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    Indissolubilité du mariage et eucharistie : il ne s'agit pas d'un idéal futuriste

    Claire
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    Message par Claire Ven 13 Fév 2015 - 9:24

    08 février 2015



    Indissolubilité du mariage et eucharistie : il ne s'agit pas d'un idéal futuriste



    L’évêque d’Alcala de Henares, Mgr Juan Antonio Reig Pla, a présidé à la présentation du livre Eucharistie et divorce, vers un changement doctrinal ?, du P. José Granados Garcia, consulteur de la Congrégation pour la doctrine de la Foi et vice-président de l’Institut pontifical Jean-Paul II pour les études sur le mariage et la famille. Extrait de la traduction de cette allocation, par Jeanne Smits :

    Indissolubilité du mariage et eucharistie : il ne s'agit pas d'un idéal futuriste 6a00d83451619c69e201b7c7490fda970b-320wi

    "[...] L’auteur a pour propos d’approfondir les questions débattues lors du synode extraordinaire sur la famille (2014) de telle sorte que la prochaine assemblée synodale puisse être « providentielle, pour recréer de l’espérance sur le chemin des familles ».

    Prenant comme point de départ le débat suscité autour de la « possibilité de voir les divorcés remariés accéder de nouveau aux sacrements de la pénitence et de l’Eucharistie » (Relatio synodi, 52), le professeur Granados nous invite à analyser les principes de base sans lesquels il est impossible d'envisager avec lucidité une pastorale familiale en accord avec l'Evangile du mariage et de la famille. [...]

    Tout au long de l'étape entre la convocation et la célébration de l'Assemblée synodale extraordinaire sur le mariage et la famille, nous avons entendu continuellement répéter cette proposition de : « Il ne s'agit pas de changer la doctrine sur l'indissolubilité du mariage mais de “rénover” ou de “changer” la pratique pastorale. »

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    Devant ce dilemme : « doctrine ou pastorale », l'apport du professeur Granados [photo ci-contre] est à mon avis très abouti et il apporte une grande lumière pour le moment présent. Son étude, pour éclairer ce que signifie la doctrine chrétienne et son lien inséparables avec la pratique pastorale de l'Église, nous entraîne à déterminer tout ce que l'on veut dire à travers les termes « vérité », « doctrine chrétienne » et « dogme », à partir de l'Ancien Testament, du Nouveau Testament et la Tradition chrétienne.
    La doctrine, conclut l'auteur, s'identifie avec le récit de l'action de Dieu qui en Jésus s'est fait chair et chemin pour notre existence.
    Pour reprendre les mots du professeur Granados, « la doctrine se met au service de la vérité de notre vie, elle nous dit comment le Christ a vécu, et comment vivre chaque instant à la lumière du Christ. » Cela rend impossible la séparation entre la doctrine et la pratique pastorale, ou encore – et c'est la même chose – on ne peut rompre le Christ, de la vie duquel nous participons dès le baptême en devenant son Corps.

