple de saint Charbel, qui, par sa vie offerte à Dieu dans le silence et la prière, a uni autour de sa personne un pays entier.
    Son supérieur, le père Michmichani ne s'est pas trompé en disant que : "Ce qu'il accomplira après sa mort me dispense de donner plus de détails sur sa vie."


    "Celui qui se fera humble comme un petit enfant, celui-là sera le plus grand dans le royaume des cieux." (Mat,XVlll,3-4)

    https://www.facebook.com/miraclessaintcharbel

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    Le 8 mai 1828, les cloches de Bekaakafra chantent l'enfant chéri du Liban, saint Charbel Empty Re: Le 8 mai 1828, les cloches de Bekaakafra chantent l'enfant chéri du Liban, saint Charbel

    Message par Claire Lun 10 Mai 2021 - 9:53

    Que sait-il passé le 8 Mai 1950 jour de l'anniversaire de St Charbel ?


    L'année 1950 fut l'année de St Charbel. Une année sainte pour toute l'église. Durant cette année les miracles se multiplient. Plus de deux milles seront en effet enregistrés. Les lignes qui suivent évoquent l'un de ces miracles. C'est le père Georges Wehbé, de Scranton en Pennsylvanie, en pèlerinage au Liban, qui en fait le récit.


    " Le lundi 8 mai 1950, anniversaire de la naissance de St Charbel et fête de St Jean l’Évangéliste (patron de la Congrégation des Missionnaires Libanais), je me rends  au couvent de Saint Maron à Annaya accompagné, pour l'occasion, des pères Boutros Chalhoub et Sassine Zaidan. 
    Nous étions quarante personnes embarquées dans un bus de la Congrégation dans une atmosphère des plus joyeuses. L'enjeu était de taille. Arrivés à midi, nous visitons l’église, le tombeau de St Charbel et le couvent. La foule y était nombreuse. Fidèles, malades et infirmes participaient à la prière avec foi et  grande ferveur...
    Une partie de notre groupe décide d'aller se recueillir à l’Ermitage. 
    J'en faisais partie. Notre prière achevée, nous étions sur le point de rebrousser chemin. J'ai alors voulu, en guise de souvenir, prendre une photo de quelques frères qui étaient en ma compagnie, dont le novice Youssef Antoun de Ebrine, le frère étudiant Hanna Ghosn de Dar Baachtar, un jeune homme Youssef Challita Tannous de Hawqa, le frère Boulos Yazbek de Qartaba, et enfin le père Élias Abi Ramia de Ehmej, responsable de l’ermitage. La photo a été prise avec un appareil Kodak Broni.

    le 9 Mai, quand nous développons la pellicule, nous nous apercevons qu'il y a une personne de plus sur la photo qui n'était pas présente au moment de la prise la veille....?
     Difficile à identifier, cette présence nous paraît énigmatique. Nous avons alors recours aux moines du couvent. Ces derniers sont affirmatifs et nous confirment que c'est St Charbel. 

    Puisqu'ils l'avaient connu, ils étaient en effet les seuls capables de l'identifier avec autant d'assurance et de certitude. On voyait sa tête, sa barbe blanche, son capuchon, sa main droite. Il était d’un corps transparent, vêtu d’une tunique monastique noire comme tous les moines libanais. Derrière lui, pierres et herbes par terre apparaissaient à travers son corps comme s'il avait été en vitre."

    Cette photo si  précieuse a servi plus tard à faire le portrait officiel de St Charbel car il n'avait jamais été photographié auparavant. Sans aucun doute il a voulu laisser, avec beaucoup d'humour et de malice, une photo de lui à la postérité et il a choisi pour cela le jour de son anniversaire le 8 mai.   Halleluia.....

    Très futé le père Charbel ! Cette même photo servira pour sa béatification et sa canonisation.
     S'il a vécu toute sa vie les yeux baissés, il a finalement levé la tête juste pour nous faire plaisir le temps d'une photo ..!  Merci Bouna Charbel ......

    https://www.facebook.com/miraclessaintcharbel
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    Le 8 mai 1828, les cloches de Bekaakafra chantent l'enfant chéri du Liban, saint Charbel Empty Re: Le 8 mai 1828, les cloches de Bekaakafra chantent l'enfant chéri du Liban, saint Charbel

    Message par Claire Sam 7 Mai 2022 - 13:05

    Le 8 mai 1828, les cloches de Bekaakafra chantent l'enfant chéri du Liban, saint Charbel 16519210



    https://www.facebook.com/100063045018863/posts/354751599969671/?app=fbl

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    Le 8 mai 1828, les cloches de Bekaakafra chantent l'enfant chéri du Liban, saint Charbel Empty Re: Le 8 mai 1828, les cloches de Bekaakafra chantent l'enfant chéri du Liban, saint Charbel

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