Mauvaises nouvelles ?...aime la vie !
L’été fut meurtrier au proche et moyen Orient, en Ukraine et ailleurs…
Nous vivons avec ces nouvelles de feu et de sang au quotidien , comment faire pour s’en extraire sans devenir indifférent ?
C’est un chemin propre à chacun.
Il y a ceux qui se jettent à corps perdu dans le sport ; j’admire ces hommes aux mollets d’acier qui grimpent les cols.
Il y a ceux qui ont toujours un billet de spectacle dans la poche ; l’art est merveilleux car il élève l’âme.
Il y a ceux qui jardinent et qui s’inscrivent au concours de la plus grosse citrouille ; sûr qu’ils se lèvent à minuit pour observer si l’une d’entre elles ne s’est pas transformée en carrosse.
Il y a ceux qui emmènent leur tribu visiter le cheptel du paysan des environs ou bien le parc animalier qui nous rappelle nos origines au jardin d’Eden.
Il y a ceux qui déposent leur télé chez Emmaüs ou au Secours Populaire le plus proche et qui jurent qu’on ne les y reprendra plus ; l’occasion de se ré-abonner à leur magazine préféré.
Il y a ceux qui s’encartent chez Mélenchon, au front national ou à je ne sais quel parti d’extrême centre et qui pensent changer le monde avec les lois républicaines.
Il y a ceux qui prient , non pas parce que tout va mal, mais parce que c’est important de garder le contact avec le Dieu de bonté quand on se rend compte qu’on en a même plus suffisamment pour soi même.
Il y a ceux qui veulent rajouter du chaos au chaos parce qu’ils croient être nés sous une mauvaise étoile, parce que jamais leur père ou mère ne leur a dit « je t’aime « , parce que l’entreprise les a utilisé, parce que la mouise leur colle à la peau.
Ami, si tu croises cet homme là que lui diras-tu qui ne sois pas simple morale ?
Ami, que diras-tu à tes vieux jours si tu viens à perdre le goût ?
Ami, quel sera cet objet qui te fera encore verser des larmes de bonheur ?
Ton alliance, ton harmonica, ton opinel, ton chapelet, une photo de ta famille ?
Je t’entends prononcer ces mots à ton petit fils venu te rendre visite : « Aime la vie…brandis ton cœur comme un drapeau…pose chaque jour des actes d’amour…transcende les inimitiés avec la bonté divine. »
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L’été fut meurtrier au proche et moyen Orient, en Ukraine et ailleurs…
Nous vivons avec ces nouvelles de feu et de sang au quotidien , comment faire pour s’en extraire sans devenir indifférent ?
C’est un chemin propre à chacun.
Il y a ceux qui se jettent à corps perdu dans le sport ; j’admire ces hommes aux mollets d’acier qui grimpent les cols.
Il y a ceux qui ont toujours un billet de spectacle dans la poche ; l’art est merveilleux car il élève l’âme.
Il y a ceux qui jardinent et qui s’inscrivent au concours de la plus grosse citrouille ; sûr qu’ils se lèvent à minuit pour observer si l’une d’entre elles ne s’est pas transformée en carrosse.
Il y a ceux qui emmènent leur tribu visiter le cheptel du paysan des environs ou bien le parc animalier qui nous rappelle nos origines au jardin d’Eden.
Il y a ceux qui déposent leur télé chez Emmaüs ou au Secours Populaire le plus proche et qui jurent qu’on ne les y reprendra plus ; l’occasion de se ré-abonner à leur magazine préféré.
Il y a ceux qui s’encartent chez Mélenchon, au front national ou à je ne sais quel parti d’extrême centre et qui pensent changer le monde avec les lois républicaines.
Il y a ceux qui prient , non pas parce que tout va mal, mais parce que c’est important de garder le contact avec le Dieu de bonté quand on se rend compte qu’on en a même plus suffisamment pour soi même.
Il y a ceux qui veulent rajouter du chaos au chaos parce qu’ils croient être nés sous une mauvaise étoile, parce que jamais leur père ou mère ne leur a dit « je t’aime « , parce que l’entreprise les a utilisé, parce que la mouise leur colle à la peau.
Ami, si tu croises cet homme là que lui diras-tu qui ne sois pas simple morale ?
Ami, que diras-tu à tes vieux jours si tu viens à perdre le goût ?
Ami, quel sera cet objet qui te fera encore verser des larmes de bonheur ?
Ton alliance, ton harmonica, ton opinel, ton chapelet, une photo de ta famille ?
Je t’entends prononcer ces mots à ton petit fils venu te rendre visite : « Aime la vie…brandis ton cœur comme un drapeau…pose chaque jour des actes d’amour…transcende les inimitiés avec la bonté divine. »
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