    L’auteur explique le lien entre l'indissolubilité du mariage et la pratique eucharistique en analysant la tradition liturgique de l'Église (lex orandi, lex credendi), en s'attardant sur une étude détaillée des textes de saint Irénée de Lyon, de saint Augustin et de saint Thomas d'Aquin. « Le propre du christianisme, conclut-il, est d’avoir introduit un nouveau principe de cohérence, le don de la Charité que nous confère l'Esprit de Jésus. Celui qui aime sait que ce qu'il connaît et ce qu'il aime ne peuvent se séparer, parce que l'amour est un, et qu'il possède à la fois lumière et force. L'unité de doctrine et de pratique ne se trouve pas en se focalisant sur l'individu, qui essaie de les unir en vain, mais à partir de l'amour, qui nous les offre depuis toujours entrelacés. » [...]
    Au cours du débat synodal il s’est trouvé des personnes pour défendre la doctrine de l’indissolubilité du mariage comme un idéal auquel il faut tendre mais que certains ne peuvent atteindre en raison de différentes circonstances parfois difficiles et douloureuses. 
    Bien plus, certains aimeraient même voir dans le langage du pape François lorsqu'il parle de l'« idéal évangélique » une expression de cette même opinion.
    Comment faut-il donc interpréter les paroles du Saint-Père recueillies dans les Lineamenta pour la prochaine assemblée ordinaire du Synode, au numéro 19 : « Sans diminuer la valeur de l’idéal évangélique, il faut accompagner avec miséricorde et patience les étapes possibles de croissance des personnes qui se construisent jour après jour » (Evangelii gaudium, 44).
    C'est le même pape François qui est dans son propre texte (Evangelii gaudium, 50) renvoie à l'Exhortation apostolique Familiaris consortio de saint Jean Paul II qui traite de l'itinéraire moral des époux et qui dit textuellement : « Ils ne peuvent toutefois considérer la loi comme un simple idéal à atteindre dans le futur, mais ils doivent la regarder comme un commandement du Christ Seigneur leur enjoignant de surmonter sérieusement les obstacles.
    “C'est pourquoi ce qu'on appelle la ‘loi de gradualité’ ou voie graduelle ne peut s'identifier à la ‘gradualité de la loi‘, comme s'il y avait, dans la loi divine, des degrés et des formes de préceptes différents selon les personnes et les situations diverses.
    Tous les époux sont appelés à la sainteté dans le mariage, selon la volonté de Dieu, et cette vocation se réalise dans la mesure où la personne humaine est capable de répondre au précepte divin, animée d'une confiance sereine en la grâce divine et en sa propre volonté”. 
    »

    Les paroles de Jésus : « Ce que Dieu a uni, que l'homme ne le sépare pas » (Mt. 19, 6), outre qu’elles renvoient au dessein créateur de Dieu (« au début il n'en était pas ainsi »), supposent la nouveauté de la grâce de la rédemption par laquelle ce qui n'est pas possible aux hommes est possible à Dieu. Précisément parce que l'indissolubilité est un don de Dieu, qui se reçoit dans le sacrement du mariage (participation de la Charité sponsale du Christ), elle devient un commandement.
    C'est ce que ratifie la doctrine enseignée par saint Jean-Paul II dans la Lettre encyclique Veritatis splendor : « Les possibilités “concrètes” de l'homme ne se trouvent que dans le mystère de la Rédemption du Christ. 
    Ce serait une très grave erreur que d'en conclure que la règle enseignée par l'Eglise est en elle même seulement un ‘idéal’ qui doit ensuite être adapté, proportionné, gradué, en fonction, dit-on, des possibilités concrètes de l'homme, selon un ‘équilibrage des divers biens en question’.
    Mais quelles sont les ‘possibilités concrètes de l'homme’ ? Et de quel homme parle-t-on ? De l'homme dominé par la concupiscence ou bien de l'homme racheté par le Christ ? Car c'est de cela qu'il s'agit : de la réalité de la Rédemption par le Christ. 
    Le Christ nous a rachetés ! Cela signifie : il nous a donné la possibilité de réaliser l'entière vérité de notre être ; il a libéré notre liberté de la domination de la concupiscence”. » (Veritatis Splendor,103) [...]

    Au tréfonds de l'œuvre que nous présentons il y a cette ferme conviction du Pr Granados : la pastorale suit la doctrine parce qu'il s'agit de mener à leur accomplissement les paroles du Seigneur : « Je suis venu pour que vous ayez la vie et que vous l'ayez en abondance » (Jn, 10,10.)
    Ainsi, « en vertu de la sacramentalité de leur mariage, les époux sont liés l'un à l'autre de la façon la plus indissoluble. S'appartenant l'un à l'autre, ils représentent réellement, par le signe sacramentel, le rapport du Christ à son Eglise ». (Familiaris consortio, 13). 
    De là provient le lien nécessaire entre l'indissolubilité et le mystère, actualisation du sacrifice du Christ, où Il unit à l’Eglise à lui, en l’unissant à son corps et formant « une seule chair ».

    « A partir de là, conclut l'auteur, la pratique de l'indissolubilité, qui se traduit par le fait de maintenir le lien entre la vie eucharistique et la vie matrimoniale, est la véritable pastorale fécondeL'alternative qui consisterait à dissocier ces deux dimensions, en éliminant la relation étroite entre l'Eucharistie et la vie conjugale, conduit à de fausses pistes pastorales, qui se révèlent stériles. »
    L'histoire, maîtresse de vie, nous enseigne que c'est là le véritable chemin de la Miséricorde, qui comprend le fait de ne pas occulter le sens de la souffrance, c'est-à-dire le fait de ne pas occulter la Croix glorieuse du Seigneur ressuscité qui est scandale pour les enfants et folie pour les autres (CF 1. Co. 1, 23), mais « la folie de Dieu est plus sage que la sagesse des hommes, et la faiblesse de Dieu est plus forte que la force des hommes » (1 Co. 1, 25).

    Les premiers chrétiens se laissaient conduire par le Bon Samaritain, qui leur offrait la rédemption du cœur, guérissant leurs plaies avec l'huile de l’Esprit Saint, et qui les a conduits vers l'auberge : l'Eglise ou le bercail où se trouvent les pâturages qui nous font atteindre la plénitude de vie. Ainsi ont-ils gagné peu à peu le cœur de cette vieille Europe qui aujourd'hui, séduite par d'autres voix et chants de sirènes, se refuse à écouter la voix du Bon Pasteur. »"


    Posté le 8 février 2015 à 22h00 par Michel Janva 
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    Indissolubilité du mariage et eucharistie : il ne s'agit pas d'un idéal futuriste Empty Re: Indissolubilité du mariage et eucharistie : il ne s'agit pas d'un idéal futuriste

    Message par Claire Sam 14 Fév 2015 - 10:34

    Une belle réflexion d'RV (cheregospa) qui rejoint l'article ci-dessus :


    SI LES PERSONNES DIVORCEES ET REMARIEES COMMUNIAIENT, JE CROIS QU'ELLES SE RETROUVERAIENT ALORS DANS UN ETAT "D'ECARTELEMENT" DEVANT DIEU


    Par RV. dans Textes religieux le 24 Octobre 2005 à 00:00

    Nous avons tort de croire que le pape fait preuve de rigidité et de manque d'ouverture lorsqu'il nous dit que les personnes divorcées  et remariées ne peuvent pas être admises à la communion eucharistique.
    En effet, ce n'est pas de la "méchanceté", de sa part, que d'affirmer de telles choses.
    C'est simplement du bon sens.
    Et Dieu sait si notre monde en a besoin aujourd'hui !
    Mais, si vous le voulez bien, essayons de voir cela d'un peu plus près…
         
    Comme nous le savons, le mariage catholique est indissoluble.
    Cela signifie en clair qu'il unit deux personnes pour la vie, et ce de manière totale. 


    Le Catéchisme de l'Eglise, citant un extrait du livre de la Genèse, nous dit ceci : "Ce consentement qui lie les époux trouve son accomplissement en ce que les deux "deviennent une seule chair" (article1627).
         
    En plus de cela, il y a une chose très importante qu'il nous faut savoir : le lien du mariage qui unit l'homme et la femme n'est pas semblable à un "contrat de travail" qui, en fonction de la situation économique de l'entreprise, peut être rompu.
    Non, c'est très différent.
    Dans le cas d'un mariage, c'est Dieu Lui-même qui scelle l'union des deux époux, devenant ainsi, en quelque sorte, le garant de l'indissolubilité de leur engagement.
    Plusieurs articles du CEC expriment très bien cette idée :
         
    -"Le consentement par lequel les époux se donnent et s'accueillent mutuellement est scellé par Dieu Lui-même" (article 1639)
    -"Le lien matrimonial est donc établi par Dieu Lui-même, de telle sorte que le mariage conclu et consommé entre baptisés ne peut jamais être dissous. Ce lien, qui résulte de l'acte humain libre des époux et de la consommation du mariage, est une réalité désormais irrévocable et donne origine à une alliance garantie par la fidélité de Dieu" (article 1640).
    -"De même que Dieu prit autrefois l'initiative d'une alliance d'amour et de fidélité  avec son peuple, ainsi, maintenant, le Sauveur des hommes, Epoux de l'Eglise, vient à la rencontre des époux chrétiens par le sacrement du mariage" (article 1642).
         
    Nous pouvons retenir de ces trois extraits qu'un mariage, loin de ressembler à un contrat d'embauche, est en réalité une alliance indestructible où chaque époux est appelé à ne faire qu'un seul cœur et qu'une seule âme avec son conjoint… et aussi avec Jésus qui est donc le garant de l'indissolubilité de leur union. 


    En d'autres termes, l'homme et la femme ne peuvent plus être COMPLETS l'un sans l'autre; et Jésus, de son côté, considère le couple comme une seule personne. 
    Cela signifie aussi que le Christ ne conçoit  jamais l'un sans l'autre.
    Où que soit l'un des deux époux et quoi qu'il fasse, Jésus ne le voit jamais indépendamment de l'autre mais toujours AVEC son conjoint.
    Ses plans divins sur lui, les appels qu'Il lui lance, les projets qu'Il lui inspire par le biais de Son Esprit Saint… prennent toujours l'autre en considération (et ceci POUR LA VIE, car Dieu est fidèle jusqu'au bout).
         
    A partir de là, nous comprenons peut-être un peu mieux quelle est la contradiction qu'introduirait la communion des divorcés-remariés.


    En fait, le fait de communier les lierait au Christ (c'est là le sens profond de la communion eucharistique) qui, Lui-même, les "lierait" d'une manière mystérieuse (mais pourtant bel et bien réelle) à leur premier conjoint (puisque Jésus, étant fidèle, ne peut jamais dissocier l'un des deux époux de l'autre) !


    Nous sentons donc bien que la personne divorcée et remariée se retrouverait alors dans un état "d'écartèlement" devant Dieu : elle s'unirait à une personne (Jésus) qui, elle-même, l'unirait à une autre personne avec laquelle elle ne veut justement pas être liée (son premier mari) ! 

    Où serait la cohérence dans tout cela ?
         
    Cela nous amène donc à voir peu à peu que derrière l'attitude du pape – que certains jugent parfois trop "rigide" voire "inhumaine" – se cache en fait une très profonde cohérence et, surtout, un très profond respect des choix de chacun.
         
    On ne peut pas faire tout et n'importe quoi.


    Si une personne divorcée et remariée veut absolument "faire un" avec le Christ par le biais de la communion eucharistique, elle doit aussi accepter que Jésus – modèle de fidélité – l'aime par rapport à son premier mari; et donc, de ce fait, il est nécessaire qu'elle ne reconnaisse pas la légitimité de son second conjoint.
    Mais veut-elle cela ? Souhaite-t-elle que les choses se passent ainsi ?
    J'en doute fort car, alors, pourquoi se serait-elle re-mariée ?
         
    C'est pourquoi, afin que son choix de se séparer de son premier époux et de se lier à un second soit respecté, il est préférable qu'elle ne communie pas (tant qu'elle n'a pas changé d'avis, du moins).
    Cela lui évitera de se retrouver dans cette situation "d'écartèlement" dont nous avons parlé.
         
    Croyez-moi, chers amis internautes, il n'y a ni "rigidité" ni "inhumanité" derrière l'attitude du pape. 
    Il y a uniquement le bon sens de l'Esprit Saint qui aime immensément tous les hommes, et les respecte infiniment.

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    Message par Invité Sam 14 Fév 2015 - 13:55

    Repris dans le texte ci dessus : Nous avons tort de croire que le pape fait preuve de rigidité et de manque d'ouverture lorsqu'il nous dit que les personnes divorcées  et remariées ne peuvent pas être admises à la communion eucharistique...

    L'auteur inconnu de ce billet est soit très naïf ( ce que j'ai tendance à croire ), soit ignorant du dernier synode sur la famille, soit manipulateur en déjouant la vérité.
    Il a entièrement raison sur le fond mais il est plutôt médiocre sur la forme.
    La malhonnêteté intellectuelle est devenue trop fréquente; y compris dans l'Eglise, où plus qu'ailleurs on recherche la Vérité.

    Je laisse le soin au cardinal Burke de rétablir une vérité :

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    Message par marie-rose Dim 15 Fév 2015 - 15:05

    La malhonnêteté intellectuelle est devenue trop fréquente; y compris dans l'Eglise, où plus qu'ailleurs on recherche la Vérité.

    je suis bien d'accord avec toi Mich'el
    Le Christ a été clair là dessus"Ce que Dieu a uni qu'aucun homme ne le désunisse"


    Dans le sacrement du mariage Dieu s'engage avec nous
    Beaucoup ne le savent pas ou ne le comprennent pas parce que mal guidés
    Beaucoup s'en moquent,et de toute façon,certains ne croient ni en Dieu ni à la fidélité à vie.Qui vivra verra!on change dès que ça tourne mal!Mais le mariage à l'Eglise ça fait plus solennel,et papa et maman y tiennent,donc....
    Et d'autres sont dans une souffrance extrême,ils font ce qu'ils peuvent,mais leur mariage devienne un cauchemar et avec des enfants en plus bien souvent!
    Le sacrement du mariage c'est pour le meilleur et pour le pire,mais avec Jésus!je vais aller plus loin,avec la Sainte Famille!
    Le meilleure,"merci Jésus"!et Jésus partage notre joie(pas une joie éphémère à la mode de ce monde!) le pire,"aide nous Jésus"et il nous aide!Encore faut il que nous le laissions s'installer dans nos coeurs,notre foyer,y a  t il de la place pour lui dans nos vies?
    Terrible réalité,pour beaucoup il y a de la place pour une belle voiture,une belle maison,des vacances,le cinéma,des projets d'avoir plus,élever nos enfants correctement,pour les études,le sport...Ce n'est pas un mal,mais Jésus n' a pas sa place,même pour des fêtes qui lui appartiennent comme Noel,pas de place pour lui, par contre,pour les cadeaux,la bonne bouffe,oui!
    Et le diable prend la place,c'est la destruction!
    Je me remarie,je trouve mieux et je veux aller communier,avec celui là (ou celle là) ça marche
    Malheureusement Jésus souffre,il est seul dans ce foyer,ce couple qu'il avait uni,il aurait pu les aider, leur donner bien plus que ce qu'ils avaient rêvé.Jésus est toujours lié,attaché au couple
    Non je ne comprends pas que l'on pense à permettre aux personnes divorcées remariées de communier,surtout à une époque où le mariage est foulé aux pieds,qu'au moins l'Eglise ne tombe pas de l'autre côté elle aussi,ou alors,le sacrement du mariage,ne voudrait plus rien dire
    (il y a bien sur des cas spéciaux)
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    Message par Invité Dim 15 Fév 2015 - 15:33

    Très belles et saintes pensées Marie-Rose, merci pour cela.

    Probablement, le mariage est la vocation la plus difficile à vivre.
    Mais Dieu nous donne des armes avec les sacrements et la prière pour que le combat soit possible.

    Si l'Eglise se permet de changer certaines règles; cela l'affaiblira davantage.

    Il y a à l'intérieur de l'Eglise institution, une franc-maçonnerie qui pousse à cette affaiblissement.
    Prier pour le saint-père signifie aujourd'hui qu'il puisse résister plutôt que céder à ces pressions progressistes.
    Si la percée progressiste se fait réellement jour, la confusion sera-t-elle qu'on va peiner encore plus à se comprendre les uns les autres et donc à s'aimer les uns les autres.
    Satan le sait et il veut diviser pour régner.

    La position à adopter ne sera pas celle de se raidir mais celle de souffrir, pleurer et prier avec le Seigneur.
    La passion de l'Eglise sera un passage qui nous promet une belle résurrection, une nouvelle moisson.

    Soyons de ceux qui pleurent et se consolent dans la prière qui ne défaille pas.

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